• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 208
  • 63
  • 61
  • 38
  • 30
  • 27
  • 23
  • 23
  • 23
  • 23
  • 23
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • Tagged with
  • 444
  • 426
  • 420
  • 414
  • 179
  • 87
  • 81
  • 79
  • 71
  • 62
  • 57
  • 46
  • 45
  • 43
  • 42
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
391

Paradoxes du mensonge

Moreau, Daniel 28 January 2021 (has links)
Le mensonge constitue une réalité incontournable de l'existence humaine, qui ne laisse personne indifférent. Une réprobation générale à son endroit s'accompagne souvent de plaidoyers favorables pour des situations particulières. De fait, à y regarder de plus près, la nature précise du mensonge ne paraît pas si aisée à expliciter, ce qui jette une certaine confusion autour de toutes les questions qu'il peut susciter, notamment celle de son évaluation morale. Dans de telles conditions, il s'avère essentiel de tenter un examen visant à déchiffrer ce qu'est fondamentalement un mensonge, tant d'un point de vue « externe » - un discours consciemment feux - que d'un point de vue plus « interne » - une attitude assumée par l'être humain dans son existence concrète, avec toutes les implications que cela suppose. Par cette entreprise apparaîtra plus clairement le coeur du problème, et des éléments d'information pourront venir au jour à son sujet, pavant la voie à des questionnements ultérieurs.
392

Sujet et représentation : essai sur le transcendantalisme, son sens problématique, topologique et relationnel

Quinn, Andrew. 13 November 2021 (has links)
La philosophie classique va trouver chez Sartre, malgré les prétentions les plus révolutionnaires de ce dernier, son plus grand défenseur. S'il faut parler, à propos de Descartes, d'un centrement "cartésien" du sujet, et ce, en pleine révolution Copernici enne, il importe de comprendre que Sartre va redoubler, par sa théorie de l'intentionnelité, l'effet de centrement opéré par Descartes, lui aussi en pleine époque de décentrements. En effet, à l'instar de Descartes qui assure la primauté ontologique de la conscience contre le malin génie, le Dieu trompeur, la folie et le rêve, Sartre va réassurer la primauté ontologique d'un être qui , dorénavant, n'est que "pour-soi", et ce, contre tout déterminisme, qu'il soit d'ordre psychanalytique, sociologi que, économique ou autre. Par sa théorie du néant, Sartre ne fait au fond qu'infi ni ti ser la substance cartésienne à un degré d'être qui manque justement de tout ce qu'il faut pour "être". Ainsi, cet être ne saurait être déterminé autrement que par une reprise intentionnelle. Par là, et bien qu'il évacue de la conscience toute représentation pour laisser ouvert le vide stratégique qu'est le néant, Sartre n'en garde pas moins toute sa portée à la pensée représentât!ve, dans la mesure justement où le substrat de la Représentation, à savoir le Sujet, est maintenu intact, comme est demeurée intacte la théorie de l'adéquation qui assure que le connaissant "n'ajoute rien à la nature du connu". En ce sens, dans la mesure où l'ordre des valeurs prime sur l'ordre du réel , il nous faut parler, sur le plan épistémologique, du cartésianisme de Sartre. Sartre demeure un penseur pré-critique et ce, jusqu'au tout dernier tome de son étude sur Flaubert. Il faudra attendre le transcendantalisme kantien, la constitution philosophique de la finitude, pour que le sujet cartésien soit véritablement ébranlé et le régime de l'adaequatio bouleversé, par le schématisme notamment. Nous voulons dire par là, et d'une manière plus générale, que la révolution copernicienne opérée par Kant constitue le seuil de notre modernité. l'épistémè structurale y trouve ses premiers fondements, ceux justement que Sartre va chercher à contourner. La philosophie du sujet se voit chez Kant retirer tout privilège. On ne retrouvera donc pas, comme chez le penseur de Koenisberg, d'"assomption du sujet" comme on a trop souvent l'habitude de le répéter, mais bien, comme le diront Lacoue-Labarthe et Nancy, son "exténuation". La subjectivité transcendantale ne doit pas être soumise à une lecture cartésienne. Il nous est apparu que par le transcendantalisme se trouve ouverte une problématique du sens en dehors de la pensée représentative, le sens comme "production de sens”. C'est là, dans ce qui nous semble constituer une "théorie générale des productions" (Deleuze), que la pensée structurale trouve son unité la plus profonde, désinvestissant le sujet libre, conscient et volontaire ainsi que le régime classique de l 'adaequa t i o. Ainsi, sur un même sol, ou si l'on préfère, dans un même espace, vont converger des penseurs aussi différents que Foucault, Deleuze, Lévi-Strauss, Bourdieu, Faye, Althusser... Nous croyons, en effet, que le "recours" au transcendanta l i sme kantien permet d'éclairer, comme le montre J. Petitot, d'un regard nouveau les apories constitutives des sciences de l'homme en leur caractère structural et dynamique, à condition d'admettre que l'anthropologie kantienne qui constitue la première grande représentation de l'homme, fonctionne aussi comme son désinvestissement systématique. Le sujet kantien répondant à l'exigence première de sa philosophie est "problématique". A fortiori, nous ne saurions retrouver chez Kant, après la première Critique, quelque retour en force de la théologie. Celle-ci se verra, comme le sujet, transcendantalisée. seront soumis au règne d'une analysis situs. Di eu et l'homme Dès lors, le sens devra répondre à des exigences topologiques et relationnelles. Kant a ouvert une époque, la nôtre.
393

