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Analyse comparative des politiques de développement territorialTrkulja, Sinisa 10 June 2009 (has links) (PDF)
La politique de développement territorial constitue une partie de la politique du développement. L'accent est mis sur la dimension territoriale. On utilise l'analyse comparative comme méthode applicative et de recherche. La spécificité de la dimension territoriale peut être perçue par quatre caractéristiques de l'espace : sa continuité, sa territorialité, son déterminisme et son contenu. L'analyse comparative peut être effectuée selon plusieurs critères. Dans cette thèse elle est présentée selon quatre critères : temps, niveaux territoriaux (local, régional, national, continental et mondial), spécificités culturelles et enfin politiques sectorielles de développement. Basées sur l'analyse de six études comparatives existantes, deux études de cas principales sont présentées, celle de la France et celle de la Serbie, avec leurs niveaux subnationaux et nationaux, ainsi qu'un aperçu de dix autres pays importants, selon trois critères principaux: la surface, la population et la densité de population. La justification d'une nouvelle discipline au sein de l'aménagement du territoire est développée dans la dernière partie ; cette discipline qui peut être appelée aménagement comparatif utilise l'analyse comparative comme méthode pour la recherche et la réalisation des politiques du développement territorial.
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L'Argentine en ses provinces, disparités régionales, systèmes spatiaux et finances publiques dans un Etat fédéralVelut, Sébastien 13 November 2000 (has links) (PDF)
Ce travail aborde le rapport entre l'État fédéral et les provinces à partirdes disparités régionales et des politiques de développement.<br />Il présente dans un premier temps un modèle graphique de l'Argentine aboutissant à une typologie des provinces. Les chapitres deux et trois sont consacrées à l'évolution de l'organisation régionale depuis l'époque coloniale. <br />La seconde partie se penche sur les transformations des années 1990 et plus particulièrement sur le fédéralisme fiscal. <br />La troisième partie présente trois cas d'étude (provinces de Santa Fe, San Luis et Neuquén).
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Le « pays » entre géographie, construction politique et représentations : l'exemple de l'espace Lille-DunkerqueLeroux, Xavier 10 November 2006 (has links) (PDF)
Cherchant à harmoniser l'organisation d'un territoire national bouleversée par l'essor de la mobilité individuelle et par les dynamiques de métropolisation, le législateur s'est lancé, depuis 1995, dans un possible découpage en pays. Ce vieux concept multiforme de la géographie ressurgit avec l'ambition de devenir le cadre seyant le mieux aux pratiques spatiales des populations. Mais si le pays semble présenter des avantages, notamment de par son dimensionnement intermédiaire, la question de son insertion dans un système institutionnel obsolète et fortement enchevêtré demeure essentielle. Au delà de la réponse aménageuse, le pays peut-il constituer un ferment de la simplification décentralisatrice souhaitée par le législateur ? C'est ici la thématique abordée dans cette thèse qui essaiera de tester la validité du pays comme nouveau découpage territorial. Défini par un texte de loi très souple ne contraignant qu'au respect des récents contours intercommunaux et bénéficiant d'une connotation symbolique positive, le pays est aujourd'hui inscrit dans une dynamique à succès qu'il convient d'analyser. Outre le jeu de construction politique que le pays se doit d'entretenir avec les intercommunalités et les incidences liées à sa représentation, nous testerons la pertinence de la réalité fonctionnelle de cet outil, son essence même qui le définit comme un espace répondant à une polarisation de proximité. Pour cela, notre démonstration prendra appui sur l'étude de l'espace Lille-Dunkerque qui présente notamment la particularité d'être polarisé par ses extrémités.
