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Du désaveu du social à la présentation nominaliste : le mouvement de la réception de Durkheim (1893-1939)

Pizarro Noël, François January 2009 (has links) (PDF)
La théorie sociologique a subi, dans les 40 premières années de l'institutionnalisation de cette discipline, une inflexion la détournant d'une des questions théoriques qui avaient suscité sa fondation: celle de la possibilité d'une explication de la pérennité de l'organisation de la société qui ne soit pas fondée sur la théorie libérale classique de l'individu rationnel. Si cet aspect du projet sociologique a d'abord été directement confronté, ce n'est pas par le biais d'une argumentation étoffée et de critiques percutantes qu'il a finalement été neutralisé mais plutôt par son omission puis par sa négation. Pour démontrer ce processus menant à la neutralisation d'un problème fondamental de la sociologie classique, j'ai choisi d'examiner la réception des travaux d'un de ceux qui l'a abordé le plus ouvertement, le fondateur français de la sociologie, Émile Durkheim. Les travaux de Durkheim et de son école, au même titre que ceux de Marx, se présentent comme des idéaux types de l'effort théorique visant à présenter l'organisation sociale comme autre chose que le résultat des aptitudes et actions des individus qui y participent c'est-à-dire comme des formes de réalisme social. En ce sens, la réception de leurs thèses est un excellent indicateur de la position des différents sociologues sur la possibilité, voire la pertinence, d'une telle tentative. En étudiant les textes de réception des écrits durkheimiens produits en France, en Angleterre et aux États-Unis entre 1893 et 1939, j'ai pu retracer d'abord les oppositions directes au "réalisme social" durkheimien puis les omissions de cet aspect de sa pensée qui ont fini par déboucher sur un travestissement -une périodisation -de cette dernière. Il ressort de cette étude que le réalisme social, qu'il soit identifié comme "chosisme", "ontologisme", "matérialisme", "négation de la psychologie" ou relégué au statut de "période" de la pensée durkheimienne, reste le même au-delà des formes changeantes de la critique.
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Hegel/Levinas et le problème de la reconnaissance / Hegel/Levinas and the problem of recognition

Balbontin-Gallo, Cristobal 26 June 2015 (has links)
Notre thèse vise donc à confronter la pensée de Levinas à celle d’Hegel autour du problème de la reconnaissance. Elle a pour but non seulement de faire une lecture critique de la pensée de Levinas à la lumière de la pensée de Hegel, mais de mener également une lecture critique du problème de la reconnaissance chez Hegel à la lumière des exigences de Levinas. Le propos est d’envisager une relecture du problème de la reconnaissance qui permette de surmonter l’ensemble des critiques. Ainsi, nous projetons de faire une relecture de l’ensemble de la philosophie hégélienne en donnant une portée post-métaphysique à son œuvre. Cela implique aussi d’élaborer une interprétation systématique du problème de la reconnaissance qui porte non seulement sur la Phénoménologie de l’esprit, mais aussi sur trois autres versions de la dialectique de la reconnaissance dans la periode de Francfort, la periode d’Iéna et l’Encyclopédie de Heidelberg. Notre thèse est que les deux philosophes adressent réciproquement l’un à l’autre une critique radicale qui risque vraisemblablement de changer le visage du problème de la reconnaissance, et qui a des conséquences normatives et politiques. / Our thesis therefore aims to confront the thought of Levinas to that of Hegel around the problem of the recognition. It is designed not only to make a critical reading of the thought of Levinas in the light of the thought of Hegel, but to carry out also a critical reading of the problem of hegel’s recognition theory in the light of the requirements of Levinas. The purpose is to explore a new lecture of the problem of recognition which allows us to overcome all the criticism, as well as intending to do a replay of the whole of the hegelian philosophy in giving a post-metaphysical scope of its implementation. This also implies to develop a systematic interpretation of the problem of recognition which is to be focused not only on the Phenomenology of the spirit, but also on three other versions of the dialectic of the recognition in the Frankfurt writings, the Jena writings and the Encyclopedia of Heidelberg. Our thesis is that the two philosophers directed conversely one to the other a radical criticism that is likely to change the face of the problem of recognition, and which has normative and political consequences.
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Le capitalisme comme forme historique et comme pratique sociale : une contribution à la philosophie sociale à partir de Marx et de la théorie de la régulation / Capitalism as historical form and social practice : a contribution to social philosophy based on Marx and régulation theory

