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La réaction sociale sur Twitter après un attentat terroriste : une analyse de l’attaque de Berlin

Caron, Marie-Jacques 08 1900 (has links)
No description available.
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The psychological distinction between social entities and social categories =: La distinction psychologique entre entités sociales et catégories sociales

Brito, Rodrigo January 2003 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Influence of ethnicity, perceived power of appropriator’s ethnic group, and SDO on White observers’ perceptions and reactions towards acts of cultural appropriation

Doherty, Jonathan 08 1900 (has links)
Nous étudions le rôle de l'ethnicité de l’appropriateur sur les perceptions d’observateurs blancs envers l'acte d'appropriation, l’appropriateur et leur engagement dans la prise de décision sociale punitive. Nous explorons le rôle du pouvoir perçu par les participants de l'appropriateur et de leur orientation de dominance sociale (ODS). Des Américains blancs (N = 268) ont rempli un questionnaire préliminaire mesurant leur ODS et leur perception du pouvoir des groupes ethniques dans la société. Ils ont été assignés à l'une des trois conditions dans lesquelles ils ont lu une vignette présentant un individu Noir, Amérindien ou Blanc s'habillant en costume d’Amérindien pour l’Halloween. Les participants ont évalué si le choix du costume est approprié et leurs impressions de l'individu. Ils ont effectué une tâche de punition à la 2e personne (2PP) dans laquelle ils pouvaient punir l'individu. Les participants ont évalué si le choix du costume était une appropriation et appréciation culturelle. Nos résultats démontrent que les observateurs présentés avec l'individu Noir et Blanc percevaient l'acte comme moins approprié, plus appropriatif, moins appréciatif et percevaient l’individu comme moins chaleureux que lorsqu'ils ont lu que l’individu était Amérindien. Nous n'avons pas trouvé une influence significative de l’ethnicité de l’appropriateur sur leur choix de punir. Nos données ne soutiennent pas l’hypothèse exploratoire du rôle du pouvoir perçu sur nos mesures. Nos résultats suggèrent que l’ODS interagit avec l'ethnicité lorsque l'appropriateur est Noir et lorsqu’il est Blanc, inversant les relations trouvées pour l’ethnicité. D'autres recherches sont nécessaires pour clarifier les processus socio-psychologiques de l'appropriation culturelle. / We study the role of appropriator ethnicity on White observers’ perceptions towards the i) act of appropriation, ii) the appropriator, and iii) their engagement in punitive social decision-making towards the appropriator. We explore the influence of observers’ perceived power of the appropriator and their Social Dominance Orientation (SDO). White American participants (N = 268) completed a preliminary questionnaire measuring their SDO and their perception various ethnic groups have. They were randomly assigned to one of three conditions in which they read a vignette depicting a Black, Native American, or White individual dressing up for Halloween as a Native American. Participants were asked to rate the appropriateness of the costume, their impressions of the individual, followed by a 2nd Person Punishment (2PP) task wherein they could punish the individual. Participants were asked to rate to what extent the costume choice was cultural appropriation and cultural appreciation. Participants presented with the Black and White individual perceived the act as less appropriate, more appropriative, less appreciative, and perceived the individual as less warm relative to when presented with a Native American. We failed to find a significant influence of ethnicity on participants’ engagement in punishment. We failed to find evidence supporting the role of perceived power of the appropriator on our measures. However, we found significant evidence that SDO interacts with ethnicity when the appropriator is Black or White, reversing relationships found for ethnicity. While this research provides interesting results, more research is required to clarify the social psychological processes of cultural appropriation.
