Spelling suggestions: "subject:"postmodernity??""
1 |
La mémoire écorchée : stratégies mémorielles dans Trou de mémoire d'Hubert Aquin et La Québécoite de Régine RobinLapointe, Corinne January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
2 |
L'autofiction théorique chez Virginie Despentes, Wendy Delorme et Beatriz Preciado: un genre troubleLandry, Vincent January 2013 (has links)
La théorie queer et l’autofiction théorique, un statut générique qui recouvre plusieurs écrits postmodernes, sont intimement liées au renouveau féministe et à la résistance envers un essentialisme réducteur imposé tant par le patriarcat que par un féminisme libéral. En redéfinissant leurs rapports à la théorie et à l’action, certaines écrivaines féministes de la nouvelle vague explorent les nombreuses possibilités offertes par le discours postmoderne du soi. Considérant l’émergence de la théorie queer comme un moment charnière de l’évolution du féminisme, la présente recherche interroge les transformations survenues au cours des dernières décennies en ce qui a trait à la bicatégorisation du genre (littéraire et sexuel) et à la refonte des identités (sexe/genre/sexualité) à travers trois œuvres représentatives du genre littéraire qu’est l’autofiction théorique : King Kong théorie (2006) de Virginie Despentes, Insurrections! en territoire sexuel (2009) de Wendy Delorme et Testo Junkie (2008) de Beatriz Preciado. Avec un cadre d’analyse poststructuraliste, regroupant la théorie des scripts de la sexualité (Gagnon), les théories féministes de la performativité et du queer (Butler, Bourcier et Halberstam) ainsi que les théories de l’autofiction (Doubrovsky, Colonna et Lejeune), cette étude vise à évaluer, sur un horizon postmoderne, les effets de l’autofiction théorique sur la construction des rapports identitaires sexe/genre/sexualité des auteures/personnages/narratrices et, réciproquement, les effets de l'identité queer sur l’acte d’écriture féministe. Comme l’autofiction théorique est un genre littéraire très récent, l’un des objectifs de cette recherche était d’abord de le définir. Pour y parvenir, il fallait dresser la généalogie du genre, invoquant ainsi la fiction théorique d'écrivaines féministes québécoises des années 1970 et 1980 telles que Nicole Brossard et Louise Dupré, et en établir les caractéristiques dominantes, soit la radicalité du discours, la prépondérance des micropolitiques queer et l’utopie du devenir-Autre. L’objectif de l’analyse littéraire du corpus choisi était d’identifier, dans un premier temps, les voies empruntées par les autofictionnaires pour marquer leur séparation du discours hétéropatriarcal dominant et de statuer, dans un second temps, des effets réciproques de leur performativité et de leur écriture. Après un chapitre théorique situant précisément l’autofiction théorique au sein du paradigme postmoderne et du renouveau féministe, les trois œuvres du corpus sont étudiées indépendamment dans un second chapitre où l’analyse approfondie de celles-ci montre un éclatement des dyades esprit/corps et réflexion/émotion par une valorisation de l’expérience culturelle de genre. L’objectivité théorique et la subjectivité de l’expression de soi s’unissent dans une expérience concrète tant de l’altérisation des femmes que d’une vision queer du monde. Les discours des trois autofictionnaires constituent ni plus ni moins des voies de contestation des discours hégémoniques – tant sur un plan théorique que pragmatique – alliant ainsi déconstruction radicale et projet utopique. C’est d’ailleurs cet esprit de contradiction oxymorique qui constitue l’une des particularités prépondérantes de ce discours proposant une pensée queer positive qui comble un certain vide laissé par la déconstruction postmoderne.
