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Les minorités ethno-culturelles : une analyse fondée sur la théorie sociale critique et le concept de reconnaissance

Lamarche, Catherine January 2008 (has links) (PDF)
Malgré les efforts consentis par la communauté intellectuelle pour faire avancer la cause des minorités ethno-culturelles et les progrès réalisés en matière du droit des minorités, les combats menés par les minorités ethno-culturelles continuent, dans bien des cas, de souffrir d'un déficit de légitimité. Dans ce mémoire, nous cherchons à démontrer dans quelle mesure la théorie de la lutte pour la reconnaissance développée par Axel Honneth peut servir à déterminer la légitimité des luttes menées par les minorités ethno-culturelles. La théorie critique peut-elle en effet ouvrir une fenêtre sur le progrès social en mettant en lumière le potentiel normatif de certaines luttes sociales et identitaires dont pourrait bénéficier l'ensemble de la société? Afin d'identifier, au sein du cadre théorique de Honneth, les critères normatifs permettant de déterminer la légitimité des luttes menées par les minorités ethno-culturelles, nous allons dans le premier chapitre situer la théorie de Honneth au sein des champs théoriques auxquels elle appartient, soit la théorie critique et les théories de la reconnaissance. Le deuxième chapitre est consacré aux fondements théoriques de la théorie de la lutte pour la reconnaissance dans lequel nous allons développer, d'une part, le concept de reconnaissance et, d'autre part, celui de la conflictualité. Dans le troisième chapitre, nous tentons de démontrer si la théorie de la lutte pour la reconnaissance possède une pertinence pour la question des minorités ethno-culturelles. En effet, en détenant la capacité de prendre en considération toutes les formes d'injustices, en adoptant la perspective des victimes de l'injustice et en évaluant les conflits à partir des justifications données par les groupes concernés, la théorie de Honneth cherche à déterminer les luttes sociales qui sont légitimes de celles qui ne le sont pas. Dans le quatrième chapitre, nous verrons que plusieurs facteurs limitent la théorie à juger du potentiel normatif des conflits ethno-culturels. D'abord, deux des trois sphères de la reconnaissance (la sphère du droit et celle de la solidarité) ne permettent pas d'inclure les demandes des minorités ethno-culturelles dans les attentes susceptibles d'être reconnues par les membres de la société. De plus, l'approche individualiste de Honneth rend inapte la théorie à juger de la pertinence des revendications des minorités ethno-culturelles dans la mesure où les luttes sociales sont vues uniquement sous l'angle de la réalisation individuelle et jamais dans une perspective collective. De surcroît, les institutions, telles que vues par Honneth, sont considérées, somme toute, que comme « expression de la reconnaissance »; elles ne peuvent d'elles-mêmes, ni accorder de la reconnaissance, ni la refuser. Malgré les limites théoriques que nous venons d'énoncer, la théorie de la lutte pour la reconnaissance perd-elle pour autant toute pertinence par rapport à la question des minorités ethno-culturelles? Il nous semble en effet que Honneth, en accordant une grande importance à l'expérience de l'injustice et aux caractères particuliers de chaque conflit, pose, peut-être malgré lui, les jalons nécessaires pour le développement d'une approche qui parviendrait à mettre en valeur le potentiel normatif de certains conflits et ce, par sa capacité à déterminer les revendications qui sont légitimes de celles qui ne le sont pas. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Axel Honneth, Reconnaissance, Minorités, Théorie sociale critique, Conflit social.
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Les politiques du gouvernement du Québec concernant l'intégration des minorités ethnoculturelles à la société québécoise (1978-1985)

