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Désir, honte et dégoût : émotions et relations humaines

Lagacé, Jovanie Christine 25 January 2012 (has links)
Le présent travail propose une réflexion sur l'aspect social des émotions par l'entremise d'un examen de la dimension conflictuelle de 3 émotions: le désir, la honte et le dégoût. L'aspect problématique de ces émotions se situe au niveau de leur hypertrophie, en ce qu'elle encourage une emphase sur le soi, sur l'autosuffisance et la toute-puissance de l'individu, ce qui se traduit par des répercussions interpersonnelles, notamment la réduction marquée de la diversité des relations humaines qu'entretient l'individu avec les autres, et intrapersonnelles, particulièrement la narcotisation de l'identité individuelle. Cette réflexion est animée par la pensée de 3 principaux auteurs: celle de René Girard et de Martha C. Nussbaum afin d'explorer, pour chaque émotion, les implications de leur hypertrophie chez l'individu, puis de l'incidence du contexte social sur l'hypertrophie de ces émotions; celle d'Hannah Arendt afin de mieux comprendre la dynamique des relations humaines et comme palliatif à ces répercussions interpersonnelles et intrapersonnelles.
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Hannah Arendt et les trésors perdus des révolutions modernes

Bériault, Xavier 05 January 2012 (has links)
Cette thèse de maîtrise porte sur la pensée révolutionnaire d’Hannah Arendt. Elle a pour objet de réfléchir à ce qu’Arendt appelle les trésors perdus des révolutions, manière poétique de désigner des événements et des expériences politiques que la tradition révolutionnaire aurait, selon elle, négligés. Arendt se donne comme tâche de les rescaper de l’oubli, car elle estime qu’ils pourraient bien se révéler pertinents pour l’entreprise entamée par Tocqueville : élaborer une nouvelle pensée politique qui permettra de se mouvoir dans un nouveau monde. Le premier chapitre se concentre sur le constitution-making : la pratique révolutionnaire américaine qui a mené à l’adoption de la Constitution, acte fondateur particulier puisqu’il rompait avec la conception traditionnelle de la fondation d’un corps politique. Le deuxième chapitre tente de comprendre ce qu’est l’esprit révolutionnaire en tant qu’attitude spécifique qui animait les révolutionnaires et qui constituerait également l’une des conditions nécessaires au déclenchement de la révolution. Enfin, le dernier chapitre se penche sur les caractéristiques du système des conseils, conçu par Arendt comme une nouvelle forme de gouvernement qui a émergé pendant les révolutions, en même temps que le système de démocratie représentative que nous connaissons aujourd’hui et en conflit avec lui. ii
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Désir, honte et dégoût : émotions et relations humaines

Lagacé, Jovanie Christine 25 January 2012 (has links)
Le présent travail propose une réflexion sur l'aspect social des émotions par l'entremise d'un examen de la dimension conflictuelle de 3 émotions: le désir, la honte et le dégoût. L'aspect problématique de ces émotions se situe au niveau de leur hypertrophie, en ce qu'elle encourage une emphase sur le soi, sur l'autosuffisance et la toute-puissance de l'individu, ce qui se traduit par des répercussions interpersonnelles, notamment la réduction marquée de la diversité des relations humaines qu'entretient l'individu avec les autres, et intrapersonnelles, particulièrement la narcotisation de l'identité individuelle. Cette réflexion est animée par la pensée de 3 principaux auteurs: celle de René Girard et de Martha C. Nussbaum afin d'explorer, pour chaque émotion, les implications de leur hypertrophie chez l'individu, puis de l'incidence du contexte social sur l'hypertrophie de ces émotions; celle d'Hannah Arendt afin de mieux comprendre la dynamique des relations humaines et comme palliatif à ces répercussions interpersonnelles et intrapersonnelles.
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Le totalitarisme, ou, Le meurtre du langage

