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The metamorphoses of Hephaistos/Vulcan in Renaissance and baroque artRavenhill-Johnson, Anne Elizabeth January 2005 (has links)
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Les figures de la genèse : représenter la création du monde dans l'art italien de la Renaissance / Figures of genesis : representing the Creation of the world in Italian Renaissance artMétral, Florian 09 December 2017 (has links)
L’émergence de la Renaissance en Italie s’est accompagnée d’un intérêt renouvelé pour la problématique des origines et, plus spécifiquement, de la création du monde. Les figures de la genèse qui imprègnent le discours humaniste, aux XVe et XVIe siècles, n’ont cessé d’exalter la fonction matricielle du mythe cosmogonique pour penser le rapport au temps présent. Les images – en particulier les œuvres d’art – constituent les traces visibles de ces spéculations qui touchent autant les conceptions religieuses et philosophiques relatives au commencement que les moyens visuels, mis en œuvre par les artistes, pour figurer le mystère de la première naissance. La première partie de ce travail consiste en une étude de l’imaginaire de la création du monde aux XVe et XVIe siècles à travers la mise en évidence de son rôle fondamental dans la pratique de l’histoire, la structuration des savoirs sur la nature et l’exercice du pouvoir. Une série d’étude de cas de grands décors peints – de la voûte de la chapelle Sixtine, complétée en 1512, à la sala della Creazione du palazzo Besta, achevée à la fin du Cinquecento – compose la deuxième partie et la troisième partie de cette thèse. À partir de la mise en évidence d’un ensemble de textes et d’images, la quatrième partie de ce travail explore les ressorts poétiques et figuratifs de l’analogie entre la création du monde et le faire artistique. L’investissement théorique de l’iconographie de la création du monde à la Renaissance a été au fondement de la définition de la notion de « création artistique » et de l’œuvre comme monde agencé par l’artiste qui marque la conception moderne de l’art. / The emergence of Renaissance in Italy was associated with a renewed interest in the questioning of origins and, more specifically, in the creation of the world. The humanist discourse in the fifteenth and sixteenth centuries was permeated by figures of the genesis that ceaselessly glorified the matrix functionality of the cosmogonic myth to conceive the relationship to the present time. Images, and more specifically works of art, constitute the visible remnants of these contemplations, affecting the religious and philosophical representation of the beginning, as well as the visual means used by the artists to portray the mystery of the first birth. The first part of this study analyses the idea of the creation of the world, during the fifteenth and sixteenth centuries, through the portrayal of its fundamental role in the practice of history; the construction of knowledge about nature; and the exercise of power. The second and third part of this thesis take the form of case studies focusing on mural paintings - the vault of the Sistine Chapel, completed in 1512, to the Sala della Creazione of Palazzo Besta, completed at the end of the Cinquecento. Finally, the fourth part of this study will explore the poetic and figurative drive emerging from the analogy between the creation of the world and the artistic practice, illustrated via an evocative ensemble of texts and images. During the Renaissance, the theorized iconography of the world’s creation yielded the concept of “artistic creation” and of the work of art as a universe modeled by the artist, thus introducing the modern notion of art.
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Aux frontières du décor : le stuc dans l'art romain de la Renaissance. Marginalité, simulacres, transgressions / The frontiers of decoration : stucco in Renaissance roman art. Marginality, simulacra, transgressionsCordon, Nicolas 01 December 2018 (has links)
Technique décorative antique plébiscitée par l’art romain, le stuc connaît une véritable renaissance à Rome durant le XVIe siècle. À partir d’un intérêt pour une esthétique antiquisante, les artistes modernes ont intégré le stuc à des problématiques plus précises concernant le dialogue entre les arts et l’exploration des frontières implicites et explicites délimitant l’art et son espace de réception. Le stuc est en effet employé à la Renaissance aussi bien en architecture (pour les moulures et ornements, pour recouvrir la brique et donner une allure « marmoréenne » aux édifices), en peinture (pour servir de support à la fresque et y intégrer le relief) et en sculpture (pour l’exécution de reliefs figuratifs et de figures allant jusqu’à la ronde-bosse, intégrées le plus souvent à un décor peint). Loin d’opposer ces disciplines, le stuc les relie en s’emparant de leurs modes d’expression pour les faire cohabiter au sein du décor et, ce faisant, permet aux artistes d’adopter un point de vue réflexif quant à leur pratique, orienté vers l’investigation des moyens et natures de la représentation. Cette introspection se double, comme un corollaire, d’une investigation des effets de l’art et de sa capacité à convoquer le spectateur, à l’impliquer et l’intégrer au sein de la représentation afin de rendre plus mouvantes et fluctuantes les limites du décor. À partir d’une