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Untersuchungen zur Rolle des Humanismusbegriffs im gegenwärtigen ideologischen Klassenkampf : unter Berücksichtigung der Grundlinien der historischen Entwicklung des Humanismus / Margit Kern.

Kern, Margit, January 1900 (has links)
Diss.--Ästhetik--Leipzig, 1981. / Bibliogr. f. 178-207.
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Idéologie politique et lutte de classes dans le discours historiographique du "fatalisme historique" en France sous la Restauration

Assoun, Paul-Laurent, January 1988 (has links)
Th.--Sci. polit.--Paris--IEPP, 1987.
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Analyse matérialiste et organisationnelle du développement de l'anarchisme en Andalousie (1868-1910)

David-Bellemare, Étienne 10 1900 (has links) (PDF)
Le développement de l'anarchisme en Andalousie durant le dernier tiers du XIXe siècle, période qui correspond à la Révolution libérale bourgeoise de 1868 en Espagne et à la naissance de la section espagnole de l'Association internationale des travailleurs (AIT – communément appelé Première Internationale), a été maintes fois examiné sous l'angle de l'émergence d'un mouvement social millénariste dont les racines seraient ancrées dans la mentalité archaïque, conservatrice, spontanée, irrationnelle et apolitique de la « paysannerie andalouse ». Or, cette approche explicative du mouvement ouvrier anarchiste dans cette région d'Espagne ne résiste pas à une analyse matérialiste et organisationnelle basée sur l'évolution des relations sociales de propriété et des rapports sociaux de production capitalistes, l'implantation d'un nombre important de sections ouvrières anarchistes dédiées à une éducation rationaliste et libertaire tout autant qu'à l'auto-organisation des luttes de la classe travailleuse. Qui plus est, cette recherche démontre pourquoi la thèse millénariste est incapable d'expliquer en quoi les ouvriers et ouvrières andalou-ses étaient non seulement conscient-es de leur place dans les rapports sociaux de production capitaliste et du conflit antagonique qui les opposaient à la bourgeoisie, mais également en mesure d'évaluer leur rapport de force et d'établir des stratégies en conséquence. En ce sens, il serait faux de dire, à l'instar de ce que prétendent les tenants de la thèse millénariste, que les anarchistes en Andalousie étaient systématiquement épris de l'arrivée soudaine du grand soir (la Révolution sociale). Plusieurs exemples de grèves revendicatrices et d'insurrections sociopolitiques nous démontrent plutôt que le mouvement anarchiste considérait l'importance de mener des luttes dont les objectifs étaient d'améliorer dans l'immédiat les conditions de vie et de travail du prolétariat agricole. En définitive, loin d'être animés par des illuminations religieuses et une foi messianique, les anarchistes andalou-ses méritent d'être étudié-e-s à travers leurs expériences collectives de la lutte, lesquelles ont déterminé dans une large mesure leurs choix idéologiques et stratégiques. En effet, les échecs devant les tribunaux royaux ou dans les tentatives d'alliance avec la frange progressiste de la bourgeoisie, juxtaposée à l'arrivée de l'idéologie anarcho-collectiviste, ont favorisé l'émergence d'une conscience de classe, syndicale et révolutionnaire, qui caractérise le projet moderne du mouvement anarchiste andalou. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anarchisme, mouvement ouvrier, Andalousie, millénarisme, matérialisme, Fédération régionale espagnol.
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Ardent propaganda : miners' novels and class conflict 1929-1939 /

Bell, David, January 1995 (has links)
Academic diss.--Umeå (Sweden)--University of Umeå, 1995. / Bibliogr. p. [187]-193.
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Analyse de la révolution afghane de 1978 en rapport avec les enjeux régionaux et internationaux dans le contexte de la guerre froide