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Les feux de forêt comme processus sociaux plus-qu’humains. Une analyse des rapports dynamiques et enchevêtrés entre Atikamekw Nehirowisiwok, pompiers forestiers, feux et forêts au sein du Nitaskinan

Gonzalez, Noémie 09 September 2022 (has links)
Les feux de forêt sont plus en plus fréquents et intenses ces dernières années, notamment en raison des changements climatiques. De nombreuses communautés autochtones se trouvent en milieu forestier et donc exposées à cet aléa. Dans ce contexte, il est pertinent de se pencher sur les dynamiques des rapports sociaux entre organismes de gestion des feux de forêts, communautés autochtones, forêts et feux. C’est ce que fait cette thèse à travers l’étude spécifique du paysage plus-qu’humain qui s’est constitué autour de trois feux de forêt qui ont menacé la communauté atikamekw de Wemotaci en 1977, 1997 et 2010. Au niveau théorique, cette recherche se place au croisement entre l’anthropologie des catastrophes (Oliver-Smith et Hoffman 2020)et les études autochtones, tout en se positionnant au sein de l’écologie politique (Akrich, Callon et Latour 2006; Tsing 2017; Berkes, Colding et Folke 2003a). La méthodologie déployée mobilise des approches relationnelles inspirées des méthodologies autochtones (Smith 2012; Kovach 2009; Wilson 2008; Absolon Minogiizhigokwe 2011) et les apports des féminismes autochtones (Green 2017a) afin de produire une recherche aux visées anticoloniales et anti-oppressives. L’analyse de ces trois situations de feux de forêt met en lumière une tension. D’une part, elle met en évidence des procédures et politiques officielles de gestion des feux de forêt et des urgences qui considèrent les Autochtones comme devant être pris en charge et les excluent souvent des processus décisionnels. D’autre part, elle documente comment les membres de la communauté atikamekw ont été actifs lors des situations de feu en protégeant leur village et en s’occupant de leurs évacué·e·s. L’analyse des rapports de pouvoir et des mécanismes d’exclusion ont montré que plusieurs dynamiques nourrissent ce processus d’exclusion : une approche biopolitique de la gestion des feux de forêt, une domination du savoir-expert et d’une épistémologie eurocentrée, une essentialisation de certaines différences entre Autochtones et non-autochtones cristallisée autour de la temporalité et de la relation au territoire, et enfin la présence d’une masculinité hégémonique dans le domaine de la lutte contre les feux de forêt. Pourtant cette recherche montre aussi que les Atikamekw Nehirowisiwok sont porteurs et porteuses1 d’une expertise propre en ce qui concerne la gestion des feux de forêt et des urgences, en lien avec la responsabilité de prendre soin du territoire et de la communauté. Cette analyse montre aussi comment le colonialisme patriarcal est présent lors des événements de feux de forêt connectant l’expérience des hommes et femmes atikamekw aux dynamiques genrées du domaine de la gestion des feux et au contexte colonial plus global qui lie communautés autochtones et institutions non autochtones. Cette recherche permet également d’ouvrir une discussion sur les futurismes atikamekw et notamment les possibilités d’avenir qui ont émergé suite aux situations de feux, au-delà des systèmes d’oppressions mis en évidence. Ces résultats permettent d’imaginer une gestion des feux et des urgences différente qui laisserait place à diverses épistémologies et intègrerait les acteurs et savoirs locaux de manière significative dans ses processus. Cette recherche a l’originalité d’apporter une analyse genrée de situations de feux de forêt, en dialogue avec les féminismes autochtones. La place donnée aux entités non-humaines, y compris le feu iel-même1, dans l’analyse de ce réseau multiacteur, permet également d’en arriver à la conclusion que les feux de forêt, et les catastrophes en général sont des processus sociaux plus-qu’humain dans lesquels des futurs peuvent être produits malgré les rapports de pouvoir qui s’y manifestent. / Forest fires have become more frequent and intense in recent years, particularly due to climate change. Many indigenous communities are located in forest areas and are therefore exposed to this hazard. In this context, it is relevant to examine the dynamics of social relationships between forest fire management organizations, Indigenous communities, forests and fires. This is what this thesis does through the specific study of the morethan-human landscape that was formed around three forest fires that threatened the Atikamekw community of Wemotaci in 1977, 1997 and 2010. At the theoretical level, this research is placed at the intersection of the anthropology of disasters (Oliver-Smith and Hoffman 2020) and Indigenous studies, while positioning itself within political ecology (Akrich, Callon, and Latour 2006; Tsing 2017; Berkes, Colding, and Folke 2003a). The methodology deployed mobilizes relational approaches inspired by Indigenous