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Picking brains : Hannibal lecter and the cannibal myth in twentieth-century western literature

Radford, Kathryn January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Trilogia antropofágica [a educação como devoração]

Costa, Gilcilene Dias da January 2008 (has links)
L´anthropophagie et le désir : tels sont les concepts autour desquels est tissée la trilogie qui compose le présent travail. Une combinaison d´éléments extemporains les plus dispersés - un mélange de cannibalisme rituel, de souveraineté du désir et d´anarchie couronnée - et qui s´unissent en laissant place au surgissement dans le temps et dans l´espace, d´une forme dévoratrice volontairement créatrice et impérieuse au sein de l´éducation. Une machinerie de la production désirante met en branle un mode de penser l´éducation comme un désir d´apprendre et comme une puissance de connaître. Elle s´oppose à l´apathie de l´apprentissage et à l´inertie du savoir. Une géographie nomade distribue des concepts, des personnages et des situations dans un labyrinthe de forces, d´appétits, de perversions, d´affabulations et de ruses. L´anthropophagie est le principe dévorateur et le leitmotiv de toute la création. Elle fait de ses propres limites un point d´intersection et de déséquilibre constant. La présente étude se nourrit des vestiges laissés par quelques uns de ses intercesseurs: Hobbes et ses travaux concernant le concept d´ « homi hominis lupus »; Nietzsche et ses analyses de la « moralité de l´habitude » ; Artaud et la « cruauté » inscrite dans les corps sans organes ; Agamben et la « sacralité » de la vie comme insigne des processus d´inclusion et d´exclusion de la vie politique ; Deleuze et Guattari et le champ du « désir » en tant que production machinique qui traverse les formations sociales. D´Hélagabal à Vendredi et à Macunaïma, les concepts se mêlent, se défont ou se refont avec une impétuosité dévorante. La trilogie qui suit peut être figurée ainsi : elle est premièrement une incursion dans l´acception primitive du concept d´anthropophagie, vue comme un mal invétéré de la nature humaine ; vient ensuite un usage impérial du mot, qui fait intervenir l´univers des rois et des dieux convertissant la cruauté en anarchie et en perversion ; suit finalement une acception moderne du concept, selon laquelle la dévoration d´Autrui est entendue comme la mise en perspective déformée et contraire à la dévoration de l´Autre considéré comme individu réel de la culture. Dans le teatrum anthropophagicum, la Cruauté se pose entre des forces qui s´entre-dévorent dans la lutte éternelle entre le bien et le mal. Avec rigueur et critique, la scène anthropophagique tupiniquim gagne du relief et de l´irrévérence. Sur elle, ce n´est pas seulement l´Européen et son modèle importé qui sont dévorés, mais aussi les mentors du mouvement et leur ethos de la nouvelle culture dite d´exportation. L´anthropophagie et le désir sont ainsi les points d´articulation d´une pensée où l´éducation, en se trouvant associée à la joie et au désir de recréation, veut éloigner les esprits gravitiques et amers qui voudraient l´empêcher de voler librement. / Antropofagia e Desejo. É em torno desses conceitos que se tece a trilogia desta tese. Uma combinação de elementos extemporâneos os mais dispersos (um misto de canibalismo ritual, soberania do desejo e anarquia coroada), que se unem dando margem ao aparecimento, no tempo e no espaço, de uma força devoradora que se quer criadora e imperiosa na educação. Uma maquinaria da produção dese-jante, que põe em funcionamento um modo de pensar a educação como desejo de aprender e potência de saber, contrapondo-se a uma apatia de aprender e inércia de saber. Uma geografia nômade, que distribui conceitos, personagens e situações num labirinto de forças, apetites, perversões, fabulações e ardis. A antropofagia é o princípio devorador e mote de toda a criação. As análises se alimentam dos vestí-gios deixados por alguns de seus intercessores: Hobbes, e suas investidas no concei-to de homi hominis lupus; Nietzsche, e suas análises sobre