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Territoire et communication politique sur le « web régional breton »Le Béchec, Mariannig 03 December 2010 (has links) (PDF)
Cette recherche veut explorer les dimensions d'un « web régional breton » à partir de ce que font les acteurs. La construction et l'analyse d'un objet d'investigation (le corpus « web régional breton ») sont associées à un projet de candidature pour un nom de domaine générique sur internet .bzh (signifiant Breizh, littéralement Bretagne). À partir de la notion de territoire, il convenait de dépasser la frontière « physique » pour définir les attributs d'un territoire sur le web. Ainsi, en prenant en compte les liens hypertextes entre les sites web, nous avons établi des cartographies du web en montrant la dynamique des sites web demeurant attachés à un territoire. L'analyse des signes attachés à un territoire et qui circulent sur le web a permis de montrer que le territoire combinait sa dimension spatiale avec une dimension temporelle. Ces signes sont qualifiés ici « transposables ». L'analyse montre un changement des connotations de signes mis en scène sur le web, comme le drapeau ou les langues. Avec le projet de nom de domaine .bzh, l'artefact et son organisme international de régulation, l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers viennent à formaliser la notion de communauté sur le web. L'imagerie bretonne sur le web doit alors se structurer. En associant les dynamiques du web et la temporalité d'un territoire, cette thèse propose une redéfinition des notions de territoire et d'institution, dépassant une gestion de la stabilité pour devenir une gestion de la circulation sur le web
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Mutations spatiales et recompositions territoriales : les processus territoriaux dans le cas de Court-Saint-Etienne (Belgique)Hanin, Yves 27 October 2004 (has links)
La société actuelle est traversée par de multiples mutations. Pour comprendre leurs impacts sur nos rapports au temps et à l'espace, l'auteur développe une analyse par processus. De la sorte, les liens entre les transformations de l'espace, les mutations technico-économiques de même que socio-dulturelles et les recompositions de territoires sont analysées selon un temps long. La période contemporaine peut être ainsi comparée mais aussi repositionnée dans le cours de l'histoire des territoires. Cette mise en perspective est d'autant plus nécessaire qu'elle permet de poser les changements actuels comme révélateurs d'une transition vers un nouveau processus territorial : la métropolisation.
Ainsi, après les processus agraire, d'industrialisation et d'urbanisation, nos régions sont-elles traversées par des dynamiques nouvelles basées sur l'émergence du culte du corps, de la société de l'image, du droit d'ingérence… en plus des phénomènes plus communément admis comme le vieillissement de nos populations, la croissance de la mobilité, la globalisation de l'économie et une meilleure prise en compte de l'environnement dans un contexte de promotion du développement durable. Ces mutations et recompositions appellent de nouvelles pratiques de gestion et d'intervention ce qui nécessitent de revoir l'urbanisme et l'aménagement du territoire dans une perspective de développement territorial.
L'analyse est fondée sur l'articulation entre des dynamiques globales et les phénomènes locaux observés dans le cas de la commune de Court-Saint-Etienne située au sud de Bruxelles. L'analyse locale permet de souligner la singularité des phénomènes et le poids des lieux comme construction dialectique de l'espace et du territoire à travers le temps. Elle permet également de mettre en évidence le rôle renouvelé des lieux dans la production des territoires.