methodologies (Smith 2012; Kovach 2009; Wilson 2008; Absolon Minogiizhigokwe 2011) and contributions from Indigenous feminisms (Green 2017a) to produce a research with anti-colonial and anti-oppressive aims. The analysis of these three wildfire situations highlights a tension. On the one hand, it highlights official wildfire and emergency management procedures and policies that view Indigenous people as needing to be cared for and often exclude them from decision-making processes. On the other hand, it documents how Atikamekw community members were active during the fire situations by protecting their village and caring for their evacuees. The analysis of power relations and mechanisms of exclusion showed that several dynamics feed this process of exclusion: a biopolitical approach to forest fire management, a domination of expert knowledge and a Eurocentric epistemology, an essentialization of certain differences between Indigenous and non-Indigenous people crystallized around temporality and the relationship with the land, and finally the presence of a hegemonic masculinity in the field of forest firefighting. However, this research also shows that the Atikamekw Nehirowisiwok have their own expertise in wildifre and emergency management, linked to the responsibility of taking care of the land and the community. It also shows how patriarchal colonialism is present during wildfire events, connecting the experience of Atikamekw men and women to the gendered dynamics of the fire management field and to the broader colonial context that links Indigenous communities and non-Indigenous institutions. This research also opens up a discussion on Atikamekw futurisms and, in particular, the possibilities of futures that have emerged as a result of fire situations, beyond the systems of oppression that have been highlighted. These results make it possible to imagine a different kind of wildfire and emergency management that would leave room for various epistemologies and would integrate local actors and knowledge in a significant way in its processes. This research has the originality of providing a gendered analysis of forest fire situations, in dialogue with Indigenous feminisms. The place given to non-human entities, including fire itself, in the analysis of this multiactor network, also allows us to conclude that forest fires, and disasters in general, are more-than-human social processes in which futures can be produced despite the power inequalities that are present.
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Les feux de forêt comme processus sociaux plus-qu’humains. Une analyse des rapports dynamiques et enchevêtrés entre Atikamekw Nehirowisiwok, pompiers forestiers, feux et forêts au sein du Nitaskinan

Gonzalez, Noémie 09 September 2022 (has links)
Les feux de forêt sont plus en plus fréquents et intenses ces dernières années, notamment en raison des changements climatiques. De nombreuses communautés autochtones se trouvent en milieu forestier et donc exposées à cet aléa. Dans ce contexte, il est pertinent de se pencher sur les dynamiques des rapports sociaux entre organismes de gestion des feux de forêts, communautés autochtones, forêts et feux. C'est ce que fait cette thèse à travers l'étude spécifique du paysage plus-qu'humain qui s'est constitué autour de trois feux de forêt qui ont menacé la communauté atikamekw de Wemotaci en 1977, 1997 et 2010. Au niveau théorique, cette recherche se place au croisement entre l'anthropologie des catastrophes (Oliver-Smith et Hoffman 2020) et les études autochtones, tout en se positionnant au sein de l'écologie politique (Akrich, Callon et Latour 2006; Tsing 2017; Berkes, Colding et Folke 2003a). La méthodologie déployée mobilise des approches relationnelles inspirées des méthodologies autochtones (Smith 2012; Kovach 2009; Wilson 2008; Absolon Minogiizhigokwe 2011) et les apports des féminismes autochtones (Green 2017a) afin de produire une recherche aux visées anticoloniales et anti-oppressives. L'analyse de ces trois situations de feux de forêt met en lumière une tension. D'une part, elle met en évidence des procédures et politiques officielles de gestion des feux de forêt et des urgences qui considèrent les Autochtones comme devant être pris en charge et les excluent souvent des processus décisionnels. D'autre part, elle documente comment les membres de la communauté atikamekw ont été actifs lors des situations de feu en protégeant leur village et en s'occupant de leurs évacué·e·s. L'analyse des rapports de pouvoir et des mécanismes d'exclusion ont montré que plusieurs dynamiques nourrissent ce processus d'exclusion : une approche biopolitique de la gestion des feux de forêt, une domination du savoir-expert et d'une épistémologie eurocentrée, une essentialisation de certaines différences entre Autochtones et non-autochtones cristallisée autour de la temporalité et de la relation au territoire, et enfin la présence d'une masculinité hégémonique dans le domaine de la lutte