a moralidade do costu-me; Artaud, e a crueldade que se inscreve nos corpos sem órgãos; Agamben, e a sacralidade da vida como insígnia dos processos de inclusão e exclusão da vida política; Deleuze e Guattari, e o campo do desejo como produção maquínica que atra-vessa as diferentes formações sociais. De Heliogábalo a Sexta-Feira a Macunaíma, os conceitos se mesclam, se desfazem ou se refazem, em ímpeto devorador. A trilo-gia pode ser delineada da seguinte forma: Primeiro, uma incursão no uso primitivo do conceito de antropofagia, como um mal inveterado da natureza humana. Em seguida, um uso imperial do conceito: o universo dos reis e dos deuses que conver-tem a crueldade em anarquia e perversão. Finalmente, um uso moderno do concei-to: a devoração de Outrem, um perspectivismo distorcido, contrário à devoração do Outro, indivíduo real da cultura. No theatrum anthropophagicum, destaque para o Teatro da Crueldade, armado entre forças que se entredevoram na eterna luta entre bem e mal. A cena antropofágica tupiniquim ganha relevo e irreverência, com rigor e crítica; nela, não é apenas o europeu que é devorado com o seu modelo de impor-tação, também os “mentores” do Movimento são devorados com o seu ethos da no-va cultura: cultura da exportação. Antropofagia e desejo são, portanto, os fios con-dutores de um pensar que se volta para a educação com alegria e desejo de recria-ção, procurando espantar os espíritos gravíticos e acabrunhados que a impedem de voar livremente.
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Trilogia antropofágica [a educação como devoração]

Costa, Gilcilene Dias da January 2008 (has links)
L´anthropophagie et le désir : tels sont les concepts autour desquels est tissée la trilogie qui compose le présent travail. Une combinaison d´éléments extemporains les plus dispersés - un mélange de cannibalisme rituel, de souveraineté du désir et d´anarchie couronnée - et qui s´unissent en laissant place au surgissement dans le temps et dans l´espace, d´une forme dévoratrice volontairement créatrice et impérieuse au sein de l´éducation. Une machinerie de la production désirante met en branle un mode de penser l´éducation comme un désir d´apprendre et comme une puissance de connaître. Elle s´oppose à l´apathie de l´apprentissage et à l´inertie du savoir. Une géographie nomade distribue des concepts, des personnages et des situations dans un labyrinthe de forces, d´appétits, de perversions, d´affabulations et de ruses. L´anthropophagie est le principe dévorateur et le leitmotiv de toute la création. Elle fait de ses propres limites un point d´intersection et de déséquilibre constant. La présente étude se nourrit des vestiges laissés par quelques uns de ses intercesseurs: Hobbes et ses travaux concernant le concept d´ « homi hominis lupus »; Nietzsche et ses analyses de la « moralité de l´habitude » ; Artaud et la « cruauté » inscrite dans les corps sans organes ; Agamben et la « sacralité » de la vie comme insigne des processus d´inclusion et d´exclusion de la vie politique ; Deleuze et Guattari et le champ du « désir » en tant que production machinique qui traverse les formations sociales. D´Hélagabal à Vendredi et à Macunaïma, les concepts se mêlent, se défont ou se refont avec une impétuosité dévorante. La trilogie qui suit peut être figurée ainsi : elle est premièrement une incursion dans l´acception primitive du concept d´anthropophagie, vue comme un mal invétéré de la nature humaine ; vient ensuite un usage impérial du mot, qui fait intervenir l´univers des rois et des dieux convertissant la cruauté en anarchie et en perversion ; suit finalement une acception moderne du concept, selon laquelle la dévoration d´Autrui est entendue comme la mise en perspective déformée et contraire à la dévoration de l´Autre considéré comme individu réel de la culture. Dans le teatrum anthropophagicum, la Cruauté se pose entre des forces qui s´entre-dévorent dans la lutte éternelle entre le bien et le mal. Avec rigueur et critique, la scène anthropophagique tupiniquim gagne du relief et de l´irrévérence. Sur elle, ce n´est pas seulement l´Européen