Da Hora Pereira, Leonardo Jorge 17 October 2016 (has links)
Cette étude de philosophie sociale vise à comprendre la spécificité du capitalisme en tant que forme historique d’organisation sociale et de transformation du monde. Elle propose une réflexion descriptive et normative sur la pratique sociale capitaliste, afin de mieux cerner la complexité, la diversité et la plasticité de la dynamique capitaliste. Nous avons choisi de partir de la façon dont Marx conçoit la logique du capital sous l’angle de l’abstraction réelle, ce qui nous permet de saisir la pratique capitaliste selon les termes d’une normativité abstraite, d’un « devoir-être » qui pose comme fin « suprasensible » l’idéalisation d’une survaleur infinie. Marx fournit de précieuses ressources théoriques non seulement pour comprendre l’abstraction capitaliste, mais aussi pour déterminer les formes selon lesquelles celle-ci intervient et restructure la réalité concrète à travers l’action des capitalistes, en rendant explicites les tensions liées à une telle restructuration de l’existant selon des postulats abstraits. À travers la confrontation de la conceptualisation marxienne avec des courants plus contemporains d’interprétation de la dynamique capitaliste, comme les analyses macroéconomiques et institutionnalistes de la Théorie de la Régulation et les travaux psycho-sociologiques portant sur l’organisation néomanagériale du travail et de la consommation, nous montrons que la théorisation de la pratique capitaliste doit rendre compte de la diversité et de la plasticité de la trajectoire du capitalisme, ainsi que de la manière dont celui-ci réussit à se reproduire, même parmi tant de crises et d’obstacles, au moins jusqu'à présent. C’est pourquoi nous proposons une esquisse de modèle de pratique capitaliste qui, s’inspirant de certains aspects de la philosophie pratique kantienne (notamment le concept d’imagination), tente de forger un concept d’imagination capitaliste, lequel permet de comprendre l’ouverture constante à de nouveaux modes de réalisation des idéalisations capitalistes. Cette conception de la pratique capitaliste nous conduit finalement à repenser sur de bases plus créatives et imaginatives la critique immanente du capitalisme. / This work on social philosophy aims at understanding the specificity of capitalism as a historical form of social organization and transformation of the world. It presents a descriptive and normative reflection on the capitalist social practice in order to better understand the complexity, diversity and plasticity of capitalist dynamics. Our starting point is Marx’s understanding of the logic of capital as a real abstraction. This enables us to grasp the capitalist practice by way of an abstract normativity, a “duty” which sets the idealisation of an infinite surplus value as a “suprasensible” end. Marx provides valuable theoretical resources not only to understand capitalist abstraction, but also to determine the form in which it operates and restructures concrete reality through the action of capitalists. It does so by making explicit the tensions related to such restructuring. Moreover, we contrast the Marxist conceptualization with more contemporary currents of interpretation of capitalist dynamics such as the macroeconomic and the institutionalist analyses of Regulation Theory and psycho-sociological studies on the neomanagement organization of labor and consumption. In this way, we show that the theory of capitalist practice must not only reflect the diversity and plasticity of the trajectory of capitalism but also reveal how it manages to reproduce itself (at least so far) even among so many crises and obstacles. That is why we propose an outline of a model of capitalist practice inspired by certain aspects of Kantian practical philosophy (especially the concept of imagination). With this model we intend to create a concept of capitalist imagination, which helps to understand the constant openness to new embodiments of capitalist idealizations. This conception of capitalist practice finally leads us to rethink the immanent critique of capitalism on a more creative and imaginative basis.
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Philosophie et société : esquisse d'une contribution à la définition de la fonction sociale du philosophe / Philosophy and society : a contribution to the definition of the social function of the philosopher

Bethencourt, Julien 26 November 2011 (has links)
Ce travail de thèse est l'esquisse d'une contribution à la question suivante : comment faire de la philosophie aujourd'hui pour, non plus seulement interpréter le monde de différentes manières, mais aussi participer à le transformer ?Pour produire cette contribution, ce travail se propose de définir la fonction sociale de la pratique matérielle du philosophe dans les systèmes de production philosophiques, culturels et sociaux.C'est ainsi que ce travail définit avec les outils conceptuels de la théorie matérialiste historique de Marx, Engels et Althusser, et psychanalytique de Freud :- les pratiques déterminées de production discursives que le philosophe accomplit dans son système de production spécifique ;- la fonction culturelle particulière que ces pratiques ont pour les forces productives, les rapports et les systèmes de production des discours idéologiques dominants et (ou) émergeants, des discours savants des Sciences Humaines et Sociales et des Arts, Lettres et Langues, et des discours profanes ;- enfin, la fonction sociale générale de ces pratiques. / This doctorial dissertation is an attempt to contribute to the following question: how to practise philosophy today in order to not only interpret the world in various ways, but also to participate in changing it ?To do that this doctorial thesis aims to define the social function of the material practice of the philosopher in philosophical, cultural and social production systems. Relying on both the conceptual tools of Freudřs psychoanalytical theory and those of the theory of historical materialism as used by Marx, Engels and Althusser, this thesis specifies :- The practices of discursive production accomplished by the philosopher within the framework of his or her specific production system.- The cultural function these practices have for the productive forces, the relationships and the production systems of dominant and (or) emerging ideological discourses, scholarly discourses in the humanities and the arts, and discourses aimed at the general public.- Finally the general social function of these practices.
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De la propriété à l'autonomie :la propriété privée est-elle une institution démocratique?

