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L’acceptation des rôles de l’infirmière praticienne en première ligne selon les caractéristiques socio-démographiques des usagers de CLSC

Boucard, Alain 02 1900 (has links)
No description available.
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Les interventions infirmières encourageant la promotion de la santé des survivantes de cancer du sein : une revue de la portée

Torabi, Pegah 08 1900 (has links)
Grâce à l’amélioration de l’efficacité du dépistage du cancer, le nombre de survivantes de cancer de sein augmente rapidement. Cependant, après le traitement du cancer, les survivantes du cancer du sein ont plus de besoins non satisfaits que les survivants d’autres types de cancer. Elles souhaitent adopter des habitudes de vie saines et mieux contrôler leur vie, mais elles ont besoin du soutien et des conseils des infirmières, en particulier des infirmières de soins de première ligne, qui possèdent les compétences requises pour promouvoir la santé. Toutefois, les interventions de promotion de la santé pour les survivantes du cancer du sein ne semblent pas être considérées comme une priorité dans ces soins, principalement en raison de l’absence de lignes directrices claires et d’un manque de connaissances relatives à ces interventions. Pour combler cette lacune, ce projet de mémoire visait à recenser les interventions infirmières de promotion de la santé chez des survivantes du cancer du sein afin de décrire les approches utilisées et les caractéristiques de ces interventions dans les études disponibles. Une revue de la portée a été réalisée. Les lignes directrices du Joanna Briggs Institute (JBI) ont été suivies pour développer le but et les questions de recherche, identifier les études répondant aux critères de sélection retenus, et extraire les données recherchées pour répondre aux questions de recherche. Cinq banques de données électroniques ont été consultées pour identifier de manière systématique des articles publiés entre 2002 et 2022. Vingt-deux articles ont été retenus. Il ressort que les infirmières utilisent principalement des approches éducationnelles, même si elles ont également recours à des approches de changement de comportement et d’autonomisation individuelle ou de la communauté pour améliorer la santé des survivantes du cancer du sein. Les infirmières ont utilisé divers moyens tels que du matériel écrit et des outils numériques dans le cadre des interventions de promotion de la santé. Les interventions ont été majoritairement offertes lors de soins spécialisés. Elles étaient dispensées soit dans un format de groupe pour faciliter le soutien par les pairs ou soit sous forme individuelle pour s’adapter aux problèmes particuliers des survivantes. La revue de la portée conclut sur la nécessité de réaliser davantage de recherches sur les interventions infirmières visant à améliorer la santé globale des survivantes du cancer du sein et ce, dans le cadre des soins de première ligne. Cette étude suggère également que des recherches futures sont nécessaires pour tenir compte d’un plus grand nombre de déterminants sociaux de la santé lors de l’élaboration d’interventions de promotion de la santé. / Due to the improved effectiveness of cancer screening, the number of breast cancer survivors is rising rapidly. However, after cancer treatment, female breast cancer survivors seem to have higher unmet needs than survivors of other types of cancer. They want to adopt a healthy lifestyle and take greater control of their lives, but they need the support and guidance of nurses, especially in primary care, who have the required skills to promote health. However, health promotion interventions for female breast cancer survivors do not seem to be considered a priority in their care, mainly due to the lack of clinical guidelines and knowledge about these interventions. To fill this gap, this dissertation aimed to map nursing health promotion interventions for female breast cancer survivors in order to describe the approaches used and the characteristics of these interventions in the available studies. A scoping review methodology has been applied. The Joanna Briggs Institute (JBI) guidelines were followed to develop the research aim and questions, identify studies relevant to the inclusion criteria, and extract the data needed to answer research questions. Five electronic databases were consulted to systemically identify articles published between 2002 and 2022. Twenty-two articles have been selected. It was found that nurses mainly use educational approaches, although they employ behavior change, and self-empowerment or community empowerment approaches to improve the health of breast cancer survivors. The nurses used a variety of methods, such as written material and digital tools, as part of their health promotion interventions. The majority of interventions were provided as part of specialized care. The interventions were delivered either in a group format to facilitate peer support or on an individual basis to adapt to survivors' specific problems. The scoping review concludes that further research is required regarding nursing interventions aimed at enhancing the holistic health of breast cancer survivors in primary care settings. This study also suggests that future research is needed to consider a wider range of social determinants of health when developing health promotion interventions.