Ramos, Eduardo January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite du processus décisionnel menant à l'adoption du modèle québécois d'intégration des minorités ethnoculturelles à la société, tel qu'il est élaboré par le gouvernement péquiste en 1978, puis affiné en 1981 dans le Plan d'action à l'intention des communautés culturelles, suite à des consultations avec les « gens du milieu ». L'objectif est d'identifier si le modèle gouvernemental de la convergence culturelle est partagé entre 1978 et 1985 par les minorités ethnoculturelles et par le Parti libéral du Québec. Selon nous, le modèle de la convergence culturelle n'a jamais été endossé ni par le PLQ, ni par les minorités ethnoculturelles, malgré leur diversité de points de vue. Cette divergence fondamentale a eu peu d'incidence sur le modèle gouvernemental jusqu'en 1985, date de la défaite du Parti Québécois aux élections générales. En 1978, le gouvernement du Québec adopte le modèle de convergence culturelle dans la Politique québécoise du développement culturel, qui fait de la culture de tradition française le pôle dominant vers lequel doivent tendre tous les horizons culturels minoritaires du Québec. La même année, le gouvernement se dote d'une politique d'immigration avec une nouvelle grille de sélection, dans laquelle les critères économiques et humanitaires l'emportent sur la connaissance du français. C'est donc au modèle de convergence culturelle que revient le mandat d'intégrer toutes les cultures minoritaires à la culture majoritaire de tradition française. En 1979, le gouvernement organise une série de colloques régionaux visant à associer les minorités ethnoculturelles à l'élaboration du modèle québécois d'intégration. Que ce soit une opération de communication politique ou une véritable écoute de la parole minoritaire, les colloques ont été l'occasion pour les participants de s'opposer à la culture de convergence au profit de l'égalité des citoyens et du maintien et développement des cultures d'origine. Entre 1978 et 1981, le PLQ et les minorités ethnoculturelles réitèrent à plusieurs occasions leur opposition au modèle de la convergence culturelle et développent leurs propres modèles normatifs d'intégration. En 1981, le modèle de convergence culturelle est toutefois repris et développé dans le Plan d'action. Si plusieurs mesures concrètes, notamment dans la lutte pour l'égalité réelle, s'accordent avec les demandes des minorités, le modèle normatif d'intégration est dans l'ensemble conservé. Cependant, après les élections de 1981 et dans un contexte de ralentissement économique, peu de mesures seront réellement appliquées. En 1981 est aussi créé un nouveau ministère des Communautés culturelles et de l'Immigration. Entre 1981 et 1985, tant le PLQ que l'ensemble des minorités ethnoculturelles déplorent l'inaction gouvernementale et affinent leurs propres modèles d'intégration, toujours en opposition à la notion de convergence culturelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Convergence culturelle, Intégration, Minorités ethnoculturelles, Communautés culturelles, Immigrants, PLQ, PQ, Pluralisme normatif, Gouvernement du Québec, Plan d'action de 1981.
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Évolution de la prise en compte et du traitement des anciennes et nouvelles minorités dans le cadre des systèmes de l'OSCE et du Conseil de l'Europe : "nouvelles minorités" : nouveaux concepts, nouveaux enjeux de la nouvelle Europe / Evolution of the treatment of old and new minorities in the framework of OSCE and Council of Europe : "new minority" : new concept, new challenge of the new Europe

Eminoğlu, Nihal 10 November 2015 (has links)
Ce travail s’intéresse à la notion de « nouvelle minorité » surgie dans les années 2000 et traitée initialement par l’OSCE. Ce nouveau concept repose sur deux notions : celle de minorité et celle d’immigré. Ces deux concepts sont à l’origine de la naissance d’une nouvelle catégorie : la « nouvelle minorité issue de l’immigration », incluant les immigrés, leurs descendants et les réfugiés en Europe. Cependant notre travail se concentre sur les deux premiers groupes, c’est-à-dire les immigrés et leurs descendants et sur la relation de ces groupes avec la société d’accueil ainsi que avec l’Etat dans lequel ils vivent. Pour ce faire, après clarification du concept de minorité et comparaison entre nouvelles minorités et minorités nationales, en passant par un aperçu historique pour montrer l’évolution de la notion de minorité, nous arriverons à la question de la protection des « nouvelles minorités » et à celle de son intégration. / This work focuses on the concept of « new minority » which surfaced in the 2000s and wasinitially analysed by the OSCE. It is a new concept hinging on two notions, minorities and immigrant, which are the factors driving the emergence of this new category: the « new minority from immigrant backgrounds », which includes immigrants, their descendants and refugees in Europe. Our study concentrates more specifically on the first two of these groups, immigrants and their descendants, and on these groups' relationship with the host society as well as the State in which they live. After clarifying the notion of minority and drawing comparisons between new minorities and national minorities, then tracing out a historical overview showing how the notion of minority has evolved, we will arrive at the questions of the protection of the « new minorities » and their integration.
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Les perceptions du pluralisme culturel et religieux au Québec

