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Backward-Turning: Aristotelian Contradictions, Non-Contradiction, and Dialetheism

Cruz, Duke J. January 2016 (has links)
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La conception platonicienne de la contradiction

Lachance, Geneviève 08 1900 (has links)
Cette thèse se rapporte à la notion de contradiction, entendue en son sens logique ou formel. Plus précisément, elle vise à dégager une conception de la contradiction chez un philosophe qui, du point de vue chronologique, précède l’avènement de la syllogistique et de la logique : Platon. À partir de l’examen des dialogues réfutatifs de Platon, il s’agira de mettre en lumière la forme des propositions contradictoires, de déterminer la terminologie et les métaphores utilisées par Platon pour nommer et décrire la contradiction et d’évaluer le contexte dans lequel avait lieu la réflexion platonicienne. L’analyse révélera que Platon se faisait une idée somme toute assez précise de la contradiction logique et qu’il a même eu une influence sur Aristote lorsque ce dernier élabora son célèbre principe de non-contradiction. / This thesis examines the notion of contradiction understood in its logical or formal sense. Specifically, it seeks to study that notion in a philosopher who, chronologically speaking, precedes the advent of syllogistic or logic: Plato. Based on an analysis of Plato’s refutative dialogues, this thesis will determine the form given by Plato to contradictory propositions, unveil the terminology and metaphors used by Plato to name and describe contradictions and evaluate the context in which Plato reflected upon contradiction. The analysis will reveal that Plato had a very clear idea of what is a logical contradiction and that he even had an influence on Aristotle when the latter defined his famous principle of non-contradiction.
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Le bien intelligible de Platon et le principe de non-contradiction chez Aristote en tant que « anhypothétiques »

Racine, Félix 10 1900 (has links)
Le présent mémoire entend étudier le concept de l’anhypothétique dans l’oeuvre de Platon et d’Aristote. Plus exactement, nous examinons le Bien intelligible chez Platon ainsi que le principe de non-contradiction chez Aristote. Bien que ce sont des principes qui adoptent la même conceptualisation, ils ont chacun un contexte et des facteurs qui leur sont spécifiques. Cela s’explique notamment par le fait que les philosophes ont des divergences doctrinales par rapport à l’être, la théorie des formes, la dialectique, et cetera. Un tour d’horizon des philosophies respectives ainsi qu’une comparaison systématique des principes nous aideront à y voir plus clair. De plus, nous examinerons en quoi Aristote est redevable à Platon pour l’adoption du principe de non-contradiction. Cela dit, les deux principes à l’étude ont comme caractéristique fondamentale de ne pas être des hypothèses, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent souffrir du statut de contingence qui est typique de l’hypothèse. En effet, l’anhypothétique cherche à neutraliser son alternative afin de s’ériger en tant que nécessité catégorique. Les raisons d’une telle nécessité s’expliquent entre autres parce que l’anhypothétique est condition de possibilité pour la connaissance des êtres. La potentialité de sa négation est donc nettement problématique sur le plan scientifique et ontologique, d’où son statut particulièrement éminent pour les philosophes. / This dissertation examines the concept of the anhypothetical in the works of Plato and Aristotle. More precisely, we examine the Intelligible Good in Plato and the principle of non-contradiction in Aristotle. Although these principles adopt the same conceptualization, they each have their own specific context and factors. This is because the philosophers have doctrinal differences with regard to being, the theory of forms, dialectics, etcetera. An overview of the respective philosophies, together with a systematic comparison of principles, will help us to get a clearer picture. We'll also examine how Aristotle is indebted to Plato for the adoption of the principle of non-contradiction. That said, the two principles under consideration have the fundamental characteristic of not being hypotheses, i.e. they cannot suffer from the status of contingency that is typical of hypothesis. Indeed, the anhypothetical seeks to neutralize its alternative in order to set itself up as a categorical necessity. The reasons for such a necessity include the fact that the anhypothetic is a condition of possibility for the knowledge of beings. The potentiality of its negation is therefore clearly problematic on a scientific and ontological level, hence its particularly eminent status for philosophers.
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La primauté de l’étant et les premiers principes chez Gérard Odon / The primacy of being and the first principles in Geraldus Odonis

