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Révolte, révolution et utopie dans les romans de Gioconda Belli / Pas de titre en anglais

Large, Sophie 05 December 2014 (has links)
Ce travail porte sur les six premiers récits de Gioconda Belli, romancière, poète et ex-révolutionnaire nicaraguayenne. Il interroge trois motifs récurrents dans son œuvre – la Révolte, la Révolution et l’Utopie –, et cherche à en expliquer la présence obsessionnelle. En tant qu’intermédiaires entre les sphères individuelle et collective, ces objets d’étude nécessitent un éclairage à la fois psychanalytique et sociologique ; ces deux disciplines sont donc les outils privilégiés dans l’analyse, de même que la psychologie sociale, qui s’intéresse précisément aux processus psychiques régissant les interactions interpersonnelles. L’hypothèse de départ est que l’engagement dérive de la situation identitaire instable des personnages au début du récit, et que le choix entre Révolte, Révolution et Utopie dépend des conditions identitaires dans lesquelles ils se trouvent. Pour vérifier ce postulat, notre étude s’attache à dessiner les contours de la carence affective de chaque protagoniste, et analyse les processus identitaires susceptibles d’influencer la décision de s’engager, ainsi que les mécanismes psychiques que cette décision déclenche. Le fait que la quête d’identité ne soit pas assouvie par l’engagement mène alors à s’interroger sur la fonction idéologique de la Révolte, de la Révolution et de l’Utopie dans ces romans. Il s’agit donc aussi de déterminer le rôle de ces trois objets dans les récits, par l’étude de leur dimension temporelle, qui remplit une fonction à la fois diégétique et idéologique, ainsi que par l’analyse du dispositif argumentatif qui leur est associé, et qui révèle, de la part de l’auteur, une instrumentalisation de la littérature à des fins politiques. / This work deals with the first six novels of the novelist, poet and ex-revolutionary from Nicaragua, Gioconda Belli. It explores three recurrent themes – Revolt, Revolution and Utopia – and endeavours to explain the reason for their obsessional presence. As intermediaries between the individual and the collective, these concepts require both a psychoanalytical and sociological perspective. These two academic disciplines thus constitute the main tools of the research, as well as social psychology, which deals indeed with the psychological processes at play in interpersonal relations. The underlying assumption is that commitment stems from the characters’ unstable identity at the beginning of each novel, and that the choice between Revolt, Revolution and Utopia depends upon the circumstances of the creation of these identities. To put this assumption to the test, our study tries to locate the marks of emotional deprivation in each protagonist, and analyses the identity processes which are likely to influence the determination to commit and the psychological mechanisms resulting from such decision. Yet, the quest for identity is not quenched by commitment and this puts into question the ideological function of Revolt, Revolution and Utopia in these novels. Hence, this study equally tries to determine the role of these three objects in Belli’s work. It considers their temporal dimension, which has both a diegetic and an ideological function, and studies the argumentative devices attached to them, revealing thus the author’s political instrumentalisation of literature.