Nguyen, Minh Quang January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à situer les conséquences de l'émergence de différentes formes de totalitarisme sur le langage. L'épistémologie et la méthode de travail qui sous-tendent ce travail théorique sont fortement inspirées de la pensée politique d'Hannah Arendt et de la sociologie dialectique de Michel Freitag. La réflexion théorique présentée dans ces pages montre d'abord, à partir d'une analyse arendtienne du totalitarisme, que ce dernier est caractérisé par une forme de domination totale sur la vie humaine et qu'il permet le déploiement de deux moments du mal: le mal radical et la banalité du mal. Le mal radical renvoie à l'idée de rendre la vie humaine superflue alors que la banalité du mal renvoie à l'absence de pensée. Nous verrons dès lors que le mal est une sortie de l'humanité par l'humain. Par la suite, nous ferons le lien entre le langage, l'humain et la pluralité humaine. Ce faisant, nous serons en mesure de penser le langage dans sa relation à l'être humain nous permettant ainsi de saisir conceptuellement ce que signifie l'humanité. Dans les troisième et quatrième chapitres, nous analyserons les modalités par lesquelles le langage se déploie dans les contextes totalitaires du 20e siècle puis dans le contexte postmoderne. L'hypothèse que nous soutenons dans ce mémoire est que toutes formes de totalitarisme, pour exercer une domination totale sur le corps social, doit perpétrer un crime que nous appelons le « meurtre du langage ». Les résultats de notre analyse sont multiples. II est question d'un meurtre parce que le langage est quelque chose de vivant. II est aussi question de meurtre parce qu'un langage humain permet au sujet d'entrer réflexivement en rapport avec le monde et avec lui-même, chose que la logique totalitaire veut annuler. L'ingénierie linguistique perpétrée par les totalitarismes viserait donc à annuler cette dimension du langage en orchestrant une refonte linguistique radicale. Cependant, le meurtre du langage n'est pas quelque chose de final, puisque contrairement à des formes de vies biologiques, le langage est une forme de vie qui ne peut que mourir si elle est oubliée des hommes. Dans ce sens, le meurtre du langage est un processus réversible. Et c'est parce que c'est réversible qu'il est important de saisir conceptuellement le modus operandi de ce crime. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Totalitarisme, Langage, Hannah Arendt, Michel Freitag, Nazisme, Postmodernité, Propagande.
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Achieving Genuine Moments from Ordinary Origins: Sheldon Wolin, Hannah Arendt, and Jacques Rancière on Democracy

Yarbrough, Grant 05 April 2012 (has links)
This paper grapples with the differences between genuine and ordinary democracy within the political thought of Jacques Rancière, Sheldon Wolin, and Hannah Arendt. Each discusses the problems of ordinary democracy and offer solutions in terms of what I call genuine democracy. Ordinary democracy is the established norm of liberal democracy celebrated as the stable and a desired “end” of political action. It is what happens when politics as usual becomes the norm and shuts the people from the halls of power. Genuine politics exist within the structure ordinary democracy and seeks to achieve the continuous re-establishment of democratic processes while in the process speeding up and disrupting “politics as usual”.
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Building the Good Life: Architecture and Politics

Aslam, Ali January 2010 (has links)
<p>This dissertation examines the relationship between architecture and democratic politics in late-modernity. It identifies the refusal of architects to consider the political dimensions of their work following the failures of 20th century High Modernism and the scant attention that the intersection between architecture and politics has received from political theorists as a problem. In order to address these deficiencies, the dissertation argues for the continued impact of architecture and urban planning on modern subject formation, ethics, and politics under the conditions of de-centralized sovereignty that characterize late-modernity. Following an opening chapter which establishes the mutual relation architectural design and political culture in the founding text of political science, Aristotle's Politics, the dissertation offers a genealogical critique of modern architectural design and urban planning practices. It concludes that modern architecture shapes individual and collective political possibilities and a recursive relationship exists between the spaces "we" inhabit and the people that "we" are. In particular, it finds that there is a strong link between practices of external circulation and the interior circulation of thoughts about the self and others. The dissertation concludes by proposing a new understanding of architecture that dynamically relates the design of material structures and the forms of political practices that those designs facilitate. This new definition of architecture combines political theorist Hannah Arendt's concept of "world-building action" with the concept of the "threshold" developed and refined by Dutch architects Aldo van Eyck and Herman Hertzberger.</p> / Dissertation
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The Political Ir/relevance Of Freedom In The Philosophies Of Sartre And Arendt

Kara, Onur 01 September 2011 (has links) (PDF)
This study examines the concept of freedom in the philosophies of Jean Paul Sartre and Hannah Arendt in the context of their relevance or irrelevance to politics in the context of political freedom, political activity, rights and responsibilities, individuality, plurality and humanism. The major concern is to question the possibilities of political reflection of their conceptions of freedom. In this respect, the study explicates densely enough Sartre&#039 / s and Arendt&#039 / s conceptions of freedom respectively and includes propositions and arguments that Sartre&#039 / s and Arendt&#039 / s conceptions of freedom have more conjunctions than disjunctions in certain points. This closeness and commonality in the meaning of freedom between two thinkers continue in politics. In that sense, the thesis put forwards that the conceptions of freedom in the philosophies of Sartre and Arendt are relevant to politics and also competent to derive a different spirit of political freedom. Their relevance to politics and their potency or adequacy to enable a new form of political freedom are based on their conjunction in the points of action, humanism, initiation and responsibility. To make explicit such political freedom, the study also compares it with liberal negative conception of freedom.
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Apposition, displacement : an ethics of abstraction in postwar American fiction

