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Dispersi sunt lapides sanctuarii. La reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle après la Premiere Guerre Mondiale (1918-1933)

Padiou, Nicolas 09 February 2010 (has links)
Nach der Trennung von Kirche und Staat (1905), waren die französischen Städte nicht länger autorisiert, den Bau von neuen Kirchen zu finanzieren oder sich um die Instandhaltung derjenigen Kirchen zu kümmern, die diesen bis dahin unterstellt waren. Konfrontiert mit Kritik von Seiten der Katholischen Kirche, stufte der französische Staat während der Jahre 1905-1914 viele Kirchen als offizielle historische Monumente ein. Dadurch wurde den Städten erlaubt, ihre Kirchen unter dem Vorsatz der Erhaltung des nationalen Erbes instand zu halten. Ausgestattet mit einem hohen Maß an nationaler Größe, hatten Kirchen eine bedeutende Rolle in der Kriegspropaganda vieler kriegsführender Staaten gespielt. Im Gegensatz zur französischen Propaganda, waren die Kirchen scheinbar nicht vornehmlich durch die deutschen Armeen zerstört worden. Nach dem Krieg führte der französische Staat ein sehr komplexes System zur Entschädigung von Kriegsschäden ein. Im Jahr 1919 gründete der Kanoniker Émile Thouvenin eine Kooperative zum Wiederaufbau in jeder Gemeinde im Departement von Meurthe-et-Moselle. Mit der Unterstützung der Präfektur, rief er 1921 eine Kooperative ins Leben, welche dem Wiederaufbau der Kirchen in der Diözese Nancy galt. Dieses Unternehmen wanderte oft auf dem schmalen Grat zwischen dem Gesetz zur Trennung von Kirche und Staat und dem Gesetz über Kriegsschäden. Gleichwohl bestand das Anliegen dieser Initiative nicht darin, das Gesetz zu umgehen: In erster Linie war es darauf ausgerichtet, den Prozess des Ausgleichs von Zerstörungen und den der Bauzulassung für Projekte zum Wiederaufbau von Kirchen zu beschleunigen. Die Beteiligung von offizieller Hand hatte zusätzlich den Vorteil der Rückkehr der Kirchen in ihre Rolle als offizielle Institution. Während der Einweihungsfeiern von wiederaufgebauten Kirchen waren die zivilen und kirchlichen Eliten von Meurthe-et-Moselle beständig angehalten, den Geist des ‚geheiligten Bundes‘ (Union sacrée) sogar während der antikirchlichen Phase des linken Flügels des Cartel des Gauches (1924-1925) zu bewahren. Darüber hinaus zeigte der Kanoniker Thouvenin mehr Interesse an finanziellen und institutionellen Fragen als an der Stilart der Kirchen. Einige von diesen sind Kopien der neuromanischen oder neugotischen Kirchen, die vor dem Krieg gebaut wurden während andere deutlich moderner wirken.:Volume 1: Introduction Première partie. La séparation des Eglises et de l’Etat et ses conséquences pendant l’avant-guerre. 1905-1914 I. Les églises à la veille de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat II. Les conséquences de la séparation des Eglises et de l’Etat III. Catholicisme et patriotisme à la veille de la guerre Deuxième partie. Les églises pendant la Première Guerre mondiale. 1914-1919 I. La « passion » des églises du diocèse de Nancy II. Les premiers débats sur la reconstruction III. Le bilan des destructions Troisième partie. Le cadre institutionnel et les grandes étapes de la reconstruction des églises I. Les prémices de la reconstruction II. La coopérative de reconstruction des églises du diocèse de Nancy III. Les lieux de culte reconstruits en marge ou hors du cadre de la coopérative diocésaine IV. Le rôle des architectes et des entrepreneurs Quatrième partie. La loi sur les dommages de guerre et la loi de séparation I. La place des églises dans l’urbanisme II. L’application aux églises de la loi sur les dommages de guerre III. Le contournement de la loi de séparation Cinquième partie. « Le bouquet sur le faîte », la dimension symbolique des églises reconstruites I. Un style « première reconstruction » ? II. « Domine salvam fac republicam ». La construction des églises et la perpétuation de l’Union sacrée III. La réception et la postérité des églises Conclusion Sources Bibliographie Chronologie Notices biographiques Index des personnes Index des lieux Table des matières détaillée Volume 2: Annexes I. Chronologie des archives des dommages de guerre II. Les églises de Meurthe-et-Moselle entre 1905 et 1914 III. L’Eglise et les églises pendant la guerre IV. Le bilan matériel de la guerre V. L’organisation de la reconstruction VI. Les architectes et les entrepreneurs VII. L’application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 VIII. La coopérative de reconstruction des églises IX. Le coût des églises reconstruites X. L’association diocésaine de Nancy Iconographie générale I. Cartes II. Les images de lieux de culte