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Logiques de l'action publique dans le périurbain rennais : les élus face à la mobilité

Thébert, Mariane 21 January 2005 (has links) (PDF)
L'étude des approches et actions développées par les élus périurbains à l'encontre du phénomène de mobilité fait apparaître un effet « taille » très régulier : à chaque fourchette démographique de communes correspond un ensemble de mesures spécifiques, définies à partir d'une problématisation accrue de la mobilité et renvoyant à l'affirmation d'un projet de territoire. Ce modèle périurbain de gestion de la mobilité, qui présente de nombreuses analogies avec celui qui est majoritairement mis en œuvre dans les agglomérations, est au service d'une véritable stratégie territoriale. On distingue alors un itinéraire de développement typique des communes ayant des ambitions économiques et un itinéraire spécifique aux communes qui se consacrent à la croissance démographique. Ces trajectoires sont dépendantes de la localisation, héritée et actuelle, par rapport au réseau routier. Sans déboucher sur deux modèles proprement différents de politiques de mobilité, cette distinction permet d'opposer les communes à vocation résidentielle, s'orientant vers une gestion urbanistique des déplacements, aux communes que la vocation de pôles (d'emplois et de services) contraint à une gestion plus fonctionnelle de la mobilité (politique d'équipement) et de la densité. Réunis au sein de structures intercommunales, ces deux profils cherchent à concilier leurs projets de territoire respectifs, dégageant des compromis qui conditionnent la mise en œuvre d'une politique de transport alternative à l'automobilité mais délaissent volontairement le champ de la structuration intercommunale du réseau viaire.
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Les espaces publics dans les politiques métropolitaines. Réflexions au croisement de trois expériences : de Paris aux quartiers centraux de Berlin et Istanbul

Fleury, Antoine 14 December 2007 (has links) (PDF)
Au centre des métropoles européennes, les formes et les pratiques des espaces publics que sont les rues, les places et les jardins ont beaucoup évolué au cours des deux dernières décennies. En se plaçant au croisement de trois expériences – à Paris, Berlin et Istanbul – cette thèse démontre que les pouvoirs publics jouent un rôle moteur dans cette transformation. Au-delà des différences liées aux contextes locaux, l'analyse des formes de l'action publique montre tout d'abord qu'il y a une permanence, une diversification et un renouvellement des politiques métropolitaines en Europe. Les politiques de marketing urbain, de gestion des déplacements, d'amélioration du cadre de vie et d'animation de la ville convergent en effet vers un investissement considérable dans les espaces publics. En analysant la distribution des rôles entre les acteurs, cette thèse montre ensuite que les transformations de l'action publique s'appuient sur une profonde recomposition des modes de production. Ce changement se traduit d'une part, par une diversification des acteurs publics impliqués et un renouvellement des méthodes d'action, et d'autre part, par une ouverture en direction de la société civile et des habitants ainsi que par une implication croissante de prestataires extérieurs, privés ou semi-publics. Par ailleurs, l'action publique est mise en œuvre de manière différenciée au sein des espaces centraux. Par ailleurs, l'action publique est mise en œuvre de manière différenciée au sein des espaces centraux, selon les contextes sociaux et les niveaux de centralité. C'est dans le choix de la proximité et de la participation qu'apparaissant les plus fortes d'entre elles. En effet, ces deux principes structurants apparaissent en tension constante avec ce qui fait la ville et ses espaces publics.
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La question territoriale. Pouvoirs locaux, action publique et politique(s)

Faure, Alain 27 September 2002 (has links) (PDF)
Ce document a été rédigé pour l'obtention d'une habilitation à diriger des recherches en sciences politiques. On peut le lire de différentes façons. La formule la plus chronologique consiste à suivre une construction et un itinéraire : dans une synthèse un peu laborieuse sur mes lectures et mes travaux en matière d'action publique et de pouvoirs locaux, j'ai tenté d'ordonner de façon nécessairement arbitraire des écrits, des résultats et des orientations théoriques. On peut aussi se détacher des références qui accompagnent le texte pour privilégier, dans la masse des citations et des interprétations, quelques pistes de réflexion qui sont susceptibles d'éclairer l'observation de la politique à l'échelon local, à l'heure où les processus de décentralisation paraissent paradoxalement si dépendants d'évolutions socioéconomiques et culturelles pour le moins déterritorialisées. On peut encore utiliser ce document en reprenant quelques idées qui mettent à l'épreuve l'hypothèse selon laquelle la science politique a tout à gagner d'une dynamique intellectuelle parvenant à mieux concilier différents champs d'étude spécialisés en sciences du politique, en sociologie, en ethnologie, en droit, en géographie et en économie. Cette orientation constitue la colonne vertébrale de mon travail : elle suggère que l'étude de la relation entre les pouvoirs locaux et l'action publique ne se réduit ni à des politiques publiques, ni à des enjeux institutionnels, ni à des rituels électifs, ni à des mouvements identitaires ou à des interactions sociales localisés, mais qu'elle procède d'une ' question territoriale ' combinant dans une même équation ces différentes facettes de l'objet politique.
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La fabrique de l'alternance : la " démocratie participative " dans la recomposition du territoire régional, Poitou-Charentes 2004-2010