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Soutenir les changements de pratiques chez les infirmières en soins de première ligne par des interventions de mesure et de rétroaction : considérations pratiques et théoriques

Dufour, Émilie 10 1900 (has links)
Cette thèse, rédigée par articles, vise à examiner d’un point de vue pratique et théorique les enjeux sous-jacents à la capacité des infirmières d’agir sur leur pratique et son contexte par l’entremise d’interventions d’audit-feedback. L’audit-feedback est couramment utilisé dans le domaine de la santé en soutien aux changements et à l’amélioration des pratiques professionnelles. Bien que les infirmières soient régulièrement impliquées dans ces interventions, celles-ci sont étudiées surtout auprès des médecins, tant d’un point de vue empirique que théorique. Le contexte de pratique des infirmières comporte des caractéristiques peu facilitatrices à l’efficacité de l’audit-feedback. La méthodologie de développement théorique d’Alvesson et Kärreman (2007, 2011) a été utilisée afin de comprendre comment ces interventions pouvaient permettre aux infirmières d’agir sur leur pratique et son contexte. Le premier volet de la thèse implique une analyse de deux sources de données empiriques. D’abord, une revue systématique mixte a été effectuée pour comprendre les effets mesurés et perçus de l’audit-feedback auprès des infirmières. Les données des 13 études quantitatives suggèrent une efficacité très variable de l'audit-feedback. Les caractéristiques de la plupart des interventions étaient peu conformes aux recommandations actuelles dans le domaine. Globalement, les données des 18 études qualitatives suggèrent que les infirmières perçoivent plusieurs aspects négatifs à l’audit-feedback, tout en reconnaissant la pertinence d’une utilisation secondaire des données pour soutenir l'amélioration des soins. La seconde source de données provient d’une étude pilote sur le développement, la mise à l’essai et l’évaluation d’une intervention d’audit-feedback auprès d’une équipe de soins infirmiers en première ligne. Des indicateurs relatifs aux soins de plaies et mesurés à partir du système d’information I-CLSC ont été rapportés à l’équipe lors de deux séances de rétroaction. Des analyses de régression logistique ont été effectuées sur une période de 24 mois à partir de 1605 épisodes de soins de plaies afin d’évaluer l’évolution des indicateurs avant, pendant et après la période d’intervention. Un seul indicateur, celui de soutien à l’auto-gestion, a démontré une amélioration constante. L’analyse de ces données empiriques en fonction d’un cadre théorique spécifique à l’audit-feedback (Brown et al., 2019) a permis dans le second volet de la thèse de formuler trois hypothèses sur la réponse des infirmières à l’audit-feedback. Les hypothèses impliquent 1) une intégration de l’aspect relationnel de la pratique infirmière à la rétroaction; 2) une priorisation de la mesure d’indicateurs auprès de l’équipe proximale et 3) une prise en compte des intérêts de l’audit-feedback pour la pratique des infirmières. La démarche se conclut par une réflexion théorique sur les enjeux sous-jacents à l’aspect collectif de l’action chez les infirmières et des intérêts pour leur pratique en levier aux changements. À partir de notions de la théorie de l’Agir communicationnel de Jürgen Habermas, la pratique infirmière est abordée sous l’angle de la coordination communicationnelle et fonctionnelle. Cette problématisation théorique permet, en discussion finale de la thèse, de définir les principales pistes d’action pour concevoir et mettre en œuvre des interventions d’audit-feedback qui répondent à la fois aux intérêts des infirmières et du système de santé. / This manuscript-style thesis aims to examine from a practical and theoretical perspective the issues underlying nurses' ability to act on their practice and its context through audit and feedback interventions. Audit and feedback is commonly used in the health care to support change and improvement in professional practice. Although nurses are regularly involved in these interventions, they are studied primarily with physicians, both empirically and theoretically. The practice context of nurses has characteristics that are not conducive to the effectiveness of audit and feedback. Alvesson and Kärreman's (2007, 2011) theory development methodology was used to understand how these interventions could enable nurses to act on their practice and its context. The first component of the thesis involves an analysis of two sources of empirical data. First, a mixed-methods systematic review was conducted to understand the measured and perceived effects of audit and feedback with nurses. The data from 13 quantitative studies suggest a highly variable effectiveness of audit and feedback. The characteristics of most of the interventions were poorly aligned with current recommendations. Overall, the data from the 18 qualitative studies suggest that nurses perceive several negative aspects to audit and feedback, while recognizing the relevance of secondary use of data to support the improvement of care. The second source of data comes from a pilot study on the design, testing, and evaluation of an audit and feedback intervention with a primary care nursing team. Wound care indicators measured from the I-CLSC information system were reported to the team in two feedback sessions. Logistic regression analyses were performed over a 24-month period on 1605 wound care episodes to assess changes in indicators before, during, and after the intervention period. Only one indicator, self-management support, showed consistent improvement. Analysis of this empirical data based on an audit and feedback specific theory (Brown et al., 2019) led to three hypotheses about nurses' response to audit and feedback in the second component of the thesis. The hypotheses involve 1) integrating the relational aspect of nursing into the feedback; 2) prioritizing the use of indicators targeting teams; and 3) considering the benefits of audit and feedback for nursing practice. The theory development approach concludes with a theoretical reflection on the issues underlying the collective aspect of action among nurses and the interests for their practice as a lever for change. Using notions from Jürgen Habermas' theory of communicative action, nursing practice is viewed from the perspective of communicative and functional coordination. This theoretical perspective allows, in the final discussion of the thesis, to define the main avenues for designing and implementing audit and feedback interventions that meet the interests of both nurses and the health care system.