Le statut moral de l'embryon humain, une approche attentive à la question des fondements de l'éthique

Keating, Bernard. 23 February 2022 (has links)
La question du statut moral de l'embryon humain dépasse largement la problématique de l'avortement. La pratique de la fécondation in vitro a en effet amené à poser avec acuité la question du respect dû à l'embryon dès son origine. Les avis sont des plus partagés. Les uns affirment que l'embryon, puisqu'il est issu de parents humains, ne saurait être autre chose qu'une personne avec les droits que cela implique. D'autres soutiennent qu'il ne suffit pas de naître de parents humains pour être une personne, il faut présenter les caractéristiques propres à la personne. Enfin, certains soulignent que la personnalité se construit dans les relations humaines, on ne saurait se contenter de considérer le substrat biologique. C'est par la parole de l'autre que nous sommes appelés à l'humanité. Contrairement à une opinion partagée par beaucoup, l'opposition de L'Église Catholique à l'avortement ne repose pas sur la conviction que l'embryon est une personne dès la fécondation. L'Église avoue son ignorance sur la question. Sa doctrine morale repose plutôt sur le respect dû au processus de la génération en général, et sur le devoir de prudence qui s'impose à l'égard d'un être humain qui pourrait bien être une personne. L'analyse des diverses positions sur le sujet nous conduit à nous interroger sur le fondement en raison des normes morales. C'est seulement à ce prix, nous semble-t- il, qu'il sera possible d'apporter une certaine lumière sur une question obscurcie par une polémique stérile. Au terme de l'analyse des différentes façons de fonder les normes chez Thomas d'Aquin, Emmanuel Kant et Jürgen Habermas nous adoptons la version habermassienne du principe d'universalisation: «une norme ne peut prétendre à la validité que si toutes les personnes concernées sont d'accord (ou pourraient l'être) en tant que participants à une discussion pratique sur la validité de cette norme.» Après avoir défini l'embryon comme un radical Indéfinissable, nous concluons qu'accepter de traiter la vie humaine dans l'obscurité de ses débuts, comme un objet, Implique d'avoir déjà accepté un respect relatif de la personne. L'opposition de L'Église à l'avortement et à la fécondation in vitro ne repose pas sur la conviction que l'embryon est une personne dès la fécondation, mais sur le respect du processus de la génération et sur le devoir de prudence à l'égard d'un être humain qui pourrait bien être une personne. L'analyse des diverses positions nous conduit à nous interroger sur le fondement en raison des normes morales. Au terme de l'analyse des modes de fondation des normes chez Thomas d'Aquin, Emmanuel Kant et Jürgen Habermas, nous adoptons la version habermassienne du principe d'universalisation: une norme ne peut prétendre à la validité que si toutes les personnes concernées sont d'accord en tant que participants à une discussion pratique sur la validité de cette norme. Après avoir défini l'embryon comme un radical indéfinissable, nous concluons qu'accepter de traiter la vie humaine dans l'obscurité de ses débuts, comme un objet, implique d'avoir déjà accepté un respect relatif de la personne.
394