Mazeaud, Alice 01 December 2010 (has links) (PDF)
En 2004, la région Poitou-Charentes connait sa première alternance : l'équipe nouvelle affiche son intention de changer la politique régionale et présente " la démocratie participative " comme un choix de méthode d'action publique discriminant. En analysant conjointement les conditions d'importation et de mobilisation des idées et le travail de négociation, de mobilisation et de transaction entre les acteurs engagés à titre divers dans la production de l'action publique, nous mettons en évidence les dimensions idéologique, politique et institutionnelle de la fabrique de l'alternance, entendue comme le processus au cours duquel une équipe nouvellement élue tente de faire reconnaître son offre politique comme discriminante, de convertir l'organisation aux nouveaux objectifs qui lui sont assignés et de renégocier l'identité, les ressources et la valeur des porte-parole du territoire régional, institués par l'équipe précédente ; porte-parole avec lesquels et sur lesquels elle doit agir pour engager une action de transformation de la société locale et assoir sa position dans la compétition politique. En comparant trois dispositifs participatifs ("Budget participatif des lycées", "Jury citoyen d'évaluation de la politique régionale Transport et Mobilité" et "forum participatif sur l'eau"), nous analysons comment l'environnement régional, institué autour des politiques conduites par l'équipe précédente, se décompose et se recompose au cours de la mise en œuvre des procédures participatives qui mobilisent un public élargi de citoyens ordinaires. Ainsi, nous montrons comment ces instruments participatifs sont des vecteurs et des révélateurs d'une redéfinition du style politique et des catégories d'intervention publique régionaux.
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Le train des régions. Régionalisation des transports collectifs et recompositions de l'action publique

Sylvain, Barone 08 December 2008 (has links) (PDF)
En 2002, la régionalisation de l'action publique a franchi une étape importante avec le transfert aux Régions, à l'issue d'une expérimentation de cinq ans, d'une nouvelle compétence en matière de transports collectifs. Ce travail de doctorat tente de comprendre de quoi dépendent les usages régionaux de cette compétence et ce que ces usages traduisent en termes de recompositions de l'action publique. Reposant sur une analyse comparée de quatre régions (Alsace, Centre, Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées), il s'attache à saisir l'action publique " au concret " à partir d'une combinaison d'approches empiriques et théoriques. Alors que l'étude des politiques de transport a été abandonnée depuis longtemps à d'autres disciplines (géographie et économie, notamment), la mobilisation d'une approche de science politique permet d'éclairer cet objet sous un jour nouveau. Le transport ferroviaire représente l'archétype même du secteur avec ses élites, son expertise et ses normes. Il constitue également un domaine où les réalisations ont une forte dimension spatiale, matérielle et technique. Ces spécificités impriment leur marque aux politiques régionales et soulèvent des questions concernant les rapports entre secteur et territoires, ainsi qu'entre technique et politique. En même temps, l'étude de la régionalisation des transports collectifs apporte des éléments substantiels à l'analyse de la Région et du pouvoir à cette échelle. Elle permet de dégager des pistes pour une approche renouvelée des politiques régionales.
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Du quartier à l'Etat. Sociologie des publics des dispositifs participatifs brésiliens. Le cas des conférences municipales des femmes à Recife et Londrina (Brésil)

Sa Vilas Boas, Marie Hélène 26 November 2012 (has links) (PDF)
Pourquoi certains dispositifs participatifs brésiliens réunissent-ils surtout des acteurs habituellement peu participants ? Cette thèse rend compte d'une participation " improbable " à partir de l'étude des conférences municipales des femmes de Recife et de Londrina. A la différence des analyses " institutionnelles " qui placent les procédures en facteur explicatif des pratiques de participation, notre approche vise à mettre en évidence l'ancrage social des dispositifs et l'intrication entre les jeux sociaux et participatifs. L'hypothèse principale est que la mobilisation des déshéritées dans les conférences des femmes dépend principalement des enjeux propres à l'espace des quartiers populaires et, plus précisément, des luttes pour la représentation en leur sein. Cette thèse repose sur la combinaison de deux niveaux d'analyse : une approche micro-sociologique, centrée sur les trajectoires et les pratiques de participation des habitantes ; une approche méso-sociologique ensuite, visant à retracer l'émergence de la démocratie participative au Brésil. Ces deux niveaux permettent de montrer que la participation des plus démuni(e)s est le résultat d'une part d'une histoire singulière, au cours de laquelle la notion de participation a été associée aux quartiers populaires, et de l'autre des dynamiques individuelles et collectives de construction des porte-parole légitimes de ces territoires.
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Les services publics locaux, territoires et modèles de l'action publique locale

