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La Belgique et l'Afrique centrale, diversification ou néocolonialisme? dynamique de la politique de coopération belge au Cameroun et dans ses anciennes colonies, 1960-1990

Anafak Lemofak, Antoine Japhet 28 April 2010 (has links)
Le travail de recherche intitulé :«La Belgique et l’Afrique centrale, diversification ou néocolonialisme ?Dynamique de la coopération belge au Cameroun et dans ses anciennes colonies (1960-1990) » s’interroge sur la mise en œuvre et le déploiement de la coopération belge en Afrique centrale principalement au Cameroun. Il développe cette politique au Cameroun sous un regard global des intérêts belges dans son pré carré c'est-à- dire dans ses anciennes colonies dans le contexte de guerre froide et de construction européenne. C’est également le contexte de la mise en place du marché commun, de la signature des accords de Yaoundé entre la CEE et EAMA (Etats Africains et Malgaches Associés). Les aspects analysés prennent aussi en compte la France autre ancienne métropole de la région.<p>Cette thèse insiste sur les éléments de mise en place et les fondements de la politique étrangère de la Belgique en Afrique centrale. Elle analyse sa présence depuis la colonisation du Congo, du Ruanda-Urundi et développe le processus de mutation de la Belgique dans la sous-région à la faveur des indépendances. Cette accession à la souveraineté des territoires leur attribuait le statut d’acteur de la communauté internationale. L’adaptation de la Belgique à cette nouvelle donne l’oblige à étendre son espace de captation d’intérêts par l’établissement des relations diplomatiques avec de nombreux pays de la région parmi lesquels le Cameroun. Le choix du Cameroun comme pays d'appui à la politique belge dans la région en dehors de ses colonies est le fait de nombreuses justifications que cette thèse démontre. <p>Ce travail insiste sur les rapports politiques entre le Cameroun et la Belgique notamment les éléments expliquant la coopération diplomatique et politique entre le Cameroun et la Belgique. Celle-ci était basée sur un soutien mutuel dans la lutte contre les mouvements rebelles procommunistes au Cameroun et au Congo dans les années 60. Cet ouvrage développe l'organisation de l’action conjointe de la Belgique et du Cameroun dans la lutte contre le communisme en Afrique centrale principalement au Congo en période de guerre froide, les éléments prouvant le soutien de la Belgique au Cameroun dans sa lutte contre les activistes nationalistes de l’UPC et réciproquement, les actions montrant la collaboration et la compréhension du Cameroun envers la Belgique dans la gestion des conflits d’après indépendance au Congo, au Rwanda et au Burundi. <p>De plus, cette thèse évoque la dynamique de la politique étrangère de la Belgique à partir de 1965 dans la région. Dans cette section marquée par l’arrivée de Mobutu au pouvoir et le coup d’Etat de Micombero au Burundi, ce travail détaille les éléments qui justifient le renforcement des relations politiques entre le Cameroun et la Belgique après 1965 par l’analyse du contexte national et international de mise en place de cette politique après 1967. Un contexte marqué par la réélection d’Ahmadou Ahidjo et le renforcement de son pouvoir et le départ du socialiste Paul-Henri Spaak, remplacé par le démocrate-chrétien Pierre Harmel. Ce dernier instaure une nouvelle politique dite de diversification et de distanciation envers le régime de Mobutu. Le constat est que cette diversification a profité au Cameroun, devenu progressivement un partenaire privilégié de la Belgique dans la région après la visite officielle d’Ahidjo de 1967 à Bruxelles. <p>Ce travail analyse les rapports qu’entretenaient la Belgique et le Cameroun dans les organisations internationales en rapport avec la situation interne de son pré-carré d’Afrique centrale, notamment les circonstances du soutien de la candidature du Zaïre à l’entrée dans l’Union Douanière et Economique d’Afrique Centrale (UDEAC) et plus tard dans la création de l’Union Economique d’Afrique Centrale (UEAC) en 1969. Le soutien mutuel des candidatures belges et camerounaises dans les instances internationales à partir des années septante, les incidences de l’entrée du Royaume-Uni de Grande Bretagne et l’Irlande du Nord au sein de la Communauté Economique Européenne (la convention de Lomé I) sur la politique étrangère belge menée par Renaat Van Elslande, les implications de la zaïrianisation sur les relations belgo-zaïroises, l’arrivée au pouvoir de Juvénal Habyarimana au Rwanda et la renégociation des accords d’indépendance entre le Cameroun et la France. La Belgique et ces pays souhaitaient une approche plus consensuelle des grandes questions internationales, notamment le nouvel ordre économique international, le conflit du proche orient, la question de la décolonisation des territoires portugais d’Afrique centrale, la généralisation des conflits armés et des assassinats politiques.<p>La présence militaire belge en Afrique centrale est un fait colonial. Un rappel nécessaire de cette présence militaire depuis la période coloniale nous a permis de nous interroger sur la gestion difficile du devenir de ces soldats après les indépendances du Congo, du Rwanda et du Burundi, notamment pendant la crise Katangaise. Ces difficultés rencontrées au Congo poussent la Belgique à trouver des dérivatifs pour se désengager militairement au Ruanda-Urundi après l’indépendance en 1962. La visite officielle de juin 1967 d’Ahmadou Ahidjo en Belgique marque le début d’une intense coopération militaire entre la Belgique et le Cameroun. Les deux pays coopèrent pour la livraison du matériel de guerre par la Fabrique d’Herstal à Liège, et dans la formation les officiers camerounais en Belgique. Plusieurs facteurs justifiant cette coopération avec le Cameroun sont énumérés dans cette thèse. De plus, ce travail retrace l’implication de la Belgique dans les guerres du Shaba et ses initiatives en faveur d’une paix globale dans la région autour les années 80. <p>Le troisième grand axe de cette thèse développe la présence de la Belgique en Afrique centrale dans le cadre de la Communauté Economique Européenne. Après avoir expliqué l'historique et l'évolution du FED, nous avons exploré le poids de la présence belge au sein du Fond Européen de Développement par rapport à la France et les autres Etats de la CEE pour constater sa faiblesse dans cette institution contrôlée par la France l’Allemagne. Ce qui justifie son choix de renforcer la coopération bilatérale dans la région. Enfin, ce thèse insiste sur ces relations économiques bilatérales de la Belgique en Afrique centrale, principalement au Cameroun en comparaison avec les anciennes colonies pour voir l'influence de la Belgique au Cameroun, au Congo, au Rwanda et au Burundi depuis les indépendances jusqu'aux années nonante. <p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La codification du droit de la responsabilité des organisations internationales : étude des travaux de la Commission du droit international relatifs au projet d’articles sur la responsabilité des organisations internationales / Codification of the law of responsibility of international organizations : study of the work of the International Law Commission on the draft articles on responsibility of international organizations

