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D'étudiante à infirmière d'urgence : une étude qualitative de l'expérience d'infirmières nouvellement diplômées ayant participé à un séminaire de soutien et de formation

Turner, Nancy January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Ordonnancement temps réel dur multiprocesseur tolérant aux fautes appliqué à la robotique mobile

Marouf, Mohamed 01 June 2012 (has links) (PDF)
Nous nous sommes intéressés dans cette thèse au problème d'ordonnancement temps réel dur multiprocesseur tolérant aux fautes pour des tâches non préemptives périodiques strictes pouvant être combinées avec des tâches préemptives. Nous avons proposé des solutions à ce problème et les avons implantées dans le logiciel SynDEx puis nous les avons testées sur une application de suivi de véhicules électriques CyCabs. Nous avons d'abord présenté un état de l'art sur les systèmes temps réel embarqués et plus précisément sur l'ordonnancement classique monoprocesseur et multiprocesseur de tâches préemptives périodiques. Comme nous nous intéressons aux applications de contrôle/commande temps réel critiques, les traitements de capteurs/actionneurs et les traitements de commande de procédés ne doivent pas avoir de gigue. Pour ces raisons nous avons aussi présenté un état de l'art sur l'ordonnancement des tâches non-préemptives périodiques strictes. Par ailleurs nous avons présenté un état de l'art sur la tolérance aux fautes. Comme nous nous sommes intéressés aux fautes matérielles, nous avons présenté les deux types de redondances : logicielle et matérielle. Les analyses d'ordonnançabilité existantes de tâches non préemptives périodiques strictes dans le cas monoprocesseur ayant de faibles taux de succès d'ordonnancement, nous avons proposé une nouvelle analyse d'ordonnançabilité. Nous avons présenté une stratégie d'ordonnancement qui consiste à ordonnancer une tâche candidate avec un ensemble de tâches déjà ordonnancée. Nous avons utilisé cette stratégie pour ordonnancer des tâches harmoniques et non harmoniques, et nous avons proposé des nouvelles conditions d'ordonnançabilité. Afin d'améliorer le taux de succès d'ordonnancement de tâches non préemptives périodiques strictes, nous avons proposé de garder certaines tâches non préemptives périodiques strictes et d'y ajouter des tâches préemptives périodiques non strictes ne traitant ni les entrées/sorties ni le contrôle/commande. Nous avons ensuite étudié le problème d'ordonnancement multiprocesseur selon une approche partitionnée. Ce problème est résolu en utilisant trois algorithmes. Le premier algorithme effectue une analyse d'ordonnançabilité monoprocesseur et assigne chaque tâche sur éventuellement plusieurs processeurs. Le deuxième algorithme transforme le graphe de tâches dépendantes en un graphe déroulé où chaque tâche est répétée un nombre de fois égal au rapport entre le PPCM des autres périodes et sa période. Le troisième algorithme exploite les résultats des deux algorithmes précédents pour choisir sur quel processeur ordonnancer une tâche et calculer sa date de début d'exécution. Nous avons ensuite proposé d'étendre l'étude d'ordonnançabilité temps réel multiprocesseur précédente pour qu'elle soit tolérante aux fautes de processeurs et de bus de communication. Nous avons proposé un algorithme qui permet de transformer le graphe de tâches dépendantes en y ajoutant des tâches et des dépendances de données répliques et des tâches de sélection permettant de choisir la réplique de tâches allouée à un processeur non fautif. Nous avons étudié séparément les problèmes de tolérance aux fautes pour des processeurs, des bus de communication, et enfin des processeur et des bus de communication. Finalement nous avons étendu les trois algorithmes vus précédemment d'analyse d'ordonnançabilité, de déroulement et d'ordonnancement afin qu'ils soient tolérants aux fautes. Nous avons ensuite présenté les améliorations apportées au logiciel SynDEx tant sur le plan de l'analyse d'ordonnançabilité et l'algorithme d'ordonnancement, que sur le plan de la tolérance aux fautes. Finalement nous avons présenté les travaux expérimentaux concernant l'application de suivi de CyCabs. Nous avons modifié l'architecture des CyCabs en y intégrant des microcontrôleurs dsPICs et nous avons testé la tolérance aux fautes de dsPICs et du bus CAN sur une application de suivi de CyCab.