contre les feux de forêt. Pourtant cette recherche montre aussi que les Atikamekw Nehirowisiwok sont porteurs et porteuses d'une expertise propre en ce qui concerne la gestion des feux de forêt et des urgences, en lien avec la responsabilité de prendre soin du territoire et de la communauté. Cette analyse montre aussi comment le colonialisme patriarcal est présent lors des événements de feux de forêt connectant l'expérience des hommes et femmes atikamekw aux dynamiques genrées du domaine de la gestion des feux et au contexte colonial plus global qui lie communautés autochtones et institutions non-autochtones. Cette recherche permet également d'ouvrir une discussion sur les futurismes atikamekw et notamment les possibilités d'avenir qui ont émergé suite aux situations de feux, au-delà des systèmes d'oppressions mis en évidence. Ces résultats permettent d'imaginer une gestion des feux et des urgences différente qui laisserait place à diverses épistémologies et intègrerait les acteurs et savoirs locaux de manière significative dans ses processus. Cette recherche a l'originalité d'apporter une analyse genrée de situations de feux de forêt, en dialogue avec les féminismes autochtones. La place donnée aux entités non-humaines, y compris le feu iel-même, dans l'analyse de ce réseau multiacteur, permet également d'en arriver à la conclusion que les feux de forêt, et les catastrophes en général sont des processus sociaux plus-qu'humain dans lesquels des futurs peuvent être produits malgré les rapports de pouvoir qui s'y manifestent. / Forest fires have become more frequent and intense in recent years, particularly due to climate change. Many indigenous communities are located in forest areas and are therefore exposed to this hazard. In this context, it is relevant to examine the dynamics of social relationships between forest fire management organizations, Indigenous communities, forests and fires. This is what this thesis does through the specific study of the more-than-human landscape that was formed around three forest fires that threatened the Atikamekw community of Wemotaci in 1977, 1997 and 2010. At the theoretical level, this research is placed at the intersection of the anthropology of disasters (Oliver-Smith and Hoffman 2020) and Indigenous studies, while positioning itself within political ecology (Akrich, Callon, and Latour 2006; Tsing 2017; Berkes, Colding, and Folke 2003a). The methodology deployed mobilizes relational approaches inspired by Indigenous methodologies (Smith 2012; Kovach 2009; Wilson 2008; Absolon Minogiizhigokwe 2011) and contributions from Indigenous feminisms (Green 2017a) to produce a research with anti-colonial and anti-oppressive aims. The analysis of these three wildfire situations highlights a tension. On the one hand, it highlights official wildfire and emergency management procedures and policies that view Indigenous people as needing to be cared for and often exclude them from decision-making processes. On the other hand, it documents how Atikamekw community members were active during the fire situations by protecting their village and caring for their evacuees. The analysis of power relations and mechanisms of exclusion showed that several dynamics feed this process of exclusion: a biopolitical approach to forest fire management, a domination of expert knowledge and a Eurocentric epistemology, an essentialization of certain differences between Indigenous and non-Indigenous people crystallized around temporality and the relationship with the land, and finally the presence of a hegemonic masculinity in the field of forest firefighting. However, this research also shows that the Atikamekw Nehirowisiwok have their own expertise in wildifre and emergency management, linked to the responsibility of taking care of the land and the community. It also shows how patriarchal colonialism is present during wildfire events, connecting the experience of Atikamekw men and women to the gendered dynamics of the fire management field and to the broader colonial context that links Indigenous communities and non-Indigenous institutions. This research also opens up a discussion on Atikamekw futurisms and, in particular, the possibilities of futures that have emerged as a result of fire situations, beyond the systems of oppression that have been highlighted. These results make it possible to imagine a different kind of wildfire and emergency management that would leave room for various epistemologies and would integrate local actors and knowledge in a significant way in its processes. This research has the originality of providing a gendered analysis of forest fire situations, in dialogue with Indigenous feminisms. The place given to non-human entities, including fire itself, in the analysis of this multi-actor network, also allows us to conclude that forest fires, and disasters in general, are more-than-human social processes in which futures can be produced despite the power inequalities that are present.