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Des soins de qualité pour la dépression en première ligne : une contribution à l’amélioration de l’état de santé de la population québécoise

Duhoux, Arnaud 04 1900 (has links)
Contexte De nombreuses études, utilisant des indicateurs de qualité variés, ont démontré que la qualité des soins pour la dépression n’est pas optimale en première ligne. Peu de ces études ont examiné les facteurs associés à la réception d’un traitement adéquat, en particulier en tenant compte simultanément des caractéristiques individuelles et organisationnelles. L'association entre un traitement adéquat pour un épisode dépressif majeur (EDM) et une amélioration des symptômes dépressifs n'est pas bien établie dans des conditions non-expérimentales. Les objectifs de cette étude étaient de : 1) réaliser une revue systématique des indicateurs mesurant la qualité du traitement de la dépression en première ligne ; 2) estimer la proportion de patients souffrant d’EDM qui reçoivent un traitement adéquat (selon les guides de pratique clinique) en première ligne ; 3) examiner les caractéristiques individuelles et organisationnelles associées à l’adéquation du traitement pour la dépression ; 4) examiner l'association entre un traitement minimalement adéquat au cours des 12 mois précédents et l'évolution des symptômes dépressifs à 6 et 12 mois. Méthodes La littérature sur la qualité du traitement de la dépression a été examinée en utilisant un ensemble de mots-clés (« depression », « depressive disorder », « quality », « treatment », « indicator », « adequacy », « adherence », « concordance », « clinical guideline » et « guideline ») et « 360search », un moteur de recherche fédérée. Les données proviennent d'une étude de cohorte incluant 915 adultes consultant un médecin généraliste, quel que soit le motif de consultation, répondant aux critères du DSM-IV pour l’EDM dans la dernière année, nichés dans 65 cliniques de première ligne au Québec, Canada. Des analyses multiniveaux ont été réalisées. Résultats Bien que majoritairement développés à partir de guides de pratique clinique, une grande variété d'indicateurs a été observée dans la revue systématique de littérature. La plupart des études retenues ont utilisé des indicateurs de qualité rudimentaires, surtout pour la psychothérapie. Les méthodes utilisées étaient très variées, limitant la comparabilité des résultats. Toutefois, quelque soit la méthode choisie, la plupart des études ont révélé qu’une grande proportion des personnes souffrant de dépression n’ont pas reçu de traitement minimalement adéquat en première ligne. Dans notre échantillon, l’adéquation était élevée (> 75 %) pour un tiers des indicateurs de qualité mesurés, mais était faible (< 60 %) pour près de la moitié des mesures. Un peu plus de la moitié de l'échantillon (52,2 %) a reçu au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression. Au niveau individuel, les jeunes adultes (18-24 ans) et les personnes de plus de 65 ans avaient une probabilité moins élevée de recevoir un traitement minimalement adéquat. Cette probabilité était plus élevée pour ceux qui ont un médecin de famille, une assurance complémentaire, un trouble anxieux comorbide et une dépression plus sévère. Au niveau des cliniques, la disponibilité de la psychothérapie sur place, l'utilisation d'algorithmes de traitement, et le mode de rémunération perçu comme adéquat étaient associés à plus de traitement adéquat. Les résultats ont également montré que 1) la réception d'au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression était associée à une plus grande amélioration des symptômes dépressifs à 6 et à 12 mois; 2) la pharmacothérapie adéquate et la psychothérapie adéquate étaient toutes deux associées à de plus grandes améliorations dans les symptômes dépressifs, et 3) l'association entre un traitement adéquat et l'amélioration des symptômes dépressifs varie en fonction de la sévérité des symptômes au moment de l'inclusion dans la cohorte, un niveau de symptômes plus élevé étant associé à une amélioration plus importante à 6 et à 12 mois. Conclusions Nos résultats suggèrent que des interventions sont nécessaires pour améliorer la qualité du traitement de la dépression en première ligne. Ces interventions devraient cibler des populations spécifiques (les jeunes adultes et les personnes âgées), améliorer l'accessibilité à la psychothérapie et à un médecin de famille, et soutenir les médecins de première ligne dans leur pratique clinique avec des patients souffrant de