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Alimentation carnée et Gestion des populations animales sur le territoire de la cité de Nîmes (Hérault et Gard, IIème s. av.-IIème s. ap. J.-C.)

Renaud, Audrey 12 November 2012 (has links) (PDF)
La cité de Nîmes, territoire localisé en bordure de mer Méditerranée (Gard et partie est de l'Hérault), est créée au cours du Ier s. av. J.-C., avec à sa tête un chef-lieu (Nemausus) auquel sont rattachés de nombreux établissements répartis au sein de ce vaste territoire. La société nîmoise, tout en conservant son héritage protohistorique, est profondément influencée par le modèle socio-économique romain dans ce nouveau cadre administratif centralisé. Dans ce contexte de transition, il était intéressant d'aborder la thématique de l'alimentation carnée des habitants de cette cité entre le IIème s. av. J.-C. et le IIème s. ap. J.-C. L'étude réalisée à partir des restes fauniques des mammifères provenant du chef-lieu, d'agglomérations secondaires et d'établissements ruraux, permet d'éclairer l'exploitation des animaux dits " de bouche " dans cette cité. L'analyse propose d'aborder les questions des zones d'élevage et de la présence du bétail à l'intérieur des villes, la gestion des cheptels qui révèle des différences d'exploitation entre les troupeaux et une diversité des productions : lait, laine, force de travail et bien évidemment la viande. Les données archéozoologiques ont également permis d'observer des différences entre sites et des variations chronologiques dans le choix des espèces consommées, ainsi que dans les techniques de découpe des carcasses, les qualités de viande et la gestion des déchets d'origine animale. Les résultats font apparaître une organisation territoriale de l'économie animale nîmoise avec des lieux de production et de consommation, des activités que l'on retrouve souvent entremêlées au sein des établissements.
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Capital, production, circulation monétaire. <br /> Le capital financier dans l'analyse de la production et de la croissance

Hénin, Pierre-Yves 21 December 1970 (has links) (PDF)
A un moment où la controverse des deux Cambridge suscite un regain d'intérêt pour une réflexion conceptuelle sur la théorie du capital, la thèse souhaite proposer un cadre d'intégration entre théories de la production, du capital et de la circulation monétaire. Un chapitre introductif met en place les grandes problématiques qui sous-tendent le travail- approche formelle et approche conceptuelle, économie d'échange et économie de production, théorie de la circulation versus théorie de l'allocation- et les replace dans la perspective de la conception wicksellienne d'une économie capitalistique et monétaire. En quatre chapitres, la première partie présente une théorie du capital financier. Le chapitre 1er évoque l'évolution de la théorie du capital du point de vue, préclassique, classique et marxiste, de la circulation - ou du circuit - à celui de l'allocation des biens et services. Le chapitre II explicite les variétés du concept de capital du point de vue du processus de production et de sa dimension temporelle. Le chapitre III développe les fondements microéconomiques de la représentation structurelle proposée en termes de fonction de production technologique sous contrainte financière. Le chapitre IV développe une analyse temporelle d'inspiration wicksellienne en utilisant le formalisme des fonctions de distribution statistiques appliquées à l'échelonnement temporel des flux d'inputs et d'output, ce qui permet de faire un point rigoureux sur le concept de période de production. Sous le titre "Production et circulation monétaire", la seconde partie étend l'analyse à un modèle global, appliqué à une caractérisation de la dynamique historique du capitalisme. Le chapitre V présente un modèle de production, reposant sur l'explicitation des dimensions temporelles dans un modèle dynamique de Léontief. On y dégage deux notions de système de référence, le système étalon de Sraffa mais aussi le système uniforme de Nell. Le chapitre VI propose des modèles de circulation monétaire utilisant, selon un article de Fei, le formalisme des graphes valués. Ceci permet de dégager un concept de dualité prévalent dans une théorie du circuit comme la dualité au sens de la programmation s'applique dans la théorie de l'allocation. On montre ensuite que la théorie de l'allocation comporte deux grandes représentations, qui fondent respectivement une théorie des avances et une théorie de la dépense. Le chapitre VII intègre les modèles de production et de circulation pour distinguer deux systèmes de fonctionnement, correspondants respectivement aux modèles ouverts ou fermés de Leontief. Le chapitre terminal adopte une perspective dynamique pour dégager d'abord le rôle des avances et des dépenses comme impulsions respectivement dans les systèmes ouverts et fermés. Ces systèmes répondant à une croissance limitée respectivement par le capital et la main d'œuvre, on montre ensuite comment le progrès technique le long d'une frontière d'évolution des revêt des formes capital- puis -labour-augmenting. Dans une perspective de dynamique historique, ces systèmes correspondent à des phases successives de l'accumulation capitaliste , interprétables également en termes de croissance intensive, puis de croissance extensive. On suggère pour finir, que cette évolution apporte un éclairage intéressant sur l'évolution de la pensée économique.
