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« Le communisme tout de suite ! » : Le mouvement des communes en Ukraine soviétique (région de Kharkiv) de 1919 à 1935

Aunoble, Eric 13 February 2007 (has links) (PDF)
En menant l'enquête au plus près des acteurs, cette thèse étudie toutes les formes de communes autour de la première capitale de l'Ukraine soviétique.<br />En 1919, les communes sont des formes de mobilisation politique et sociale des plébéiens ruraux en interaction avec l'État soviétique. Cette « Kommuniâ » provoque une cruelle réaction pogromiste dans les campagnes.<br />Sous la NEP, des communes urbaines apparaissent sous la direction d'étudiants, d'artistes, de pédagogues... Ce « Nouveau Mode de vie » est aussi un laboratoire du contrôle social pour le pouvoir et les élites. Les communes paysannes n'occupent par contre qu'une place marginale socialement et idéologiquement.<br />Cela prépare la subversion de l'utopie par le pouvoir après 1929. « Collectivisation complète » et famine ont raison des communes rurales. L'opposition des communards ruraux et urbains est réelle mais peu audible. Grâce à la rhétorique révolutionnaire de la guerre civile, le pouvoir empêche toute expression des classes pauvres.
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La lutte finale : l'URSS dans le débat politique et intellectuel en France de 1975 à 1991 / The final struggle : USSR in political and intellectual debate in France between 1975 and 1991

Chauvin, Hervé 05 October 2012 (has links)
Depuis son origine, l'Union soviétique n'a cessé d'être en France l'objet d'un vif débat politique et intellectuel, un lieu de transposition des affrontements idéologiques hexagonaux. Alors que deux images contradictoires de l'URSS se sont formées au XXe siècle – celle de l'incarnation du socialisme et celle d'une dictature repoussante – la décennie qui débute en 1975 voit le triomphe en France de l'image noire du régime soviétique, dont le bilan est jugé complètement négatif, malgré une courte période d'interrogations suscitée par les réformes gorbatchéviennes. Cette évolution est le résultat d'un intense affrontement politique et idéologique hexagonal autour de la « réalité » du socialisme soviétique au moment où l'Union de la gauche propose un projet socialiste pour la France : l'Union soviétique se retrouve alors étroitement imbriquée dans les débats politiques, syndicaux, intellectuels français, constituant alors la ligne de démarcation principale entre communistes et non-communistes. La réintroduction du concept de totalitarisme, l'identification à la lutte de la dissidence est-européenne et la dénonciation de l'impérialisme soviétique pendant la période de « guerre fraîche » constituent les différentes facettes de cette lutte dont le résultat est le développement d'un fort antisoviétisme en France, allant jusqu'à une certaine remise en cause des relations bilatérales. L'amalgame entretenu entre les deux socialismes – de l'Est et de l'Ouest – contribue à la fois à la marginalisation du Parti communiste français qui peine à redéfinir ses relations avec les partis frères, de l'affirmation du « socialisme aux couleurs de la France » au bilan « globalement positif » des pays de l'Est, mais affecte aussi de manière plus générale l'idée de socialisme en France. Après des années de sympathie pour le communisme, les intellectuels français basculent massivement dans un anticommunisme virulent: la substitution du binôme capitalisme/socialisme au profit du couple démocratie/totalitarisme se traduit par l'abandon des traditions révolutionnaires de la gauche française. La vision libérale de l'histoire triomphe alors, entraînant une condamnation totale et définitive du régime soviétique qui précède, de loin, sa fin en 1991. / From its beginning, the Soviet Union has always been the subject of a fierce political and intellectual debate in France, a place on which ideological French confrontations were transfered. During the 20th century, two conflicting images of USSR were created – the embodiment of socialism and of a repulsive dictature – but after 1975 the dark image of the soviet system prevails. Its assessment is judged as completely negative, despite Gorbachev's era of reforms. This change is the result of an intense political and ideological French confrontation about what soviet socialism really is at the time when the Union of the Left is putting forward a socialist project for France : thus, the Soviet Union becomes closely interlocked in any debate in French political parties, unions and intellectual circles, acting as a dividing line between communists and others. The reintroduction of the concept of totalitarianism, the identification to the fight of Eastern Europe dissidents and the highlighting of soviet military imperialism during the second cold war are the different parts of this fight which results in the growth of a strong anti-sovietism in France and in a kind of adjournment of bilateral relations with the USSR. The amalgam between western and eastern socialism leads to the marginalization of the French Communist Party, which is not able to redefine its relations with the eastern sister parties, from the French way to socialism (“socialisme aux couleurs de la France”) to the globally positive assessment of Eastern socialist countries. It also affects the general idea and contents of socialism in France. After years of sympathy for communism, French intellectuals massively swing to an acerbic anticommunism: the opposition between capitalism and socialism is replaced by the one between democracy and totalitarianism, and, because of that, French Left revolutionary traditions are abandoned. At that point, the liberal vision of history prevails, and leads to the total and definitive condemnation of the soviet regime, preceding by far its end in 1991.
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Les relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective : étude comparée de l’historiographie et de manuels de Cégep

