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L'attitude des dirigeants est-allemands envers la perestroïka de 1985 à 1989Vallières, Julie January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'image des scientifiques à travers le cinéma soviétique ou la représentation cinématographique de l'aspect scientifique de l'idéologie marxiste-léninisteMaurice, Stéphane January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le drame du cogito : une version contemporaineGrigorov, Émile 11 April 2018 (has links)
La présente étude est consacrée à l'aventure intellectuelle du philosophe géorgien Merab Konstantinovich Mamardachvili (193 0 - 1990). Selon un jugement largement répandu, sa pensée est représentative d'une tendance historiquement et politiquement importante à l'intérieur du marxisme soviétique. C'est la tendance à l'émancipation de la philosophie professionnelle par rapport au discours idéologique officiel. En faisant une relecture de Mamardachvili dans la perspective de l'interaction entre le sens purement théorique de ses textes et leur signification socio-politique, l'auteur tend à démontrer le caractère dramatique des efforts mamardachviliens visant le dépassement des limites de la pensée imposées par les structures du pouvoir idéologique dans le champ philosophique soviétique. Afin de mieux saisir la raison d'être de ces efforts, l'étude se développe sur le plan de l'analyse conceptuelle de ce que Mamardachvili appelait « la position de l'homme conscient dans le monde ». Les références majeures au cours de cette analyse sont les textes du philosophe géorgien sur Marx et Descartes. Suivant la pensée mamardachvilienne qui lie la critique de l'idéologie (et de 1'idéocratie) avec le principe cogito, l'auteur arrive à la conclusion que chez Mamardachvili la conceptualisation de « la position de l'homme conscient dans le monde » fait partie de sa propre stratégie de prise d'une telle position face à l'ordre politico-idéologique imposé par le régime communiste.
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Le droit russe d'après la doctrine juridique française de 1905 à nos jours / Russian law according to French legal doctrine from 1905 to todayVallat, Manuela 08 September 2011 (has links)
Résumé non transmis / Summary not transmitted
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Des subjectivités homosexuelles à l’époque soviétique tardive : entre solidarités et culture du soupçon / Homosexual Subjectivities of the Late Soviet Period : between Solidarity and Culture of Suspicion.Clech, Arthur 16 November 2018 (has links)
Des femmes et des hommes ayant vécu un désir homosexuel à l’époque soviétique tardive (1960-1985) articulent un discours sur soi marqué par un ethos soviétique du secret. Sans être totale, l’atomisation stalinienne des sociétés soviétiques a empêché la formation d’identités et de communautés homosexuelles. Il est dès lors essentiel de prendre la mesure de la rareté du discours disponible sur l’(homo)sexualité pour saisir la singularité des rapports à soi que l'on peut entretenir lorsqu'on vit un désir homosexuel à l’époque soviétique tardive. Des subjectivités homosexuelles existent face à l’opprobre, mais elles n'intériorisent pas nécessairement de sentiment de honte. À un régime général de non-savoir inauguré par le stalinisme, répond un discours sur soi au sein duquel des femmes et des hommes se constituent comme sujet·te·s de leur désir homosexuel, s’affrontant à une pathologisation et une criminalisation communes dont ne rendait pas compte la déclinaison genrée induite par un discours médico-légal méconnu. Des textes de discours sur soi énonçant un « je » ou un « nous » homosexuel, des ego documents, le manifeste d’Evgueni Kharitonov, mais surtout des entretiens en Russie et en Géorgie attestent d’un commun, dans l’humour, le langage et les solidarités partagées, en butte à l’héritage stalinien d’une culture du soupçon, à une différenciation sociale accrue à cette période et à de fortes assignations genrées. Ces subjectivités puisent dans une identité supranationale soviétique pour se dire, tout en se positionnant vis-à-vis de modèles nationaux, autour par exemple de la question juive. / The concern here is with how women and men who lived and expressed their homosexual desire during the late Soviet period (1960-1985) articulated a discourse on self marked by a Soviet ethos of secrecy. The Stalinist atomization of Soviet societies, without being total, prevented the formation of homosexual communities and identities. If we are to grasp the singular character of relations to self which gave expression to homosexual desire and experience during the late Soviet period, we must therefore take full measure of the rarity of discourses available on (homo)sexuality. Homosexual subjectivities within the Soviet context existed in the face of opprobrium without necessarily internalizing the feeling of shame which such opprobrium might occasion. In response to a general regime of non-knowledge inaugurated by Stalinism, a discourse on self emerged through which women and men constituted themselves as subjects of their homosexual desire. They confronted a common pathologization and criminalization, a fact not registered by the gendered declination of subjectivities as the product of a legal-medical discourse which is itself poorly recognized. Texts expressing a discourse on self relating to a homosexual ‘I’ or ‘we’, ego documents, the manifesto of Evgueni Kharitonov and, above all, interviews conducted in Russia and Georgia attest to shared resources of humour, language and a background of solidarity formed in reaction to and against the Stalinist heritage of suspicion, the heightened social differentiation of the period and strong gender assignations. These subjectivities draw upon a supranational Soviet identity, while also positioning themselves in relation to national models, when addressing, for example, the ‘Jewish question’.