pendant la guerre III. Les églises provisoires IV. L’urbanisme dans les villages reconstruits V. Les chantiers de reconstruction VI. Les matériaux de construction VII. L’iconographie régionale et patriotique VIII. Les protagonistes de la reconstruction des églises IX. Les cérémonies de consécration X. Les mairies XI. Les églises construites dans les communes industrielles de l’arrondissement de Briey hors du cadre de la coopérative XII. Les églises, lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale Catalogue des églises de Meurthe-et-Moselle endommagées pendant la Première Guerre mondiale Première partie. Les églises gravement endommagées Deuxième partie. Les églises peu ou très peu endommagées Répertoire des architectes ayant participé à la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle Table des matières détaillée / Après la séparation des Eglises et de l’Etat (1905), les communes françaises n’étaient plus autorisées à financer la construction de nouvelles églises ou à assumer les grosses réparations des églises qui leur appartenaient déjà. Face aux critiques des catholiques, l’Etat a classé de nombreuses églises comme monuments historiques pendant les années 1905-1914, permettant ainsi aux communes de les entretenir pour des raisons patrimoniales et plus cultuelles. Investies d’une forte dimension nationale, les églises ont joué un rôle très important dans la propagande de guerre des différents pays belligérants en 1914-1918. Contrairement à ce qu’affirmait la propagande française, les églises ne semblent pas avoir fait l’objet d’un acharnement particulier de la part des armées allemandes. À l’issue du conflit, l’Etat français a mis en place un système d’indemnisation des dommages de guerre très complexe. Pour compléter ce système, le chanoine Emile Thouvenin a fondé, en 1919, une coopérative de reconstruction dans chaque commune détruite du département de Meurthe-et-Moselle. Avec l’appui de la préfecture, il a créé, en 1921, une coopérative vouée à la reconstruction des églises du diocèse de Nancy. Cette coopérative œuvra souvent en marge de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat et de la loi sur les dommages de guerre. L’initiative du chanoine Thouvenin n’avait cependant pas pour but de contourner la législation en vigueur : il s’agissait surtout d’accélérer le processus d’indemnisation des dommages et d’approbation des projets de reconstruction des églises. L’implication des autorités officielles dans la reconstruction des églises avait par ailleurs l’avantage de rendre à l’Eglise une partie de son rôle d’institution officielle. Lors des cérémonies de consécration des églises reconstruites, les élites civiles et religieuses de Meurthe-et-Moselle se sont constamment attachées à perpétuer l’esprit de l’Union sacrée, même pendant le Cartel des Gauches (1924-1925) marqué par un regain d’anticléricalisme. Par ailleurs, le chanoine Thouvenin s’est plus intéressé aux aspects financiers et institutionnels qu’au style des églises reconstruites : certaines d’entre elles sont des copies conformes des édifices néo-romans ou néogothiques d’avant-guerre, d’autres apparaissent résolument modernes.:Volume 1: Introduction Première partie. La séparation des Eglises et de l’Etat et ses conséquences pendant l’avant-guerre. 1905-1914 I. Les églises à la veille de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat II. Les conséquences de la séparation des Eglises et de l’Etat III. Catholicisme et patriotisme à la veille de la guerre Deuxième partie. Les églises pendant la Première Guerre mondiale. 1914-1919 I. La « passion » des églises du diocèse de Nancy II. Les premiers débats sur la reconstruction III. Le bilan des destructions Troisième partie. Le cadre institutionnel et les grandes étapes de la reconstruction des églises I. Les prémices de la reconstruction II. La coopérative de reconstruction des églises du diocèse de Nancy III. Les lieux de culte reconstruits en marge ou hors du cadre de la coopérative diocésaine IV. Le rôle des architectes et des entrepreneurs Quatrième partie. La loi sur les dommages de guerre et la loi de séparation I. La place des églises dans l’urbanisme II. L’application aux églises de la loi sur les dommages de guerre III. Le contournement de la loi de séparation Cinquième partie. « Le bouquet sur le faîte », la dimension symbolique des églises reconstruites I. Un style « première reconstruction » ? II. « Domine salvam fac republicam ». La construction des églises et la perpétuation de l’Union sacrée III. La réception et la postérité des églises Conclusion Sources Bibliographie Chronologie Notices biographiques Index des personnes Index