dépression de différentes façons, telles que le développement des connaissances pour traiter la dépression et l'adaptation du mode de rémunération. Cette étude montre également que le traitement adéquat de la dépression en première ligne est associé à une amélioration des symptômes dépressifs dans des conditions non-expérimentales. / Background Numerous studies, using a variety of quality indicators, highlight an important gap in the quality of care for depression in primary care. Few of these studies examined factors associated with receiving adequate treatment, particularly with a simultaneous consideration of individual and organizational characteristics. The association between adequate treatment for a Major Depressive Episode (MDE) and improvements in depressive symptoms is not well established in naturalistic practice conditions. The objectives of this study were to i) systematically review indicators used to measure the quality of depression treatment in primary care, ii) estimate the proportion of primary care patients with a MDE who receive adequate treatment, iii) examine the individual and organizational characteristics associated with the receipt of minimally adequate treatment for depression, iv) examine the association between receiving minimally adequate treatment for MDE (i.e. according to clinical guidelines) in the previous 12 months and evolution of depressive symptoms at 6 and 12 months. Methods The literature on the quality of depression treatment was reviewed using a set of keywords (depression, depressive disorder, quality, treatment, indicator, adequacy, adherence, concordance, clinical guideline and guideline) and « 360search », a federated search engine. Data were obtained from a cohort study including 915 adults consulting a general practitioner (GP), regardless of the motive of consultation, meeting DSM-IV criteria for previous-year MDE, and nested within 65 primary care clinics in Quebec, Canada. Multilevel analyses were conducted. Results Though mostly based on recommendations from clinical practice guidelines, a great variety of indicators were observed. Most studies used rudimentary indicators to measure the quality of depression treatment, especially for psychotherapy. Studies also differed greatly with respect to the methods used, thus limiting the comparability of results. However, whatever the chosen method, most studies reveal that a large proportion of people with depression do not receive minimally adequate treatment in primary care settings. In our sample, adherence to guidelines was high (> 75 %) for one third of the quality indicators that were measured but was low (< 60 %) for nearly half of the measures. Just over half of the sample (52.2 %) received at least one minimally adequate treatment for depression. At the individual level, young adults (18-24) et older people (>65) had a lower probability of receiving at least one minimally adequate treatment. This probability was higher for people with a family physician, a supplementary insurance coverage, a comorbid anxiety disorder and a more severe depression. At the clinic level, the availability of psychotherapy on-site, the use of treatment algorithms, and the mode of remuneration perceived as adequate were associated with more adequate treatment. Results also showed that i) receiving at least one minimally adequate treatment for depression was associated with greater improvements in depression symptoms at 6 and at 12 months; ii) adequate pharmacotherapy and adequate psychotherapy were both associated with greater improvements in depression symptoms, and iii) the association between adequate treatment and improvement in depression symptoms varied as a function of severity of symptoms at the time of inclusion in the cohort with worse symptoms at the time of inclusion being associated with greater reductions at 6 and 12 months. Conclusions Our findings suggest that interventions are needed to increase the quality of depression treatment in primary care. These interventions should target specific populations (i.e. the younger adults and the elderly), enhance accessibility to psychotherapy and to a regular family physician, and support primary care physicians in their clinical practice with patients suffering from depression in different ways such as developing knowledge to treat depression and adapting mode of remuneration. This study also shows that adequate treatment for depression is associated with improvements in depressive symptoms in naturalistic primary care practice conditions.