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Les arrière-pays des cités phéniciennes à l'époque héllénistique, IVe siècle - IIe siècle ap. J.-C : approches historiques et spatiales d'une aire géoculturelle

Guillon, Élodie 08 November 2013 (has links) (PDF)
Cette étude de l'organisation spatiale des cités phéniciennes et des rapports qu'elles entretiennent avec leurs arrière-pays, entre le règne de Darius III (336-330 av. J.-C.) et l'arrivée de Pompée en Orient (66 av. J.-C.), s'appuie sur un corpus archéologiques de cinquante-trois sites identifiés au Liban, en Syrie et en Israël. Le développement des études phéniciennes à partir du XIXe siècle a favorisé l'étude de problématiques centrées sur le lien entre les Phéniciens et la Méditerranée. L'essor, ces dernières années, d'études abordant les dynamiques spatiales comme témoins du rapport des sociétés anciennes à leur territoire invite à repenser ce lien, en étudiant l'organisation des cités et leurs rapports avec leurs-arrière-pays. Représentés par des réseaux d'interaction et de hiérarchie modélisés entre les cinquante-trois sites du corpus, ces rapports sont examinés au miroir du contexte historique hellénistique. Ce dernier, étudié à échelle régionale et locale, livre les grandes logiques géopolitiques impliquant la Phénicie à cette époque, ainsi que des données qui alimentent la représentation des réseaux. Le croisement des données historiques et des résultats de modélisation des réseaux débouche sur une lecture dynamique des arrière-pays phéniciens, principalement centrée sur le fonctionnement politique et les activités commerciales et religieuses des cités
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Les monuments "funéraires" thraces : une crise d'identité

Marinov, Ivan 12 1900 (has links)
Cette étude porte sur l’analyse de l’identité, en termes de fonction, des monuments érigés sous tumulus dans le territoire actuel de la Bulgarie. Ces monuments sont généralement datés du Ve au IIIe siècle avant notre ère et ont été associés aux peuples thraces qui ont évolué sur ce territoire durant cette époque. Les monuments thraces sous tumulus, aux structures en blocs de pierre ou en moellons, ou d’un mélange de matériaux et de techniques différentes, ont été invariablement recouverts de monticules de terre dès l’Antiquité. Les tumuli ainsi obtenus ont été utilisés à différentes fins par les peuples locaux jusqu’à l’époque moderne. Les études plus ou moins détaillées des monuments thraces sous tumulus, qui ont débuté dès la fin du XIXe siècle de notre ère, ainsi que l’accumulation rapide de nouveaux exemplaires durant les deux dernières décennies, ont permis de constater une grande variabilité de formes architecturales en ce qui a trait aux différentes composantes de ces constructions. Cette variabilité a poussé certains chercheurs à proposer des typologies des monuments afin de permettre une meilleure maîtrise des données, mais aussi dans le but d’appuyer des hypothèses portant sur les origines des différents types de constructions sous tumulus, ou sur les origines des différentes formes architectoniques identifiées dans leurs structures. Des hypothèses portant sur la fonction de ces monuments, à savoir, sur l’usage qu’en ont fait les peuples thraces antiques, ont également été émises : certains chercheurs ont argumenté pour un usage funéraire, d’autres pour une fonction cultuelle. Un débat de plus en plus vif s’est développé durant les deux dernières décennies entre chercheurs de l’un et de l’autre camp intellectuel. Il a été constamment alimenté par de nouvelles découvertes sur le terrain, ainsi que par la multiplication des publications portant sur les monuments thraces sous tumulus. Il est, de ce fait, étonnant de constater que ni les hypothèses portant sur les origines possibles de ces constructions, ni celles ayant trait à leurs fonctions, n’ont été basées sur des données tangibles – situation qui a eu pour résultat la désignation des monuments thraces par « tombes-temples-mausolées », étiquette chargée sinon d’un sens précis, du moins d’une certaine connotation, à laquelle le terme « hérôon » a été ajouté relativement récemment. Notre étude propose de dresser un tableau actuel des recherches portant sur les monuments thraces sous tumulus, ainsi que d’analyser les détails de ce tableau, non pas dans le but de trancher en faveur de l’une ou de l’autre des hypothèses mentionnées, mais afin d’expliquer les origines et la nature des problèmes que les recherches portant sur ces monuments ont non seulement identifiés, mais ont également créés. Soulignant un fait déjà noté par plusieurs chercheurs-thracologues, celui du manque frappant de données archéologiques exactes et précises dans la grande majorité des publications des monuments thraces, nous avons décidé d’éviter la tendance optimiste qui persiste dans les études de ces derniers