position « ornementale », voire « marginale », nombre de figures de stuc exécutées à Rome dès avant l’âge Baroque semblent vouloir offrir à la notion de frontière une application très originale, où les questions du simulacre et de la transgression se trouvent subtilement investies et convoquées. / As an ancient decorative technique favoured by Roman art, stucco is given a genuine renaissance in Sixteenth century Rome. Modem artists’ general interest in Antiquity includes more precise considerations regarding the possible functions of stucco in the dialogue between the arts, and explorations of the frontiers separating art from its beholder. Indeed, stucco is being used during the Renaissance in architecture (for the moulding and ornaments, to coat brick walls and give it a "marmoreal" appearance), in painting (as an intonaco for fresco) and in sculpture (to make figurative reliefs and free standing figures, generally combined with mural paintings). Far from opposing the arts, stucco connects them by taking possession of their modes of expression to make them work together inside the decorative systems and, doing so, gives the artists the opportunity to adopt a reflexive point of view regarding their practice, looking toward the investigation of the nature and means of representation. This particular introspection is also a research on the effects of art and its ability to convoke the beholder, to make him part of the representation and make more ambivalent the boundaries of decoration. From an "ornamental", even "marginal" position, numerous stucco figures executed in Rome before the Baroque age give the concept of aesthetic frontier an original instance, where simulacra and transgression are ingeniously summoned.
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Les collections d'art d'Anne de Bretagne : au rythme de la vie de cour / The art collection of Anne of Brittany : at the pace of the royal court's lifeVrand, Caroline 15 December 2016 (has links)
Anne de Bretagne a largement retenu l'attention des historiens et des historiens de l'art. Pourtant une approche globale de ses collections d'art restait à faire. L'examen de la constitution de ces collections a permis de mettre au jour l'importance des héritages ducal -de son père François II -et royal - de son premier époux Charles VIII -, et de mieux déterminer la part de ses propres commandes. Grâce à ces enrichissements successifs, Anne de Bretagne possédait d'extraordinaires collections d'art, parmi les plus riches du royaume. Les textiles, indispensables à l'ameublement des logis royaux, y tiennent une place considérable que ce soient les tissus d'ameublement ou les tentures historiées. Les arts de la table et l'orfèvrerie religieuse constituent une autre part importante de toutes collections princières médiévales. Anne de Bretagne sut aussi exprimer un goût plus personnel par son penchant pour les bijoux, les verres vénitiens ou la peinture. Cette étude s'attache aussi à replacer ces objets précieux dans leur contexte quotidien. Entre transports et mises en dépôt, leur vie était mouvementée, à l'instar de la cour itinérante dont ils constituaient le décor. L'examen de cet aspect permet de mieux appréhender le rapport qu'Anne entretenait avec ses collections. Les arts tenaient un rôle de premier plan dans l'affirmation du prince et Anne en eut bien conscience. Elle sollicita les artistes les plus réputés et se montra soucieuse de l'entretien de ses objets, Elle exprima aussi son attachement au duché breton en les entreposant au château de Nantes. Elle veillait enfin à l'exposition de ses plus belles pièces, notamment lors des grands événements de la vie de cour. / Anne of Brittany has received much attention from historians and art historians alike, and yet a comprehensive review of her art collections never been done. An examination of the composition of these collections helped to uncover the importance of both her ducal heritage -from her father Francis II-and her royal heritage -from Charles VIII. This examination also helped to better understand the importance of her own commissions and sponsorships. Through these successive endowments, Anne of Brittany amassed an extraordinary collection of art, among the richest in the kingdom. As an essential decor for the royal apartments, textiles hold an important place in these collections, whether it be silk fabric or tapestry. Tableware and religious gold work also represented an serious part of the collections, Furthermore, Anne own personal-taste is better expressed through be r affection for jewelry, Venetian glass and paintings. This study also sought to place these precious objects in their everyday context. Between placement, transport and storage, these pieces were in constant' movement as the backdrop to the itinerant court. The examination of this aspect provides further insight into the relationship between Anne and her collections, She was well aware that art held a prominent role in the affirmation of the Prince. She sought out the most renowned artists and appeared careful about the maintenance of their work. She also expressed her commitment to the duchy of Brittany by regularly storing her artwork in the castle of Nantes. Anne endeavored to exhibit her best pieces, particularly during major events of court life, again proving her dedication to the arts.
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