Torres, Fabien January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire, comme son titre l'indique, porte sur les perceptions du pluralisme culturel et religieux au Québec. Afin d'alimenter la réflexion sur ce sujet, j'ai analysé les mémoires de vingt-sept acteurs importants du Québec qui ont été déposés à la Commission de consultation sur les pratiques d'accommodement reliées aux différences culturelles. Cette dernière a vu le jour afin de répondre aux expressions de mécontentement qui se sont élevées dans la population au cours de l'année 2007 à propos des accommodements ou ajustements consentis à des individus pour des motifs religieux. Dès lors, afin de comprendre davantage dans quelle mesure la pluralité culturelle et religieuse devait être reconnue au Québec, mes objectifs de recherche furent de cerner les perceptions autour de quatre enjeux fondamentaux qui touchent la gestion de la pluralité culturelle et religieuse: soit le modèle d'intégration en vigueur au Québec, l'immigration, le principe des accommodements raisonnables et le pluralisme. Pour ce faire, j'ai donc appliqué la méthode sociologique de l'analyse de contenu, qui m'a permis d'extraire les perceptions des différents acteurs concernant ces quatre enjeux importants qui touchent la diversité. Malgré les tensions générées au cours de l'année 2007, l'hypothèse que j'émets est qu'en laissant s'exprimer certaines revendications des membres des minorités culturelles, ces ouvertures sur des pratiques culturelles minoritaires permettent une adaptation en douceur de la manière de gérer une société pluraliste, afin d'y créer une nouvelle harmonie sociale, basée sur des fondements plus ouverts et plus inclusifs. De fait, le modèle d'intégration d'une société, ses politiques d'immigration, son ouverture aux différences culturelles, sont autant d'éléments qui influencent les perceptions de la diversité. L'analyse effectuée dans ce mémoire montre que la société québécoise (ou du moins les acteurs étudiés), bien qu'étant ouverte à la diversité, manifeste plusieurs réticences, notamment quant à l'expression du religieux. Le principe d'accommodement, bien que largement valorisé comme un outil favorisant l'intégration, suscite plusieurs réticences lorsque les demandes concernent des pratiques religieuses ou des signes religieux. La remise en cause de certains consensus collectifs que provoque l'accroissement de la diversité, associé au malaise identitaire créé par le statut de société francophone minoritaire en Amérique du Nord, fragilise, aux yeux de certains, la cohésion sociale de la société québécoise. Ceci, exacerbé par la période de « crise identitaire » qu'a connue le Québec au cours de l'année 2007, peut avoir des conséquences fâcheuses sur les perceptions des membres des minorités culturelles qui vivent au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pluralisme, Religion, Interculturalisme, Représentations, Immigration.
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Orientations normatives et politiques et pratiques de gestion de la diversité ethnoculturelle : perspectives comparées de trois villes de la région métropolitaine de Montréal