des lieux Table des matières détaillée Volume 2: Annexes I. Chronologie des archives des dommages de guerre II. Les églises de Meurthe-et-Moselle entre 1905 et 1914 III. L’Eglise et les églises pendant la guerre IV. Le bilan matériel de la guerre V. L’organisation de la reconstruction VI. Les architectes et les entrepreneurs VII. L’application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 VIII. La coopérative de reconstruction des églises IX. Le coût des églises reconstruites X. L’association diocésaine de Nancy Iconographie générale I. Cartes II. Les images de lieux de culte pendant la guerre III. Les églises provisoires IV. L’urbanisme dans les villages reconstruits V. Les chantiers de reconstruction VI. Les matériaux de construction VII. L’iconographie régionale et patriotique VIII. Les protagonistes de la reconstruction des églises IX. Les cérémonies de consécration X. Les mairies XI. Les églises construites dans les communes industrielles de l’arrondissement de Briey hors du cadre de la coopérative XII. Les églises, lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale Catalogue des églises de Meurthe-et-Moselle endommagées pendant la Première Guerre mondiale Première partie. Les églises gravement endommagées Deuxième partie. Les églises peu ou très peu endommagées Répertoire des architectes ayant participé à la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle Table des matières détaillée / After the separation of Church and State (1905), French towns were no longer authorized to finance the construction of new churches, or the major repairs of churches that already belonged to them. Faced with criticism from the Catholics, the French State classified many churches as official historical monuments during the years 1905-1914, thus enabling the towns to repair their churches for the purpose of preserving the nation’s heritage. Invested with a strong national dimension, churches have played an important role in the war propaganda of the various belligerent countries. Contrary to French propaganda, the churches were apparently not destroyed by the German armies in particular. After the conflict, the French State established a very complex system of compensation for war damages. In 1919, the canon Émile Thouvenin founded a reconstruction cooperative in each municipality of the department of Meurthe-et-Moselle. With the support of the préfécture, he created in 1921 a cooperative devoted to the reconstruction of churches in the diocese of Nancy. This cooperative worked often on the very edge between the Law of Separation and the Law on War Damages. This initiative’s intention, however, was not to avoid the law: It was first of all created to accelerate the process of compensation for damages and the approval of projects for rebuilding churches. The involvement of the official authorities had the additional advantage of returning the Church to its role as official institution. During the consecration ceremonies of rebuilt churches, civil and religious elites of Meurthe-et-Moselle were constantly attached to perpetuate the spirit of the Sacred Union, even during the anticlerical phase of the Left-Wing ‘Cartel des Gauches’ (1924-1925). Furthermore, canon Thouvenin had shown more interest in the financial and institutional questions than in the style of churches. Some of them are copies of the Neo-Romanesque or Neo-Gothic churches built before the war while others seems definitely modern.:Volume 1: Introduction Première partie. La séparation des Eglises et de l’Etat et ses conséquences pendant l’avant-guerre. 1905-1914 I. Les églises à la veille de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat II. Les conséquences de la séparation des Eglises et de l’Etat III. Catholicisme et patriotisme à la veille de la guerre Deuxième partie. Les églises pendant la Première Guerre mondiale. 1914-1919 I. La « passion » des églises du diocèse de Nancy II. Les premiers débats sur la reconstruction III. Le bilan des destructions Troisième partie. Le cadre institutionnel et les grandes étapes de la reconstruction des églises I. Les prémices de la reconstruction II. La coopérative de reconstruction des églises du diocèse de Nancy III. Les lieux de culte reconstruits en marge ou hors du cadre de la coopérative diocésaine IV. Le rôle des architectes et des entrepreneurs Quatrième partie. La loi sur les dommages de guerre et la loi de séparation I. La place des églises dans l’urbanisme II. L’application aux églises de la loi sur les dommages de guerre III. Le contournement de la loi de séparation Cinquième partie. « Le bouquet sur le faîte », la dimension symbolique des églises reconstruites I. Un