Alata, Ayham 08 December 2014 (has links)
Enfin, le droit international dispose d’un ensemble de règles relatives à la responsabilité des organisations internationales pour fait internationalement illicite. Après 10 ans de travail, la Commission du droit international est parvenue, en 2011, à élaborer un projet d'articles codifiant les règles en la matière. La tâche était pourtant délicate : assujettir ces entités dont la nature et le fonctionnement sont différents des Etats, à un ensemble de règles unique dans le domaine de la responsabilité internationale. L’objet de cette étude porte sur l’œuvre de codification effectuée par la Commission dans le projet d’articles. Il s’agit plus précisément d’analyser les techniques de codification utilisées par la Commission dans l’élaboration des règles applicables : s’agit-il d’une codification stricto sensu de la pratique ou bien de l’élaboration de nouvelles règles relevant du « développement progressif » du droit international ? La réponse apportée à cette question suppose préalablement de définir les sources de la codification en ce qui concerne chacune des dispositions du projet d’articles, en se demandant si elle concrétise une pratique bien établie des organisations internationales, ou au contraire une transposition des règles du projet d’articles sur la responsabilité de l’Etat, adaptées aux particularités des organisations internationales. L’autorité du projet d’articles ne semble pas, à l’heure actuelle, faire l’unanimité, et dans ce contexte, la présente étude portant sur le rapport entre codification et développement progressif dans l’œuvre de codification de la CDI permet d’apprécier l’autorité substantielle propre à chacune des dispositions du projet d’articles. D’autant qu’on ne sait absolument pas si une convention de codification sera adoptée, qui pourra ériger les dispositions du projet d’articles en normes juridiquement obligatoires. / The international law has finally a set of rules on the responsibility of the international organizations for internationally wrongful acts. After 10 years of work, the International Law Commission was able in 2011 to elaborate a draft articles codifying the rules on the matter. However the task was difficult: subject these entities, whose nature and functioning is different from States to a single set of rules in the field of international responsibility. The purpose of this study focuses on the work of codification made by the Commission in the draft articles. This is specifically to analyze the techniques of codification used by the Commission in the elaboration of the applicable rules: is it a codification sticto sensu of the practice or a creation of new rules under the "progressive development" of the international law? The answer to this question presupposes to define the sources of codification in each of the provisions of the draft articles concerned, wondering if it embodies a well-established practice of international organizations, or rather a transposition of the rules of the draft articles on States responsibility, adapted to the features of international organizations. At present the authority of the draft articles does not seem to have unanimity, and in this context, the present study on the relation between codification and progressive development in the codification work of ILC can appreciate the substantial own authority of each provisions of the draft articles. Especially that no one knows if a codification convention will be adopted, which will set the provisions of the draft articles up as legally binding norms.
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L’Union européenne et l’ordre international de l’aviation civile : la contribution de l'Union européenne aux évolutions contemporaines du droit aérien international / The European Union and International Civil Aviation : the contribution of the European Union to modern developments in International Aviation Law

Correia, Vincent 10 December 2012 (has links)
La redéfinition des conditions d’exercice de la souveraineté aérienne des États membres, par un transfert progressif de compétences au profit de l’Union européenne, ne peut être analysée uniquement en termes de dépossession et de réduction de leur puissance individuelle. Les compétences aériennes confiées à l’Union permettent l’affirmation de l’ensemble européen sur la scène internationale. Ce processus, mouvant et encore inachevé, se traduit par une prise en compte accrue de la spécificité européenne en matière d’aviation civile. Malgré des réticences certaines émanant aussi bien des États membres que des États tiers, l’Union s’érige progressivement au rang d’acteur de poids, capable d’influencer le contenu normatif du droit aérien contemporain, de la même manière que le font les puissances aériennes traditionnelles et notamment les États-Unis. Ces nouvelles tendances, révélatrices de la souplesse et de la plasticité de la convention de Chicago, permettent de dresser des perspectives quant aux possibles évolutions futures de l’ordre international de l’aviation civile. / The way in which the Member States have redefined the conditions regarding how they exercise their air sovereignty, by progressively transferring power to the European Union, cannot be viewed solely as them removing and reducing their individual powers. The powers conferred to the European Union in aviation matters are resulting in an affirmation of the international role of Europe as a whole. This on-going, and as yet incomplete process, may be seen in a greater recognition of the specific European aspect regarding Civil Aviation. In spite of the hesitance of Member States and non-member States, the European Union has progressively taken its place among the key players, able to influence developments in modern aviation law, in the same way as other established aviation authorities and especially the United States. These new trends reveal the flexibility and elasticity of the Chicago Convention and the potential future developments in International Civil Aviation.

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