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Événements, histoire et mémoire la crise de l'identité russe dans le film "Anna 6-18" du réalisateur Nikita Mikhalkov (1980-1993)Maurice, David January 2010 (has links)
Le cinéma constitue un outil de représentation culturel très complet et complexe, de par la juxtaposition de l'image et du son au récit principal, mais aussi, car il permet de comprendre l'image qu'un individu et/ou une société véhicule d'elle-même et des autres.Le cinéma met en scène le présent d'un groupe ou d'une société, définit son rapport au passé et détermine un horizon d'attentes, des craintes et des espoirs pour le futur. C'est pourquoi le cinéma a été considéré très tôt par Lénine comme le support par excellence de la propagande d'État en Union soviétique, et ce, dès les premières années de la révolution, dans l'optique de favoriser la création de l'homme nouveau. Cette industrie, qui fut très florissante au XXe siècle, notamment en URSS, a permis de modeler et d'alimenter les consciences nationales un peu partout à travers le monde, et ce, plus particulièrement dans les périodes de crises et de transitions politiques et de transformations sociales. Dans ce contexte, le film Anna 6-18, du réalisateur Nikita Mikhalkov, tourné entre 1980 et 1993, une période de transition politique, économique, idéologique et sociale en URSS/Russie, constitue une oeuvre particulière puisque située au carrefour du documentaire, du pamphlet politique et du film de fiction. Alors que la décennie gorbatchévienne constitue une phase d'anamnèse des périodes sombres du passé soviétique, où le cinéma joue un rôle important dans la réminiscence des atrocités commises par l'État stalinien, le film de Mikhalkov, parut en 1993, correspond plutôt au désir de l'élite russe de mettre un terme à la crise de l'identité russe, de se dissocier du passé soviétique et de renouer avec l'histoire de la Russie tsariste afin de remplacer le dogme communiste par un retour aux valeurs orthodoxe. L'analyse de la démarche du réalisateur, de son bagage familial et de l'utilisation qu'il fait du passé prérévolutionnaire de ses ancêtres, des événements qu'il sélectionne et des personnes qu'il présente, devient alors des plus pertinente pour saisir l'univers des représentations chez Nikita Mikhalkov.