Beauchamp-Léveillé, Simon 06 1900 (has links)
Ce mémoire se veut être un alliage de connaissances historiques théoriques et de leur mise en application dans un contexte académique de niveau collégial. L’objet principal est de comparer l’historiographie savante, écrite par des historiens chercheurs, au contenu de quatre manuels de Cégep, rédigés par des pédagogues de formation historienne, à propos des relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective. / This thesis aims to be an alloy of historical and theoretical knowledge and of their implementation in a collegial academic context. Its main purpose is to compare the scholarly historiography content, written by historians, researchers, to an extract of four College Manuals, written by teacher training historians, about Soviet international relations at the era of collective security.
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Les relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective : étude comparée de l’historiographie et de manuels de Cégep

Beauchamp-Léveillé, Simon 06 1900 (has links)
Ce mémoire se veut être un alliage de connaissances historiques théoriques et de leur mise en application dans un contexte académique de niveau collégial. L’objet principal est de comparer l’historiographie savante, écrite par des historiens chercheurs, au contenu de quatre manuels de Cégep, rédigés par des pédagogues de formation historienne, à propos des relations internationales soviétiques à l’ère de la sécurité collective. / This thesis aims to be an alloy of historical and theoretical knowledge and of their implementation in a collegial academic context. Its main purpose is to compare the scholarly historiography content, written by historians, researchers, to an extract of four College Manuals, written by teacher training historians, about Soviet international relations at the era of collective security.
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Une fenêtre ouverte sur l’URSS : le Spoutnik Digest durant la Guerre froide (1968-1988)

Beauchamp, David 02 1900 (has links)
La chute de l’URSS en 1991 a permis un renouvellement de l’historiographie occidentale sur l’histoire de ce pays durant la Guerre froide : avec l’accès à de nouvelles archives, les dimensions sociales et culturelles sont désormais prisées et la production culturelle soviétique est examinée avec un regard plus apaisé. À partir de 1967, un magazine à grand tirage soviétique fait son apparition dans plusieurs villes occidentales : le Spoutnik Digest. Son titre évoque à la fois le satellite soviétique, qui a fasciné la planète dix ans plus tôt, et le Reader’s Digest, le magazine américain agrégateur de contenu le plus vendu et le plus lu dans le monde à l’époque. La revue mensuelle, quoique similaire à son homologue américain au premier regard, contient des textes exclusivement issus d’Union soviétique et de ses journaux officiels. Comme le Reader’s Digest, le Spoutnik Digest est un objet de propagande, mais la revue offre un regard différent sur l’URSS durant la Guerre froide et sur les tensions mondiales de l’époque : dans le Spoutnik Digest, l’URSS est un pays pacifique, culturellement riche et où il fait bon vivre, la revue priorisant la valorisation du monde communiste plutôt que la critique du capitalisme et des États-Unis en particulier. En ce sens, le Spoutnik Digest se distingue clairement du Reader’s Digest, dont l’anticommunisme est agressif et omniprésent. Ce mémoire étudie le Spoutnik Digest en tant qu’objet historique et culturel entre les années 1968 et 1988. L’analyse de sa forme et de son contenu porte sur les origines de cette revue, son lectorat cible et les thèmes les plus couverts, révélant au final le message soviétique de paix et de bonne volonté politique que le magazine tentait de transmettre dans le monde durant la Guerre froide. / The fall of the Soviet Union in 1991 allowed the Cold War historiography to renew itself: social and cultural dimensions are acknowledged and the outlook on the cultural material emanating from USSR can be analyzed with more scientific objectivity and an appeased perspective. In 1967, a new magazine appeared in many Western cities: the Sputnik Digest. Its name referred both to the Soviet satellite that fascinated the world ten years earlier and the Reader’s Digest, the famous American magazine specialized in content aggregating, the most read and sold internationally at the time. The Sputnik Digest, published on a monthly basis, even though looking similar to its American counterpart at first sight, contained texts directly extracted from official Soviet newspapers in USSR. Without doubt a propaganda tool, like its American counterpart, the magazine however offered a fresh insight of the USSR during the Cold War: from the Sputnik Digest point of view, the Soviet Union was a peaceful country, culturally rich and a great place to live in. The magazine prioritized the valorisation of the USSR as opposed to criticizing the capitalist Western powers and the United States. From that standpoint it radically diverged from the aggressive ideological tone of the Reader’s Digest. This master’s thesis, through this new perspective, will study the Sputnik Digest as a historical and cultural object between the years 1968 and 1988. By looking both at its format and content, it will examine the origins of this monthly journal, its targeted readership and the most covered themes, revealing the message of Soviet peace and goodwill that the magazine tried to spread worldwide during the Cold War.
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Jouer et déjouer. Construction sociale d'une jeunesse active à travers le théâtre amateur d'étudiants soviétiques, 1953-1975