et qui consiste à baser toute analyse sur le plus grand nombre de trouvailles possible dans l’espoir de dresser un portrait « complet » du contexte archéologique immédiat des monuments ; portrait qui permettrait au chercheur de puiser les réponses qui en émergeraient automatiquement, puisqu’il fournirait les éléments nécessaires pour placer l’objet de l’analyse – les monuments – dans un contexte historique précis, reconstitué séparément. Ce manque de données précises nous a porté à concentrer notre analyse sur les publications portant sur les monuments, ainsi qu’à proposer une approche théoriquement informée de l’étude de ces derniers, en nous fondant sur les discussions actuelles portant sur les méthodes et techniques des domaines de l’archéologie, de l’anthropologie et de l’histoire – approche étayée dans la première partie de cette thèse. Les éléments archéologiques (avant tout architecturaux) qui ont servi de base aux différentes hypothèses portant sur les constructions monumentales thraces sont décrits et analysés dans le deuxième volet de notre étude. Sur la base de cette analyse, et en employant la méthodologie décrite et argumentée dans le premier volet de notre thèse, nous remettons en question les différentes hypothèses ayant trait à l’identité des monuments. L’approche de l’étude des monuments thraces sous tumulus que nous avons adoptée tient compte tant de l’aspect méthodologique des recherches portant sur ceux-ci, que des données sur lesquelles les hypothèses présentées dans ces recherches ont été basées. Nous avons porté une attention particulière à deux aspects différents de ces recherches : celui du vocabulaire technique et théorique implicitement ou explicitement employé par les spécialistes et celui de la façon dont la perception de l’identité des monuments thraces a été affectée par l’emploi de ce vocabulaire. Ces analyses nous ont permis de reconstituer, dans le dernier volet de la présente étude, l’identité des monuments thraces telle qu’implicitement ou explicitement perçue par les thracologues et de comparer cette restitution à celle que nous proposons sur la base de nos propres études et observations. À son tour, cette comparaison des restitutions des différentes fonctions des monuments permet de conclure que celle optant pour une fonction funéraire, telle que nous la reconstituons dans cette thèse, est plus économe en inférences et mieux argumentée que celle identifiant les monuments thraces de lieux de culte. Cependant, l’impossibilité de réfuter complètement l’hypothèse des « tombes-temples » (notamment en raison du manque de données), ainsi que certains indices que nous avons repérés dans le contexte architectural et archéologique des monuments et qui pourraient supporter des interprétations allant dans le sens d’une telle identification de ces derniers, imposent, d’après nous, la réévaluation de la fonction des constructions thraces sous tumulus sur la base d’une restitution complète des pratiques cultuelles thraces d’après les données archéologiques plutôt que sur la base d’extrapolations à partir des textes grecs anciens. À notre connaissance, une telle restitution n’a pas encore été faite. De plus, le résultat de notre analyse des données archéologiques ayant trait aux monuments thraces sous tumulus, ainsi que des hypothèses et, plus généralement, des publications portant sur les origines et les fonctions de ces monuments, nous ont permis de constater que : 1) aucune des hypothèses en question ne peut être validée en raison de leur recours démesuré à des extrapolations non argumentées (que nous appelons des « sauts d’inférence ») ; 2) le manque flagrant de données ou, plus généralement, de contextes archéologiques précis et complets ne permet ni l’élaboration de ces hypothèses trop complexes, ni leur validation, justifiant notre approche théorique et méthodologique tant des monuments en question, que des études publiées de ceux-ci ; 3) le niveau actuel des connaissances et l’application rigoureuse d’une méthodologie d’analyse permettent d’argumenter en faveur de la réconciliation des hypothèses « funéraires » et « cultuelles » – fait qui ne justifie pas l’emploi d’étiquettes composites comme « templestombes », ni les conclusions sur lesquelles ces étiquettes sont basées ; 4) il y a besoin urgent dans le domaine de l’étude des monuments thraces d’une redéfinition des approches méthodologiques, tant dans les analyses théoriques des données que dans le travail sur le terrain – à défaut de procéder à une telle redéfinition, l’identité des monuments thraces sous tumulus demeurera une question d’opinion et risque de se transformer rapidement en une question de dogmatisme. / This thesis analyzes the identity of the tumular monuments designated as “Thracian”, discovered in the territory of present day Bulgaria and dated between the 5th and the 3rd centuries B.C. These monuments, built