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Nikolaj Roslavec : le musicien « forgeron » de la Révolution d’Octobre : ses oeuvres pour voix et piano (1909-1931) / Nikolaj Roslavec : a Musician as “blacksmith” of the October Revolution : His works for voice and piano (1909-1931) » / Николай Рославец : музыкант -кузнец Октябрьской революции : Произведения для голоса и фортепиано (1909-1931)Martin-Chevalier, Louisa 11 December 2017 (has links)
L’œuvre de Nikolaj Roslavec apparaît comme un moment éphémère et expérimental dans l’histoire de la musique russe. Cette étude met en lumière l'existence d'un compositeur audacieux, ambitieux, qui a exalté la rhétorique révolutionnaire bolchevique de « l'homme nouveau » et s’est présenté comme un « forgeron de nouvelles formes de vie ». Plus encore, il a proposé un nouveau système de composition élaboré autour de ce qu’il appelle sintetakkord, forme apparemment hybride entre l’accord synthétique scriabinien et la série schœnbergienne, qu’il déploiera à différents moments de son parcours artistique. À travers la mise en place d’un principe compositionnel où le sintetakkord devient l’outil de sa pensée musicale, Roslavec tente de transcender les limites du langage tonal et du matériau compositionnel traditionnel et ainsi, de créer un tout organique et synthétique. Selon l’un des critiques musicaux de l’époque, « c’est un système solide et stable de perception et de contemplation des sons, issu de la conception et de la vision du monde inédites qui sont la marque d’une époque nouvelle ». Les événements révolutionnaires de 1917 chargent les débats artistiques d’une signification historique, de préoccupations politiques et idéologiques. Roslavec, qui se réclame de 1917, sera éminemment marqué par les nouvelles perspectives de construction d’une nouvelle société. « La culture musicale russe – encore instable, sans racines solides – a été entièrement balayée par Octobre » écrit-il. Celui que Mjaskovskij surnomme « le moderniste militant de gauche » s’engage dès le début des années 1920 au sein de nombreuses institutions culturelles. Son combat politique prendra différents aspects tout au long de sa vie, au gré des mutations politiques et institutionnelles que connaît la Russie : membre du Parti communiste, militant actif auprès des masses, actif dans la reconstruction culturelle et étatique de la vie musicale, actif dans la communauté artistique d’avant-garde et engagé par ses productions écrites. / Nikolaj Roslavec’s works stands as an ephemeral and experimental period in the history of Russian music. This research highlights the life and times of an audacious, ambitious, composer, who enthused the Bolshevik rhetoric of the “New Man” and used to introduced himself as a “blacksmith of new forms of life”. Furthermore, he set forth a new system of composition built upon what he called sinteakkord. That new system seemingly was a mix between the scriabinian synthetic chord and the schœnbergian series, and he would rely upon it at different stages of his artistic career.Through the setting of a compositional principle wherein the sintetakkord becomes the very tool of his musical thought, Roslavec endeavors to bypass the limitations of the tonal language and of the traditional compositional materials and thus attempts to create an organic and synthetic unity. As one of the musical critics of the time puts it: “It is a robust and stable system of perception and contemplation of the sounds, that stems from the new conception and view of the world that are the sign of a new era”.
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« Le communisme tout de suite ! » : Le mouvement des communes en Ukraine soviétique (région de Kharkiv) de 1919 à 1935Aunoble, Eric 13 February 2007 (has links) (PDF)
En menant l'enquête au plus près des acteurs, cette thèse étudie toutes les formes de communes autour de la première capitale de l'Ukraine soviétique.<br />En 1919, les communes sont des formes de mobilisation politique et sociale des plébéiens ruraux en interaction avec l'État soviétique. Cette « Kommuniâ » provoque une cruelle réaction pogromiste dans les campagnes.<br />Sous la NEP, des communes urbaines apparaissent sous la direction d'étudiants, d'artistes, de pédagogues... Ce « Nouveau Mode de vie » est aussi un laboratoire du contrôle social pour le pouvoir et les élites. Les communes paysannes n'occupent par contre qu'une place marginale socialement et idéologiquement.<br />Cela prépare la subversion de l'utopie par le pouvoir après 1929. « Collectivisation complète » et famine ont raison des communes rurales. L'opposition des communards ruraux et urbains est réelle mais peu audible. Grâce à la rhétorique révolutionnaire de la guerre civile, le pouvoir empêche toute expression des classes pauvres.