et son modèle importé qui sont dévorés, mais aussi les mentors du mouvement et leur ethos de la nouvelle culture dite d´exportation. L´anthropophagie et le désir sont ainsi les points d´articulation d´une pensée où l´éducation, en se trouvant associée à la joie et au désir de recréation, veut éloigner les esprits gravitiques et amers qui voudraient l´empêcher de voler librement. / Antropofagia e Desejo. É em torno desses conceitos que se tece a trilogia desta tese. Uma combinação de elementos extemporâneos os mais dispersos (um misto de canibalismo ritual, soberania do desejo e anarquia coroada), que se unem dando margem ao aparecimento, no tempo e no espaço, de uma força devoradora que se quer criadora e imperiosa na educação. Uma maquinaria da produção dese-jante, que põe em funcionamento um modo de pensar a educação como desejo de aprender e potência de saber, contrapondo-se a uma apatia de aprender e inércia de saber. Uma geografia nômade, que distribui conceitos, personagens e situações num labirinto de forças, apetites, perversões, fabulações e ardis. A antropofagia é o princípio devorador e mote de toda a criação. As análises se alimentam dos vestí-gios deixados por alguns de seus intercessores: Hobbes, e suas investidas no concei-to de homi hominis lupus; Nietzsche, e suas análises sobre a moralidade do costu-me; Artaud, e a crueldade que se inscreve nos corpos sem órgãos; Agamben, e a sacralidade da vida como insígnia dos processos de inclusão e exclusão da vida política; Deleuze e Guattari, e o campo do desejo como produção maquínica que atra-vessa as diferentes formações sociais. De Heliogábalo a Sexta-Feira a Macunaíma, os conceitos se mesclam, se desfazem ou se refazem, em ímpeto devorador. A trilo-gia pode ser delineada da seguinte forma: Primeiro, uma incursão no uso primitivo do conceito de antropofagia, como um mal inveterado da natureza humana. Em seguida, um uso imperial do conceito: o universo dos reis e dos deuses que conver-tem a crueldade em anarquia e perversão. Finalmente, um uso moderno do concei-to: a devoração de Outrem, um perspectivismo distorcido, contrário à devoração do Outro, indivíduo real da cultura. No theatrum anthropophagicum, destaque para o Teatro da Crueldade, armado entre forças que se entredevoram na eterna luta entre bem e mal. A cena antropofágica tupiniquim ganha relevo e irreverência, com rigor e crítica; nela, não é apenas o europeu que é devorado com o seu modelo de impor-tação, também os “mentores” do Movimento são devorados com o seu ethos da no-va cultura: cultura da exportação. Antropofagia e desejo são, portanto, os fios con-dutores de um pensar que se volta para a educação com alegria e desejo de recria-ção, procurando espantar os espíritos gravíticos e acabrunhados que a impedem de voar livremente.
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Trilogia antropofágica [a educação como devoração]

Costa, Gilcilene Dias da January 2008 (has links)
L´anthropophagie et le désir : tels sont les concepts autour desquels est tissée la trilogie qui compose le présent travail. Une combinaison d´éléments extemporains les plus dispersés - un mélange de cannibalisme rituel, de souveraineté du désir et d´anarchie couronnée - et qui s´unissent en laissant place au surgissement dans le temps et dans l´espace, d´une forme dévoratrice volontairement créatrice et impérieuse au sein de l´éducation. Une machinerie de la production désirante met en branle un mode de penser l´éducation comme un désir d´apprendre et comme une puissance de connaître. Elle s´oppose à l´apathie de l´apprentissage et à l´inertie du savoir. Une géographie nomade distribue des concepts, des personnages et des situations dans un labyrinthe de forces, d´appétits, de perversions, d´affabulations et de ruses. L´anthropophagie est le principe dévorateur et le leitmotiv de toute la création. Elle fait de ses propres limites un point d´intersection et de déséquilibre constant. La présente étude se nourrit des vestiges laissés par quelques uns de ses intercesseurs: Hobbes et ses travaux concernant le concept d´ « homi hominis lupus »; Nietzsche et ses analyses de la « moralité de l´habitude » ; Artaud et la « cruauté » inscrite dans les corps sans organes ; Agamben et la « sacralité » de la vie comme insigne des processus d´inclusion et d´exclusion de la vie politique ; Deleuze et Guattari et le champ du « désir » en tant que production machinique qui traverse les formations sociales. D´Hélagabal à Vendredi et à Macunaïma, les concepts se mêlent, se défont ou se refont avec une impétuosité dévorante. La trilogie qui suit peut être figurée ainsi : elle est premièrement une incursion dans l´acception primitive du concept d´anthropophagie, vue comme un mal invétéré de la nature humaine ; vient ensuite un usage impérial du mot, qui fait intervenir l´univers des rois et des dieux convertissant la cruauté en anarchie et en perversion ; suit finalement une acception moderne du concept, selon laquelle la dévoration d´Autrui est entendue comme la mise en perspective déformée et contraire à la dévoration de l´Autre considéré comme individu réel de la culture. Dans le teatrum anthropophagicum, la Cruauté se pose entre des forces qui s´entre-dévorent dans la lutte éternelle entre le bien et le mal. Avec rigueur et critique, la scène anthropophagique tupiniquim gagne du relief et de l´irrévérence. Sur elle, ce n´est pas seulement l´Européen et son modèle importé qui sont dévorés, mais aussi les mentors du mouvement et leur ethos de la nouvelle culture dite d´exportation. L´anthropophagie et le désir sont ainsi les points d´articulation d´une pensée où l´éducation, en se trouvant associée à la joie et au désir de recréation, veut éloigner les esprits gravitiques et amers qui voudraient l´empêcher de voler librement. / Antropofagia e Desejo. É em torno desses conceitos que se tece a trilogia desta tese. Uma combinação de elementos extemporâneos os mais dispersos (um misto de canibalismo ritual, soberania do desejo e anarquia coroada), que se unem dando margem ao aparecimento, no tempo e no espaço, de uma força devoradora que se quer criadora e imperiosa na educação. Uma maquinaria da produção dese-jante, que põe em funcionamento um modo de pensar a educação como desejo de aprender e potência de saber, contrapondo-se a uma apatia de aprender e inércia de saber. Uma geografia nômade, que distribui conceitos, personagens e situações num labirinto de forças, apetites, perversões, fabulações e ardis. A antropofagia é o princípio devorador e mote de toda a criação. As análises se alimentam dos vestí-gios deixados por alguns de seus intercessores: Hobbes, e suas investidas no concei-to de homi hominis lupus; Nietzsche, e suas análises sobre a moralidade do costu-me; Artaud, e a crueldade que se inscreve nos corpos sem órgãos; Agamben, e a sacralidade da vida como insígnia dos processos de inclusão e exclusão da vida política; Deleuze e Guattari, e o campo do desejo como produção maquínica que atra-vessa as diferentes formações sociais. De Heliogábalo a Sexta-Feira a Macunaíma, os conceitos se mesclam, se desfazem ou se refazem, em ímpeto devorador. A trilo-gia pode ser delineada da seguinte forma: Primeiro, uma incursão no uso primitivo do conceito de antropofagia, como um mal inveterado da natureza humana. Em seguida, um uso imperial do conceito: o universo dos reis e dos deuses que conver-tem a crueldade em anarquia e perversão. Finalmente, um uso moderno do concei-to: a devoração de Outrem, um perspectivismo distorcido, contrário à devoração do Outro, indivíduo real da cultura. No theatrum anthropophagicum, destaque para o Teatro da Crueldade, armado entre forças que se entredevoram na eterna luta entre bem e mal. A cena antropofágica tupiniquim ganha relevo e irreverência, com rigor e crítica; nela, não é apenas o europeu que é devorado com o seu modelo de impor-tação, também os “mentores” do Movimento são devorados com o seu ethos da no-va cultura: cultura da exportação. Antropofagia e desejo são, portanto, os fios con-dutores de um pensar que se volta para a educação com alegria e desejo de recria-ção, procurando espantar os espíritos gravíticos e acabrunhados que a impedem de voar livremente.