Qaderi, Abdulhadi January 2009 (has links) (PDF)
Cette recherche se penche sur un événement souvent négligé dans la littérature et qui constitue pourtant la pierre angulaire de l'histoire actuelle de l'Afghanistan: il s'agit de la révolution afghane de 1978 qui a précédé la soi-disant invasion soviétique de ce pays. Elle met en lumière l'absence de dialogue théorique entre les auteurs qui l'ont abordée et relève comment cette absence limite la compréhension de la société afghane et, de ce fait, la compréhension de la nature du conflit ainsi que ses facteurs déterminants. Nous soutiendrons la thèse à l'effet que le fil conducteur manquant, qui relie les différentes analyses, est la corrélation entre la lutte de classes et les intérêts nationaux des puissances régionales et internationales, c'est-à-dire le système capitaliste ayant besoin de l'État comme instrument au service des intérêts privés d'une classe dominante. Afin de mieux saisir notre objet d'étude, nous en circonscrirons la période analysée, soit de 1973 à 1992, à partir de cette revue de la littérature mais avec la perspective d'une analyse critique et d'une confrontation des discours. Nous mettrons respectivement en lumière le conflit afghan en regard de ses dynamiques internes, du débat sur la nature, les causes et les conséquences de la révolution et d'une analyse de la contre-révolution et de la lutte de classes. Nous présenterons les trois différentes interprétations du conflit afghan avec trois théories des relations internationales. Nous analyserons la complexité de la société afghane à travers son passé et son agrégat sociopolitique, résultat d'une construction sociale séculaire et d'une grande diversité culturelle, linguistique et religieuse. Nous examinerons ensuite la Révolution afghane à travers un débat théorique sur ses causes, sa nature et ses conséquences, en démontrant l'importance de cet événement. En dernier lieu, nous établirons le lien à faire avec la lutte de classes qui s'est jouée à différents niveaux, par l'étude de la contre-révolution dans laquelle sont impliqués divers acteurs nationaux, régionaux et internationaux. Nous conclurons qu'il y a bel et bien eu une lutte de classes qui a mené à la révolution et à la contre-révolution. Nous soulignerons également qu'une analyse basée sur le simple déterminisme économique ne permet pas de comprendre le conflit afghan. C'est plutôt une analyse profonde de tout l'ensemble des facteurs sociopolitiques et économiques «la production en dernière instance» qui peut expliquer la lutte de classes dans ce conflit. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Afghanistan, Contre-révolution, État, Lutte de classes, Lutte de pouvoir, Révolution.
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L'écologie politique : une idéologie de classes moyennes.

Billemont, Hubert 12 January 2006 (has links) (PDF)
La thèse est consacrée aux modes de vie et aux représentations sociales et politiques des militants et sympathisants écologistes en France. L'analyse porte sur l'étude des fractions semi-intellectuelles de la classe moyenne salariée qui sont sur-représentées parmi les écologistes. Il s'agit de montrer que nombre d'attitudes et de schèmes de pensées véhiculées par les écologistes sont imputables aux positions sociales ambivalentes de cette catégorie sociale d'intellectuels subalternes.
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David Ricardo, Karl Marx et l'antagonisme nécessaire des intérêts de classe

Lainé, Mathieu-Joffre 24 April 2018 (has links)
La théorie de la valeur-travail élaborée par l'économiste anglais David Ricardo (1772-1823) a rapidement été mise à profit par les théoriciens socialistes afin de démontrer l'iniquité du salariat et pour donner une base à un système socialiste de production et d'échange ; Karl Marx (1818-1883) l'a subséquemment développée à titre d'explication de l'ensemble du processus de la production capitaliste, il en a fait le principe de la lutte des classes. Rédigée dans une perspective contextualiste, cette thèse vise donc à démontrer minutieusement, par la théorie et par l'histoire à la fois, que Marx emploie intentionnellement la théorie économique ricardienne dans le Capital afin de convaincre son premier public, principalement composé des membres de l'école historique d'économie politique allemande (« Historische Schule der Nationalökonomie »), de l'antagonisme nécessaire des intérêts de classes. Mais cette thèse vise également à démontrer l'insuffisance fondamentale de l'interprétation hégélienne du Capital. Cette interprétation présente non seulement des difficultés exégétiques rédhibitoires, mais elle nuit malheureusement à la bonne compréhension des textes de Marx et de Hegel. Marx pense la lutte des classes en termes ricardiens et non pas en termes hégéliens. Et contrairement à ce l'on a d'abord proclamé au début du XXe siècle, la compréhension du Capital n'exige pas la compréhension de la philosophie de Hegel. En renouant dans cette thèse avec l'interprétation ricardienne du Capital, nous renouons avec la seule interprétation que Marx a lui-même publiquement et officiellement entérinée de son ouvrage — un fait historique avéré que la majorité des interprètes du Capital persiste encore aujourd'hui à ignorer. En soi, l'interprétation ricardienne du Capital n'est donc ni originale ni nouvelle. Elle ne possède pas non plus de panache philosophique. En revanche, elle a été corroborée par Marx, ce qui constitue un moyen sûr de réfuter ou d'écarter définitivement certaines interprétations que l'on a parfois données du Capital au cours du XXe siècle, a fortiori son interprétation hégélienne, et de contribuer par là à l'avancement des études marxiennes. En plus de rappeler, de revaloriser et de revendiquer l'héritage ricardien de Marx à l'aide d'un luxe inédit de précisions théoriques et historiques, cette thèse propose enfin de réinsérer la pensée économique et politique de Hegel dans la tradition caméraliste allemande (« Kameralwissenschaften »), une tradition intellectuelle à laquelle les interprètes hégéliens du Capital ont arraché Hegel afin de téléologiquement faire de lui le précurseur de Marx.
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Recollecting Work : Labour and Class in Contemporary North American Historical Fiction