Heard, Frederick Coye 05 November 2013 (has links)
The decades following two world wars, the European Holocaust and the threat of nuclear annihilation presented American authors with an occupational dilemma: catastrophic histories call out for recognition, but any representation of them risks adding violence to violence by falsifying the account or conflating historical acts of violence with their artificial doubles. This project reimagines the political aesthetics of postmodern American fiction through two major interventions. First, I identify an aesthetic structure of apposition--a parallel relationship between abstract works of art and the everyday world that I take from William Carlos Williams--that allows me to productively resolve a tension in the aesthetics of Hannah Arendt: because representation takes mimesis as a particular end, Arendt disqualifies representational art from politics, which she defines as open-ended action between human beings and not as end-centered state-craft. At the same time, Arendt claims that art is a product of thought, the cognitive activity she associates with political action over and against fabrication. My heterodox reading of Arendt shows that appositional narratives, like political actors, perform their own self-disclosure, beginning the open-ended chain of actions and reactions that Arendt identifies as the substantial form of politics and ethics. Second, I use my revision of Arendt to demonstrate that appositional narratives act politically through the very same metafictional tropes that critics often label as escapist or solipsistic. Rather than copy historical experience, appositional narratives reject illusionary representation and present themselves as actors, inciting their readers to respond with pluralistic, provisional judgment. Taking Vladimir Nabokov, Philip Roth and Toni Morrison--three central but rarely-juxtaposed postmodern novelists--as case studies, I show that we cannot properly assess the political implications of postmodern fiction without understanding the specific mechanisms of narrative apposition. Appositional works stand temporarily and self-consciously in the place of the world, displacing it in the experience of their readers. This narrative strategy provides a political alternative for novelists facing the ethical crises of postmodernity. Appositional narratives displace their readers' settled beliefs and press them to exercise their human capacity for judgment. They embrace their responsibility for the world by refusing to represent it. / text
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THE EFFORT TO ESCAPE FROM TEMPORAL CONSCIOUSNESS AS EXPRESSED IN THE THOUGHT AND WORK OF HERMAN HESSE, HANNAH ARENDT, AND KARL LOEWITH

Olsen, Gary Raymond, 1940- January 1973 (has links)
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Le politique chez Hannah Arendt : entre fragilité et durée

Di Croce, Marianne 02 1900 (has links) (PDF)
Hannah Arendt développe une conception du politique centrée sur l'action commune des humains, sans laquelle la liberté et le pouvoir ne peuvent exister. L'importance que la philosophe accorde à la liberté l'amène à distinguer catégoriquement le pouvoir de toute forme de domination et de violence, pour le concevoir de manière horizontale et comme quelque chose de collectif qui s'exerce directement par l'action dans l'espace public. Si cela fait la richesse de sa conception du politique, cela engendre aussi certaines difficultés. Outre celle qu'il y a à le définir – parce qu'Arendt n'en fournit pas une définition systématique – il y a, au sein du politique arendtien, une tension importante entre différents éléments qui le composent. Le fait de concevoir le politique à partir de l'action lui induit une fragilité à laquelle Arendt tente de remédier en mettant en relation ce qui y est essentiel mais fragile (liberté, pouvoir, nouveauté) avec des éléments visant à assurer sa durée (fondation, autorité, augmentation). Ce rapport entre durée et fragilité est problématique, car la fragilité apparaît comme un caractère intrinsèque de ce qui importe dans le politique. Il apparaît donc difficile d'assurer la durée du politique sans le dénaturer et perdre ce qu'Arendt y défend. Ce mémoire porte donc sur la tension entre la nature fragile et la finalité de durée du politique arendtien. Le premier chapitre trace un portrait général du politique arendtien. Il expose la façon dont Arendt construit le politique à partir de différentes expériences historiques – polis grecque, civitas romaine et Révolution américaine – et comment cela y génère une tension. Le deuxième chapitre est directement consacré à l'étude de cette tension. On démontre d'abord, par la réflexion d'Arendt sur la révolution et sur l'histoire, comment la tension se manifeste dans le politique. Ensuite, en se penchant sur l'œuvre et la promesse – éléments porteurs de durée chez Arendt – on voit pourquoi la tension ne peut être surmontée. Le troisième et dernier chapitre vise à comprendre le politique arendtien à la lumière de la tension qui l'anime. On explique pourquoi Arendt pense ainsi le politique, malgré la tension qui en découle et ses conséquences sur la valeur de sa conception du politique. On voit notamment que le politique arendtien se pose en réponse aux maux de la société moderne, qu'il est l'objet de critiques (il serait utopique), mais que la tension l'animant est intéressante pour penser des institutions politiques et une action citoyenne plus dynamiques dans nos sociétés démocratiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hannah Arendt, politique, action, liberté, pouvoir, révolution, démocratie

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