in ashlar masonry or in unprocessed stones, or a mix of different materials and building techniques, were invariably covered by earthen mounds (called tumuli) which have been used to varied ends by local populations from Antiquity until the present day. More or less detailed studies of these tumular monuments began to appear by the end of the 19th century, while the list of newly discovered structures continues to grow almost exponentially. These publications and discoveries revealed that the sample of known Thracian monuments is characterised by what has been described as a great variety of architectural forms. Overwhelmed by this apparent variety, and in an attempt to explain it, certain researchers have tried to categorise what they have perceived as different types of monuments. Many hypotheses bearing on the function of the latter have also been proposed, although they differ only in the details and can be categorised in two main groups: that arguing for a funerary function of the monuments, and that arguing for a cultual one. Through the years, a heated debate has developed between researchers adhering to one or to the other of these hypotheses – discussion which has been fueled by a constant discovery of new monuments. It is thus surprising to note that neither the hypothesis pertaining to the possible origins of these buildings, nor those attempting to explain their functions, have been based on tangible data – a situation which has resulted in the attribution to the monuments of dubious labels such as “tombs-temples-mausoleums-heroons”. This study provides a comprehensive analysis of the hypotheses pertaining to the functions and, in more general terms, the identity of the Thracian tumular monuments. Its main objective is to explain the problems that these hypotheses have helped to identify, and which, ironically, they have contributed to sustain. It is noted that, despite the lack of precision in the accumulated empirical data relating to the Thracian monuments, most, if not all, researchers working in the field have tended to sink into an excessive positivism. This approach resulted in the implicit or explicit expression of the belief that that the inclusion of the maximum quantity of empirical data in a given analysis will necessarily result in a more complete understanding of a given archaeological context, which can then be inserted in a previously elaborated historical context, so as to paint a clearer picture of the past. Contrary to this tendency, and because of the lack of precise data, the present research focuses first, and foremost, on the publications bearing on the Thracian monuments and proposes a theoretically informed approach of the study of the latter. As described in Part I, this approach is based on current discussions concerning the methods and techniques of analysis in the fields of archaeology, anthropology and history, which have developed around similar circumstances defined by “incomplete” empirical data. The different hypotheses relating to the identity (or function) of the Thracian monuments have been based on specific archaeological elements (mainly of architectural nature), which are described and analysed in the second part of the thesis. The different interpretations of the Thracian monuments are then examined in the light of these analyses. Finally, in Part III of this thesis, the identities attributed to the Thracian monuments are scrutinised on the basis of these analyses and a restitution of the practices related to these monuments is proposed. The approach to the study of the Thracian tumular monuments that has been adopted in this thesis takes into account not only the methodological aspect of the research published by specialists in the field, but also the data on which the different hypotheses relating to these monuments have been based. Particular attention has been drawn to two aspects present in all publications on the subject: the “technical” and “theoretical” vocabulary implicitly or explicitly employed by the authors and the manner in which it affects their perception of the identity of the Thracian monuments. Part III analyzes and underlines the outcome of the different uses of the implicitly or explicitly defined vocabularies employed by thracologists, leading to a comparison between the already published perceptions of the identity of the Thracian monuments and the reconstitution of their function proposed by the author of this thesis. This comparison, as well as the application of the methodology presented in Part I, show that the restitution of the monuments as having had a funerary function is the most parsimonious and better founded in the material record than the cultual function for which some have argued. However, the function of the monuments, as reconstituted by the author of this thesis, differs from most of the “funerary” explanations