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La lutte finale : l'URSS dans le débat politique et intellectuel en France de 1975 à 1991 / The final struggle : USSR in political and intellectual debate in France between 1975 and 1991Chauvin, Hervé 05 October 2012 (has links)
Depuis son origine, l'Union soviétique n'a cessé d'être en France l'objet d'un vif débat politique et intellectuel, un lieu de transposition des affrontements idéologiques hexagonaux. Alors que deux images contradictoires de l'URSS se sont formées au XXe siècle – celle de l'incarnation du socialisme et celle d'une dictature repoussante – la décennie qui débute en 1975 voit le triomphe en France de l'image noire du régime soviétique, dont le bilan est jugé complètement négatif, malgré une courte période d'interrogations suscitée par les réformes gorbatchéviennes. Cette évolution est le résultat d'un intense affrontement politique et idéologique hexagonal autour de la « réalité » du socialisme soviétique au moment où l'Union de la gauche propose un projet socialiste pour la France : l'Union soviétique se retrouve alors étroitement imbriquée dans les débats politiques, syndicaux, intellectuels français, constituant alors la ligne de démarcation principale entre communistes et non-communistes. La réintroduction du concept de totalitarisme, l'identification à la lutte de la dissidence est-européenne et la dénonciation de l'impérialisme soviétique pendant la période de « guerre fraîche » constituent les différentes facettes de cette lutte dont le résultat est le développement d'un fort antisoviétisme en France, allant jusqu'à une certaine remise en cause des relations bilatérales. L'amalgame entretenu entre les deux socialismes – de l'Est et de l'Ouest – contribue à la fois à la marginalisation du Parti communiste français qui peine à redéfinir ses relations avec les partis frères, de l'affirmation du « socialisme aux couleurs de la France » au bilan « globalement positif » des pays de l'Est, mais affecte aussi de manière plus générale l'idée de socialisme en France. Après des années de sympathie pour le communisme, les intellectuels français basculent massivement dans un anticommunisme virulent: la substitution du binôme capitalisme/socialisme au profit du couple démocratie/totalitarisme se traduit par l'abandon des traditions révolutionnaires de la gauche française. La vision libérale de l'histoire triomphe alors, entraînant une condamnation totale et définitive du régime soviétique qui précède, de loin, sa fin en 1991. / From its beginning, the Soviet Union has always been the subject of a fierce political and intellectual debate in France, a place on which ideological French confrontations were transfered. During the 20th century, two conflicting images of USSR were created – the embodiment of socialism and of a repulsive dictature – but after 1975 the dark image of the soviet system prevails. Its assessment is judged as completely negative, despite Gorbachev's era of reforms. This change is the result of an intense political and ideological French confrontation about what soviet socialism really is at the time when the Union of the Left is putting forward a socialist project for France : thus, the Soviet Union becomes closely interlocked in any debate in French political parties, unions and intellectual circles, acting as a dividing line between communists and others. The reintroduction of the concept of totalitarianism, the identification to the fight of Eastern Europe dissidents and the highlighting of soviet military imperialism during the second cold war are the different parts of this fight which results in the growth of a strong anti-sovietism in France and in a kind of adjournment of bilateral relations with the USSR. The amalgam between western and eastern socialism leads to the marginalization of the French Communist Party, which is not able to redefine its relations with the eastern sister parties, from the French way to socialism (“socialisme aux couleurs de la France”) to the globally positive assessment of Eastern socialist countries. It also affects the general idea and contents of socialism in France. After years of sympathy for communism, French intellectuals massively swing to an acerbic anticommunism: the opposition between capitalism and socialism is replaced by the one between democracy and totalitarianism, and, because of that, French Left revolutionary traditions are abandoned. At that point, the liberal vision of history prevails, and leads to the total and definitive condemnation of the soviet regime, preceding by far its end in 1991.
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Les relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective : étude comparée de l’historiographie et de manuels de CégepBeauchamp-Léveillé, Simon 06 1900 (has links)
Ce mémoire se veut être un alliage de connaissances historiques théoriques et de leur mise en application dans un contexte académique de niveau collégial. L’objet principal est de comparer l’historiographie savante, écrite par des historiens chercheurs, au contenu de quatre manuels de Cégep, rédigés par des pédagogues de formation historienne, à propos des relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective. / This thesis aims to be an alloy of historical and theoretical knowledge and of their implementation in a collegial academic context. Its main purpose is to compare the scholarly historiography content, written by historians, researchers, to an extract of four College Manuals, written by teacher training historians, about Soviet international relations at the era of collective security.
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