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Étude de la perception et de la représentation territoriales de l'arrondissement historique de l'île d'Orléans par ses résidentsBarthe, Marcel January 2009 (has links) (PDF)
La recherche veut comprendre la perception et la représentation que se font les résidents de l'île d'Orléans de leur territoire, le premier et le plus imposant arrondissement historique du Québec. Elle vise à vérifier jusqu'à quel point sa population actuelle partage ou non la représentation historique passée proclamée par les élites intellectuelles et politiques de l'époque de ce territoire comme haut lieu identitaire pour les Québécois et autres francophones d'Amérique. L'étude vise aussi à connaître la vision des décideurs de ce territoire sur ces mêmes questions, afin d'une part de pouvoir comparer leur vision avec celle de leurs commettants, mais d'autre part afin d'analyser les conséquences de cette vision sur les aménagements au sein de cet arrondissement historique. Pour encadrer notre démarche, nous avons emprunté la voie de la géographie culturelle et des paysages. Elle s'inspire également du courant humaniste qui se consacre à la quête de sens et considère la subjectivité des acteurs dans la démarche. La méthodologie retenue aux fins de notre réflexion a essentiellement consisté en un exercice de triangulation à partir de quatre méthodes distinctes de collecte de données, trois qualitatives et une quantitative. Une première démarche qualitative s'est déroulée avant la démarche quantitative, soit la recension des écrits, alors que les autres ont suivi la démarche quantitative (un sondage auprès des résidents adultes de l'île d'Orléans), soit les entrevues semi-dirigées avec les maires des municipalités du territoire, dont le préfet de la MRC, de même que la tenue de groupes de discussion qui avaient pour objectif de raffiner notre compréhension de l'imagerie et de l'iconographie qui représente le territoire du point de vue des citoyens. Les résultats ont essentiellement confirmé que, du point de vue symbolique, la représentation identitaire traditionnelle, reliée à l'histoire du lieu et au fait français en Amérique, constitue encore la représentation dominante à l'île d'Orléans. L'étude confirme également que les gens sont très informés de l'existence du statut d'arrondissement historique et qu'ils y accordent de l'importance. Cet accueil favorable les amène logiquement à penser que les gouvernements et eux-mêmes ont dès lors des responsabilités et obligations particulières à assumer. Ils sont satisfaits de certains éléments qui sont reliés à ce statut et beaucoup moins vis-à-vis de certains autres. Enfin, il existe des différences significatives entre divers groupes de résidents et d'autres sur toutes ces questions, ce qui conduit à des représentations variables de l'île d'Orléans, voire à des identités orléanaises plurielles et même parfois opposées. Nonobstant ces nuances, on peut au final considérer ce territoire comme un haut lieu et la démarche de patrimonialisation qui y a cours est en partie réussie, du moins dans l'esprit de ses habitants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Représentation, Identité, Haut lieu, Aménagement du territoire, Patrimoine et arrondissement historique.
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Oujé-Bougoumou : l'avènement d'un village criLandreville, Maude January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à l'objet culturel qu'est Oujé-Bougoumou, village amérindien du Nord-du-Québec construit en 1992. On y retrace l'histoire de sa création, des plus anciens vestiges de campements aux plus récents plans d'urbanisme proposés à la communauté crie et à ses réserves voisines. De multiples documents tels que livres, articles de journaux, cartes, photographies, etc. servent de sources d'information pour connaître le village et le contexte cri. Ils sont aussi étudiés en raison de l'influence qu'ils ont sur l'objet d'Oujé-Bougoumou lui-même. La méthode préconisée fait appel à cet art-expérience de l'herméneutique qui consiste à se confronter aux discours pour tenter d'en extirper un sens commun, voire de nouvelles significations. Ce sont ainsi des données discursives -extraites de documents et plus rarement de témoignages -qui servent à l'analyse de la constitution de l'établissement avant et après sa construction effective. Le cadre théorique est échafaudé à la frontière des études urbaines et des études en littérature comparée, en regard de grandes représentations de l'imaginaire collectif liées à l'Autochtone, au Cri et au Nord. Ce cadre sert ensuite d'assise à l'interprétation d'éléments de forme et de sens considérés fondamentaux au village. Le mémoire reconstruit le village, étape par étape et chronologiquement. Il s'attarde aux diverses significations et aménagements que les temps, acteurs et évènements, façonnent en strates plus ou moins intelligibles de nos jours. Cette étude braque un nouvel éclairage sur ce village en soi fascinant et, contribuant à son avènement, elle aide à repenser les manières de faire de l'urbanisme autochtone. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Patrimoine culturel, Aménagement du territoire, Autochtone, Amérindien, Cri, Nord, Représentation sociale.