Dostie, Marie-Pier 12 1900 (has links) (PDF)
L'objet de la présente étude porte sur des orientations normatives et politiques et des pratiques de gestion de la diversité ethnoculturelle adoptées par trois villes de la Région métropolitaine de Montréal : Montréal, Brossard et Laval. Pour y parvenir, nous avons d'abord procédé à l'analyse de contenu qualitative d'un corpus de textes municipaux et à une série d'entrevues auprès de fonctionnaires municipaux et de représentants des services de police. Cette méthodologie nous a permis de vérifier nos principales hypothèses de recherche : 1) les trois municipalités ont adopté un ensemble d'orientations normatives et politiques qui les guide dans leur prise en compte du pluralisme; 2) les orientations et les pratiques s'articulent avec l'une ou l'autre des politiques publiques d'intégration ainsi qu'avec la théorie de la citoyenneté urbaine; 3) les villes proposent un ensemble varié de pratiques de gestion du pluralisme; 4) il existe une adéquation entre les orientations proposées par les trois municipalités et la mise en œuvre de mesures concrètes d'aménagement de la diversité ethnoculturelle et 5) il y a production de différences entre les orientations normatives et politiques et les pratiques adoptées par les trois municipalités. Suite à notre analyse, nous avons pu conclure que les trois villes sont interpellées par la gestion du pluralisme. Nous avons observé que leurs visions de l'aménagement de la diversité ethnoculturelle s'articulent bel et bien avec les politiques publiques d'intégration, mais il s'agit de l'interculturalisme pour les villes de Montréal et de Brossard alors que la municipalité lavalloise s'inspire de la citoyenneté urbaine. Ensuite, elles ont mis en place un ensemble varié de pratiques d'aménagement du pluralisme. D'autre part, certaines municipalités ont adopté des textes qui assurent la convergence entre leurs orientations normatives et politiques et leurs pratiques. Finalement, il y a production de différences dans les orientations normatives et politiques et les pratiques de gestion de la diversité ethnoculturelle proposées par les villes parce qu'elles ne sont pas toutes aussi diversifiées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : gestion de la diversité ethnoculturelle, pluralisme, immigrants, Région métropolitaine de Montréal.
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La représentation politique de la minorité hongroise de Roumanie : l’Alliance Démocrate Hongroise de Roumanie

Horváth, Réka 14 November 2006 (has links)
Dans ma thèse j’analyse l’Alliance Démocrate Hongroise de Roumanie (RMDSZ, UDMR, DAHR), l’organisation qui a représenté la minorité hongroise de Roumanie dans le Parlement de la Roumanie entre 1990-2004. La troisième partie de la thèse qui contient l’analyse de l’Alliance Démocrate Hongroise de Roumanie se structure autour des sujets suivants : l’émergence de l’UDMR ; les résultats électoraux de l’UDMR; les relations qui se sont établies entre l’UDMR et les partis politiques roumaines, les partis politiques de Hongrie, les organisations internationales; les changements des programmes de l’UDMR; l’autonomie; la structure de l’UDMR; les initiatives législatives de l’UDMR; la vie interne de l’UDMR. La thèse contient aussi une mis en perspective historique, le recensement et la brève analyse des organisations et des partis qui entre 1920-1989 ont voulu représenter la minorité hongroise de Roumanie. La thèse inclut également un chapitre qui analyse les revendications liées à l’enseignement en langue hongroise des partis/des organisations hongroise entre 1920-2004. The thesis analyses UDMR (RMDSZ/DAHR), the organization that represented the Hungarian minority in the Romanian Parliament between 1990-2004. The third part consists of the analysis of the DAHR and it has as guidelines the following themes: the establishing of DAHR; the electoral results of DAHR; the relationship between DAHR and the Romanian political parties; the relationship between DAHR and the political parties from Hungary; DAHR and the international organizations; the changes of the DAHR’s program; autonomy; the structure of DAHR; the legislative drafts of DAHR; the internal life of DAHR. The thesis speaks also about the organizations/parties that have been representing the Hungarians in the political life of Romania between 1920-1989. In the same time, the last chapter analyses the demands of the Hungarian organizations/parties regarding the education in the Hungarian language at all levels, demands from the period of 1920-2004.
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Les représentations de la pluriethnicité québécoise dans le Mouvement Desjardins: analyse du contenu de la Revue Desjardins de 1998 à 2005