Catégories kantiennes et systématique philosophique

Mottard, François 20 October 2021 (has links)
"Dans l'horizon épistémocritique de NATORP, la systématique philosophique s'élabore selon les indications données par KANT en vue de la constitution de la nouvelle métaphysique. Dans cet horizon, la troisième Critique de KANT possède une signification privilégiée. L'analyse du jugement esthétique permet d'établir la science des passages entre théorie et pratique en s'appuyant sur le concept d'adéquation-au-but. Le principe de la réflexion permet d'assumer la continuité entre les thèmes esthétiques et téléologiques. Parallèlement à cette conception de la systématique, APEL et HABERMAS veulent étayer le principe de la réflexion en s'appuyant sur la théorie contemporaine des actes de discours. Dans la rencontre de ces deux tendances se manifeste le problème du fondement de la systématique philosophique. Notre contribution à cette recherche fondationnelle tient à l'accent mis sur l'engagement de la subjectivité dans ses actes de discours thématisés dans l'horizon réflexif."
395

Unidad, Concepto y Realidad Efectiva en la Lógica de Hegel: una aproximación

Schoof Alvarez, Carlos Guillermo 23 January 2020 (has links)
Como señala el título, la presente tesis quiere realizar una aproximación mereológica a algunos motivos comparativos entre Kant y Hegel. Por aproximación mereológica entiendo una perspectiva que atiende específicamente al concepto de “unidad” y a problemas relativos a ella. En mi caso, me ocupo principalmente de qué hay que entender por unidad, cómo se relaciona con la multiplicidad, y qué distinción se establece entre la unidad inteligible y la unidad sensible. Por motivos comparativos entre Kant y Hegel me refiero específicamente a las objeciones que Hegel dirige a la lógica trascendental kantiana en tanto carente de unidad sistemática. De esta manera, la aproximación mereológica me sirve para revisar los tópicos de la crítica hegeliana a Kant, como la noción de sistema, la unidad sintética de apercepción, la lógica trascendental, la deducción metafísica o la deducción trascendental. Asimismo, me ocupo de aproximarme a cómo Hegel pretende subsanar los defectos mereológicos de Kant a través del desarrollo de las nociones de Concepto y Realidad Efectiva. Para abordar estas nociones y los problemas antes señalados, defiendo que Hegel sostiene tres tesis: hay grados de realidad, los grados de realidad son grados de unidad y la verdadera unidad es la unidad inteligible opuesta a la unidad material. De esta manera, la presente investigación contribuye a la evidencia y el esclarecimiento de estas tesis metafísicas hegelianas.
396

El mal radical del corazón humano: problemas fundamentales de la ética de Kant

Valdez Oyague, Martín 05 November 2013 (has links)
Este trabajo constituye una investigación sobre el mal radical tal como aparece en la primera parte de La religión dentro de los límites de la mera razón (en adelante, Religión). De lo que se trata es de presentar de forma crítica la tesis de Immanuel Kant que afirma una maldad innata en la naturaleza humana (R 6:32-39). Y si bien la tesis aparece de forma explícita y sistemática únicamente en dicha obra, nos preocuparemos en mostrar que, mutatis mutandis, atraviesa toda la filosofía moral kantiana, dado que articula una visión del ser humano que se hace presente en todas sus obras de moral, así como en sus escritos de antropología y de historia.
397

La religión a la luz de la moral: un estudio del concepto kantiano de religión

Caviglia Marconi, Alessandro 26 February 2014 (has links)
El presente trabajo tiene como objetivo presentar de manera sistemática el pensamiento de Immanuel Kant respecto de la religión y evaluar sus proyecciones y aportes para la discusión sobre la religión desarrollada en la filosofía reciente. El pensamiento de Kant sobre el tema es relevante porque el filósofo alemán se presenta como uno de los exponentes más importantes del proceso filosófico y cultural conocido como la Ilustración. Dicha importancia se basa en que Kant establece tres distinciones fundamentales que han sido decisivas en las culturas moderna y contemporánea. La primera es la distinción entre el conocimiento y la religión. La segunda es la distinción entre la moral y la religión. Finalmente, la tercera es la distinción entre la política y la religión.
398