|
3 |
Une gravité céleste : espace, identité et écriture chez Hélène DorionLessard, Rosalie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
|
4 |
Une gravité céleste : espace, identité et écriture chez Hélène DorionLessard, Rosalie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
5 |
L'e-rationalité postmoderne : étude de l'être-ensemble électronique / Postmodern e-rationality : study of the being together electronicChavez Blanco, Blanca Estela 27 March 2017 (has links)
L'étude des phénomènes sociaux actuels passe nécessairement par la reconnaissance du rôle de la technologie électronique dans l'ensemble des pratiques sociales. L'on parle, par exemple, d'une révolution culturelle pour montrer l'impact de la technologie numérique dans la vie quotidienne, mais quelles sont-elles vraiment les transformations qu'amène cette technologie à la socialité ? Les formes de vivre ensemble se sont transformées pour l'utilisation de la technologie numérique ? Voici les questions qu'on discute dans ce travail. Dans l'étude que nous présentons, l'on interprète ces transformations culturelles à partir d'un regard intime de l'expérience numérique. Dès notre filiation à la pensée maffesolienne, l'on fait une revendication du rapprochement esthétique pour l'étude sociologique, tout d'abord, car les motifs rationnels sont loin de montrer la richesse du lien social ; ensuite, parce que l'auteur a bien montré la puissance de l'interprétation autour au quotidien, à l'espace, aux formes sociétales. Enfin, puisque seulement dans la douceur de l'image était possible une compréhension de la socialité contemporaine. Pour conclure, on présente les tendances sociétales qui montrent cela que l'on appelle « l'e-rationalité postmoderne » qui n'est autre que l'articulation de l'être ensemble électronique attachée aux valeurs postmodernes. / The study of the current social phenomena inevitably goes through the acknowledgement of the role of electronic technology in social practices as a whole. We speak, for example, about a cultural revolution to emphasize the impact of digital technology in everyday life, but which are the transformations that this technology brings to the sociality? The ways we live together are transformed by the use of the digital technology? These are the questions which we discuss in this work. In the study we present, these cultural transformations are interpreted from an intimate look to the digital experience. From our affiliation to the thoughts of Michel Maffesoli, we vindicate an aesthetic approach to sociological studies; first of all, because rational motives are far from showing the richness of the social link; and then, because Maffesoli ('the author' serías tú) has clearly showed its power of interpretation of daily life, the space and societal forms. Finally, because it is only in the sweetness of the image that is possible to comprehend contemporary sociality. To conclude, we present the societal trends which demonstrate what we call "the postmodern e-rationality" which is no other than the articulation of an electronic being together, attached to the postmodern values.
|
6 |
Architecture contemporaine et patrimoine bâti au Québec : étude de caractérisation des Prix d'excellence de l'Ordre des architectes du Québec (1980-2005)Pomerleau, Mathieu January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
7 |
Sollers, malgré tout : analyse d'une trilogie : Femmes, Portrait du joueur, Le coeur absoluBergeron, Marco January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
8 |
Désencombrer pour aménager : l'épreuve de la répétition dans l'oeuvre poétique de Normand de BellefeuilleRoy, Marie-Soleil January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
9 |
Figures du peuple dans le cinéma contemporain : Chine, révolutions, France. / Figures of the people within contemporary cinema : China, revolutions, FranceBortzmeyer, Gabriel 15 November 2017 (has links)
Cette thèse entend actualiser le diagnostic de Gilles Deleuze sur le « peuple qui manque » en inspectant une série de figures prélevées dans quatre corpus contemporains : les films de Jia Zhangke ; quatre documentaires autour dudit « mouvement des places » initié par la révolution tunisienne de 2010, à savoir Tahrir, place de la libération de Stefano Savona, Maïdan de Sergueï Loznitsa, Vers Madrid de Sylvain George, The Uprising de Peter Snowdon ; les fictions réalistes françaises de Bruno Dumont, Abdellatif Kechiche, Jean-Charles Hue et Rabah Ameur-Zaïmeche ; un ensemble de films récents mettant en scène des figures de migrants clandestins. Le postulat théorique de cette recherche est que le « peuple » n'est pas un donné tangible ni une substance immuable, mais la résultante de configurations symboliques mobiles spécifiant les subjectivitations politiques propres à chaque époque ou épistémè (Michel Foucault est la seconde référence tutélaire de ce travail, et Jacques Rancière la troisième). Son hypothèse analytique veut que la mise en relation de ces films que tout éloigne fasse apparaître les dénominateurs communs aux figures du peuple contemporaines : l'effacement de leurs prédicats, la déroute de leurs perspectives historiques et leur désaffiliation idéologique et statutaire. Articulées ensemble, elles témoignent d'un remplacement du prolétariat par un précariat fondé sur un phénomène de désappartenance, dont cette recherche piste l'isomorphe esthétique à travers les films. Elle