Ostromooukhova, Bella 06 December 2011 (has links) (PDF)
Ce travail retrace la manière dont des troupes de théâtre composées d'étudiants négociaient les marges d'autonomie vis-à-vis de l'appareil administratif et idéologique chargé d'encadrer les activités artistiques dans l'URSS de l'époque poststalinienne. Le jeu - en tant que mode d'expression dramatique mais aussi en tant que comportement social - pouvait-il conduire des jeunes à déjouer les normes morales, les paradigmes organisationnels, discursifs et esthétiques qui leur étaient imposés ? Même si les groupes semblaient reproduire la plupart de ces paradigmes, l'ironie et une certaine libéralisation de l'esprit, liées au travail artistique, leur permettaient de " jouer " avec les schémas d'action, et même occasionnellement les " déjouer ", tout en restant dans les limites du socialement et artistiquement admis. Sans toutefois constituer des foyers de rébellion, les groupes étudiés pouvaient donc constituer des niches où demeurait possible une autonomie d'action et de pensée. Fondé sur des entretiens et des archives privées, le travail reconstitue le fonctionnement et la production de plusieurs types de groupes : " ateliers de théâtre " animés par un professionnel, " studios " montés par des étudiants eux-mêmes, équipes d'un jeu intellectuel nommé le " KVN ", " brigades d'agitation " destinées à diffuser la culture citadine à la campagne et sur des grands chantiers.
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La cité scientifique de Doubna : de la "ville idéale" soviétique à la vitrine du renouveau de la Russie contemporaine, étude d'un territoire d'innovation mis au service d'un discours de puissance

Limonier, Kevin 28 November 2014 (has links)
Depuis sa fondation officielle en 1956, la ville de Doubna s'est développée dans des conditions exceptionnelles. A l'époque soviétique, elle était l'un des principaux centres de recherche nucléaire du monde socialiste, et de nombreux étrangers y vivaient. Après 1991, cette « vitrine » d'un système désormais disparu a su négocier la transition des années 1990 en misant sur le développement des hautes technologies. Dans les années 2000, le pouvoir central s'est intéressé aux succès de cette ville dans un contexte de mise en scène du renouveau de la Russie comme grande puissance capable de surmonter les défis de la transition post-soviétique. Moscou y a financé de très importants chantiers d'aménagement afin de capitaliser le « potentiel intellectuel et scientifique » hérité de l'époque soviétique, si bien que la presse a pu qualifier Doubna de « Silicon Valley » russe. Aujourd'hui, cette petite ville transformée par les programmes fédéraux de relance est néanmoins confrontée à d'importants problèmes, comme celui de la corruption et d'une défiance grandissante de la population vis-à-vis du pouvoir. Grâce à la méthode géopolitique ce travail se propose de questionner, à travers une étude monographique détaillée, les processus ayant conduit à la constitution d'un territoire d'exception, et de comprendre comment cette représentation méliorative est utilisée par divers acteurs dans des rivalités de pouvoir à plusieurs échelles géographiques. Plus largement, l'objet de ce travail est d'analyser les dynamiques de production et d'instrumentalisation de l'idée de « puissance » russe à travers l'étude d'une ville qui fut créée pour l'incarner dans le domaine scientifique et technologique. / Since it was officially founded in 1956 at 120 km north from Moscow, the city of Dubna's development is exceptionnal. During the Soviet era, this city was one of the major nuclear research centers of the socialist world. After the collapse of USSR, this former « showcase » of a disappeared system managed to survive as an exception by developping high-tech industries. In the 2000s, central power became interested by this small city, as it could be useful for its strategy of putting the country back as a « major world power ». Thus, Moscow funded many important projects in Dubna, especially for capitlizing « scientifical and intellectual potential » inherited from the Soviet era. Today, this town is so transformed by this massive funding policy that it has been called « Russian Silicon Valley » for a while. But Dubna is facing many problems, like corruption or a growing disapproval of political elites by the population. Thanks to the geopolitical approach, this work interrogates the processes that led to the creation of territory presented as exceptionnal, and how this representation of exception is used by several actors in rivalries of power at different geographical scales. In a wider perspective, the purpose of this work is to analyse production and exploitation of the official russian idea of « power » throught the case study of a city that was created to fulfill this aspiration.
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Ancrage politique et social des dispositifs socionumériques de communication dans la société russe postsoviétique / Political use of social media networks in post soviet Russia