Rieger schmidt, Ana 07 April 2014 (has links)
Il s’agit d’une thèse sur le traité De duobus communissimis principiis scientiarum de Gérard Odon (vers 1320). Dans la première partie, nous faisons l’analyse du texte en nous centrant sur la notion d’« ens tertio adiacens ». Il s’agit de l’étant signifié par la totalité de la proposition et son vérifacteur ; il est univoquement comment à l’ens reale et à l’ens rationis et pour cette raison Odon l’identifie au sujet des principes de non-contradiction et du tiers exclu. L’ens tertio adiacens correspond aussi au premier objet adéquat de l’intellect et au sujet de la logique, entendue comme la science première. Dans la deuxième partie, nous plaçons Odon dans deux débats historiographiques : celui du réalisme propositionnel (à côté de Walter Burley, Grégoire de Rimini et Jean Wyclif) et celui des avancements de la doctrine des surtranscendantaux (à côté de Nicolas Bonet, François de la Marche et d’autres), lequel émerge de la distinction des deux sens de « res » chez Henri de Gand et ensuite chez Duns Scot. / This thesis deals with Geraldus Odonis’ treatise De duobos communissimis principiis scientiarum (ca. 1320). In the first part, we analyze the text by focusing on the concept of "ens tertio adiacens". It is the being signified by the totality of the proposition and its truthmaker; it is univocally common to ens reale and ens rationis, for this reason Odonis identifies it to the subject of the principle of non-contradiction and the principle of excluded middle. The ens tertio adiacens also corresponds to the first adequate object of the intellect and to the subject of logic, which is understood as the first science. In the second part, we place Odonis in two historiographical debates: the propositional realism (alongside Walter Burley, Gregory of Rimini and John Wyclif) and the advancements of the doctrine of supertranscendentals (alongside Nicolas Bonetus, Francis of Marchia and others), which emerges from the distinction between the two senses of "res" in Henry of Ghent and in Duns Scotus .
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Le principe de non-contradiction. considérations logiques, mathématiques et ontologiques : De la nature et de la valeur du principe de non-contradiction, contribution de Jan Łukasiewicz à l'interprétation d'Aristote / The Principle of Non-Contradiction. Logical, Mathematical and Ontological Considerations : on the nature and value of the principle of non-contradiction, the contribution of Jan Łukasiewicz to the interpretation of Aristotle

Dufatanye, Aimable-André 15 October 2011 (has links)
En mathématiques et en logique classiques, on démontre que {P,¬P}├Q. C’est le fameux ex contradictione sequitur quodlibet, nommé également principe d’explosion. Si une théorie contradictoire est condamnée à exploser, c.à.d. à devenir triviale et à perdre tout intérêt pour la science, il faut à tout prix éviter la contradiction qui, pour ainsi dire, joue le rôle de détonateur. Dès lors, il devient impératif de nier toute conjonction d’une formule et de sa négation. C’est le principe de non-contradiction (PNC) symbolisé par ¬(P^¬P), une tautologie en logique mathématique classique. Aristote, déjà, dans l’antiquité, avait explicitement formulé le PNC qui, depuis, a été élevé au rang de principe définitif et absolu. Quelques rares mais irréductibles détracteurs, toutefois, ont mis en cause le statut absolu de ce principe. La présente thèse est une rediscussion du PNC -de son statut, de sa validité, de sa valeur- qui s’appuie sur le travail du logicien J. Łukasiewicz. Il sera établi que la mise en cause de l’absoluité du PNC proposée par le logicien n’est pas un prolongement des thèses sophistes antiques. Ses critiques s’inscrivent dans le cadre d’une Gegenstandstheorie twardowsko-meinongienne. La combinaison des éléments hérités de la théorie des objets et d’une analyse originale usant des outils de l’algèbre de la logique dans l’interprétation des textes anciens a permis au logicien de dégager l’idée cardinale selon laquelle on peut récuser l’absoluité du PNC sans tomber dans le trivialisme. Il sera démontré que ses travaux contiennent, pour la logique, l’esquisse d’un nouveau paradigme fondé sur la désabsolutisation du PNC, par sa dissociation d’avec le principe d’explosion. / In mathematics and classical logic, one proves that {P,¬P}├Q. This is the celebrated ex contradictione sequitur quodlibet, also named the principle of explosion. If a contradictory theory is condemned to explode, that is to become trivial and to lose all interest from a scientific point of view, one must at all costs avoid any contradiction which plays the role of detonator. Consequently, it is necessary to deny any conjunction of a formula and its negation. This is the principle of non-contradiction (PNC) symbolised by ¬(P^¬P), a tautology in classical mathematical logic. Already in antiquity, Aristotle had explicitly formulated PNC which, since, has been elevated to the status of a definitive and an absolute principle. However, a few obstinate critics have questioned the absolute status of this principle. The present thesis is a reappraisal of PNC -of its status, its validity, its value- which builds on the work of the logician J. Łukasiewicz. It will be demonstrated that the critique of absoluteness attributed to PNC proposed by Łukasiewicz is not a continuation of the theses of the ancient sophists. His criticisms can be placed in the framework of a Twardowskian-Meinongian Gegenstandstheorie. The combination of elements from a theory of objects and an original analysis using the tools of the algebra of logic in the interpretation of ancient texts has enabled Łukasiewicz to discern an essential idea according to which one can challenge the absoluteness attributed to PNC without sinking into triviality. It will be shown that his works contain, for logic, an outline for a new paradigm based on the disabsolutization of PNC, by dissociating it from the principle of explosion.
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[pt] EM DEFESA DO PRINCÍPIO DE NÃO-CONTRADIÇÃO: ARGUMENTOS BASEADOS NO LIVRO IV DA METAFÍSICA / [en] IN DEFENSE OF THE PRINCIPLE OF NONCONTRADICTION: ARGUMENTS BASED ON METAPHYSICS BOOK IV