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Souveraineté(s) du littéraire? L'agir textuel et la question de l'exception : l'exemple de Bernard-Marie Koltès

Cormier Landry, Jean-Benoit 05 1900 (has links)
Cette thèse propose une réflexion théorique à partir du concept de souveraineté et, plus précisément, de la notion d’exception qui est au centre d'une des tentatives les plus canonique de sa définition, celle de l’Allemand Carl Schmitt dans Théologie politique: «Est souverain celui qui décide de la situation exceptionnelle.» Nous commençons par y mettre en lumière certaines des relectures les plus marquantes de ce texte qui, tout au long du XXe siècle, s’établissent en un réseau de commentaires pensant le pouvoir, ses sources et les formes de ses manifestations mais aussi, encore qu’à distance, l’évolution d'une réflexion sur les politiques de la littérature et le type spécial de performativité rendu possible par le littéraire (en particulier ici: Walter Benjamin, Jacques Derrida, Giorgio Agamben, Peter Sloterdijk, Gilles Deleuze). Dans un second temps, la thèse fait sienne une perspective large (ancrée dans les études littéraires mais qui ne quitte pas les parages de la philosophie et de la théorie critique) pour analyser l’œuvre de Bernard-Marie Koltès choisie comme terrain d’exploration et de mise à l’essai des hypothèses du premier pan de la réflexion. En plus de participer à l’accroissement des connaissances quant à cette dernière œuvre (et plus particulièrement les textes dits «de jeunesse», sensiblement moins abordés par la critique), la thèse alimente une discussion en cours dans les études littéraires aujourd’hui en constatant, à son tour mais depuis un point de vue qui lui est propre, qu’en régime contemporain la question d’un agir social ou politique du texte littéraire dépasse largement l’interrogation sur les formes de l’engagement et peut moins que jamais se résoudre dans la seule figure théorique d'une relation stable entre des instances décisionnelles abstraites négociant, par et dans des énoncés de langage, le déploiement concret d’une action dans le monde. / This thesis proposes a theoretical reflection based on the concept of sovereignty and, more precisely, on the notion of exception which is at the center of one of the most canonical attempts of its definition, that of the German Carl Schmitt in Political Theology: “Sovereign is he who decides on the exception.” We begin by studying some of the most important readings of this text established, throughout the twentieth century, in a network of comments thinking about power, its origins and the forms of its manifestations but also, even though at a distance, about the evolution of a reflection on the politics of literature and the special type of performativity made possible by the literary (in particular here: Walter Benjamin, Jacques Derrida, Giorgio Agamben, Peter Sloterdijk, Gilles Deleuze). Then, the thesis takes a broad perspective (rooted in literature but not leaving the area of philosophy and critical theory) to analyze the work of Bernard-Marie Koltès (and more particularly the so-called texts of “youth,” much less studied). Hence the thesis aims to feed a long lasting argument within the literary studies as it notes, in its turn, but from its very own point of view, that in contemporary times the question of social or political action of the literary text goes far beyond the questioning of the forms of engagement, and can less than ever be solved solely in the theoretical figure of a stable relation between abstract decision-making bodies negotiating, by and in statements of language, the concrete deployment of an action in the world.
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L'engagement littéraire contemporain ou la dénonciation d'un inacceptable : éléments pour une poétique transculturelle / Contemporary Literary Commitment as Denunciation of an Unacceptable : Elements for a Cross-cultural Poetics

Chaudet, Chloé 14 October 2014 (has links)
Loin d’être un terme dépassé, « l’engagement » reste, au prix de certains élargissements, une notion opératoire pour l’analyse littéraire, tant en Occident que dans d’autres régions du monde. Repenser l’engagement littéraire comme la « dénonciation d’un inacceptable » permet de mettre au jour et de confronter les stratégies rhétorico-poétiques caractérisant la production littéraire d’auteurs contemporains aussi divers que Waris Dirie, Peter Handke, Jean-Marie Gustave Le Clézio, Toni Morrison, Taslima Nasreen, Ben Okri, Orhan Pamuk, Salman Rushdie et Luis Sepúlveda. Nous cherchons ainsi à mettre en évidence l’intégration par les textes étudiés d’éléments idéaux-typiques de l’engagement littéraire, de l’investissement auctorial à la confrontation au politique. Ces éléments, liés à des discours théoriques dont certains ont parcouru tout le vingtième siècle, sont examinés selon leurs différentes élaborations dans les textes. En effet, c’est en faisant évoluer certains de ses traits idéaux-typiques que les auteurs étudiés renouvellent l’engagement littéraire. On peut dès lors présenter celui-ci comme la dénonciation, pas systématiquement polémique, d’un inacceptable. Cette notion d’« inacceptable », qui suppose entre autres la construction textuelle d’un jugement moral, permet ainsi d’entreprendre non seulement une analyse transhistorique, qui déborde la conceptualisation sartrienne, mais également une approche transculturelle de l’engagement littéraire. / Far from being an outdated notion, "commitment" remains, with some enlargements, a valid concept for literary analysis, in the West as much as in other regions of the world. Rethinking literary commitment as the "denunciation of an unacceptable" allows us to unfold and compare the various rhetorical and poetic strategies characterizing the literary production of contemporary authors as diverse as Waris Dirie, Peter Handke, Jean-Marie Gustave Le Clézio, Toni Morrison, Taslima Nasreen, Ben Okri, Orhan Pamuk, Salman Rushdie and Luis Sepúlveda. We seek to highlight the ideal-typical elements of literary commitment in these texts, such as the authorial presence or the advocacy of certain political programmes. These elements are related to various theoretical discourses, some of which have traveled through the twentieth century. We examine their different patterns in the texts, showing that our authors renew literary commitment through the reorganization and alteration of its usual features. Thus, we define literary commitment as the denunciation of an unacceptable that is not necessarily polemical. The notion of "unacceptable", which implies the textual construction of a moral judgment, allows us not only to undertake a transhistorical analysis, which goes beyond the Sartrean conceptualization, but also to engage in a cross-cultural study of literary commitment.
