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L'organisation sociale des femelles chamois (Rupicapra rupicapra) dans une aire protégée

Larose Mikael January 2016 (has links)
L’organisation sociale est un élément important dans la biologie d’une espèce. Dans le monde animal, il existe différents types d’organisation sociale. Certaines espèces affichent un comportement solitaire, tandis que d’autres sont grégaires. Lorsque la socialité est favorisée, une organisation sociale de type communautaire peut prendre forme, où les liens d’associations sont majoritairement entre les individus des mêmes communautés. Ces liens peuvent être modulés par des associations préférentielles, par des stratégies comportementales ou par un apparentement génétique. Cependant, l’organisation sociale est soumise à des changements avec la mortalité, les naissances, l’immigration et l’émigration des individus. Ces variables démographiques peuvent altérer les relations sociales et par le fait même l’organisation sociale. L’analyse des réseaux sociaux est utilisée pour représenter et analyser la structure sociale d’une population. Cette technique permet de quantifier la structure de communauté d’un réseau. En utilisant une base de données d’observations obtenues sur plusieurs années, mon projet de maitrise explore l’organisation sociale chez les femelles chamois (Rupicapra rupicapra) au Parc des Alpes Maritimes, Italie. La base de tous les comportements sociaux est l’association. L’interaction dyadique entre deux individus est la principale voie pour le transfert de l'information. En utilisant ces associations, j’ai reconstruit, sur une base annuelle, la structure sociale des femelles chamois. Une fois la structure sociale établie, j’ai discerné les différentes communautés présentes dans la population. J’ai ensuite effectué une analyse de stabilité des communautés et déterminé si la composition des communautés répondait à un apparentement génétique. Les chamois femelles ont une organisation sociale impliquant des communautés avec de multiples liens d’associations à l’intérieur, mais quelque peu dirigés à l’extérieur de ces communautés. Les relations sociales d’une femelle chamois sont généralement conservées d’une année à l’autre. De plus, ces communautés attestent d’une grande stabilité inter annuelle. Peu d’individus changent de communauté d’une année à l’autre. Le changement de communauté est associé avec un faible nombre de liens d’associations et également avec des groupes de faible taille. Les communautés détectées ne semblent pas être basées sur un apparentement génétique. Grâce à l’analyse des réseaux sociaux, mes travaux de maîtrise sont les premiers à quantifier statistiquement l’organisation sociale des femelles chamois. Grâce à l’exploration de l’organisation sociale de ces femelles chamois, nos résultats apporteront de nouvelles informations sur les ongulés alpins et permettront une gestion adéquate des populations.
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La reconnaissance sociale de la vieillesse et des aînés : la participation sociale au sein de villes-amies des aînés au Québec