en conclut que le peuple ne manque plus, mais clignote. / This PhD aims to update Gilles Deleuze's diagnosis concerning « the people that lacks » through the examination of a range of figures found in four different corpus : the movies of Jia Zhangke ; documentaries made upon the arab spring and the western uprisings that followed these events (Tahrir, place de la libération of Stefano Savona, Maïdan of Sergueï Loznitsa, Vers Madrid of Sylvain George, The Uprising of Peter Snowdon) ; the french realist dramas of Bruno Dumont, Abdellatif Kechiche, Jean-Charles Hue and Rabah Ameur-Zaïmeche ; a set of movies staging figures of refugees. The premise of this research is that the « people » can not be conceived as an eternal substance or a fixed identity, but is to be understood as the product of historical and symbolic configurations specifics to each epoch or épistémè (Michel Foucault is another leading reference of this work, altogether with Jacques Rancière), therefore carving the political subjectivities of an age. The analyses are guided by the hypothesis that, put together, these figures can outline the common characteristics of the people of our time : the erasure of its predicates, the deletion of its former historical perspectives and the fact that it is ideologically and socially disaffiliated. This tends to prove that the proletariat has been replaced by a « precariat » whose existence is determined by a phenomenon of « unbelonging ». This research looks for the aesthetic
|
10 |
Modèle musical et rêve d'abolition du temps dans le roman contemporain : Helmut Krausser, Léonid Guirchovitch, Richard Powers / Musical model and dream of abolition of time in the contemporary novel : Helmut Krausser, Leonid Guirchovitch and Richard PowersAvignon, Nathalie 27 November 2015 (has links)
La musique est art du temps, puisque celui-ci lui donne sa matière. Elle le stylise et recrée les effets de son déroulement circonscrits dans une durée close. Pourtant, les représentations associent fréquemment l’art des sons à une tentative d’oubli voire de négation de l’écoulement temporel. Elles s’inscrivent alors dans une perspective idéaliste qui fait de la musique une utopie consolante, un baume apaisant sur un sujet en proie aux déchirements intérieurs et à la rupture avec le monde – ainsi que l’on peut le lire chez Schopenhauer et Proust à sa suite ou, plus tard, chez Lévi-Strauss. Cette étude a pour but d’examiner le devenir de cette conception du temps musical à l’aune de trois romans contemporains qui semblent l’illustrer mais aussi la mettre en procès : Melodien, de l’allemand Helmut Krausser (1993), Prajs, du russe Léonid Guirchovitch (1998), et The Time of Our Singing, de l’américain Richard Powers (2003). Certains éléments du langage musical, reposant essentiellement sur les principes de polyphonie et d’organicité, dessinent ainsi les contours d’un modèle esthétique (nommé ici « idéal éternitaire ») que ces trois auteurs, marqués par la tentation « compositionnelle », mettent à l’épreuve des transpositions intersémiotiques. L’analyse se porte ensuite sur ce que Paul Ricœur définit comme l’« expérience temporelle fictive », afin de voir comment le rêve d’abolition du temps associé à un sujet musical affecte à la fois le temps intime des personnages et les vastes chronosophies du temps collectif. L’idéal éternitaire, enfin, est à son tour plongé dans le temps : discrédité par les faillites historiques du XXe siècle, il se pense désormais à l’heure postmoderne, sommé de désigner ironiquement sa part anachronique et de confronter la Kultur germanique dont il est issu à la diversité des modèles musicaux. / Music is an art of time, since it gives it its matter. It gives it style and recreates the effects of its process confined in a closed period. However, representations commonly associate the art of sound with an attempt to neglect or even to deny the temporal flow. Accordingly, they fit into an idealistic perspective that makes music a consoling utopia, a soothing balm on a subject beset by internal rifts and rupture with the world – as can be seen in Schopenhauer and Proust after him or, later, in Levi-Strauss. This study aims to examine the future of this conception of musical time in the light of three contemporary novels that seem to illustrate it but also challenge it: Melodien (1993), by the German writer Helmut Krausser, Prajs (1998), the work of Leonid Guirchovitch, a Russian writer, and The Time of Our Singing (2003), by the American novelist Richard Powers (2003). Some elements of the musical language, based primarily on the principles of polyphony and organicity, delineate an aesthetic model (here called “ideal éternitaire”) that these three authors, marked by “compositional” temptation, challenge through intersemiotic transpositions. The analysis then turns into what Paul Ricœur defines as the “fictive temporal experience” to see how the dream of abolishing time associated with a musical subject affects both the intimate time of characters and vast chronosophies of the collective time. Finally the “ideal éternitaire” is in turn immersed in time: discredited by the historical bankruptcies of the twentieth century, it now looks upon itself in the light of postmodern times, ironically bound to refer to its anachronistic share and to confront the German Kultur it comes from with the diversity of musical styles.
|
Page generated in 0.0567 seconds