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Imaginaire mythique de l’Afrique subsaharienne à l’âge classique / The imaginary mythical sub-Saharan Africa of the classical age

Alves Vaz, Paulo 29 November 2013 (has links)
Différents voyageurs ont décidé de leur fait ou de par leurs obligations gouvernementales, religieuses ou commerciales de visiter et d’explorer l’Afrique. Ce qu’ils ont pu observer de la population des côtes va être généralisé aux peuples de toute l’Afrique. Dès leur arrivée, les voyageurs sont frappés par la différence qui existe, entre la population africaine, la faune et la flore et celle du reste du monde. La découverte d'un monde différent est très certainement à la source de la fascination pour l’Afrique. L’Afrique est seule capable, de produire des prodiges au niveau de la nature, des royaumes et de leurs souverains, ainsi que des animaux et des hommes. C’est de l’observation et de l’écriture que naissent les mythes. Alors que l’Afrique est décrite comme un continent avec des peuples pauvres, ignorants, superstitieux, de sauvages et d’anthropophages, les auteurs font part de terres où les pierres précieuses et l’or poussent à même le sol, quand ils ne sont pas transbordés après la pluie par les fleuves en crue. Dans les terres inconnues, au-delà de la domination de l’Islam, se conçoit l’existence de régions fabuleusement riches en or, authentiques paradis terrestres. Là est localisé l’Ophir de Salomon, mais aussi le royaume de la Reine de Saba, riche en or et encens. C’est là que se trouve, quelque part, l’Empire du Royaume du Prêtre Jean, symbole d’une chrétienté idéale, mais aussi le fabuleux royaume du Monomotapa, dirigé par le Mwenemutapwa, où habitent les Amazones. / Different travellers decided to visit and explore Africa either on their own or because of government, religious or commercial obligations. They had various motivations : some were really interested in this continent and wanted to know more about it, others went there to satisfy a desire of discovery and to share unknown lands for trade. As soon as they arrived visitors were struck by the difference - in physionomy - between the African population and the rest of the world. Travel stories - reports of bygone days - bring back the African peoples who were seing white people for the first time. The discovery of a new world, its exploration and literature are the root of the fascination for Africa. In this context the representation and the enchantment - that Sub-Saharan Africa aroused in the collective imagination of the Classical Age travellers - will be studied. Africa has become over the centuries a name which sounds mysterious, suggesting to the minds of men a stream of unusual landscapes. Myths were born from the observation of unknown lands through writing. In fact thanks to different travellers from previous centuries Africa shows in the collective imagination of Europeans from the 16th, 17th and 18th centuries two mythical and real pictures, opposed but complementary. This continent is described as a huge desert territory filled with fabulous beings where precious stones and gold grow or are washed away by the rivers flooded after rain. Africa is then described as a contintent with poor, ignorant, superstitious peoples : savages and cannibals. Everything looks different for travellers : men, civilisations, plants and lands so myths linked with Africa sprouted from them. The symbolic value of the myth is transferred in travel books and provide a common background of marvellous pictures.
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Somos todos canibais: antropofagia, corpo e educa??o sens?vel

Solci, Analwik Tatielle Pereira de Lima 03 December 2013 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T14:36:36Z (GMT). No. of bitstreams: 1 AnalwikTPLS_TESE.pdf: 8564850 bytes, checksum: 19278415a8122b01fa1f2a73db3c573a (MD5) Previous issue date: 2013-12-03 / Cette ?tude pr?sente l anthropophagie comme une notion th?orique et experiementale du corps qui r?habilite le sensible et r?veille le monde per?u. L argumentation fait ressortir la dimension sensible du corps et de la connaissance, en considerant sa sensibilit? et motricit?, corps qui ne se s?pare pas de la nature et de l histoire, en actuant dans le monde comme pr?sence vive, originaire, en mouvement ; en supposant un sujet qui, au m?me temps que construit ses propres senses, il d?pend de l exp?rience de l autre et du monde, en cr?ant et en recr?ant la culture, et il agrandit le processus de conna?tre, de sentir, de penser, d agir, d ?tre, de se transformer. Cette attitude annonce une connaissance sensible et un corps qui est suscetible de sensations, mais d expr?ssions aussi, de communication, de cr?ation, aspects indispensables