Paris, Mario January 2015 (has links)
L’objet de notre thèse est la participation sociale au sein de quatre projets pilotes Villes-amies des aînés au Québec (VADA-QC). Ces projets se situent dans un contexte sociopolitique particulier dans lequel le gouvernement québécois a entrepris avec les municipalités un grand chantier sur l’adaptation des environnements sociaux et bâtis aux besoins et aux attentes des aînés. Nous visons à comprendre comment la participation sociale à travers VADA-QC façonne la reconnaissance de la vieillesse et des aînés. Ainsi, dans la tradition de l’École de Francfort, nous explorons la théorie de la reconnaissance sociale développée par le philosophe Axel Honneth qui explique le processus par lequel les individus se sentent reconnus comme membres à part entière de leur milieu. La théorie de la lutte pour la reconnaissance est donc une théorie de la morale sociale (Honneth, 2006) qui présente trois formes différentes de rapport à soi enracinées dans la dynamique intersubjective des interactions sociales. D’abord, la reconnaissance s’inscrit dans les liens affectifs, et particulièrement dans l’expérience de l’amour. Ensuite, elle apparaît dans les règles et les lois universelles reconnue par la société, bref avec l’instauration du droit. Enfin, la reconnaissance s’insère dans le caractère solidaire de la vie commune et le partage des valeurs collectives. À partir d’un devis qualitatif, nous avons réalisé quatre études de cas des projets pilotes VADA-QC en mettant l'accent sur les aînés impliqués dans la démarche. Les résultats reposent d’abord sur une analyse de contenu de 10 documents internationaux et provinciaux depuis 2002 qui traitent du vieillissement de la population. Ensuite, nous avons complété une analyse secondaire des données recueillies dans les projets pilotes : structures des comités de pilotage, réseautages organisationnels, groupes de discussion (pour les consultations auprès des aînés et avec les membres des comités de pilotages), diagnostics et plans d’action. Enfin, nous avons mené et analysé 13 entretiens auprès d’aînés impliqués dans la démarche. De manière générale, les résultats montrent que tous les cas à l’étude traitent soouvent de la participation à la sphère de la vie récréative et la sociabilité. Par ailleurs, tous les cas mettent également en lumière la participation des aînés dans la sphère de la vie associative et le bénévolat. Sur le plan des représentations de la vieillesse, un double discours apparaît chez les participants : la vieillesse est tant une expérience appréciative que dépréciative. Sur le plan de la reconnaissance sociale, l’aîné est en grande partie reconnu comme une personne âgée, c’est-à-dire à partir de ses activités de la sphère de la vie récréative et la sociabilité, ainsi que par son engagement dans la sphère de la vie associative et le bénévolat. Par contre, cette reconnaissance pour les aînés ne prend pas en considération leur âge. Quand les aînés sont envisagés, il est impossible de les identifier comme un groupe social distinct basé sur l’âge. Il est apparu évident de faire la distinction entre les personnes en amont de la vieillesse, c’est-à-dire se situant entre 60 à 80 ans, et les personnes en aval du grand âge, soit 80 ans et plus. Pour terminer, la municipalité, en tant qu’institution, promeut et met en place une gouvernance participative qui a des forces et des limites pour les aînés. La municipalité peut être également envisagée comme une communauté. Pour les aînés, elle sera une « communauté de valeurs » du moment qu’elle prend en considération les particularités de la vieillesse, comme il est révélé dans l’illustration des trois formes de reconnaissance de Honneth.
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Intervenir auprès des immigrants en situation illégale, du soutien discret à la désobéissance civile

Trotignon, Marion January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'insertion sociale par le travail chez les individus atteints de troubles mentaux : analyse critique

Dufresne, Julie Natacha January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La construction sociale de l'usage de la technologie : le cas du courrier électronique

Quesada Echavarría, Marcela January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les enfants dans/de la rue et l'ecclésiologie africaine de l'Église-famille-de-Dieu : jalons pour une pastorale sociale de l'enfance à Lomé (Togo)

Kpodzo, Kokou January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Un travail social précaire ? Travail atypique et dégradation des conditions d'exercice dans le secteur socio-éducatif / Job insecurity social work ? Insecure contract and degradation of working conditions in socio-educational field

Charles, Charlène 29 September 2017 (has links)
Mon travail de thèse vise à saisir les conséquences d’un recours de plus en plus massif à des entreprises privées lucratives, comme les agences d’intérim, dans un secteur historiquement non lucratif, l’Aide Sociale à l’Enfance. Face à ces processus d’externalisation et de sous-traitance de l’action publique, la thèse propose une analyse conjointe des transformations de l’action sociale et des nouvelles formes d’emploi. Dans les foyers de l’enfance, l’embauche de personnel socio-éducatif moins formé, moins cher ou en contrats courts - CDD, intérimaires, auto-entrepreneurs, etc.-, soulève de nombreuses contradictions sur l’activité même du travail social consistant, pour une part, à limiter la précarité des bénéficiaires. À partir d’une enquête ethnographique de quatre années, comprenant des entretiens, allant du personnel socio-éducatif aux cadres et responsables de structures sociales, et des observations participantes en tant qu’éducatrice spécialisée dans deux foyers de l’enfance, cette recherche s’interroge donc sur le phénomène de précarisation qui touche de manière concomitante, mais non symétrique, les publics et les agents des services sociaux. À la croisée d’une sociologie du travail social, de l’emploi et des rapports sociaux, la thèse présente d’un côté les nouveaux modes de gestion de l’emploi qui s’enracinent dans un contexte plus général de reconfiguration de politiques sociales et de l’autre, une analyse du travail du social au prisme de l’emploi atypique. / The purpose of my thesis is to assess the consequences of the rapidly expanding use of private companies, e.g. temporary employment agencies, in an area – child welfare – that hitherto had always been not-for-profit. Confronted with the externalisation and outsourcing of public services, the thesis proposes a joint analysis of the transformations of social work and the new forms of employment. In child welfare centres, the hiring of less-well-trained personnel on lower pay, or the recruitment of temp workers, freelancers or staff on short-term contracts, reveals a number of contradictions about the true nature of social work consisting, for one thing, in limiting the precarious situation of beneficiaries. Based on a four-year ethnographic survey comprising interviews with persons ranging from child welfare staff to managers and heads of social structures, combined with the observations made as a specialised child educator in two child welfare centres, this research examines the phenomenon of the casualization of employment affecting in tandem, but not symmetrically, both the children in need of support and social workers. At the crossroads of the sociology of social work, employment and social relations, the thesis presents, 1) the new ways of managing employment that are taking root as part of a general reconfiguration of social policies and 2), an analysis of the work of social services seen through the prism of the new forms of employment referred to above
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Précarité sociale : quand les mailles s'en mêlent.<br />Etude des découpages territoriaux de l'action sociale<br />départementale et de la politique de la Ville<br />en Ile-de-France