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Analyse des facteurs de mise en oeuvre de l'agenda 21 local de Sorel-Tracy : un outil d'aide à la décision pour l'actionArsenault, Christiane January 2010 (has links) (PDF)
La reconnaissance de l'interdépendance des problématiques environnementales mène à une transformation de la planification territoriale. C'est un des éléments qui ont mené à l'émergence du concept de développement durable à la fin des années 1980. De nombreux outils ont été développés afin de mettre en pratique ce nouveau concept de développement. L'Agenda 21 local, quant à lui, est apparu lors de la Conférence des Nations Unies pour l'Environnement et le Développement à Rio en 1992. II s'agit d'un projet collectif de développement durable territorialisé et multisectoriel. Par contre, sa mise en oeuvre apparaît comme une étape sensible partout à travers le monde. La principale contribution de cette recherche est donc de rassembler et de discuter les différents facteurs qui influencent la mise en oeuvre dans l'objectif de comprendre leur implication dans le processus. Plus encore, un outil d'aide à la décision est construit afin de soutenir les groupes d'acteurs dans le diagnostic de la situation, ainsi que dans l'allocation des ressources. La recherche s'est déroulée en collaboration avec la Ville de Sorel-Tracy et le Technocentre en écologie industrielle. Les données ont été recueillies à partir de l'observation directe du comité d'Agenda 21 local de Sorel-Tracy, de l'entrevue des acteurs locaux, ainsi que de la consultation du matériel documentaire. Puis, l'analyse des données s'est basée sur les facteurs de mise en oeuvre identifiés dans la littérature et, par la suite, les résultats ont permis de bonifier cette grille.
Enfin, la recherche a permis la construction d'un outil d'aide à la décision destiné aux acteurs sur le terrain. Cet outil permet d'effectuer un diagnostic du processus, afin d'identifier les facteurs qui représentent des défis. Ensuite, l'outil permet au groupe de faire un choix dans la distribution de ses efforts parmi les composantes du passage à l'action afin de maximiser les retombées sur le processus. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Agenda 21 local, Développement durable, Changement organisationnel, Changement de comportement, Territoire, Empowerment.
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Les domaines privés : un marché pour habiter le monde contre la nature : la persistance des modes consuméristes d'habiter l'espace en contexte de crise écologique, ou, Le crédit à la démesure de l'agir pour soiVézina, Alain 07 1900 (has links) (PDF)
À peine sommes-nous sortis de l'histoire subie pour découvrir avec la modernité l'histoire conçue, que celle-ci prend une voie tout aussi imposante, celle d'une économie posée en extériorité sur le monde, recouvrant l'invention politique de sa dynamique de la neutralité d'une découverte. La modernité en devient opportuniste et marchande. Dès l'origine puis pour sa systématisation, encore persistante, le capitalisme a pu compter sur le cadre de la nation pour se déployer et sortir l'économie de son localisme, posant la frontière politique de ce qui est une importation ou une exportation. Initialement, sous l'angle de l'échelle territoriale, le cadre politique légitime est alors plus vaste que le cadre entretenu par les échanges. Les sciences sociales naissent de ce contexte, celui où un État-nation s'efforce de réguler et d'aménager la modernisation et la productivité du capitalisme. Se faisant, science et production s'entendent sur le devoir d'approvisionner un socio-territoire, pour générer et redistribuer à cette échelle les ressources prélevées ou produites au sein de ce que le système terrestre a très antérieurement organisé comme des bio-territoires. Les socio-territoires se surimposent aux bio-territoires alors que les échelles d'échanges de leur métabolisme respectif ne se correspondent pas. La conception et l'organisation du système social se font dans l'isolement de ses déterminations naturelles, considérées pérennes, stables, voire unilatéralement améliorables par l'industrie. Se compose politiquement une large alliance sociale sur la productivité du capitalisme. Cette alliance en est la bénéficiaire alors que se conserve la contrainte de disposer de cette productivité débordante au regard des paramètres antérieurs. Puis, à