Léveillé, Frédéric 03 1900 (has links)
Le Mouvement Desjardins, institution phare du Québec moderne caractérisé par un nationalisme civique et une intégration accrue des immigrants à la majorité francophone, demeure encore aujourd'hui, fortement identifié à ce même groupe. Ce mémoire a pour objet les représentations sociales de la pluriethnicité québécoise chez Desjardins. Une analyse du contenu de la Revue Desjardins de 1998 à 2005 permet de saisir le discours ainsi qu'un point de rupture spatio-temporel établi à l'année 2003, année où l'espace du discours s'élargit pour y inclure l'ouest de l'île de Montréal majoritairement anglophone. D'abord axée sur l'intégration au Mouvement et à la société québécoise dans le souci d'une plus grande représentativité de la population, l'institution passe à une orientation davantage pluraliste favorisant son adaptation à des marchés potentiellement lucratifs. Les catégories linguistiques «anglophone» et «allophone» sont alors davantage utilisées pour aborder l'enjeu pluriethnique banalisant ainsi la spécificité des groupes ethniques qui les composent. Alors que la première période est surtout caractérisée par des perceptions et des orientations générales, l'ouverture en 2003 d'un centre de service destiné à la clientèle allophone et anglophone de l'ouest de l'île constitue l'aboutissement d'un processus de représentation sociale ayant pour fonction l'orientation des pratiques. L'ensemble du discours est nuancé par des obstacles à l'adaptation à la pluriethnicité ainsi que des lacunes internes à l'institution. La concept d'ethnicité est peu utilisé et souvent abordé sous le terme «communauté culturelle» qui peut englober des communautés de nature autre qu'ethnique et qui réduit l'ethnicité à sa seule dimension culturelle. Il omet également de considérer les membres d'un groupe ethnique qui ne s'identifient pas à la communauté. En conclusion, l'étude permet de confirmer l'existence d'un discours sur la pluriethnicité québécoise maintenant bien ancré chez Desjardins et davantage orienté vers l'adaptation de l'institution en offrant des services en anglais et dans d'autres langues. / The Desjardins Group is an influential institution in modern Québec characterized by civic nationalism and sustained integration of immigrants into the French-speaking majority. Even today, Desjardins continues to identify strongly with this French-speaking majority. The purpose of this thesis is to explore the social precepts of multi-ethnicity in Québec at Desjardins. An analysis of the contents of the “Revue Desjardins” magazine from 1998 to 2005 allowed the author to understand the Desjardins position and determine a spatiotemporal rupture point in 2003, the year in which Desjardins’ position expanded to include the mostly English-speaking population of western Montreal Island. At the outset, Desjardins focused on integration into the Group and Quebec society, with an underling concern for greater institutional representation among the population. Thereafter, Desjardins adopted a more all-inclusive approach favouring adaptation to potentially lucrative markets. The linguistic categories of “Anglophone” and “allophone” were first used to tone down the specificity of ethnic groups involved. While the initial period was characterized primarily by perceptions and general policy, the inauguration in 2003 of a service centre for the allophone and Anglophone clientele of western Montreal Island was the culmination of a process of social sensitivity to establish policy guidelines. The entire approach was nuanced with obstacles to adaptation to multi-ethnicity, as well as internal institutional shortcomings. The concept of ethnicity was used sparingly, often blanketed by the term “cultural community.” This term embraces communities other than ethnic groups and reduces ethnicity to the simple expression of cultural dimension. The term also avoids pinpointing members of an ethnic group who do not identify with the community. In conclusion, the study confirmed the existence of a position on multi-ethnicity in Québec now solidly anchored within Desjardins and more clearly directed at the institution’s adjustment to offering services in English and other languages.
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Trajectoires imposées, trajectoires choisies : le voyage vers le centre des cadres de nationalité minoritaire en Chine

Seminaro, Andrea January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'identité ethnique chez les jeunes contrevenants