GERMAN LOURENCO MEJIA 09 June 2020 (has links)
[pt] A dissertação tem como objetivo apresentar uma defesa do princípio de nãocontradição, uma defesa sustentada por dois argumentos. No primeiro argumento, coloca-se em destaque a relação entre a validade do princípio de não-contradição e a determinação do sentido das expressões linguísticas, em particular, a determinação do sentido dos termos gerais usados como predicados em frases singulares. Utilizar uma frase para dizer de um objeto que ele possui e, sob o mesmo aspecto, não possui uma mesma característica resultaria na indeterminação do sentido, a saber, que nada seria dado a entender pela frase. O segundo argumento pretende estabelecer uma relação entre uso de instâncias do princípio de não contradição e a capacidade de identificar objetos particulares. Para se referir determinadamente a um único particular, de tal maneira que seja possível pensar sobre este como sendo um sujeito de predicações, é preciso que se identifique esse particular através de um termo sortal e não simultaneamente através de um sortal oposto. Mais especificamente: tentar se referir a algo como sendo e não sendo de um certo tipo resultaria na indeterminação da referência, viz. não haveria identificação de um único objeto. / [en] The dissertation aims to present a defense of the principle of noncontradiction, a defense supported by two arguments. In the first argument, it is emphasized the relation between the validity of the principle of non-contradiction and the determination of the sense of linguistic expressions, in particular, the determination of the sense of general terms used as predicates in singular sentences. To say of an object that it has and, in the same respect, does not have a certain characteristic would result in the indetermination of sense, namely that nothing would be understood by the sentence. The second argument seeks to establish a relation between the use of instances of the principle of non-contradiction and the ability to identify particular objects. To refer specifically to a single individual, in such a way that it can be thought of as a subject of predication, it is necessary to identify this individual by means of a sortal term and not simultaneously through an opposite sortal. More precisely: trying to refer to a thing as being and not being of a certain sort would result in the indetermination of the reference, viz. no single object would be identified.
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The Principle of Excluded Middle in Aristotle

Izgin, Christopher 26 July 2024 (has links)
Aristoteles zufolge gibt es Prinzipien, welche die ontologischen Konfigurationen des Seien- den sowie deduktives Schließen bestimmen. Das Prinzip vom ausgeschlossenen Dritten (PAD) ist eines dieser Prinzipien. Das PAD erscheint in zwei Versionen: Laut seiner ontologi- schen Version muss alles entweder sein oder nicht sein, und laut seiner ‚psycho-linguisti- schen‘ Version muss alles entweder zu- oder abgesprochen werden. Doch welchen Beitrag leistet das PAD zu Aristoteles’ Philosophie? Ziel dieser Studie ist es, zu zeigen, dass das PAD eine fundamentale Stellung in Aristoteles’ Konzeption von Sein und logischem Denken ein- nimmt: Die ontologische Version des PAD ist eng verknüpft mit Aristoteles’ Kategorienlehre und seinem Begriff des in Aktualität Seienden, während dessen psycho-linguistische Version mit Aristoteles’ Auffassung von Wahrheit und syntaktischer Wohlgeformtheit in Zusammen- hang steht. Bis dato ist jedoch keine umfassende Studie zu Aristoteles’ PAD veröffentlicht worden. Dagegen hat das verwandte Prinzip vom ausgeschlossenen Widerspruch (PAW) weit- aus mehr Aufmerksamkeit erlangt – schließlich hält Aristoteles selbst das PAW für grundle- gender als das PAD. Auch das PAW erscheint in zwei Versionen: Laut seiner ontologischen Version kann nichts zugleich sein und nicht sein, und laut seiner psycho-linguistischen Versi- on kann nichts zugleich zu- und abgesprochen werden. Diese Dissertation bietet die wohl ers- te umfassende Studie zu Aristoteles’ PAD. / Aristotle believes there are principles that both determine the ontological configurations of things that are (ὄντα) and govern deductive reasoning. The principle of excluded middle (PEM) is one of them. PEM comes in two versions: its ontological version states that every- thing must either be or not be, and its ‘psycho-linguistic’ version states that everything must either be affirmed or denied. But what exactly does PEM contribute to Aristotle’s philosophy? I aim to show that PEM is fundamental to Aristotle’s views on being and reasoning. Specifi- cally, I argue that there is an intimate connection between PEM’s ontological version and Aristotle’s categorial framework and his conception of being in actuality. PEM’s psycho-lin- guistic version, on the other hand, is intimately connected with Aristotle’s conception of truth and syntactic well-formedness. To date, however, no comprehensive study has been dedicated to Aristotle’s PEM. The cognate principle of non-contradiction (PNC), by contrast, has at- tracted much more scholarly interest. After all, Aristotle himself considers PNC more funda- mental than PEM. PNC too comes in two versions: its ontological version states that nothing can simultaneously be and not be, and its psycho-linguistic version states that nothing can si- multaneously be affirmed and denied. This thesis aims to provide the first comprehensive ac- count of PEM in Aristotle.

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