style « première reconstruction » ? II. « Domine salvam fac republicam ». La construction des églises et la perpétuation de l’Union sacrée III. La réception et la postérité des églises Conclusion Sources Bibliographie Chronologie Notices biographiques Index des personnes Index des lieux Table des matières détaillée Volume 2: Annexes I. Chronologie des archives des dommages de guerre II. Les églises de Meurthe-et-Moselle entre 1905 et 1914 III. L’Eglise et les églises pendant la guerre IV. Le bilan matériel de la guerre V. L’organisation de la reconstruction VI. Les architectes et les entrepreneurs VII. L’application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 VIII. La coopérative de reconstruction des églises IX. Le coût des églises reconstruites X. L’association diocésaine de Nancy Iconographie générale I. Cartes II. Les images de lieux de culte pendant la guerre III. Les églises provisoires IV. L’urbanisme dans les villages reconstruits V. Les chantiers de reconstruction VI. Les matériaux de construction VII. L’iconographie régionale et patriotique VIII. Les protagonistes de la reconstruction des églises IX. Les cérémonies de consécration X. Les mairies XI. Les églises construites dans les communes industrielles de l’arrondissement de Briey hors du cadre de la coopérative XII. Les églises, lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale Catalogue des églises de Meurthe-et-Moselle endommagées pendant la Première Guerre mondiale Première partie. Les églises gravement endommagées Deuxième partie. Les églises peu ou très peu endommagées Répertoire des architectes ayant participé à la reconstruction des églises de Meurthe-et-Moselle Table des matières détaillée
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Insurance and cartels through wars and depressions : Swedish Marine insurance and reinsurance between the World Wars

Petersson, Gustav Jakob January 2011 (has links)
The aim of this thesis is to enhance our understanding of Swedish marine insurers' choices of business strategies under the potentially difficult business circumstances of the interwar period 1918-1939. Little previous research exists on marine insurance during the interwar period. This is remarkable in the Swedish context since the Swedish economy has traditionally depended on its exports. The focus on Sweden is justified since the Swedish insurance market saw regulatory stability during the interwar period. It was also characterised by the coexistence of stock and mutual insurers, allowing this thesis to contribute with insights on potentially problematic insurance cartelisaton. This thesis employs a mixed methods design, including qualitative methods and regression analysis. To interpret results, this thesis employs insurance risk theory, cartel theory, theories on reinsurance and risk diversification, and agency theory. By employing this combination of theories, it is possible to explain choices and outcomes of adopted strategies both with reference to particularities of marine insurance and with reference to particularities of the two different organisational forms. The results show that the insurers conceived several new characteristics of their business environment as challenges and implemented both cartel strategies and company-specific strategies of risk diversification. Among the challenges were rapid inflation, rapidly decreasing prices and business volumes in shipping and trade, the introduction of motor ships, and the existence of naval mines on many trade routes. Also, exchange-rate fluctuations were considered to cause losses on established marine insurance contracts and rendered business results uncertain. Swedish insurers adopted cartel strategies from 1918 through The Swedish Association of Marine Underwriters (Sjöassuradörernas Förening) since they had anticipated a post-war crisis. Market division agreements were adopted for the most attractive market segments, but eventually price agreements became the primary cartel strategy, supported by prohibitions of competition. The work on price agreements sometimes increased the market efficiency since it reduced uncertainty, for instance in insurance of cargo with motor ships. Few price agreements were however adopted for the insurance of shipping since that market segment was dominated by mutual insurers, highlighting the difficulties of cartelisation in insurance markets inhabited by both stock and mutual insurers. The cartel further adopted reinsurance agreements to create barriers to entry in the Swedish marine insurance market. It however experienced prominent difficulties to implement the cartel strategies. One prominent difficulty