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La représentation du pouvoir dictatorial dans les romans africains et caribéens des années soixante-dix à quatre-vingt-dix / The representation of the dictatorial power in the african and caribbean novels of the seventies in ninety

Diouf, Ibrahima 14 February 2011 (has links)
Les littératures d’Afrique et des Caraïbes des années soixante-dix à quatre-vingt-dix comptent une série de romans ayant pour thème de prédilection la politique. Certains critiques y voient l’émergence d’un genre romanesque baptisée « nouveau roman ». D’autres en soulignent la confluence thématique dans des travaux se rapportant au roman dit « politique » ou « anti-utopiste ». Jusque-ici, il semble que la réception de cette forme d’écriture et son thème favori n’ont pas été mis en étroite corrélation avec le contexte historique particulier dans lequel ils s’inscrivent. Or, ce dernier est déterminant dans le cadre d’une meilleure connaissance de ces textes encore en quête de définition. En effet, les années soixante-dix à quatre-vingt-dix correspondent à la période des dictatures d’Afrique et des Caraïbes. Ce constat nous a amené à envisager une nouvelle réception de cette tendance romanesque sur un modèle universel : le « roman politique », pour ne retenir que ce concept. Pour l’expérimentation de cette hypothèse de recherche, dans le cadre d’une démarche comparatiste, le choix a été de confronter les « constantes » et les « variantes » de ces littératures à la lumière d’un corpus de six ouvrages. Ainsi, la représentation de la dictature a permis de découvrir un univers conflictuel clos institué par une pratique et une pensée politiques inédites. Le jeu des acteurs y est une tragédie dans un espace labyrinthique. Le tableau dévoile des individus désarmés et sous la domination d’un système à l’allure de monstre. L’image du « cercle de feu » illustre bien cette tragédie à grande échelle où toute tentative d’évasion rapproche l’homme de la mort. Un style d’écriture métonymique y entretient l’errance des personnages qui, sans cesse, butent contre les murs infranchissables de la dictature. Le discours littéraire n’y est pas qu’une plaidoirie en faveur de l’homme et de la liberté ; il y est également une dénonciation de la condition de l’écrivain et de l’asservissement de la littérature. / The literatures of Africa and the Caribs of the seventies in ninety count a series of novels having for theme of preference the politics. Certain critics see there the emergence of a romantic kind baptized "new novel ". Others underline the thematic confluence in works relating to the said novel "politics" or "anti-utopian". Up to now, it seems that the reception of this shape of writing did not put in narrow correlation its favourite theme with the particular historic context, which unites them. Now, this last one is determining within the framework of a better knowledge of these texts still in search of definition. Indeed, the seventies in ninety correspond to the period of the dictatorships of Africa and the Caribbean islands. This report brought to us to envisage a new reception of this romantic tendency on a universal model: the "political novel ", to retain only this concept. For the experiment of this hypothesis of search, within the framework of a comparative approach, the choice was to confront "constants" and "variants" of these literatures in the light of a corpus of six works. Therefore, the representation of the dictatorship allowed discovering a closed conflicting universe established by one new political practice and a thought. The set of the actors is there a tragedy in a space, which looks like a labyrinth. The board reveals moved individuals and dominated by a system to the speed of monster. The image of the "circle of fire" the illustrious property a large-scale tragedy where any escape attempt moves closer to the man of the death. A style of metonymical writing maintains the wandering of the characters there who, ceaselessly, stumble over the unbridgeable walls of the dictatorship. The literary speech is not there that a plea in favour of the man and of the freedom; it is there a termination of the condition of the writer and the subjection of the literature.