pour se pensar l ?ducation comme un space sensible, d apprantissage et r?ssignification de la culture ; que d?vient possible la communion avec le corps, le temps, le space ; qu enseigne ? r?apprendre ? voir le monde, que consid?re la r?versibilit? des senses et l esth?sie comme champs de l exp?rience sensible et de l imputation des senses ; qu ?voque la beaut? des multiples l?ctures du v?cu et qu agrandit la compr?hension du soi et de l autre. L objectif de ce travail est comprendre l anthropophagie comme une attitude du corps et de la connaisance sensible, qu approfondit la r?lation de l ?tre au monde, la r?lation avec l autre et permet la cr?ation de senses culturelles, ?sthetiques et ?xistentielles our l ?ducation. Nos pr?sentons l attitude ph?nomologique de Maurice Merleau-Ponty comme r?f?rence th?orique et m?thodologique de notre recherche. Il s agit d une attitude de la pens?e qui place la conaissance au centre de nos exp?riences v?cues au monde ; une attitude qui ne propose pas un sens d?finitif des choses et des personnes et qui contribue pour la compr?hension de l anthropophagie, du corps, du sensible, du monde et de l autre, en indiquant des d?veloppements de ces r?flexions pour l ?ducation. En cr?ant des horizonts de sense et strast?gies de p?rception sur l anthopophagie, nos consid?rons comme choix notre exp?rience v?cu, comme les voyages; atelier d extension avec des ?l?ves du cours de Technologie en Production Culturelle de l Institut F?d?ral d ?ducation, Science et Technologie du Rio Grande do Norte-IFRN, Campus Cidade Alta ; l anthropophagie comme ?lement de l Art Moderne Br?silien ; les cr?ations et les r?cits des ?l?ves ; images ; filmes et livres recherch?s ; dialogues avec les penseurs L?vi-Strauss, Montaigne et Oswald de Andrade, qui constituent nos principales r?f?rences conceptuelles et qui ont permis travers? des savoirs et promouvoir un dialogue entre divers champs de connaissance, comme l Anthropologie, la Philosophie, l Art et l ?ducation. Ces strat?gies constituent le resultat partiel et inachev? d un processus de connaisance de soi et de l autre, que permet de revivre des m?moires, faire ressortir des couleurs, des senses, des go?ts, des d?couvertes sensibles et encourageantes sur la connaissance, sur l art, des d?couvertes sur soi m?me, sur l autre, sur le monde, sur la vie, indiquant que l ?ducation peut ?tre un processus fort sensible, dans lequel le corps est une pr?sence indispensable, aussi comme le toucher, le cr?er, les delires, les affections, les encontres et l invention / Esta tese apresenta a antropofagia como uma no??o te?rico-experiencial, uma atitude do corpo que reabilita o sens?vel e desperta o mundo percebido. A argumenta??o ressalta a dimens?o sens?vel do corpo e do conhecimento, considerando sua sensibilidade e motricidade, corpo que n?o se separa da natureza e da hist?ria, atuando no mundo como presen?a viva, origin?ria, em movimento, supondo um sujeito que, ao mesmo tempo em que constr?i seus pr?prios sentidos, ? dependente da experi?ncia do outro no mundo, criando e recriando a cultura, ampliando o processo de conhecer, sentir, pensar, agir, ser, transformar-se. Essa atitude anuncia um conhecimento sens?vel e um corpo que ? capaz de sensa??o, mas tamb?m de express?o, de comunica??o, de cria??o, aspectos indispens?veis para se pensar a educa??o como um espa?o sens?vel, de aprendizagem e ressignifica??o da cultura, que possibilita a conviv?ncia com o corpo, com o tempo, com o espa?o; que ensina a reaprender a ver o mundo, que considera a reversibilidade dos sentidos e a estesia como campo da experi?ncia sens?vel e da imputa??o de sentidos; que convoca a beleza de m?ltiplas leituras do vivido e que alarga a compreens?o de si e do outro. Como objetivo, buscamos compreender a antropofagia como atitude do corpo e do conhecimento sens?vel, que aprofunda a rela??o do ser no mundo, a rela??o com o outro e permite a cria??o de sentidos culturais, est?ticos e existenciais para a educa??o. Apresentamos a atitude fenomenol?gica de Maurice Merleau-Ponty como refer?ncia te?rico-metodol?gica de nossa pesquisa. Trata-se de uma atitude de pensamento que coloca o conhecimento como centro de nossas experi?ncias vividas no mundo, uma atitude que n?o prop?e um sentido definitivo das coisas e das pessoas e que contribuiu na compreens?o sobre a antropofagia, o corpo, o sens?vel, o mundo e o outro, apontando desdobramentos dessa reflex?o para a educa??o. Ao criar horizontes de sentido e estrat?gias de percep??o sobre a antropofagia, consideramos como escolhas a nossa experi?ncia vivida; incluindo a experi?ncia da viagem; uma oficina de extens?o realizada com alunos do curso de Tecnologia em Produ??o Cultural do Instituto Federal de Educa??o, Ci?ncia e