Fabri, Eric 18 October 2019 (has links) (PDF)
Voir infra / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'espace public au-delà de l'agir communicationnel. Quatre renversements de perspective pour sortir des impasses du modèle habermassien

Ballarini, Loïc 30 November 2010 (has links) (PDF)
Ce travail vise à définir les conditions d'un renouvellement de la portée théorique et empirique du concept d'espace public. À partir d'une lecture critique du livre fondateur de Jürgen Habermas et des principales contributions dans le champ des Sciences de l'information et de la communication, en m'inscrivant dans une démarche interdisciplinaire faisant appel à la philosophie, aux études littéraires et linguistiques, à la géographie, à la sociologie et à l'ethnologie, et en m'appuyant sur des entretiens avec des lecteurs de presse régionale, je propose d'opérer quatre renversements de perspective permettant de dépasser les limites de la conception habermassienne de l'espace public. Il s'agit tout d'abord de renoncer à toute idée d'un âge d'or pour considérer l'espace public comme un ensemble de processus dynamiques. La deuxième étape consiste à le concevoir comme le lieu symbolique de formation des opinions personnelles, et non, comme le fait Habermas, comme le creuset d'une opinion publique plus fantasmée que scientifiquement établie. La conception universelle, unique et médiatique de l'espace public habermassien constituant elle aussi une impasse, un troisième renversement conduit à envisager un espace public fragmenté, local et conversationnel. Ces trois premiers renversements de perspective sont rien moins que nécessaires pour pouvoir continuer à étudier l'espace public dans le monde contemporain. Ils permettent d'en faire un concept central dans l'étude de la circulation des idées et des nouvelles. Mais, comme le montrent les entretiens, ils trouvent aussi leurs limites en ce qu'ils n'autorisent qu'un abord superficiel de la question de la formation des opinions personnelles. Donner sa pleine mesure au potentiel heuristique de l'espace public passe donc par un quatrième renversement de perspective, qui consiste à faire sortir le concept de la théorie de l'agir communicationnel pour l'intégrer à une théorie de la société capable d'expliciter les rapports sociaux. Là où Habermas réifiait son concept en le soumettant à l'illusion d'une société guidée par la recherche de l'entente, une critique marxiste ouverte aux différentes recherches sur les processus de socialisation permet à l'espace public de prendre en compte les conditions objectives et les rapports de force dont est faite la société.
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Comprendre l'incompréhensible : l'interprétation de la société, de Weber à Adorno

Cornut St-Pierre, Pascale January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Recherches sur le sens moral, le sens commun, et l'association. Note de synthèse

Jaffro, Laurent 01 December 2003 (has links) (PDF)
Le dossier complet en vue de l'habilitation comprenait, outre la présente note de synthèse, un document en deux tomes (Sens commun et sens moral. Une veine stoïcienne dans les Lumières britanniques, 550 p. - I. La rhétorique du sens commun. II. La gymnastique du sens moral), un tome de Varia (109 p.) et trois livres publiés (1. Ethique de la communication et art d'écrire. Shaftesbury et les Lumières anglaises, Paris, PUF, 1998 ; 2. Shaftesbury, Exercices, trad. du manuscrit autographe des Askêmata, présent. et annot. par Laurent Jaffro, Paris, Aubier, 1993 ; 3. John Toland, La constitution primitive de l'Eglise chrétienne / The Primitive Constitution of the Christian Church, édition critique du texte anglais et d'un manuscrit français du 18e siècle, précédée de L'ecclésiologie de John Toland par Laurent Jaffro, Paris, Champion, 2003). Ce travail articule l'histoire de la philosophie britannique et la philosophie morale et politique, selon deux axes : 1. Les notions de common sense et de moral sense dans les Lumières anglaises et écossaises. 2. Une approche ecclésiologique de l'association.
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Comprendre l'incompréhensible : l'interprétation de la société, de Weber à Adorno