leur tour, les socio-territoires économiques surpassent en étendue les socio-territoires politiques, accentuant en pratique l'inattention aux bio-territoires. Ce productivisme, fait système, a bénéficié d'importantes conditions favorables; des terres peu habitées, des biocapacités sédimentées et enrichies pendant des dizaines de millénaires et des énergies fossiles d'une densité et d'une flexibilité considérable, abondante et presque gratuite, toutes conditions offertes à l'opportunisme marchand. Il y avait dans les bio-territoires des stocks accumulés que l'organisation des socio-territoires s'est alloué de redisposer. En presque chacune de ses formes, ces conditions disparaissent et les stocks bioproductifs montrent maintenant de redoutables signes d'épuisement alors que nous avons amené le système terrestre au bord d'un déséquilibre global. Ce mémoire refait théoriquement le parcours du processus dynamique qui nous a conduits à l'illusion historique commune amenant à une certaine organisation des socio-territoires qui, par delà certaines mitigations dominées par des arbitrages industrialistes et avec tout le poids des vastes inerties résultantes, cette organisation a été rendue concrète à distance d'un juste rapport aux bio-territoires, c'est-à-dire en sous-estimant l'exigence posée par la reproduction des métabolismes territoriaux. Nous tentons, aussi, de poser les jalons essentiels à la réduction de ces écarts et où s'entremêlent politiques globales et politiques locales. Nous révélerons que ces dernières recèlent un champ d'interventions publiques et d'investissement social légitime grandement sous-estimé, compte tenu de la grandeur des défis écologiques et de la célérité scientifiquement reconnue et requise pour les relever. Ce nouveau localisme relatif importe comme espace politique articulant un cadre de responsabilisation quant à la part publique de nos affaires et initiatives privées et comme régime d'évolution collective des normes et des intérêts. Ce qui peut s'interpréter comme la recherche, devenue urgence, des innovations et des performances systémiques qui font les sociétés résilientes, revalorisant les dimensions concrètes et vécues façonnant l'être là, c'est-à-dire le polymorphisme de la présence et de l'attention comme compétences individuelles et institutionnelles dans les formes d'habiter.
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La planification (régionale?) du territoire : le cas des MRC québécoisesLévesque, Josée 11 1900 (has links) (PDF)
Confrontées à la rapidité de l'évolution du territoire et aux forces du marché, les MRC du Québec ont la responsabilité d'assurer le développement harmonieux de leur territoire par le maintien d'une planification territoriale qui capitalise les forces vives de la région. Simple en théorie... mais en pratique, la production et la révision de cette planification régionale se révèle laborieuse et complexe, tant en regard de l'exercice comme tel qui tient, à certains égards, de la futurologie, qu'en regard des jeux de pouvoir qui y sont associés et par lesquels il nous est donné d'apprécier la forte dimension politique de l'aménagement du territoire. Au Québec, près du tiers des MRC ont, à ce jour, un schéma d'aménagement en vigueur de première génération datant de plus de 20 ans. Pourquoi? À partir de l'étude de 12 MRC du Québec, l'auteure dresse un portrait de la situation actuelle de la planification régionale au Québec et des difficultés que rencontrent les MRC dans la production de leur planification territoriale. L'auteure démontre ainsi que les retards que présente la production de la planification régionale sont ancrés à la question des rapports de pouvoirs entre les échelons de la gouvernance territoriale ainsi qu'à celle de la décentralisation des pouvoirs de l'État. Elle met également à jour les différentes stratégies engagées par les MRC afin de poursuivre leurs objectifs de développement régional malgré la présence du schéma et des comptes à rendre qui lui sont associés. En définitive, il est question de la capacité, mais également de la volonté des MRC de produire la planification régionale tel qu'il est entendu et prescrit par le gouvernement provincial.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Aménagement, Centralisation, Décentralisation, Gouvernance, MRC, Planification, Territoire.
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