of implementation was cheating. Also international competition created difficulties. The cartel companies therefore engaged in international cartelisation through The International Union of Marine Insurance (Internationaler Tranport-Versicherungs-Verband) from the late 1920s. This international cartel sought to reduce international competition by agreements not to compete in foreign markets. It also sought to manage the exchange-rate fluctuations of the early 1920s and the early 1930s by agreements among marine insurers, but it failed to obtain sufficient support. In spite of cartelisation, the returns on marine insurance were pushed down by the recognized challenges during the early 1920s, inflicting losses. The business however recovered and remained profitable throughout the 1930s, showing that the great depression was not as great as the deflation crisis in marine insurance. Exchange-rate fluctuations affected the international competitive strength of both stock and mutual insurers and additionally influenced the stock insurers' returns on established marine insurance contracts. The insurers were however compensated for the poor marine business results of the early 1920s by greater reliance than previously on reinsurers and by diversification among insurance lines, which rendered profits less negative than the returns on marine insurance. The business ceded to reinsurers on average inflicted losses during each of the first seven years of the 1920s. These losses were indirectly caused by World War I since that war had caused the establishment of new reinsurers in different countries, not the least in Scandinavia, and in turn caused over capacity during the 1920s. New contractual formulations evolved internationally to the benefit of ceding insurers, indicating information asymmetries. Exits became frequent among reinsurers. In effect, into the 1930s, ceding insurers internationally found it difficult to obtain obligatory reinsurance treaties. During the early 1920s, the Swedish stock marine insurers also increasingly diversified their insurance businesses among insurance lines. This process had been catalysed by World War I, was accelerated during the 1920s, and continued into the 1930s. / Syftet med denna avhandling är att förståeliggöra svenska marinförsäkringsbolags val av affärsstrategier under mellankrigstiden 1918-1939, en period som kännetecknades av potentiellt svåra affärsförhållanden. Försäkringsverksamhet är känslig för ekonomiska kriser, men har uppmärksammats mindre än bankverksamhet när det gäller mellankrigstiden. Inte minst marinförsäkring är känslig för ekonomiska kriser eftersom de försäkrade verksamheterna, sjöfart och handel, endast förekommer i den mån som transporterade varor efterfrågas. Tidigare forskning har endast i liten omfattning fokuserat på marinförsäkring, vilket ur ett svenskt perspektiv kan tyckas anmärkningsvärt med tanke på att den svenska ekonomin har i hög grad varit beroende av sjöburen handel. En studie av svensk marinförsäkring är motiverad ur ett internationellt perspektiv eftersom den svenska försäkringslagstiftningen förblev i stort sett oförändrad under perioden, vilket gör det rimligt att tolka marinförsäkringsbolags val av affärsstrategier som svar på ekonomiska omständigheter. Under mellankrigstiden var katellstrategier ett vanligt svar på svåra affärsförhållanden i olika verksamheter, men kartellisering var potentiellt problematisk i marinförsäkring eftersom den verksamheten är internationell och eftersom marinförsäkring är en heterogen produkt. Dessutom befolkades den svenska försäkringsmarknaden av både aktiebolag och ömsesidiga bolag, vilket är ett ytterligare potentiellt hinder för kartellisering. Studier av kartellisering under potentiallt svåra förutsättningar kan bidra med insikter om under vilka förutsättningar karteller uppstår, vilket ytterligare motiverar studien. Denna avhandling analyserar även två företagsspecifika riskdiversifieringsstrategier, som potentiellt kan kompensera för låg avkastning på mottagen försäkring, nämligen återförsäkring och diversifiering mellan försäkringsgrenar. Återförsäkring har av tidigare forskning framhållits som ett underutforskat område. Avhandlingen tillämpar både kvalitativa och kvantitativa undersökningsmetoder. För att uttolka de empiriska resultaten tillämpas riskteori för försäkring, kartellteori, återförsäkringsteori, riskdiversifieringsteori, samt incitamentsteori på företagsnivå (agency theory). Denna kombination av teorier gör det möjligt att förklara strategival med utgångspunkt både i marinförsäkringens karaktäristika och i de båda olika organisationsformers karaktäristika. Resultaten