Ribardière, Antonine 15 December 2005 (has links) (PDF)
Ce travail porte sur les maillages du territoire utilisés pour mettre en œuvre l'action publique contre la précarité<br />sociale. Il interroge la non-concordance de ces découpages et partant, cherche à comprendre les raisons d'être de<br />chacun. A partir de l'exemple de l'action sociale départementale et de la politique de la ville en Ile-de-France, on<br />s'interroge sur les relations entre les principes de découpages et le dessin des mailles d'une part, et les fonctions<br />associées aux mailles et les usages qui en sont fait, d'autre part. On porte une attention particulière à la confrontation<br />du tracé des mailles avec les répartitions spatiales de la précarité sociale. Une première partie justifie l'approche<br />spatiale retenue pour aborder les deux politiques publiques. Une seconde partie est consacrée à la mise en évidence<br />des divisions socio-spatiales de la région francilienne, puis à la définition des contextes locaux de la précarité sociale,<br />à l'échelon communal et infra-communal. Dans une troisième, on aborde les maillages de l'action sociale<br />départementale, en cherchant à faire la part de ce qui, dans ces maillages, relève du territoire « professionnel », des<br />impératifs gestionnaires ou encore du territoire politique. La quatrième partie porte sur les cadres territoriaux dans<br />lesquels est mise en œuvre la politique de la ville, en interrogeant en particulier l'intercommunalité des contrats de<br />ville franciliens ainsi que les usages et les représentations associés aux « zones urbaines sensibles ». Au final, la<br />discordance des maillages apparaît davantage comme le signe, que la cause, des difficultés des institutions et des<br />professionnels à coordonner leur action.
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Norme d'internalité et jugement social : influence des dimensions de lieu de causalité et de contrôle interne sur les processus d'attribution de valeur sociale

Perrin, Samantha 08 December 2010 (has links) (PDF)
Les recherches sur la norme d'internalité (Beauvois & Dubois, 1988) ont établi l'existence d'une valorisation des explications internes dans le jugement social, tout en mettant en évidence le caractère non homogène de cette valorisation suivant les types d'explications internes. Dans ce cadre, le point de vue défendu dans cette thèse est que l'internalité réfère à la fois au lieu de causalité et au degré de contrôle qu'exerce l'individu sur l'origine des événements. L'objectif général de cette thèse était donc d'appréhender le rôle des dimensions de lieu de causalité et de contrôle interne dans l'attribution d'utilité sociale aux explications causales. Trois séries de recherches ont été conduites. La première avait pour objectif de cerner l'impact des dimensions causales (Weiner, 1979) sur l'attribution de valeur sociale par le biais de manipulation a priori des registres explicatifs (études 1 et 2) et par le biais de la perception qu'en ont les sujets (étude 2). La deuxième, visait à clarifier l'influence des dimensions de lieu de causalité et de contrôle interne sur l'attribution de valeur sociale, en dépassant certaines limites soulevées par la première série de recherches (études 3, 4, 5). La troisième, proposait d'articuler les champs de recherches sur la norme d'internalité et sur les théories implicites de l'intelligence, afin de confirmer l'importance du degré de contrôle interne dans l'attribution d'utilité sociale (études 6.a, 6.b, 6.c). De façon générale, les résultats étayent l'approche normative de l'internalité, les individus recourant à des explications du registre interne ayant fait l'objet d'une plus forte attribution de valeur sociale. De plus, ils soutiennent l'hypothèse d'une influence du lieu de causalité interne et du contrôle interne sur l'attribution d'utilité sociale
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Les fonctions sociales de l'enfermement carcéral : constats, hypothèses, projets de recherche