Petitet, Sylvain 27 February 2001 (has links) (PDF)
Cette thèse fait le point de 12 années de recherche consacrées aux services publics locaux, à leurs logiques de constitution et de développement territorial, aux stratégies des acteurs concernés, à leurs modèles de gestion. Entre services "produits" et services"dispensés", ces services construisent une relation entre les habitants et leur collectivité locale que le modèle aujourd'hui dominant du service "produit" marchand tend à transformer en profondeur
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Les exclus, régulateurs de l'action publique - La normalisation limitée de l'espace dans les quartiers insalubres et illégaux des DOM

Benzaglou, Marie 11 1900 (has links) (PDF)
La crise du logement fait apparaître en France des formes variées et spécifiques de mal logement. Dans les départements d'outre-mer, une grande partie de la population s'est ainsi vue contrainte d'occuper illégalement des terrains pour y construire une habitation qui le plus souvent ne répond pas aux normes de salubrité édictées par l'État. Les quartiers illégaux et insalubres des DOM représentent en moyenne 10% du parc total de logements. Bien que certains soient apparus il y a plus de 50 ans, beaucoup subsistent encore aujourd'hui et de nouveaux sites continuent de se créer. Logement précaire, illégalité de l'occupation du sol, exclusion du travail formel, stigmatisation des quartiers par le reste de la ville
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Classer pour soigner ? Savoirs d'Etat, idéologie préventive, raisons pratiques : enquête sociologique sur le dépistage du sida.

Gelly, Maud 14 December 2016 (has links)
Comment le travail de santé fabrique-t-il de l’inégalité ? Le présent travail vise à expliciter les pratiques de classement des agents de santé publique et leurs effets sociaux. Sur le terrain du dépistage du sida, les individus consultent tous pour le même motif, dans un cadre de consultation anonyme et gratuit. Celui-ci permet d’observer comment des soignant.e.s classent les usager.e.s des services de santé dans des catégories de classe/ de genre/ sexuelles/ raciales, et différencient leur offre de biens de santé face à une demande identique et en l’absence de contrainte budgétaire.L’enquête, qui combine analyse d’archives directes, analyse quantitative, entretiens avec des agents du dépistage et observation de leur travail dans des centres de dépistage publics et associatifs, met en évidence une faible prise en compte des appartenances de genre et de classe, et une racialisation des catégories sexuelles : seuls les hommes blancs sont interrogés sur leur (homo)sexualité et reçoivent des informations plus personnalisées, quand les femmes et hommes non-blancs sont supposés hétérosexuels, et reçoivent dès lors des conseils plus standardisés.Le cas du dépistage du sida permet de comprendre comment des savoirs d’État désignent des cibles prioritaires et, ce faisant, produisent des effets sur le travail des agents de santé publique. Alors que les agents s’avèrent équipés pour prendre en compte les appartenances sociales dans leur travail, l’accent mis sur la prévention et l’éradication de la maladie les empêche de penser les inégalités sociales entre les malades et, ce faisant, contribue à les amplifier. / How providing health services can generate inequality? This work aims at clarifying the classification public health workers practice and their social impact. In a free and anonymous AIDS screening setting, all people consult for one single reason. This allows observing how health service providers classify their clients in social categories such as class, gender, sexuality and race and propose different service responses although the request is essentially identical and economical conditions are not an issue in this setting.The research analyzes archives, quantitative data and interviews with health workers as well as observation of their work in public and NGO’s screening centers. It highlights that little consideration is given to gender and class affiliations, whereas racial and sexual categories are of prime importance. Only white men are asked about their (homo) sexuality and receive more personalized information. Women and non-white men are supposed to be heterosexual, and therefore receive more standardized advice. The case of AIDS screening helps us understand how State’s policies and knowledge designate priority targets and thereby have an impact on how health workers perform. While agents are highly skilled to take into account social environment in their work, the focus on prevention and eradication of the disease prevents them from thinking about social inequalities between patients and thereby contributes to amplify these inequalities.
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Les opérations de portage foncier pour préserver l'usage agricole : une analyse par les coordinations, les transactions et les institutions / Land backing actions to preserve agricultural use : an analysis through coordinations, transactions and institutions