Kondratov, Alexander 06 November 2015 (has links)
Ce travail de thèse questionne la place que les dispositifs numériques d'information et de communication occupent dans la reconfiguration de l'espace public (Habermas, 1991) contemporaine post-soviétique. Il étudie également l'émergence, l'inscription sociale et l'usage politique des espaces participatifs du web - tels que les blogs, les forums ou les réseaux sociaux, au sein de cette société. Aussi, nous explorons le processus de la médiation, tel qu'il s'exerce à l'extérieur de la médiatisation classique dans la sphère publique nationale post-soviétique. Après avoir appliqué les différentes méthodes d'analyse des réseaux (cartographie, entretiens semi-directifs, observation participative), nous pouvons constater qu'actuellement en Russie contemporaine nous observons l'éclatement de l'espace public unique et le retour au modèle de double espace public: officiel « dominant », constitué en grande partie des médias audio-visuels, la presse écrite nationale et des partis politiques institutionnalisés et l'espace « parallèle » constitué des « nouveaux » médias numériques (Kiriya, 2012). Ces tendances nous montrent la persistance des formes et des configurations de l'espace public dans la société malgré les changements économiques et sociaux. Dans le contexte post-soviétique, les « nouveaux » médias numérisés soutiennent à la fracture sociale et politique dans la société et épargnent l'espace public officiel des discours et des débats oppositionnels. En même temps, ces dispositifs contribuent à l'apparition des nouveaux acteurs des débats et de la production de l'information, et au maintien de la diversité des opinions. De ca fait, les dispositifs numériques de communication peuvent être insérés dans les espaces sociaux différents et d'accompagner les pratiques de libération et de domination en même temps. Notre travail montre que le déploiement des réseaux socionumériques et des médias numériques post-soviétiques participe aux évolutions plus générales de la société post-soviétique. Ils stabilisent et rendent visible la configuration des acteurs des espaces sociaux préexistants. L'étude de l'ancrage politique des réseaux socionumériques et des médias dans l'espace public officiel nous conduit à adopter une vision critique de la théorie « positiviste » des réseaux socionumériques en tant qu'outils de délibération et de débats argumentatifs. Ainsi, l'espace numérique post-soviétique est devenu une prolongation de l'espace public officiel de domination tout en assurant l'appropriation des discours étatiques propagandistes et leur pénétration dans l'espace privé. Ce travail montre que l'ancrage social (Miège, 2007) et politique de ces outils dans la société Russe est plutôt conservatif et ne contribue à la libération et démocratisation de la société. Bien au contraire – ces outils sont utilisés pour reproduire l'ordre politique dominant, diviser l'espace public etc. Les débats et les mobilisations sur le net ont faiblement contribué à l'émancipation et aux changements sociaux. Insérés dans les champs sociaux nationaux existants, ces médias numériques ont incité à la délibération et la maîtrise de la violence. En même temps, ils pouvaient être mobilisés par les acteurs dominants afin d'asseoir leur domination et leur violence. Dans le contexte post-soviétique, les technologies numériques ont contribué au déclin de la mobilisation politique d'opposition, renforçant l'isolement des acteurs politiques, exclus de l'espace public, et un contrôle social profitable aux autorités russes actuelles. L'expression « spontanée » de mouvements sociaux s'effectue selon les formes protestataires historiquement préexistantes (Bertrand Cabedoche, 2010) et notre étude du cas post-soviétique le confirme pleinement. / This PhD work questions the place of digital information and communication devices involved in the reconfiguration of the contemporary post-Soviet public sphere (Habermas, 1991). It also examines the emergence, social inclusion and the political use of web participatory spaces - such as blogs, forums and social networks, in this society. Also, we explore the process of mediation, as is carried outside the traditional media in the post-Soviet national public sphere. After applying the different analysis methods of networks (mapping, interviews, participant observation), we can conclude that in contemporary Russia we observe the return to dual model public space: Official "dominant" (consists largely of audio-visual media, papers; magazines, radio stations) and "parallel" (consists of the oppositional political parties, "new" digital media) (Kiriya, 2012). These trends confirm the persistence of forms and configurations of public space in society despite the social and economic changes. In the post-Soviet context, the "new" digital media support the social and political cleavage in. At the same time, these devices contribute to the appearance of new actors of debates and production of information, and the maintenance of the diversity of opinions. Thereby, digital communication devices can be inserted in different social spaces, accompany the liberation and domination practices at the same time. Our work shows that the deployment of digital networks and digital media accompanies the development of the post-Soviet society. They stabilize and make visible the configuration of preexisting actors in different social spaces. This study of political use of digital networks and media in the official public space lead us to adopt a critical view of the "positivist" perception of digital networks as tools of deliberation and argumentative discussions. Thus, the post-Soviet digital space has become a digital extension of the formal domination of public space while ensuring the appropriation of state propaganda speeches and their penetration into the private area. This work shows that the social use (Miège, 2007) and policy of these tools in Russian society is quite conservative and does not contribute to the liberation and democratization of society. Quite the contrary, these devices are used to reproduce the dominant political divide public space and so on. The debates and mobilizations on the Internet have slightly contributed to the emancipation and social change. Inserted into existing national social fields, these digital media has led to the deliberation and control of violence. At the same time, they could be mobilized by the dominant players in order to establish their domination and violence. In the post-Soviet context, digital technologies have contributed to the decline of the political opposition mobilization, reinforcing the isolation of political actors, excluded from the public space, and profitable social control for current Russian authorities. The "spontaneous" social movement is performed according to the historically pre-existing forms protesters (Cabedoche Bertrand, 2010) and our study of post-Soviet case fully confirms it.
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Les communautés grecques en URSS (1917-1956) et les questions du genre / The Greek communities of the Soviet Union (1917-1956) and the gender question