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La réception de la littérature française dans les revues littéraires italiennes de la deuxième moitié du XXème siècle (1944-1970) / The reception of French literature in Italian literary periodicals of the second half of the XXth century (1944-1970)

Caristia, Stefania 14 September 2019 (has links)
Comment l’étude de la réception d’une littérature étrangère dans les revues – objets hybrides et fluides dont les spécificités essentielles sont l’inscription dans la durée et le rapport entretenu avec le temps historique, ainsi que le fait d’être le résultat polyphonique d’une création collective – permettrait-elle de dépasser les distinctions entre les approches de l’« esthétique de la réception » et de l’« histoire de la réception » (et encore, de la sociologie et de la sociopolitique), et entre les notions de « réception critique » et de « réception créatrice » ? Notre recherche, portant sur un corpus hétérogène composé de trente revues littéraires et politico-littéraires italiennes, s’est articulée autour de cette question. En s’appuyant sur les notions de transfert et de réseaux et en croisant les approches quantitative et qualitative des textes français, des traductions et des contributions critiques publiés dans les revues, notre travail vise à identifier les lieux et les modalités de la réception, ses évolutions et ses invariants après la Deuxième Guerre mondiale. L’optique interdisciplinaire adoptée, s’attachant aux multiples facettes de ce phénomène, porte un nouveau regard sur les histoires croisées des littératures française et italienne, ainsi que sur l’activité des revues et les pratiques de la critique littéraire. En interrogeant les mécanismes par lesquels les revues s’approprient la littérature étrangère, ce sont les rapports qui existent entre la réception des œuvres littéraires, l’histoire d’un champ littéraire national et les facteurs extra-littéraires (historiques, politiques, idéologiques…) que nous nous proposons de sonder. / Being periodicals a hybrid and fluid object, whose essential particularities are periodicity and the relationship with historical time, as well as being the polyphonic results of a collective creation, how would the study of the reception of a foreign literature in periodicals allow to overcome the distinctions in approaches between the aesthetics of reception and the history of reception, and between the notions of critical reception and creative reception? My research focuses on this question through the analysis of a heterogeneous corpus of thirty Italian literary and politicalliterary periodicals. Building on the notions of “transfer” and “networks” and by crossing quantitative and qualitative approaches in the analysis of French texts, translations and criticism edited in the reviews, my research aims at identifying reception’s places and modalities, its evolutions and invariants after World War II. The interdisciplinary point of view adopted, focusing on the phenomenon’s many aspects, takes a new look on the intermingled histories of French and Italian literature, as well as on the periodicals’ activity and forms of literary criticism. By questioning the mechanisms through which periodicals adapt foreign literature, I aim at surveying the relationships between the reception of literary works, the history of a national literary field and the extraliterary factors (history, politics, ideologies…).