Tecnologia do Rio Grande do Norte IFRN Campus Cidade Alta; a antropofagia como elemento da Arte Moderna brasileira; as cria??es e os relatos dos alunos; imagens; filmes e livros pesquisados; al?m do di?logo com pensadores como L?vi-Strauss, Montaigne e Oswald de Andrade, que constituem nossas principais refer?ncias conceituais e que permitiram transversalizar saberes e promover um di?logo entre ?reas de conhecimentos variadas como a Antropologia, a Filosofia, a Arte e a Educa??o. Essas estrat?gias constitu?ram-se como o resultado parcial e inacabado de um processo de conhecimento de si e do outro, que permitiu reviver mem?rias, ressaltar cores, sentidos, sabores, descobertas sens?veis e impulsionadoras sobre o conhecimento, sobre a arte, descobertas sobre si mesmo, sobre o outro, sobre o mundo, sobre a vida, indicando que a educa??o pode ser um processo mais sens?vel, em que o corpo ? presen?a indispens?vel, assim como o tocar, o criar, os del?rios, os afetos, os encontros e a inven??o
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Perifagia — comendo pelas beiradas: entulho, inocência e marmita

Barreto, Carolina de Oliveira 17 April 2017 (has links)
Submitted by Renata Lopes (renatasil82@gmail.com) on 2017-05-25T18:11:44Z No. of bitstreams: 1 carolinadeoliveirabarreto.pdf: 371086 bytes, checksum: 701f0d8d176a22f9e68a2430d257fcb4 (MD5) / Approved for entry into archive by Adriana Oliveira (adriana.oliveira@ufjf.edu.br) on 2017-05-26T12:03:05Z (GMT) No. of bitstreams: 1 carolinadeoliveirabarreto.pdf: 371086 bytes, checksum: 701f0d8d176a22f9e68a2430d257fcb4 (MD5) / Made available in DSpace on 2017-05-26T12:03:05Z (GMT). No. of bitstreams: 1 carolinadeoliveirabarreto.pdf: 371086 bytes, checksum: 701f0d8d176a22f9e68a2430d257fcb4 (MD5) Previous issue date: 2017-04-17 / CAPES - Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Esta tese pretende formular questões em torno das tensões criadas pelos embates provocados pelos ritos de autoridade que perpassam a relação entre os leitores e o texto. Disso surge o "lugar do morto”. Essa noção, quando articulada à de literatura brasileira, traz à tona alguns limites que interferem, não só na leitura, mas também nos estudos de literatura. Desse modo, pretende-se também colocar em evidência as relações de poder que sustentam essa prática no contexto acadêmico. Para isso, a noção de culto será relacionada à de autor como autoridade diante do texto. Tendo isso em vista, será mostrado em um momento posterior que Oswald de Andrade e sua antropofagia ocupam, em boa parte dos escritos acadêmicos, um lugar monumental que usufrui do “lugar do morto” e da autoridade por esse espaço conferida. Por isso, nesta tese, esse espaço será questionado, ao mesmo tempo em que será mostrado o teor romântico das idéias que giram em torno da antropofagia oswaldiana. Com isso, será evidenciada a impossibilidade de se conceber essas idéias sem lançar mão da autoridade, criando um impasse dentro do próprio conceito oswaldiano de antropofagia. Por último, considerando as discussões propostas ao longo da tese, será trabalhada a noção de “perifagia" presente no título deste texto, evidenciando alguns dos limites criados a partir da noção de literatura que se fia no "lugar do morto”. / Cette thèse a pour but de formuler des questions autour des tensions crées par les confrontations provoquées par les rites d'autorité qui perpassent le rapport entre les lecteurs et le texte. De ces affrontements surgit la "place du mort". Celle-ci, articulée à la notion de littérature brésilienne, fait émerger quelques limites qui interfèrent dans la lecture et aussi dans les études de littérature. Donc, on a aussi pour but de mettre en évidence les relations de pouvoir qui soutiennent cette pratique dans les milieux académiciens. Afin de le faire, la notion de culte sera liée à celle de l'auteur comme une autorité face au texte. En vue de ceci, on montrera qu'Oswald de Andrade et son anthropophagie occupent, dans une considérable partie des écrits académiciens, une place monumentale qui jouit de la "place du mort" et de l'autorité attribuée par cette place. C'est pour ça que, dans cette thèse, à la fois cet espace sera mis en question et la teneur romantique des idées qui gravitent autour de l'anthropophagie oswaldienne sera révélée. De cette façon, l'impossibilité de concevoir ces idées sans recourir à l'autorité sera mise en évidence, en créant une impasse dans le propre concept oswaldien d'anthropofagie. En dernier lieu, la notion de "périphagie", qui fait partie du titre de ce texte, sera travaillée, en mettant en considération les discussions proposées au cours de cette thèse et en mettant en relief quelques limites crées à partir de la notion de littérature qui se fie à la "place du mort".