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Des soins de qualité pour la dépression en première ligne : une contribution à l’amélioration de l’état de santé de la population québécoise

Duhoux, Arnaud 04 1900 (has links)
Contexte De nombreuses études, utilisant des indicateurs de qualité variés, ont démontré que la qualité des soins pour la dépression n’est pas optimale en première ligne. Peu de ces études ont examiné les facteurs associés à la réception d’un traitement adéquat, en particulier en tenant compte simultanément des caractéristiques individuelles et organisationnelles. L'association entre un traitement adéquat pour un épisode dépressif majeur (EDM) et une amélioration des symptômes dépressifs n'est pas bien établie dans des conditions non-expérimentales. Les objectifs de cette étude étaient de : 1) réaliser une revue systématique des indicateurs mesurant la qualité du traitement de la dépression en première ligne ; 2) estimer la proportion de patients souffrant d’EDM qui reçoivent un traitement adéquat (selon les guides de pratique clinique) en première ligne ; 3) examiner les caractéristiques individuelles et organisationnelles associées à l’adéquation du traitement pour la dépression ; 4) examiner l'association entre un traitement minimalement adéquat au cours des 12 mois précédents et l'évolution des symptômes dépressifs à 6 et 12 mois. Méthodes La littérature sur la qualité du traitement de la dépression a été examinée en utilisant un ensemble de mots-clés (« depression », « depressive disorder », « quality », « treatment », « indicator », « adequacy », « adherence », « concordance », « clinical guideline » et « guideline ») et « 360search », un moteur de recherche fédérée. Les données proviennent d'une étude de cohorte incluant 915 adultes consultant un médecin généraliste, quel que soit le motif de consultation, répondant aux critères du DSM-IV pour l’EDM dans la dernière année, nichés dans 65 cliniques de première ligne au Québec, Canada. Des analyses multiniveaux ont été réalisées. Résultats Bien que majoritairement développés à partir de guides de pratique clinique, une grande variété d'indicateurs a été observée dans la revue systématique de littérature. La plupart des études retenues ont utilisé des indicateurs de qualité rudimentaires, surtout pour la psychothérapie. Les méthodes utilisées étaient très variées, limitant la comparabilité des résultats. Toutefois, quelque soit la méthode choisie, la plupart des études ont révélé qu’une grande proportion des personnes souffrant de dépression n’ont pas reçu de traitement minimalement adéquat en première ligne. Dans notre échantillon, l’adéquation était élevée (> 75 %) pour un tiers des indicateurs de qualité mesurés, mais était faible (< 60 %) pour près de la moitié des mesures. Un peu plus de la moitié de l'échantillon (52,2 %) a reçu au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression. Au niveau individuel, les jeunes adultes (18-24 ans) et les personnes de plus de 65 ans avaient une probabilité moins élevée de recevoir un traitement minimalement adéquat. Cette probabilité était plus élevée pour ceux qui ont un médecin de famille, une assurance complémentaire, un trouble anxieux comorbide et une dépression plus sévère. Au niveau des cliniques, la disponibilité de la psychothérapie sur place, l'utilisation d'algorithmes de traitement, et le mode de rémunération perçu comme adéquat étaient associés à plus de traitement adéquat. Les résultats ont également montré que 1) la réception d'au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression était associée à une plus grande amélioration des symptômes dépressifs à 6 et à 12 mois; 2) la pharmacothérapie adéquate et la psychothérapie adéquate étaient toutes deux associées à de plus grandes améliorations dans les symptômes dépressifs, et 3) l'association entre un traitement adéquat et l'amélioration des symptômes dépressifs varie en fonction de la sévérité des symptômes au moment de l'inclusion dans la cohorte, un niveau de symptômes plus élevé étant associé à une amélioration plus importante à 6 et à 12 mois. Conclusions Nos résultats suggèrent que des interventions sont nécessaires pour améliorer la qualité du traitement de la dépression en première ligne. Ces interventions devraient cibler des populations spécifiques (les jeunes adultes et les personnes âgées), améliorer l'accessibilité à la psychothérapie et à un médecin de famille, et soutenir les médecins de première ligne dans leur pratique clinique avec des patients souffrant de