visar att försäkringsbolagen noterade ett antal nya affärsförhållanden som utmaningar och att dessa bolag implementerade både kartellstrategier och företagsspecifika riskdiversifieringsstrategier. Bland de noterade utmaningarna märks snabb inflation, snabbt fallande priser och affärsvolymer i sjöfart och handel, införandet av motorfartyg, samt sjöminor på många fartygsrutter. Försäkringsbolagen behärskade endast lite erfarenhet av risker associerade med motorfartyg och sjöminor, vilket gjorde riskbedömningar osäkra. Även växelkursfluktuationer uppfattades som utmaningar eftersom de orsakade förluster på etablerade marinförsäkringskontrakt och skapade problem att förutsäga affärsresultaten. Från 1918 antog svenska marinförsäkringsbolag kartellstrategier genom branschorganisationen Sjöassuradörernas Förening, detta eftersom de förväntade sig en efterkrigskris. Marknadsuppdelningsavtal infördes i attraktiva marknadssegment, men med tiden blev prisöverenskommelser den främsta kartellstrategin, understödd av avtal som förbjöd konkurrens. Arbetet med prisöverenskommelser ökade marknadseffektiviteten i vissa marknadssegment, detta genom att reducera osäkerheten i riskbedömningarna. Ett tydligt exempel på ett sådant marknadssegment är försäkring av varor transporterade med motorfartyg. Kartellen etablerade däremot få prisöverenskommelser för försäkring av sjöfart eftersom detta marknadssegment dominerades av ömsesidiga försäkringsbolag. Denna kontrast mellan varuförsäkring och sjöfartsförsäkring belyser svårigheterna med att kartellisera en försäkringsmarknad som befolkas både av aktiebolag och av ömsesidiga bolag. Kartellen antog också återförsäkringsavtal i syfte att skapa etableringshinder på den svenska försäkringsmarknaden. Den upplevde emellertid svårigheter att implementera överenskommelserna, såsom brott mot prisöverenskommelserna och mot konkurrensförbuden. Ytterligare svårigheter skapades av internationell konkurrens. Från slutet av 1920-talet deltog därför kartellbolagen i den internationella marinförsäkringskartellen Internationaler Tranport-Versicherungs-Verband (senare benämnd The International Union of Marine Insurance). Medlemsbolagen i denna internationella kartell skapade överenskommelser med innebörden att utländska försäkringstagare inte skulle erbjudas försäkring. Dessa överenskommelser syftade till att reducera den internationella konkurrensen. Denna kartell försökte också reducera effekterna för marinförsäkringsbolag av växelkursfluktuationer genom överenskommelser om hur växelkurser skulle beräknas i marinförsäkringsfrågor. Sådana försök gjordes både under de första åren av 1920-talet och under de första åren av 1930-talet. Det avsedda resultatet kunde emellertid inte nås, detta eftersom uppslutningen förblev otillräcklig. Trots kartelliseringen reducerades avkastningen på marinförsäkring till förlustnivåer under det tidiga 1920-talet. Avkastningen förbättrades sedan stegvis och förblev positiv under 1930-talet. I marinförsäkring var alltså den stora depression inte lika stor som deflationskrisen. Växelkursfluktuationer påverkade både aktiebolags och ömsesidiga bolags internationella konkurrenskraft. Dessutom påverkade växelkurserna aktiebolagens avkastning på etablerade marinförsäkringskontrakt. Försäkringsbolagen kompenserades för 1920-talets förlustresultat i marinförsäkring genom ökad cedering av risk till återförsäkringsbolag och genom diversifiering av de mottagna riskerna mellan olika försäkringsgrenar. Under 1920-talet var bolagens vinster därför mindre negativa än resultaten i marinförsäkring. Den affär som cederades till återförsäkringsbolag var i genomsnitt förlustbringande under vart och ett av 1920-talets första sju år. Dessa förluster orsakades indirekt av första världskriget, eftersom det kriget stimulerade etablering av nya återförsäkringsbolag, detta i olika länder och inte minst i Skandinavien. I förlängningen skapade första världskriget därmed överkapacitet på återförsäkringsmarknaden. Nya kontraktsformuleringar introducerades internationellt till de cederande bolagens fördel. Detta förhållande indikerar informationsasymmetrier i relationen mellan cederande och mottagande försäkringsbolag. Många återförsäkringsbolag lämnade marknaden. Resultatet blev att cederande bolag under början av 1930-talet i olika länder fick svårigheter att sluta obligatoriska återförsäkringsavtal. Under början av 1920-talet diversifierade aktiebolagen också sin verksamhet mellan olika försäkringsgrenar. Denna process katalyserades av första världskriget, accelererade under början av 1920-talet och fortsatte in på 1930-talet.

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