Léger-Bosch, Christine 15 April 2015 (has links)
Cette thèse a pour objet les opérations de portage foncier, dont on observe la multiplication en France depuis les années 2000. Ces initiatives regroupent différents types d'acteurs parmi lesquels les collectivités locales, les organisations professionnelles agricoles et les associations. Elles visent, par une acquisition foncière, à maîtriser l'usage agricole du foncier à long terme dans des espaces soumis à la pression urbaine, en sécurisant leur accès pour les agriculteurs. Des initiatives collectives comparables sont à l'œuvre dans les pays européens et d'Amérique du Nord (Land trusts, fiducies, coopératives, etc.), soulevant notamment les questions environnementales et d'orientation alternative de l'agriculture. En France, les opérations de portage foncier observées ont pour spécificités, d'une part d'impliquer des acteurs publics locaux, et d'autre part d'émerger face à la menace d'urbanisation. Pourtant l'action publique décentralisée dispose de nombreux outils pour la préservation du foncier agricole. Aussi, ce recours à l'acquisition foncière, envisagée désormais de manière non temporaire, interroge. Cette thèse s'intéresse aux modalités singulières qu'induisent les opérations de portage foncier dans la gouvernance des espaces agricoles. Elle combine trois analyses au niveau meso-économique des coordinations, au niveau micro-économique des transactions, et au niveau macro-économique des institutions. Ancrée dans l'économie institutionnelle, la démarche adoptée propose des focus depuis ces trois points de vue. Le premier consiste en une analyse de la construction de l'accord sur lequel reposent les opérations de portage foncier, entre des acteurs aux objectifs et légitimés variés. Il s'appuie sur le cadre de l'Economie des conventions. Le second s'intéresse à l'effet des opérations de portage foncier quant à la facilité d'accès à la terre pour les agriculteurs. Une grille d'analyse des coûts d'accès à l'usage est développée, utilisant notamment le concept de coûts de transaction. Le troisième focus est une réflexion sur les changements institutionnels introduits par les opérations de portage foncier, via une analyse historique du rapport usage-propriété en tant que formule institutionnelle. Cette thèse soutient que les négociations entre acteurs qui sont à l'origine des opérations de portage foncier abordent rarement la préservation de l'espace agricole face à l'urbanisation, indépendamment de son utilisation. Souvent le modèle agricole projeté est fondateur de la démarche, notamment sur la question du rapport entre agriculture et environnement. La maîtrise foncière proposée par le portage foncier induit malgré tout une nouvelle modalité d'accès à l'usage pour les agriculteurs, plus difficile à instaurer d'un point de vue organisationnel, mais plus sécurisante. Parallèlement, le droit de propriété privé revient en force dans le rapport propriété-usage qui en découle. Le droit de propriété était pourtant relativement inféodé à l'usage privé, pour l'intérêt public que ce dernier représente, depuis la moitié du 20ème siècle. Précisant peu les contours de l'intérêt général, l'action publique les laisse donc être déterminés au gré des dynamiques privées, au risque d'induire des inégalités territoriales. / This PhD dissertation focuses on land backing actions, which notably increase in France since the early 2000s. These initiatives include different types of stakeholders among local authorities, agricultural professional organizations and non-governmental organizations. By acquiring land, they aim to control long-term agricultural use in areas threatened by urbanization by securing farmers' access to land. Some comparable collective initiatives also occur in European and North-American countries (Land trusts, fiducies, cooperatives ...), particularly raising environment and alternative agriculture issues. The land backing actions observed in France are specific for two reasons: in one hand they involve local public authorities, and in the other hand they emerge facing the threat of urbanization. Yet the devolved public action has many available instruments for the preservation of agricultural land. Hence, the use of ownership, which is now considered in the long term, brings up questions. This PhD thesis addresses the singular modalities induced by land backing actions in the farmland governance. It combines three analyses at the coordinations meso-economic level, at the transactions micro-economic level, and at the institutions macro-economic level. Rooted in institutional economics, the approach provides some focus from these three points of view. The first one is an analysis of the agreement design, on which the land backing actions stand, between stakeholders with various goals and legitimacy. It is based on the framework of the Economics of conventions. The second one focuses on the effect of land backing actions on farmers' access to land use. An analysis grid of the different land-use access costs is developed, using in particular the transaction costs concept. The third focus is a consideration of institutional changes induced by land backing actions, via a historical analysis of the use-ownership relation as an institutional formula. This thesis maintains that negotiations between stakeholders who are involved in land backing actions hardly ever broach the subject of farmland preservation facing urbanization, aside from the question of its use. The projected farming model often founds the initiative, notably for the relationship between agriculture and environment. Nevertheless farmland backing induces a new land use access mode for farmers, which is more difficult to organize, but also much less uncertain. At the same time, the private property right is back in the use-ownership relation resulting therefrom. The property right was however relatively subservient to the private right to use, for the public interest that it represents since the mid-20th century. By not much specifying the outlines of general interest, public action let its determination at the discretion of the local private dynamics, with a risk of inducing territorial inequalities.

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