dépression de différentes façons, telles que le développement des connaissances pour traiter la dépression et l'adaptation du mode de rémunération. Cette étude montre également que le traitement adéquat de la dépression en première ligne est associé à une amélioration des symptômes dépressifs dans des conditions non-expérimentales. / Background Numerous studies, using a variety of quality indicators, highlight an important gap in the quality of care for depression in primary care. Few of these studies examined factors associated with receiving adequate treatment, particularly with a simultaneous consideration of individual and organizational characteristics. The association between adequate treatment for a Major Depressive Episode (MDE) and improvements in depressive symptoms is not well established in naturalistic practice conditions. The objectives of this study were to i) systematically review indicators used to measure the quality of depression treatment in primary care, ii) estimate the proportion of primary care patients with a MDE who receive adequate treatment, iii) examine the individual and organizational characteristics associated with the receipt of minimally adequate treatment for depression, iv) examine the association between receiving minimally adequate treatment for MDE (i.e. according to clinical guidelines) in the previous 12 months and evolution of depressive symptoms at 6 and 12 months. Methods The literature on the quality of depression treatment was reviewed using a set of keywords (depression, depressive disorder, quality, treatment, indicator, adequacy, adherence, concordance, clinical guideline and guideline) and « 360search », a federated search engine. Data were obtained from a cohort study including 915 adults consulting a general practitioner (GP), regardless of the motive of consultation, meeting DSM-IV criteria for previous-year MDE, and nested within 65 primary care clinics in Quebec, Canada. Multilevel analyses were conducted. Results Though mostly based on recommendations from clinical practice guidelines, a great variety of indicators were observed. Most studies used rudimentary indicators to measure the quality of depression treatment, especially for psychotherapy. Studies also differed greatly with respect to the methods used, thus limiting the comparability of results. However, whatever the chosen method, most studies reveal that a large proportion of people with depression do not receive minimally adequate treatment in primary care settings. In our sample, adherence to guidelines was high (> 75 %) for one third of the quality indicators that were measured but was low (< 60 %) for nearly half of the measures. Just over half of the sample (52.2 %) received at least one minimally adequate treatment for depression. At the individual level, young adults (18-24) et older people (>65) had a lower probability of receiving at least one minimally adequate treatment. This probability was higher for people with a family physician, a supplementary insurance coverage, a comorbid anxiety disorder and a more severe depression. At the clinic level, the availability of psychotherapy on-site, the use of treatment algorithms, and the mode of remuneration perceived as adequate were associated with more adequate treatment. Results also showed that i) receiving at least one minimally adequate treatment for depression was associated with greater improvements in depression symptoms at 6 and at 12 months; ii) adequate pharmacotherapy and adequate psychotherapy were both associated with greater improvements in depression symptoms, and iii) the association between adequate treatment and improvement in depression symptoms varied as a function of severity of symptoms at the time of inclusion in the cohort with worse symptoms at the time of inclusion being associated with greater reductions at 6 and 12 months. Conclusions Our findings suggest that interventions are needed to increase the quality of depression treatment in primary care. These interventions should target specific populations (i.e. the younger adults and the elderly), enhance accessibility to psychotherapy and to a regular family physician, and support primary care physicians in their clinical practice with patients suffering from depression in different ways such as developing knowledge to treat depression and adapting mode of remuneration. This study also shows that adequate treatment for depression is associated with improvements in depressive symptoms in naturalistic primary care practice conditions.