of the monuments published to date – these tend to venture far beyond the inductions permitted by the available data. Furthermore, this (or any other) restitution of the monuments’ function as funerary does not automatically exclude the possibility of them having been used as cultual places/buildings. Despite the apparent similarity between such an argument with those that have been emitted towards the identification of the Thracian monuments as “temple-tombs”, the author expresses the opinion that the use of such labels is dubious and allows for unfounded critique and ineffectual comparisons between the classical Greek idea of the “temple” and Thracian cultual places. The result of the analysis of the different elements pertaining to the reconstitution of the Thracian monuments’ identity have led to the following conclusions: 1) none of the already published hypotheses arguing for a funerary or for a cultual explanation of the monuments can be validated because of the excessive recourse by their authors to extrapolations lacking proper argumentation; 2) the lack of precise data or, more importantly, of precisely excavated and reconstituted archaeological contexts, prohibits the elaboration of complex hypotheses such as those proposed by specialists in the field; 3) nevertheless, the current state of knowledge regarding the material culture related to the Thracian monuments, and the rigorous application of a methodical analysis of the data show that a reconciliation between the “funerary” and the “cultual” identities of the monuments is possible – however, this fact should not be perceived as a justification of the use of labels similar to “temple-tombs”, nor of the conclusions upon which such labels are based; 4) there is an urgent necessity for a re-definition of the methodological approaches used (or the lack thereof) in the theoretical analyses of the Thracian monuments, as well as those employed on the field, during excavations. A failure to take account of these facts and shortcomings by proceeding with such a re-definition would mean that the identity of the Thracian tumular monuments would remain a matter of opinion and could even be transformed into a matter of dogma. The analyses in this thesis can serve as a base for the re-evaluation of the identity of the Thracian monuments because of their theoretical and methodological soundness. However, such a re-evaluation must also be based on a reconstitution of Thracian ritual practices based on the archaeological record. Paradoxically, despite the impressive amount of publication on the subject of the Thracian tumular monuments as places of cultual practices, a systematic reconstitution of Thracian ritual based on Thracian material culture is yet to be proposed.
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Facteurs de risque de la mortalité des agneaux D'man élevés dans les oasis tunisiennes : relations avec les aptitudes maternelles et la vigueur du nouveau-né / The risks factors of mortality of D'man lambs elevated in Tunisian oases : relationships with maternal aptitudes and newborn vigor

Chniter, Mohamed 27 September 2013 (has links)
Les ovins D’man sont élevés dans les oasis tunisiennes selon un rythme accéléré permettant d’avoir trois agnelages en deux ans. En plus des effets directs du mode d’élevage et d’environnement exercés sur les brebis D’man, la prolificité élevée pose question quant à la survie, la croissance et le bien-être des agneaux. L’objectif de ce travail est de déterminer les facteurs de risque qui affectent la survie et la croissance chez les agneaux D’man élevés dans les oasis de Gabès. Dans une première étape, le travail a traité les facteurs de risque d’ordre zootechnique et environnemental sur la base des données concernant 1189 agneaux élevés à la ferme de l’OEP de Gabès. En moyenne, un taux de mortalité égal à 13,4% a été observé de la naissance au sevrage dont 41% pendant les 10 premiers jours de vie, 29% entre 10 et 30 jours et 30% entre 30 et 70 jours. Le taux de mortalité est plus élevé chez les agneaux nés en hiver (23,5%) par comparaison au printemps (12,3%), l’automne (10,2%) et l’été (9,5%). A cause de leur poids léger, les agneaux issus des portées multiples (triples et quadruples) ont un taux de mortalité plus élevé (52,2%) comparés à ceux issus des portées simples et doubles ayant un poids de naissance medium (24,4%) ou lourd (1,8%). Les agneaux nés en printemps sont plus lourds à la naissance, à 30 et 70 jours et par conséquent ont des vitesses de croissance plus importantes par comparaison aux agneaux nés en hiver, en automne et en été. Le poids à la naissance et les vitesses de croissance sont également influencés par la taille de portée et l’âge de la brebis. Le faible poids à la naissance (≤ 1,5 kg), les portées multiples (quadruples et quintuples) et les agnelages d’hiver sont les