D'Abramo, Kevin 04 1900 (has links)
Ma thèse examine quatre romans de l`époque post-1960 qui s’appuient sur le genre de la littérature prolétarienne du début du vingtième siècle. Se basant sur les recherches récentes sur la littérature de la classe ouvrière, je propose que Pynchon, Doctorow, Ondaatje et Sweatman mettent en lumière les thèmes souvent négligés de cette classe tout en restant esthétiquement progressiste et pertinents. Afin d’explorer les aspects politiques et formels de ces romans, j’utilise la « midfiction », le concept d’Allen Wilde. Ce concept vise les textes qui utilisent les techniques postmodernes et qui acceptent la primauté de la surface, mais qui néanmoins essaient d’être référentiels et d’établir des vérités. Le premier chapitre de ma thèse propose que les romans prolétariens contemporains que j’ai choisis utilisent des stratégies narratives généralement associées avec le postmodernisme, telles que la métafiction, l’ironie et une voix narrative « incohérente », afin de contester l’autorité des discours dominants, notamment les histoires officielles qui ont tendance à minimiser l’importance des mouvements ouvriers. Le deuxième chapitre examine comment les romanciers utilisent des stratégies mimétiques afin de réaliser un facteur de crédibilité qui permet de lier les récits aux des réalités historiques concrètes. Me référant à mon argument du premier chapitre, j’explique que ces romanciers utilisent la référentialité et les voix narratives « peu fiables » et « incohérentes », afin de politiser à nouveau la lutte des classes de la fin du dix-neuvième et des premières décennies du vingtième siècles et de remettre en cause un sens strict de l’histoire empirique. Se basant sur les théories évolutionnistes de la sympathie, le troisième chapitre propose que les représentations des personnages de la classe dirigeante riche illustrent que les structures sociales de l’époque suscitent un sentiment de droit et un manque de sympathie chez les élites qui les font adopter une attitude quasi-coloniale vis-à-vis de la classe ouvrière. Le quatrième chapitre aborde la façon dont les romans en considération négocient les relations entre les classes sociales, la subjectivité et l’espace. Cette section analyse comment, d’un côté, la représentation de l’espace montre que le pouvoir se manifeste au bénéfice de la classe dirigeante, et de l’autre, comment cet espace est récupéré par les ouvriers radicaux et militants afin d’avancer leurs intérêts. Le cinquième chapitre explore comment les romans néo-prolétariens subvertissent ironiquement les tropes du genre prolétarien précédent, ce qui exprimerait l’ambivalence politique et le cynisme généralisé de la fin du vingtième siècle. / My dissertation project examines post-1960s novels that draw on the genre of proletarian fiction of the early twentieth century. Building upon current research focused on working-class literature, as well as pertinent literary theory, I argue that Pynchon, Doctorow, Ondaatje, and Sweatman bring to light often neglected working-class themes while remaining aesthetically progressive and relevant. In order to explore these novels in their political and formal aspects I employ Allen Wilde’s concept midfiction. This concept refers to texts that use postmodern techniques and accept the primacy of surface, but nonetheless try to be referential and establish truths. The first chapter of my dissertation argues that the contemporary proletarian novels that I have selected employ narrative strategies commonly associated with postmodernism, such as metafiction, irony, and an “incoherent” narrative voice, to challenge the authority of dominant discourses, including the official histories that tend to downplay labour movements. The second chapter examines how the novelists employ mimetic strategies in tandem with more experimental techniques in order to achieve a believability factor that helps to connect the narratives to concrete historical realities. Referring to my argument in chapter one, I explain that the novelists ultimately use these two modes, referentiality and “unreliable”, “incoherent” narrative voices, in order to both re-politicize the class struggle of the late nineteenth and early decades of the twentieth century as well as to undermine a strict sense of empirical history. The third chapter draws on evolutionist theories of sympathy to argue that the depictions of wealthy ruling class characters illustrate that social structures at the time fostered a sense of entitlement and lack of sympathy in the elites that caused them to adopt a colonial-like attitude towards the working class. The fourth chapter addresses how the novels under consideration mediate the relationships between social classes, subjectivity and space. This section analyses how, on the one hand, representations of space show how power is manifested to benefit the ruling class, and on the other hand, how space was co-opted by radicals and militant workers in order to further their interests. The fifth chapter explores how the neo-proletarian novels ironically subvert tropes from the earlier proletarian genre which, I argue, expresses the political ambivalence and cynicism of the late twentieth century.
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Pratique développementaliste et légitimation du pouvoir des élites dominantes en Colombie (2002-2010)