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The influence of primary care clinic characteristics on the quality of care for depression in patients with different comorbidity profiles

Menear, Matthew 06 1900 (has links)
Dans les services de première ligne, la majorité des personnes atteintes de dépression souffrent également d’autres maladies chroniques comorbides. Offrir des soins de haute qualité à ces patients représente un défi important pour les intervenants en première ligne ainsi que pour le système de santé. Il y a des raisons de croire que les contextes organisationnels dans lesquels les intervenants pratiquent ont une influence importante sur les soins. Cependant, peu d’études ont examiné directement la façon dont les caractéristiques des cliniques facilitent ou entravent les soins offerts aux patients atteints de dépression et de différents types de maladies chroniques comorbides. L’objectif général de ce projet de recherche était donc de mieux comprendre comment différentes caractéristiques des cliniques de première ligne influencent la qualité des soins pour la dépression chez des patients ayant différents profils de comorbidité. La thèse comporte deux études. Tout d'abord, nous avons effectué une revue systématique examinant les relations entre la comorbidité physique chronique et la qualité des soins pour la dépression dans les services de première ligne afin de clarifier la nature de ces relations et d’identifier les facteurs qui pourraient influer sur ces relations. Ensuite, nous avons effectué une étude aux méthodes mixtes ayant deux volets : (a) un volet quantitatif examinant les relations entre la qualité des soins pour la dépression, les profils de comorbidité des patients, et les caractéristiques des cliniques de première ligne par le biais d’analyses de régression multiniveaux de données issues de deux enquêtes, et (b) un volet qualitatif basé sur une étude de cas explorant les perceptions des professionnels des services de première ligne sur les facteurs organisationnels pouvant influencer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de dépression et d’autres maladies chroniques comorbides. Les résultats de ces études ont montré que, bien que la qualité des soins de la dépression en soins primaires soit sous-optimale, certains sous-groupes de patients dépressifs sont plus à risque que d’autres de recevoir des soins pour la dépression inadéquats, notamment des patients ayant uniquement des comorbidités chroniques physiques. Cependant, plusieurs caractéristiques des cliniques de première ligne semblent faciliter l’offre de soins de qualité aux patients atteints de dépression et de maladies chroniques comorbides : les normes et les valeurs liées au travail d'équipe et le soutien mutuel, l'accès au soutien des professionnels ayant une expertise en santé mentale, l’utilisation des algorithmes de traitement et d’autres outils d’aide à la décision pour la dépression, et l’absence d’obstacles liés aux modèles de rémunération inadéquats. Une des façons dont ces caractéristiques favorisent la qualité est en facilitant la circulation des connaissances dans les cliniques de première ligne. Nos résultats suggèrent que des interventions organisationnelles ciblées sont nécessaires pour améliorer la qualité des soins pour la dépression que reçoivent les patients ayant des maladies chroniques comorbides. Ces interventions peuvent viser différents domaines organisationnels (ex : caractéristiques structurelles/stratégiques, sociales, technologies et épistémiques) mais doivent aussi prendre en compte comment les éléments de chaque domaine interagissent et comment ils pourraient influencer les soins pour des patients ayant des profils de comorbidité différents. / In primary care settings, most patients presenting with major depression also suffer from comorbid chronic mental and/or physical conditions. Delivering high quality depression care to these patients represents an important challenge for primary care providers and for health care systems. There are reasons to believe that the organizational contexts in which providers practice have an important influence on the care they provide to patients with depression and comorbid chronic conditions. However, few studies have directly examined how primary care organizational characteristics facilitate or impede care for these patients. The main objective of this thesis was to better understand how different primary care organizational characteristics influence the quality of depression care provided to patients with different profiles of comorbid chronic conditions. The thesis has two components. First, we conducted a systematic review examining relationships between chronic physical comorbidity and the quality of depression recognition and treatment in primary care in order to clarify the nature of these relationships and identify factors associated with observed differences in these relationships across studies. Next, we carried out a mixed-methods study conducted in two sequential phases: (a) a quantitative phase examining relationships between depression care quality, patients’ comorbidity profiles, and primary care clinic characteristics using multilevel regression analyses of data collected from two inter-related surveys, and (b) a qualitative phase relying on a case study approach that examines primary care professionals’ perceptions of the organizational factors that influence the quality of care they provide to patients living with depression and other comorbid chronic diseases. Results of these studies revealed that while the quality of depression care in primary care is suboptimal, some patient subgroups are more at risk of receiving low quality of care than others. Specifically, depressed patients with chronic physical comorbidity only were more at risk of receiving suboptimal care than patients presenting only with psychiatric comorbidity. However, several characteristics of primary care organizations facilitated the delivery of high quality care to patients with depression and comorbid chronic conditions. These included norms and values related to teamwork and mutual support, access to supports from professionals with expertise in mental health, use of decision support tools for depression treatment, and a lack of barriers due to inadequate payment models. One of the ways these characteristics support quality is by facilitating the flow of knowledge in primary care organizations. Our findings suggest that targeted organizational interventions are needed to improve the quality of depression care delivered to patients with depression and comorbid chronic conditions. Interventions could target multiple organizational domains (e.g. structural/strategic, social, informational and epistemic characteristics) and should consider how elements in each domain interact and how they might impact patients with different comorbidity profiles.
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La prescription infirmière : expériences d'infirmières québécoises

Desjardins, Andrée-Anne 07 1900 (has links)
No description available.
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Changing chronic disease primary care patients' participation through web training : does it make a difference?

Glaser, Emma 04 1900 (has links)
No description available.
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L’association entre les divers types de services de santé et l’initiation du traitement de l’hépatite C chez les utilisateurs de drogues par injection.