principaux facteurs de risque pour la survie et la croissance des agneaux D’man. / D’man ewes are reared in Tunisian oases under an accelerated management system allowing breeders to have three lambing periods every two years. High prolificacy may accentuate the detrimental effects of an accelerated lambing system through problems which affect growth, welfare and survival. Therefore, the aim of the present study was to determine the risk factors of lamb mortality in this prolific breed maintained under intensive management in Tunisian oases. In a first step, growth and mortality rates are reported using records of 1189 lambs collected between 2004 and 2009 from an accelerated lambing system to determine risk factors according to characteristics of the animals and the environment. Results showed that overall mortality from birth to 70 days of age was 13.4%. Of all the total losses, 41% of the lambs died within 10 days of birth, 29% died between 10 and 30 days of age and 30% between 30 and 70 days. Mortality rate was significantly higher in winter (23.5%) than in spring (12.3%), autumn (10.2%) and summer (9.5%). Lambs in the low-weight category died more frequently (52.2%) than lambs from medium-weight (24.4%) to high-weight (1.8%) categories. Lambs born in spring were consistently the heaviest at birth, at 30 and 70 days of age with the greatest average daily gains compared to those born in winter, autumn and summer. Birth weights were affected by litter size and ewe age, and lambs from older ewes (2-10 years) grew faster than lambs born from young ewes (1 year). The principal risk factors identified were season (winter), birth type (multiple) and weight class (≤ 1.5 kg).
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Modélisation d'observations spectroscopiques, résolues en phase, d'exoplanètes de type Jupiter chaudes avec NIRISS à bord du télescope spatial JWST

Arboit, Geneviève 08 1900 (has links)
No description available.
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Levels of immunoglobulin G, white blood cells and fibrinogen in dairy cows with and without endometritis during the transitional period

Bazzazan, Ali 04 1900 (has links)
No description available.
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Premiers contacts entre britanniques et indiens d'Amérique du Nord et conséquences sur leurs modes de vie respectifs / First contacts between british people and native americans and consequences on their respective ways of life

Savalle, Caroline 18 November 2013 (has links)
Ce travail s’attache à étudier les conséquences qu’ont eu les contacts entre Britanniques et populations amérindiennes sur le mode de vie de ces deux populations dès leur première rencontre. L’idée reçue veut que seuls les Britanniques aient laissé (et lourdement) leur empreinte sur le sol et les peuples qu’ils ont rencontrés à leur arrivée sur le nouveau continent. Or le sujet est ici plutôt celui d’une influence réciproque dans une certaine mesure, au vu de données archéologiques, historiques et ethnohistoriques. Les angles d’étude choisis sont les habitudes et comportements liés directement ou non à l’alimentation (comment se procuraient-ils leur nourriture, comment la cuisinaient-ils, la partageaient-ils, quels liens sociaux découlaient de ces procédés,… ?), les différences culturelles et les rapports aux autres (autres tribus, colons originaires d’autres nations européennes…) qu’ils soient amicaux ou hostiles, diplomatiques ou économiques. / This study investigates the consequences that contacts between British people and Native American populations had on their respective ways of life. There is a widespread cliché in people’s minds according to which only British people would have had (heavily) left their marks on the North American ground and peoples that they encountered. Nevertheless, and contrarily to this idea, we shall tackle here their reciprocal influence, that is the way in which Native tribes also deeply impacted British colonists’ everyday life in the New World. We were able to witness such an influence thanks to archaeological, historical and ethnohistorical evidence. Various angles of study were chosen for this paper: the cultural habits and behaviors directly or indirectly linked to food (how did people have access to food supplies? How were foodstuffs prepared or cooked? Were food and/or meals shared? Which social links and practices -if any- derived from such habits?...). We shall also have to present to the audience what Native people’s connections and attitudes towards other tribes, or colonists from different European nations, were. And these could have been friendly, diplomatic, economical or even hostile relationships, implying political management and thinking ahead of taking actions, which was commonly omitted in the past.

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