Bériault, Manuelle January 2016 (has links)
La présence accrue de jeunes appartenant à un groupe ethnoculturel minoritaire dans les institutions pour jeunes contrevenants au Québec est une problématique complexe et préoccupante. Lorsque les études scientifiques se penchent sur les questions liées à la délinquance juvénile et aux gangs de rue, l’accent est placé sur l’identification de groupes ethniques plus à risque de s’associer à un gang (van Gemert, Peterson, & Lien, 2008; Wortley & Tanner, 2006). L’association à un gang de rue est régulièrement considérée comme un phénomène qui toucherait principalement les groupes ethnoculturels minoritaires (Perreault & Bibeau, 2003 ; Spergel, 2009), sans toutefois préciser le rôle plus concret de l’ethnicité et de la culture dans l’association aux gangs de rue. Cette thèse, composée d’articles scientifiques, présente les résultats de deux études portant sur l’identité ethnique de jeunes contrevenants, mesurée par le Multigroup Ethnic Identity Measure – Revised (MEIM-R) de Phinney et Ong (2007). La première étude explore les effets de l’identité ethnique et de la génération d’immigration sur les comportements délinquants autorévélés de jeunes contrevenants judiciarisés. (N = 71, âge 14-20 ans). Les comportements délinquants ont été mesurés à partir du Self-Report of Offending – Revised (SRO-R) de Huizingua, Esbensen et Weihar (1991). La seconde étude explore le rôle de l’identité ethnique et de l’appartenance à un groupe de minorités racisées dans l’association autorévélée à un gang de rue et dans l’adhésion à la culture de gang (N = 69; âge 14-20 ans). L’adhésion à la culture de gang a, quant à elle, été établie à partir de la Mesure d’adhésion à la culture de gang (MACg) de Fredette (2014). Les résultats indiquent une plus forte identité ethnique chez les jeunes contrevenants issus de la première et de la seconde génération d’immigration que ceux de la troisième génération d’immigration ou plus. Lorsqu’on tient uniquement compte de l’apparence ethnique, les jeunes contrevenants appartenant à une minorité racisée présentent aussi des plus hauts scores d’identité ethnique que ceux appartenant à la majorité caucasienne. Les résultats indiquent également que les jeunes contrevenants de l’échantillon ayant immigré avant l’âge de 6 ans et qui ont tendance à présenter une identité ethnique élevée rapportent davantage de crimes contre la personne. Afin de mieux cerner les mécanismes sous-jacents à l’effet de l’identité ethnique sur les crimes reconnus plus violents, il a été convenu de prendre l’association à un gang de rue comme variable dépendante de la seconde étude. En effet, les délinquants qui se disent associés aux gangs de rue présentent une problématique de délinquance plus sévère que les autres (Laurier, Guay, Lafortune, & Toupin, 2015), notamment en ce qui a trait à la délinquance violente (Guay et al., 2015). Plus un jeune contrevenant rapporte un niveau d’exploration de l’identité ethnique élevé, plus il adhère aux dimensions signes et symboles et règles et rituels de l’adhésion à la culture de gang, et ce, peu importe son âge, ou qu’il appartienne à une minorité racisée. Cette recherche fait ressortir l’importance de s’intéresser aux questions identitaires liées à l’ethnicité, à la race et à la culture lors d’interventions auprès de jeunes contrevenants, et ce, peu importe leurs origines.
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Églises, Monachisme et Sainteté. Construction de la communauté chrétienne en Syrie

Anna, Poujeau 19 December 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les modalités d'inscription sociale, politique et symbolique de la minorité chrétienne dans le territoire national syrien et plus particulièrement sur le renouveau monastique qui a lieu dans ce pays depuis une trentaine d'années. C'est bien d'un renouveau, quoique extrêmement tardif, qu'il s'agit. En effet, ce processus contemporain s'inscrit, y compris dans les représentations locales, dans une histoire qui remonte aux origines du christianisme. Se pose alors la question des ressorts d'un tel phénomène : Comment et pourquoi le monachisme renaît-il aujourd'hui en Syrie ? Comment interpréter " ce retour de ces moines " qui dans les premiers siècles du christianisme étaient considérés comme des saints ? Quel lien s'établit entre le monachisme et la sainteté ? C'est à ces vastes questions, qui inscrivent ce travail à la fois dans le champ de l'anthropologie du christianisme et dans celui de l'étude du monachisme, que cette thèse tente de répondre. Celles-ci renvoient aux modalités contemporaines de construction de la communauté chrétienne de Syrie dans laquelle les trois dimensions que sont les Églises, le monachisme et la sainteté, sont intimement liées et apparaissent comme structurantes. Envisagé dans les rapports qu'il entretient avec les Églises et la question de la sainteté, le monachisme chrétien en Syrie, pilier de la construction communautaire chrétienne, est donc étudié dans toutes ses dimensions, historique, symbolique, religieuse, sociale, économique et politique.

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