Ente necessário e razão : estudo sobre a noção de Deus em dois textos "pré-críticos" e na Crítica da razão pura

Saltiél, Eduardo Ruttke von January 2017 (has links)
Nesta tese, estudamos o desenvolvimento da noção de Deus dentro da obra de Immanuel Kant. Com esse intuito, oferecemos a análise de três textos publicados pelo filósofo. Em nosso primeiro capítulo, voltamos nossa atenção para um texto publicado em 1755, sua tese de habilitação Nova Dilucidatio. Examinamos, aqui, como Kant tratava dos princípios de contradição e de razão suficiente, e como apresentava uma nova prova para a demonstração da existência de Deus no contexto de discussão desses princípios. Examinamos também como os princípios metafísicos de Sucessão e de Coexistência, apresentados pela Nova Dilucidatio, se relacionam com a prova da existência de Deus, bem como com os princípios de razão e contradição. Em nosso segundo capítulo, examinamos a obra O Único Argumento Possível para uma Demonstração da Existência de Deus, de 1762. Em um primeiro momento, analisamos a prova a priori fornecida aqui por Kant, assim como examinamos qual noção de Deus resulta dessa argumentação. Em um segundo momento, buscamos apresentar a argumentação a posteriori oferecido por O Único Argumento para demonstrar a existência de Deus. Nossa intenção é mostrar como o discurso “pré-crítico” de Kant articulava metafísica e investigação científica. Em nosso último capítulo, analisamos como a discussão sobre a existência de Deus ocorre em passagens da Crítica da Razão Pura, de 1781. Para tanto, analisamos as críticas de Kant à argumentação cosmológica, assim como dedicamos particular atenção à seção “Do ideal transcendental”, onde Kant retoma a discussão de sua prova a priori pré-crítica. Oferecemos, ao longo dessa análise, hipóteses interpretativas sobre os motivos da mudança da posição do filósofo com respeito à existência de Deus, e argumentamos que elas se deixam melhor entender se levarmos em consideração também a Quarta Antinomia da Crítica da Razão Pura. / In the present thesis, we study the development of the notion of God in the work of Immanuel Kant. Accordingly, we offer an analysis of three texts published by the philosopher. In our first chapter, we turn our attention to a work appeared in 1755, his habilitation thesis Nova Dilucidatio. We examine here how Kant treated the principles of contradiction and sufficient reason, and how he presented a new proof for the demonstration of the existence of God in the context of the discussion of these principles. We examine also how the metaphysical principles of Succession and Coexistence, presented in Nova Dilucidatio, relate to the proof of God’s existence, just like to the principles of contradiction and sufficient reason. In our second chapter, we examine the text The Only Possible Argument for a Demonstration of the Existence of God, from 1762. Firstly, we analyze the a priori proof here offered by Kant and we examine what notion of God results from such argumentation. Secondly, we present the a posteriori argumentation offered by The Only Possible Argument to support God’s existence. Our aim is to show how such pre-critical discourse articulated metaphysics and scientific investigation. In our third chapter, we analyze how the discussion about the existence of God takes place in passages from the Critique of Pure Reason, from 1781. Accordingly, we analyze Kant’s criticisms of the cosmological argumentation, and we dedicate close attention to the section “On the transcendental ideal”; here, Kant retakes the discussion of his pre-critical a priori proof. We offer, throughout this analysis, interpretative hypothesis about the reasons of the philosopher’s change of mind in relation to the existence of God, and we argue that they are better understood if we consider the Fourth Antinomy of the Critique of Pure Reason as well.
399

O território do conceito : lógica e estrutura conceitual na filosofia crítica de Kant