Cornut St-Pierre, Pascale January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Raison, délire et critique : psychanalyse et critique de la raison chez Adorno et Horkheimer / Reason, madness and critique : psychoanalysis and Critique of Reason by Adorno and Horkheimer / Vernunft, Wahn und Kritik : Psychoanalyse und Vernunftkritik bei Adorno und Horkheimer

Grivaux, Agnès 11 June 2018 (has links)
Nous proposons dans ce travail une interprétation de la référence à la psychanalyse chez Adorno et Horkheimer, en partant de son usage dans un champ inattendu, quoique central : la critique de la rationalité. Adorno et Horkheimer affirment, notamment dans la Dialectique de la raison, que la raison, concept à la fois central et structurant pour la société moderne capitaliste, entre en conflit avec elle-même jusqu'à son autodestruction, qui doit être comprise comme passage dans la folie. Nous entendons soutenir que cette affirmation peut être comprise de manière non-métaphorique par le recours à la psychanalyse, à partir d’une double lecture de leurs écrits, à la fois génétique et micrologique. Nous situons la genèse du croisement entre psychanalyse et critique de la rationalité dans leurs premiers travaux, au moment de traiter du rapport entre psychologie et théorie de la connaissance, d’abord dans une perspective philosophique néokantienne, puis dans le cadre du programme de recherches interdisciplinaires des années trente. Ce croisement précoce conduit Adorno et Horkheimer à s’intéresser tant à la part inconsciente qui travaille les processus de connaissance, qu’à la logique des phénomènes apparemment les plus irrationnels. Nous réinterprétons ainsi les travaux des années trente et quarante comme la mise au jour d’une conjonction de formes spécifiques de rationalisation sociale avec la montée de phénomènes sociaux particulièrement irrationnels, notamment liés à l’émergence du fascisme. Cette conjonction mène alors à la thématisation psychanalytique de l’autodestruction de la raison. Notre thèse est que la mise au jour de ce paradigme critique singulier – qui associe approche psychanalytique, critique de la raison et théorie de la connaissance – révèle de façon cohérente et globale la fonction attribuée à la psychanalyse par ces auteurs : rendre compte de la déraison comme effet de la logique contradictoire que la société moderne capitaliste établit entre nature et histoire. Nous pouvons ainsi conclure notre travail en analysant à quelle condition une théorie de la connaissance dialectique et critique est susceptible de ne pas reconduire l’écueil que la psychanalyse a permis d’identifier au niveau social, à savoir la réduction du rapport entre histoire et nature à un rapport de domination. Nous entendons ainsi montrer les potentialités critiques de ce paradigme dans le cadre des débats contemporains sur les pathologies de la raison. / In this study, we will propose an interpretation of the psychoanalytic references in the works of Adorno and Horkheimer, by starting from the way they are used in an unexpected, and yet central, field: the critique of rationality. Especially in Dialectics of Enlightenment, Adorno and Horkheimer affirm that reason, a concept that is both central and structuring to the modern capitalist society, comes into conflit with itself to the point of its self-destruction, which should be understood as a passage to madness. We intend to defend that this affirmation can be understood, by having recourse to psychoanalysis, in a non-metaphorical manner, starting from a double reading, both genetic and micrologic, of their writings. We situate the genesis of the intersection between psychoanalysis and the critique of rationality in their early works, when they were dealing with the relationship between psychology and the theory of knowledge, at first in a neo-Kantian perspective, then within the framework of the program of interdisciplinary research in the thirties. This precocious intersection led them to become interested as much in the unconscious part which works through the process of knowledge, as in the logic of phenomena which are apparently the most irrational. We therefore interpret their works from the thirties and forties as the unveiling of a conjunction of specific forms of social rationalization with the rising of particularly irrational phenomena, especially related to the emergence of fascism. This conjunction then leads to the psychoanalytical thematisation of reason’s self destruction. Our thesis is that by disclosing this singular critical paradigm – which links together the psychoanalytical approach, the critique of reason, and the theory of knowledge – the function attributed to psychoanalysis by these authors can be revealed in a global and coherent fashion: accounting for unreason as an effect of the contradictory logic that the modern capitalist society establishes between nature and history. We can therefore conclude our work by analyzing on what condition a dialectical and critical theory of knowledge is likely to avoid the pitfall that psychoanalysis has allowed to identify at the social level, i.e. the reduction of the relation between history and nature to a relation of domination. In this way, the critical potentials of this paradigm within the framework of contemporary debates on the pathologies of reason can be brought to light.

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