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Les doubles minorités issues de l'immigration: Approche temporelle et dynamique de la construction identitaire et des processus d’acculturation

Malki, Bachar 07 March 2015 (has links) (PDF)
LES DOUBLES MINORITES ISSUES DE L’IMMIGRATION :Approche temporelle et dynamique de la construction identitaire et des processus d’acculturationA travers les études présentées dans cette dissertation, nous avons mis en évidence l'impact du statut numérique des immigrés dans leur pays d’origine ainsi que celui de la gestion de la diversité culturelle au sein du pays d’origine, sur les processus d’acculturation des immigrés. Nos conclusions soulignent l’importance de considérer, dans les problématiques liées à l’acculturation des immigrés, l’influence du contexte social et politique précédant l’émigration. Nous rejoignons la vision que certains auteurs avancent sur les doubles minorités dans le pays d’accueil, les décrivant comme de nouveaux acteurs qui se réorganisent autour de leur identité ethnique d’origine distincte de l’identité nationale d’origine. Ces doubles minorités adoptent une attitude active de revendication mettant en avant leur situation au pays d’origine avec un discours victimaire et une remise en cause de la majorité du pays d’origine, accompagné d’un travail de lobbying dans le pays d’accueil (Ackermann, 2004 ;Atto, 2011) pour revendiquer les droits des minorités au sein du pays d’origine (Verkuyten & Yildiz, 2006). Nous relevons également la présence de stratégies acculturatifs proactives que les doubles minorités adoptent en fonction des attentes de la majorité d’accueil. Les résultats de cette dissertation sont mis en perspective avec les événements contemporains liés au Proche-Orient ;Les tensions entre Kurdes et Turques en Europe mais également entre ces deux communautés et les Chrétiens de Turquie ayant été victime d’un génocide. Plus récemment, l'émergence et les actions de « l’Etat Islamique » en Irak et en Syrie risquent de susciter des réactions de la part des différentes minorités du Moyen-Orient installés en Europe, amenant éventuellement à des tensions dans leurs relations réciproques.THE DOUBLE MINORITIES WITH A MIGRANT BACKGROUND :The temporal and the dynamics approach of identity constructionand acculturation processes Through the various studies presented in this dissertation, we highlighted the impact of both the numerical status of immigrants in their country of origin and the management of cultural diversity in their country of origin on the acculturation processes of immigrant populations. Our conclusions underline the importance of the social and political context preceding migration on the acculturation processes of immigrants. Arguing in favour of certain authors who have described immigrant populations as being new actors in their hosting countries that need to reorganise around their ethnical identity as opposed to their original national identity, these double minorities pursue an active attitude of demands, presenting their situation in their country of origin from a victim rhetoric and a questioning of the majority in their countries of origin, accompanied by an active lobbying in the hosting countries (Ackerman, 2004 ;Atto, 2011) in order to claim certain minority rights in their countries of origin (Verkuyten & Yildiz, 2006). We also focused on the presence of proactive acculturation strategies that double minorities tend to adopt in response to the expectations of the hosting majority. The results of this dissertation are put into perspective with contemporary events in the Middle East: the tensions between Kurds and Turks in Europe as well as tensions between both these communities and Christian minorities in Turkey, which have previously been victims of genocides. The recent actions of the Islamic State in Iraq and Syria will result in reactions of the different minorities from the Middle East settled in Europe leading to increased tensions in their reciprocal relations. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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