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Memórias, contracultura e antropofagia em Uma história à margem, de Chacal

Faulhaber, Gabriel Moreira 28 March 2014 (has links)
Submitted by Renata Lopes (renatasil82@gmail.com) on 2016-01-28T12:44:54Z No. of bitstreams: 1 gabrielmoreirafaulhaber.pdf: 845569 bytes, checksum: 32e4eef1de2fe84e881c32fde6101c0e (MD5) / Approved for entry into archive by Adriana Oliveira (adriana.oliveira@ufjf.edu.br) on 2016-01-28T12:46:59Z (GMT) No. of bitstreams: 1 gabrielmoreirafaulhaber.pdf: 845569 bytes, checksum: 32e4eef1de2fe84e881c32fde6101c0e (MD5) / Made available in DSpace on 2016-01-28T12:46:59Z (GMT). No. of bitstreams: 1 gabrielmoreirafaulhaber.pdf: 845569 bytes, checksum: 32e4eef1de2fe84e881c32fde6101c0e (MD5) Previous issue date: 2014-03-28 / CAPES - Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / A presente dissertação tem como objetivo realizar uma abordagem do livro intitulado Uma história à margem, do poeta brasileiro Chacal. Como se trata de uma narrativa pertencente às escritas de si, nosso objetivo recai em apontar o modo como o autor se constrói ao longo do texto. Para tal, busca-se verificar objetivos que movimentam sua escrita. Temos como hipótese que, ao adotar a postura de um memorialista, Chacal assume para si um papel preponderante dentro do cenário não só da poesia surgida na década de 1970, como do ambiente contracultural da mesma época, tornando-se uma espécie de porta-voz de sua geração. Outro ponto ressaltado é o fato de que, paralelamente ao memorialista, vemos a construção de um sujeito antropófago, um herdeiro da antropofagia oswaldiana. Alguém que se mostra aberto ao outro, em comunhão com o outro, com a disposição para encontro, em movimento e em busca da produção do novo a partir dessas relações. / L‘objectif de ce mémoire est l‘étude du livre Uma historia à margem, du poète brésilien Chacal. Puisqu‘il s‘agit d‘um récit mémorialistique , s‘inscrivant dans les écritures de soi, nous analysons comment l‘auteur se construit tout au long du texte. Pour ce faire, nous cherchons à vérifier sa posture en tant que mémorialiste et aussi les buts qui guident son écriture. L‘hypothèse que nous avançons est que, lorsqu‘il adopte la posture d‘un mémorialiste, Chacal se donne un rôle prépondérant aussi bien dans le contexte de la poésie de la décennie 1970, que dans l‘ambiance de cette époque dominée par la contreculture. Il devient ainsi en quelque sorte un porte-parole de sa génération. Un autre point mis en évidence dans ce travail est le fait que, parallèlement au mémorialiste, on observe dans son récit la construction d‘un sujet anthropophage, un héritier de l‘anthropophagie d‘ Oswald de Andrade, c‘est-à-dire un sujet ouvert à l‘autre, en communion avec l‘autre, disposé à le rencontrer, toujours en mouvement et à la recherche de la production du nouveau à partir des rapports qu‘il entretient avec cet autre.

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