Fonseca, Renato Duarte January 2010 (has links)
A concepção kantiana da lógica é marcada pela distinção entre dois níveis de reflexão: à lógica geral concernem as regras que governam o pensamento como tal, em abstração da origem e do conteúdo de nossos conceitos e juízos, e atendo-se exclusivamente às formas de suas relações recíprocas; à lógica transcendental, por sua vez, concernem as condições sob as quais seria possível uma cognição de objetos independentemente da experiência. Não obstante, a despeito de seus escopos distintos, os princípios da lógica geral e da lógica transcendental devem, por óbvio, ser mutuamente compatíveis. A pre-sente tese parte desse truísmo para investigar qual concepção da estrutura da representa-ção conceitual é capaz de satisfazê-lo. Em outras palavras, ela pretende elucidar que tipo de caracterização das dimensões próprias a qualquer conceito – sua extensão e seu conteúdo – pode adequar-se a uma imagem coerente do projeto de Kant, que abranja sua compreensão da forma lógica do juízo e seu tratamento da possibilidade de juízos sinté-ticos a priori. O primeiro capítulo examina a visão kantiana das funções lógicas do juí-zo como funções de subordinação extensional de conceitos e, com base nisso, reconstrói a questão transcendental da possibilidade dos juízos sintéticos a priori nos seguintes termos: como é possível justificar a necessária subordinação da extensão de um conceito à de outro, quando este não está entre as notas que perfazem o conteúdo daquele? Com vistas à clarificação desse problema e de sua pretendida solução, o segundo capítulo consiste na análise crítica de diferentes modelos interpretativos da concepção kantiana de extensão conceitual: o modelo ôntico, segundo o qual a extensão de um conceito é o conjunto de suas instâncias efetivas; o modelo nocional, segundo o qual a extensão de um conceito equivale ao complexo de seus inferiores por subordinação lógica; o modelo híbrido, que interpreta a extensão conceitual como um amálgama das duas dimensões previamente circunscritas, ou então atribui a Kant duas concepções distintas de extensão conceitual, cada qual correspondendo a uma daquelas dimensões. Esses três modelos interpretativos são rejeitados à luz dos compromissos teóricos das lógicas geral e trans-cendental, especialmente considerada a condição subjacente de sua consistência mútua. O terceiro capítulo articula um modelo alternativo da extensão conceitual que vai ao encontro dessa condição, de acordo com o qual a extensão de um conceito é seu campo de aplicação possível. Levando em conta a distinção crítica entre possibilidade lógica e possibilidade real, e explorando algumas metáforas da Crítica da Razão Pura e da Crí-tica do Juízo, a tese desenvolve esse modelo e mostra suas consequências para a com-preensão da concepção kantiana de conteúdo conceitual, particularmente em relação à doutrina do esquematismo. / Kant‟s conception of logic is marked by the distinction between two levels of reflection: general logic concerns the rules governing thought as such, in abstraction of the origin and content of our concepts and judgments, and attaining exclusively to the forms of their reciprocal relations; transcendental logic, in its turn, concerns the conditions under which it could be possible a cognition of objects independently of experience. Neverthe-less, in spite of their different scopes, the principles of general and transcendental logic must obviously be mutually compatible. The present thesis starts from this truism and sets to enquire what conception of the structure of conceptual representation is capable of satisfying it. In other words, it intends to elucidate what sort of characterization of those dimensions proper to any concept – its extension and its content – could fit a co-herent image of Kant‟s project, comprehending his construal of the logical form of judgment as well as his account of the possibility of synthetic a priori judgments. The first chapter examines Kant‟s view of the logical functions of judgment as functions of extensional subordination of concepts and, on that basis, reconstructs the transcendental question of the possibility of synthetic a priori judgments in the following terms: how is it possible to justify the necessary subordination of one concept‟s extension to anoth-er‟s, when the later concept is not among the marks which comprise the content of the former? Aiming at a clarification of this problem and its purported solution, the second chapter consists of a critical analysis of different interpretative models of Kant‟s con-ception of conceptual extension: the ontic model, according to which the extension of a concept is the set of its actual instances; the notional model, according to which the extension of a concept amounts to the complex of its inferior concepts, i. e. those logi-cally subordinated to it; the hybrid model, which interprets conceptual extension as an amalgam of the two dimensions previously circumscribed, or else ascribes to Kant two distinct conceptions of conceptual extension, each corresponding to one of those dimen-sions. These three interpretative models are rejected in the light of the theoretical com-mitments of general and transcendental logic, especially considering the underlying condition of their mutual consistency. The third chapter articulates an alternative model of conceptual extension that meets this condition, according to which the extension of a concept is its field of possible application. Taking account of the critical distinction be-tween logical and real possibility, and exploring some metaphors found in the Critique of Pure Reason and the Critique of the Power of Judgment, the thesis elaborates this model and shows its consequences to the understanding to Kant‟s conception of concep-tual content, particularly in relation to the doctrine of schematism.
400