Bégin, Marc-Antoine 01 1900 (has links)
Introduction: Malgré des taux d’efficacité comparable du traitement antiviral de l’hépatite C (VHC) entre utilisateurs de drogues par injection (UDIs) et non-UDIs, il y a encore d’importantes barrières à l’accessibilité au traitement pour cette population vulnérable. La méfiance des UDIs à l’égard des autorités médicales, ainsi que leur mode de vie souvent désorganisé ont un impact sur l’initiation du traitement. L’objectif de cette étude est d’examiner les liens entre l’initiation du traitement du VHC et l’utilisation des services de santé chez les UDIs actifs. Methode: 758 UDIs actifs et séropositifs aux anticorps anti-VHC ont été interrogés durant la période de novembre 2004 à mars 2011, dans la région de Montréal. Des questionnaires administrés par des intervieweurs ont fourni des informations sur les caractéristiques socio-économiques, ainsi que sur les variables relatives à l’usage de drogues et à l’utilisation des services de santé. Des échantillons sanguins ont été prélevés et testés pour les anticorps anti-VHC. Une régression logistique multivariée a permis de générer des associations entre les facteurs relatifs aux services de santé et l’initiation du traitement contre le VHC. Resultats: Parmi les 758 sujets, 55 (7,3%) avaient initié un traitement du VHC avant leur inclusion dans l’étude. Selon les analyses multivariées, les variables significativement associées à l’initiation du traitement sont les suivantes: avoir vu un médecin de famille dans les derniers 6 mois (Ratio de Cote ajusté (RCa): 1,96; Intervalle de Confiance à 95% (IC): 1,04-3,69); plus de 2 ans sous traitement de la dépendance à vie, sans usage actuel de méthadone (RCa: 2,25; IC: 1,12-4,51); plus de 2 ans sous traitement de la dépendance à vie, avec usage actuel de méthadone (RCa: 3,78; IC: 1,85-7,71); et avoir déjà séjourné en prison (RCa: 0,44; IC: 0,22-0,87). Conclusion: L’exposition à des services d’aide à la dépendance et aux services médicaux est associée à l’initiation du traitement du VHC. Ces résultats suggèrent que ces services jouent leur rôle de point d’entrée au traitement. Alternativement, les UDIs ayant initié un traitement du VHC, auraient possiblement adopté une attitude proactive quant à l'amélioration de leur santé globale. D’autre part, l’incarcération ressort comme un obstacle à la gestion de l’infection au VHC. / Introduction: In spite of comparable hepatitis C virus (HCV) treatment efficacy between injection drug users (IDUs) and non-IDUs, there are still important barriers impeding antiviral treatment access in this vulnerable population. Mistrust between IDUs and health care providers, along with IDU disorganised lifestyle, affect HCV treatment uptake. The objective of this study is to examine the association between HCV treatment initiation and the use of healthcare services among active IDUs. Methodology: 758 active IDUs, seropositive for anti-HCV antibody, were surveyed from November 2004 to March 2011 in Montreal. Interviewer-administered questionnaires elicited information on socio-demographic factors, drug use related behaviors and health care service utilization. Blood samples were collected and tested for HCV antibodies. Multivariate logistic regression analysis was conducted to identify the health service correlates of HCV treatment initiation. Results: Among the 758 subjects, 55 (7.3%) had initiated an HCV treatment prior to enrolment. In multivariate analysis, variables independently associated with treatment initiation included: having seen a general practitioner in the last 6 months (adjusted Odds Ratio (aOR): 1,96; 95% Confidence Interval (CI): 1,04-3,69); more than 2 years of lifetime addiction treatment exposure without current methadone use (aOR: 2,25; CI: 1,12-4,51); more than 2 years of lifetime addiction treatment exposure with current methadone use (aOR: 3,78; CI: 1,85-7,71); and having spent time in prison (aOR: 0,44; CI: 0,22-0,87). Conclusion: Exposure to addiction and medical services is associated with HCV treatment initiation. These results suggest that such services efficiently play their role as entry points for HCV treatment. Alternatively, IDU who have initiated HCV treatment, regardless of the viral response outcome, may have adopted a proactive stance towards improving their overall health. Incarceration on the other hand seems to be an obstacle to HCV treatment uptake.
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L’association entre les divers types de services de santé et l’initiation du traitement de l’hépatite C chez les utilisateurs de drogues par injection

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