Cárdenas Acosta, Manuel 12 1900 (has links) (PDF)
L'étude du modèle d'État dominant en Colombie et de l'idéologie de légitimation au fondement de ce dernier est l'objet de cette recherche. La recherche couvre la période de la présidence d'Alvaro Uribe Vélez, au cours des deux mandats de son gouvernement, soit de 2002 à 2010. Deux aspects du programme de gouvernement du président colombien nous intéressent particulièrement : son projet d'État communautaire et son pendant; la politique de sécurité démocratique. Nous nous sommes penchés surtout sur les plans de développement mis en forme et appliqués pendant cette présidence. À l'analyse, et c'est là l'objet de la première partie, il apparaît que l'État communautaire et son approche développementaliste sont des mécanismes destinés spécifiquement à promouvoir les intérêts des classes dominantes et à asseoir leur pouvoir sur les classes dominées. Notre hypothèse est que la mise en place de cet État communautaire ne vise rien d'autre que l'intensification de l'accumulation capitaliste et la consolidation de la mainmise de la bourgeoisie sur l'appareil d'État en s'appuyant, entre autres choses, sur une stratégie militaire/guerrière pour résoudre la contestation révolutionnaire des FARC et de l'ELN. La deuxième partie, centrée sur l'analyse de la superstructure de l'État communautaire, met en évidence le rôle du paramilitarisme dans la construction et la consolidation de cet État communautaire. La politique de sécurité démocratique, expression de cette stratégie, apparaît ainsi comme l'instrument d'éradication de la guérilla et d'autres types de contestations politiques de la domination de classe en Colombie et à ce titre, elle tend à s'imposer comme l'unique voie de sortie de l'affrontement armé. Utilisant un langage pseudo démocratique et une approche populiste, cette politique de sécurité démocratique est bien au service des classes dominantes. Les élites économiques, il n'y a pas de doute, se sont incontestablement enrichies entre 2002 et 2010, tout en renforçant leur emprise sur l'État. Parallèlement, la situation des classes défavorisées est très loin de s'être améliorée et ces dernières, cibles par excellence de cette politique, laissent bien voir dans leur comportement le triomphe de l'idéologie dominante. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Colombie, Alvaro Uribe Vélez, État communautaire, sécurité démocratique, idéologie, lutte de classes, légitimation, pouvoir.
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Der soziale Konflikt als ethisches Problem.

Sohn, Walter. January 1900 (has links)
Originally presented as the author's thesis, Marburg. / Bibliography: p. 235-[247].

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