Kataiftsis, Dimitris 06 December 2014 (has links)
Pour former nos hypothèses, il fallait examiner les discours scientifiques sur le genre et leurs applications dans le cas grec, ce que nous avons essayé de faire dans notre introduction.Notre travail s’est articulé en cinq grandes parties. La première aborde la formation de la diaspora grecque de la fin du 18ème siècle aux révolutions de 1917 et les représentations féminines dans l’historiographie gréco-pontique. La deuxième partie aborde l’accès des femmes au savoir, les modes d’intégration à la nouvelle société soviétique. La conservation des rôles culturels nous mène à dresser une typologie des femmes « grecques » et des femmes « soviétiques ». La troisième s’intéresse à la reformation ou disparition des rôles au cours des répressions politiques qui affectèrent considérablement la diaspora grecque. Nous avons également dressé un bilan des femmes-victimes des purges. La dernière partie a montré enfin que l’exile constitua un moment-rupture avec le passé, au moins dans les témoignages oraux de ses protagonistes. Les femmes qui nous ont parlé d’elles-mêmes et les hommes qui se sont demandés sur les questions de genre nous ont offert une image du passé originale, digne d’intérêt. / In order to form our hypothesis, it would be necessary to examine the scientific discourse on gender and its application to the greek case, and this is what we tried to do in our introduction. Our study was organized in five large parts. The first one approaches the formation of greek diaspora from the end of the 18th century to the revolutions of 1917 and the woman representation in pontic-greek historiography. The second one approaches the access of women in education, the ways of integration in the new soviet society. The preservation of the cultural roles leads us to develop a typology between “greek” women and “soviet” women. The third part focuses on the reformation or disappearance of the roles during political repressions that would have an impact on greek diaspora. Furthermore, we discussed on the women-victims of purges. Finally, the last part demonstrates that the exile constituted a rupture with the past, at least as it resulted from its protagonists’ oral testimonies. The women who talked about themselves and the men surveyed on gender issues give us an original image of the past, worthy of interest.
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L'intervention soviétique en Afghanistan et l'Islam en URSS

Uslubas, Fevzi January 1989 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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