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Produttivita' e Allocazione dei Fattori di Produzione: Evidenza Empirica a Livello Macro e Micro. / Productivity Differences and Factors' Allocation: Empirical Evidence from Macro and Micro Data

PONTICELLI, JACOPO 05 May 2011 (has links)
Questa tesi presenta nuova evidenza empirica sulla relazione tra allocazione dei fattori di produzione e differenze di produttivita' tra paesi (primo capitolo) e tra imprese (secondo capitolo). Il primo capitolo analizza la questione degli scarsi movimenti di capitale tra paesi ricchi e paesi poveri (Lucas' paradox). Una calibrazione del modello neoclassico applicata a nuovi dati mostra come, una volta tenuto conto delle differenze nello stock di capitale umano e nella remunerazione del fattore capitale, i rendimenti da capitale fisico sono molti simili tra paesi ricchi e paesi poveri. Il secondo capitolo studia la relazione tra l'allocazione dei fattori fra imprese e la produttivita' totale dei fattori (TFP). Applicando il modello di Hsieh e Klenow (2009) a dati di imprese manifatturiere di Cile e Messico negli anni '80, si nota una minore presenza di distorsioni nell'allocazione dei fattori in Cile. Questa piu' efficiente allocazione dei fattori di produzione tra imprese potrebbe aiutare a capire perche' l'economia cilena, diversamente da quella messicana, recupero' velocemente dopo la crisi dei primi anni '80. / This Thesis provides new empirical evidence on the relationship between the allocation of factors of production and differences in productivity across countries (first chapter) and across firms (second chapter). In the first chapter I address the issue of small capital flows between rich and poor countries (the so-called Lucas' paradox) observed in data. Applying a calibration approach to new data I show that, taking into account differences in human capital and in the capital share on output, returns to physical capital in rich and poor countries are fairly close. In the second chapter I investigate the relationship between the allocation of factors across firms within a country and TFP. Applying the model proposed by Hsieh and Klenow (2009) to firm level data of Chile and Mexico during 1980s I find that there are less distortions operating on average in the Chilean manufacturing sector with respect to the Mexican one. I argue that the more efficient allocation of factors across firms could help explain why Chile recovered rapidly while Mexico stagnated after the crisis of the early 1980s.
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Essays on the Effects of Corporate Taxation

Gbohoui, William Dieudonné Yélian 03 1900 (has links)
Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs. / This thesis is a collection of three papers in macroeconomics and public finance. It develops Dynamic Stochastic General Equilibrium Models with a special focus on financial frictions to analyze the effects of changes in corporate tax policy on firm level and macroeconomic aggregates. Chapter 1 develops a dynamic general equilibrium model with a representative firm to assess the short-run effects of changes in the timing of corporate profit taxes. First, it extends the Ricardian equivalence result to an environment with production and establishes that a temporary corporate profit tax cut financed by future tax-increase has no real effect when the tax is lump sum and capital markets are perfect. Second, I assess how strong the ricardian forces are in the presence of financing frictions. I find that when equity issuance is costly, and when the firm faces a lower bound on dividend payments, a temporary tax cut reduces temporary the marginal cost of investment and implies positive marginal propensity of investment. Third, I analyze how do the intertemporal substitution effects of tax cuts interact with the stimulative effects when tax is not lump-sum. The results show that when tax is proportional to corporate profit, the expectations of high future tax rates reduce the expected marginal return on investment and mitigate the stimulative effects of tax cuts. The net investment response depends on the relative strength of each effect. Chapter 2 is co-authored with Rui Castro. In this paper, we quantify how effective temporary corporate tax cuts are in stimulating investment and output via relaxation of financing frictions. In fact, policymakers often rely on temporary corporate tax cuts in order to provide incentives for business investment in recession times. A common motivation is that such policies help relax financing frictions, which might bind more during recessions. We assess whether this mechanism is effective. In an industry equilibrium model where some firms are financially constrained, marginal propensities to invest are high. We consider a transitory corporate tax cut, funded by public debt. By increasing current cash flows, corporate tax cuts are effective at stimulating current investment. On impact, aggregate investment increases by 26 cents per dollar of tax stimulus, and aggregate output by 3.5 cents. The stimulative output effects are long-lived, extending past the period the policy is reversed, leading to a cumulative effect multiplier on output of 7.2 cents. A major factor preventing larger effects is that this policy tends to significantly crowd out investment among the larger, unconstrained firms. Chapter 3 studies the effects of the 1992's U.S. Treasury Department proposal of a Comprehensive Business Income Tax (CBIT) reform. According to the U.S. tax code, dividend and capital gain are taxed at the firm level and further taxed when distributed to shareholders. This double taxation may reduce the overall return on investment and induce inefficient capital allocation. Therefore, tax reforms have been at the center of numerous debates among economists and policymakers. As part of this debate, the U.S. Department of Treasury proposed in 1992 to abolish dividend and capital gain taxes, and to use a Comprehensive Business Income Tax (CBIT) to levy tax on corporate income. In this paper, I use an industry equilibrium model where firms are subject to financing frictions, and idiosyncratic productivity and entry/exit shocks to assess the long run effects of the CBIT. I find that the elimination of the capital gain and dividend taxes is not self financing. More precisely, the corporate profit tax rate should be increased from 34\% to 42\% to keep the reform revenue-neutral. Overall, the results show that the CBIT reform reduces capital accumulation and output by 8\% and 1\%, respectively. However, it improves capital allocation by 20\%, resulting in an increase in aggregate productivity by 1.41\% and in a modest welfare gain.
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Essays on environmental regulation / Essais sur la régulation environnementale