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La literatura de la neo-violencia en Colombia : manifestaciones thanáticas en el siglo XXI

Ferro Rojas, Gerardo 04 1900 (has links)
La rédaction de ce mémoire a été possible grâce à la bourse d’études supérieures du Canada (BESC M), Joseph-Armand-Bombardier du Centre de Recherche en Sciences Humaines (CRSH) du gouvernement du Canada, 2015. / Cette recherche est basée sur l’hypothèse suivante : la relation entre la société colombienne et la violence a été si constante et profonde que la nouvelle littérature du XXIe siècle est un produit de ce phénomène. Bien que les études académiques portant sur la littérature et la violence en Colombie soient si nombreuses, celles-ci ont été dirigées à l’analyse du violent comme étant un phénomène perturbateur de l’ordre social, que ce soit dès la Violence politique des années 50 et 60, ou bien dès la littérature du narco trafique dans les années 80 et 90. Toutefois, dans la littérature des générations plus récentes d’écrivains, la violence n’est pas nécessairement exercée par des acteurs « traditionnellement » violents qui portent atteinte à l’ordre social, mais ce supposé « ordre » social est déjà essentiellement violent, faisant de la violence une question symbolique, normalisée et profondément enracinée dans l’ensemble de la société. Donc, de quelle façon la violence « traditionnelle » a-t-elle mutée jusqu’à configurer la neo-violence d’aujourd’hui? Quelles sont ses caractéristiques? Mais, surtout, de quelle façon la littérature raconte-t-elle cette nouvelle violence? Le objectif de cette recherche est d’identifier ces nouvelles manifestations de la violence dans la littérature de la première décennie du XXIe siècle ayant été produites pour les écrivains nés pendant les années 70 et le début des années 80. La méthodologie, basée sur l’analyse de romans et de nouvelles d’écrivains colombiens de cette génération, cherche à établir comment la surexposition à une violence endémique a généré de nouvelles formes de voir, de percevoir, de sentir et de narrer le violent au-delà de la description de faits concrets de violence. / This research is based on the assumption that the relationship between the Colombian society and violence is so constant and deep that the new 21st century literature is the result of this phenomenon. Despite the fact that previous academic research on violence and literature in Colombia has largely addressed the topic, this same research has usually approached “violence” as a disruptive phenomenon having an impact on established social orders. That is the case of previous analysis addressing either the 1950s and 1960s’ La Violencia-based literature or the 1980s and 1990s’ drug trafficking literature. However, in the literature of the new generation of writers, violence is not necessarily practiced by traditionally violent actors who intentionally put social order at risk. This social order is in fact essentially violent, which turns violence into a symbolic, normalized, deeply rooted matter in society. Thus, how has “traditional” violence transformed into today’s neoviolence? Which are its attributes? Furthermore, how does literature tell this new violence’s story? The purpose of this research is to identify these new forms of violence made evident in the literature of the first decade of the 21st century that has been produced, in turn, by writers born between the 1970s and the 1980s. The methodology, based on the analysis of novels and short stories by Colombian writers from this period, seeks to establish how overexposure to endemic violence has resulted in new forms of seeing, perceiving, feeling and recounting violence beyond the accurate description of violent facts. / Si bien los estudios académicos sobre el tema de la literatura y la violencia en Colombia son bastante numerosos, estos han estado dirigidos al análisis de la violencia como un fenómeno perturbador del orden social, ya sea desde la Violencia política de los años 50 y 60, o bien desde la violencia del narcotráfico en los años 80 y 90. Sin embargo, en la literatura de las generaciones más jóvenes de escritores, la violencia no es necesariamente ejercida por actores tradicionalmente violentos que atenten contra el orden social, sino que este supuesto orden social es ya esencialmente violento, donde la violencia se manifiesta de manera simbólica, normalizada y profundamente enraizada en la vida social. La investigación se pregunta entonces, ¿de qué manera la violencia “tradicional” ha mutado hasta configurar la neo-violencia de hoy? ¿Cuáles son sus características? Pero, sobre todo, ¿de qué manera esta nueva violencia es contada por la literatura? El objetivo de esta investigación es el de identificar estas nuevas manifestaciones de la violencia en la literatura de la primera década del siglo XXI, producida por los escritores nacidos durante los años 70 e inicios de los años 80. La metodología se basa en el análisis de novelas y cuentos de escritores colombianos pertenecientes a esta generación, para establecer cómo la sobreexposición a una violencia endémica ha generado nuevas formas de ver, percibir, sentir y narrar lo violento más allá de la descripción de hechos concretos de violencia.

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