Combessie, Philippe 13 November 2003 (has links) (PDF)
Ce mémoire comprend trois parties. Dans la première je propose une synthèse de constats établis à partir de mes propres travaux et étayés par les acquis des principaux auteurs sur lesquels j'estime pertinent d'appuyer une démarche sociologique rigoureuse sur mon terrain d'investigation actuellement privilégié : au premier rang Emile Durkheim, mais aussi Erving Goffman, Howard Becker, Alvaro Pirès, Mary Douglas, Hannah Arendt, Claude Faugeron, Antoinette Chauvenet, et quelques autres, dont le nom apparaîtra dans ces pages. Je propose une synthèse des constats établis à partir de mes propres travaux, étayés par les œuvres de ces maîtres. Cette première partie se développe en cinq chapitres : 1/ le crime est une construction sociale, 2/ les prisons stigmatisent leur environnement (la notion de périmètre sensible), 3/ les relations entre les agents de la prison dépendent de l'environnement, 4/ ce que produit la prison comme ce qui s'y déroule est surdéterminé par ce qui se passe en amont, 5/ on n'enferme pas « sociologiquement correct ». La deuxième partie de ce mémoire est constituée d'une analyse originale présentée sous forme de deux hypothèses qui s'inscrivent dans le prolongement de mes travaux précédents et de ceux des auteurs dont les analyses servent de point d'appui aux miennes. Ces deux hypothèses devraient contribuer à un renouvellement de l'analyse sociologique de la prison, et, plus largement, à un enrichissement de la sociologie de la déviance. La première interroge l'influence de l'enfermement carcéral sur la construction sociale de l'image du criminel : alors que, selon la logique judiciaire, c'est la condamnation qui différencie criminels et innocents, je postule que la prison joue un rôle déterminant, à la fois en tant que telle et comme stigmate le plus puissant des dispositifs de coercition de la justice pénale. La seconde propose une analyse macrosociologique des fonctions sociales de l'enfermement pénitentiaire, dont la principale, masquée, est analysée comme fonction latente de la prison : étayée par une nouvelle lecture de la thèse de Paul Fauconnet sur la responsabilité pénale, cette fonction latente permet de comprendre la survivance du dispositif carcéral malgré son inadéquation au plus légitime des objectifs qui lui sont assignés : l'amendement des repris de justice. Dans la troisième partie de ce mémoire, je présente un éventail de projets de recherches visant à permettre de répondre aux questions soulevées par les hypothèses précédemment développées. J'ai regroupé ces projets selon trois axes de recherche : 1/ les étapes du processus pénal : recherches quantitatives et qualitatives sur les « tris » opérés selon des logiques pénales et sociales parmi les justiciables lors de ces différentes étapes (compléments de recherches existantes ou en cours), 2/ les réactions des justiciables mis en cause dans une affaire pénale : recherches sur les inégales stratégies mises en œuvre face aux risques d'enfermement, 3/ les représentations sociales de la prison et des dispositifs de coercition légaux : recherches sur les représentations des divers groupes sociaux (réactualisations de recherches anciennes et compléments de recherches partielles) et sur les représentations des « sociologues de la prison » eux-mêmes, dont il convient d'analyser parallèlement les positions dans le champ social, les problématiques principales et les déroulements de carrière (aucune recherche en ce sens n'a été effectuée à ce jour).

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