Danilina, Vera 11 December 2017 (has links)
Cette thèse développe l’analyse d’une politique économique environnementale appliquée dans le cadre d’une économie ouverte et dans celui d’une économie fermée. Elle étudie les effets sur le bien-être et l’environnement des réglementations volontaire et obligatoire tenant compte de l’hétérogénéité des agents économiques et des pays. Elle s’intéresse en particulier aux différents types d’éco-étiquetages en autarcie (Chapitre 1) et après ouverture au commerce international (Chapitre 2); aux programmes d’apport d’information à plusieurs niveaux (Chapitre 3); et aux taxes sur les émissions et marchés publics écologiques (Chapitre 4). L’analyse montre que non seulement le gouvernement mais également les éco-consommateurs peuvent inciter même les producteurs éco-indifférents à se décider pour l’agir respectueux de l’environnement. Les instruments de politique environnementale induisent auto-sélection et polarisation dans les marchés desservis par des entreprises hétérogènes en termes de productivité. Je démontre que des instruments volontaires peuvent avoir des résultats positifs sur le bien-être et l’environnement. En fonction d’hypothèses précises, ils peuvent également être plus efficaces que des approches obligatoires. Le modèle montre également que quand il y a ouverture au commerce international, la politique écologique a un effet supplémentaire sur le bien-être et sur l’environnement, dépendamment du type de politique et des consciences environnementales des différents pays commerciaux. / This thesis develops an applied environmental economic policy analysis in closed and open economy frameworks. It investigates welfare and environmental outcomes of voluntary and mandatory regulation allowing for heterogeneity across economic agents and countries. Particularly, it focuses on voluntary eco-labels of different types in autarky (Chapter 1) and upon opening to international trade (Chapter 2); multi-tier information provision programmes (Chapter 3); and emission taxes and green public procurement (Chapter 4). The analysis shows that not only the government but also eco-concerned consumers can incentivise even eco-indifferent producers to act more environmentally-friendly. Environmental policy instruments induce self-selection and polarisation in the markets served by firms heterogeneous in their productivity. I demonstrate that voluntary instruments can lead to positive welfare and environmental outcomes. Under particular assumptions, they also can be more efficient than mandatory approaches. The model also shows that upon opening to international trade eco-policy yields additional welfare and environmental effects conditionally on the type of the policy and the environmental awareness difference across trading countries.

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