Ente necessário e razão : estudo sobre a noção de Deus em dois textos "pré-críticos" e na Crítica da razão pura

Saltiél, Eduardo Ruttke von January 2017 (has links)
Nesta tese, estudamos o desenvolvimento da noção de Deus dentro da obra de Immanuel Kant. Com esse intuito, oferecemos a análise de três textos publicados pelo filósofo. Em nosso primeiro capítulo, voltamos nossa atenção para um texto publicado em 1755, sua tese de habilitação Nova Dilucidatio. Examinamos, aqui, como Kant tratava dos princípios de contradição e de razão suficiente, e como apresentava uma nova prova para a demonstração da existência de Deus no contexto de discussão desses princípios. Examinamos também como os princípios metafísicos de Sucessão e de Coexistência, apresentados pela Nova Dilucidatio, se relacionam com a prova da existência de Deus, bem como com os princípios de razão e contradição. Em nosso segundo capítulo, examinamos a obra O Único Argumento Possível para uma Demonstração da Existência de Deus, de 1762. Em um primeiro momento, analisamos a prova a priori fornecida aqui por Kant, assim como examinamos qual noção de Deus resulta dessa argumentação. Em um segundo momento, buscamos apresentar a argumentação a posteriori oferecido por O Único Argumento para demonstrar a existência de Deus. Nossa intenção é mostrar como o discurso “pré-crítico” de Kant articulava metafísica e investigação científica. Em nosso último capítulo, analisamos como a discussão sobre a existência de Deus ocorre em passagens da Crítica da Razão Pura, de 1781. Para tanto, analisamos as críticas de Kant à argumentação cosmológica, assim como dedicamos particular atenção à seção “Do ideal transcendental”, onde Kant retoma a discussão de sua prova a priori pré-crítica. Oferecemos, ao longo dessa análise, hipóteses interpretativas sobre os motivos da mudança da posição do filósofo com respeito à existência de Deus, e argumentamos que elas se deixam melhor entender se levarmos em consideração também a Quarta Antinomia da Crítica da Razão Pura. / In the present thesis, we study the development of the notion of God in the work of Immanuel Kant. Accordingly, we offer an analysis of three texts published by the philosopher. In our first chapter, we turn our attention to a work appeared in 1755, his habilitation thesis Nova Dilucidatio. We examine here how Kant treated the principles of contradiction and sufficient reason, and how he presented a new proof for the demonstration of the existence of God in the context of the discussion of these principles. We examine also how the metaphysical principles of Succession and Coexistence, presented in Nova Dilucidatio, relate to the proof of God’s existence, just like to the principles of contradiction and sufficient reason. In our second chapter, we examine the text The Only Possible Argument for a Demonstration of the Existence of God, from 1762. Firstly, we analyze the a priori proof here offered by Kant and we examine what notion of God results from such argumentation. Secondly, we present the a posteriori argumentation offered by The Only Possible Argument to support God’s existence. Our aim is to show how such pre-critical discourse articulated metaphysics and scientific investigation. In our third chapter, we analyze how the discussion about the existence of God takes place in passages from the Critique of Pure Reason, from 1781. Accordingly, we analyze Kant’s criticisms of the cosmological argumentation, and we dedicate close attention to the section “On the transcendental ideal”; here, Kant retakes the discussion of his pre-critical a priori proof. We offer, throughout this analysis, interpretative hypothesis about the reasons of the philosopher’s change of mind in relation to the existence of God, and we argue that they are better understood if we consider the Fourth Antinomy of the Critique of Pure Reason as well.

Page generated in 0.0263 seconds