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Dialogue entre narrateur et narrataires, facétie romanesque intitulée La gaie planète et essai théorique afférent

Lagacé, Michel Francis. January 1997 (has links) (PDF)
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Le rêveur, scénario de film ; suivi de Étude sur la lucidité onirique et réflexion sur le processus de création scénaristique

Dugas, Hélène. January 1998 (has links) (PDF)
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Écrire la nouvelle

Dufour, Michel, Dufour, Michel 30 April 2024 (has links)
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Les textes générés par intelligence artificielle

Lebrun, Tom 24 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 10 janvier 2023) / Cette thèse examine le statut littéraire et, dans une moindre mesure, juridique, des textes générés par intelligence artificielle (IA). Elle s'intéresse particulièrement aux textes créés par des méthodes de génération dites « par apprentissage », soit tout ce qui relève de l'apprentissage automatique, également appelé apprentissage machine ou apprentissage statistique. Elle pose l'hypothèse d'un nouveau type de littérature générative, qualifiée de génération par apprentissage, qui propose un rapport intertextuel inédit entre l'œuvre générée et ses sources et fait la preuve d'une autonomie nouvelle de l'œuvre par rapport à son auteur traditionnel autonomie qui se négocie au prix d'une dépendance accrue au corpus de sources utilisés pour l'entraînement du modèle d'IA utilisé. Cette autonomie est pour l'heure inédite dans l'histoire littéraire et n'avait, jusqu'ici, pas encore fait l'objet d'un examen scientifique systématique ; l'objet de cette thèse est de combler cette lacune doctrinale. La thèse examine donc ce que ce nouveau type de littérature en partie autonome par rapport à ses auteurs (mais dépendante envers les sources d'entraînement) fait à la littérature au travers de quatre chapitres distincts. Le chapitre 1 retrace l'histoire de la question de l'autonomie en littérature vue sous l'angle de la contrainte. Après un rappel de l'histoire littéraire en matière de génération informatique (de l'OuLiPo à l'Alamo), elle examine les différents types de génération de textes par informatique, distinguant la génération combinatoire, la génération automatique et la nouvelle génération dite « par apprentissage ». Dans le cas de chacun de ces types, le rôle du modèle informatique, des sources et de l'auteur sont examinés successivement, illustrant une autonomisation croissante du texte par rapport à son auteur. Le chapitre 2 examine le rapport d'appropriation des sources qu'impose tout modèle de génération par apprentissage et ses conséquences d'un point de vue littéraire, notamment par le biais des notions de transtextualité et de transfictionnalité. Trois grands types de textes générés par apprentissage sont distingués et décrits, chacun avec leurs propres spécificités qui permettent d'éclaircir la diversité des pratiques de ce nouveau type de littérature (le texte œuvre d'art, le texte édité, le texte appropriant). Le chapitre 3 est consacré à la question de l'autorité des textes générés par apprentissage, laquelle est remise en question par l'autonomie des créations vis-à-vis de leurs auteurs. Ce chapitre est l'occasion de recentrer le débat sur la posture d'auteurs qui doivent composer avec l'autonomie des systèmes qu'ils utilisent et la dépendance formelle des textes qu'ils produisent envers les sources. Ces auteurs usent de stratégies variées en fonction de leurs intentions, marquant par des discours spécifiques leur position face aux textes. Le chapitre 4 se focalise, quant à lui, sur la question de la lecture et de la réception des textes générés par apprentissage. La diversité de ces pratiques achève sans doute de prouver l'existence d'une grande variété de textes générés par apprentissage autant que leur caractère singulier appelant un renouveau théorique conséquent. Ce renouveau force en partie un retour vers les théories communicationnelles de la littérature, aussi critiquées qu'elles aient pu l'être ces dernières années. La thèse conclut conséquemment non seulement sur l'existence d'un nouveau type de texte littéraire, mais aussi sur la redéfinition profonde de la littérature qui en découle. / This thesis examines the literary and, to a lesser extent, legal status of texts generated by artificial intelligence (AI). It is particularly interested in texts created by so-called "machine learning" methods. It poses the hypothesis of a new type of generative literature, qualified as machine learning generated, which proposes a new intertextual relationship between the generated work and its sources and demonstrates a new autonomy of the work in relation to its traditional author an autonomy which is negotiated at the price of an increased dependence on the corpus of sources used to train the AI model used. This autonomy is, for the time being, unprecedented in literary history and has not, until now, been the subject of a systematic scientific examination; the purpose of this thesis is to fill this doctrinal gap. The thesis therefore examines what this new type of literature, partly autonomous from its authors (but dependent on training sources), does to literature through four distinct chapters. Chapter 1 traces the history of the question of autonomy in literature as seen through the lens of constraint. After a reminder of the literary history of computational generation (from OuLiPo to the Alamo), it examines the different types of computational generation of texts, distinguishing between combinatorial generation, automatic generation and the new so-called "learning" generation. In the case of each of these types, the role of the computer model, of the sources and of the author are examined successively, illustrating an increasing autonomy of the text with respect to its author. Chapter 2 examines the relationship of appropriation of the sources imposed by any model of generation by learning and its consequences from a literary point of view, notably through the notions of transtextuality and transfictionality. Three main types of texts generated by learning are distinguished and described, each with their own specificities that allow to clarify the diversity of the practices of this new type of literature (the work of art text, the edited text, the appropriating text). Chapter 3 is devoted to the question of the authority of texts generated by learning, which is called into question by the autonomy of creations vis-à-vis their authors. This chapter is an opportunity to refocus the debate on the posture of authors who have to deal with the autonomy of the systems they use and the formal dependence of the texts they produce on the sources. These authors use various strategies according to their intentions, marking by specific discourses their position in front of the texts. Chapter 4 focuses on the question of reading and receiving texts generated by learning. The diversity of these practices undoubtedly proves the existence of a vast diversity of texts generated by learning as much as their singular character calling for a consequent theoretical renewal. This renewal in part forces a return to communicative theories of literature, as criticized as they have been in recent years. The thesis therefore concludes not only on the existence of a new type of literary texts, but also on the profound redefinition of literature that follows from it.
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Réflexion sur la transécriture ou l'incidence des supports sur ses procédés

Jetté, Alain 18 April 2018 (has links)
Le présent mémoire témoigne des passages obligés des personnages et des lieux du roman Antoine Noblecourt et la quête de Neith dont je suis l'auteur vers le scénario, puis du scénario vers l'animatique 3D. Il rend compte de certaines réflexions entourant le processus de transécriture à laquelle nous nous sommes prêté. Le terme « transécriture » diffère de cet autre terme qu'est l'« adaptation » qui, dans l'esprit de plusieurs, évoque certains critères de fidélité. Grâce, notamment, aux trois types d'intervention créationnelle proposés par André Gaudreault et Philippe Marion, il s'agit d'observer le processus créateur. Celui-ci implique le passage de la fabula ou du sujet vers Yinventio effectuée à partir des moyens expressifs qu'offre un médium particulier et, enfin, la dispositio ou l'expression elle-même. Au-delà des descriptions qui fournissent des indications quant aux lieux dans lesquels les actions se situent, les dialogues ont, relativement à la dispositio, leur importance. Leur examen permettra de témoigner de la psychologie des personnages du récit. La transécriture du roman vers le scénario, puis du récit scénaristique vers l'animatique a permis l'avancement d'étapes préalables à la réalisation de l'oeuvre filmique 3D anticipée et, de le faire, en ayant réfléchi sur l'écriture des lieux et la mise en présence des personnages du roman.
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La chambre : roman ; suivi de l'essai La chambre : entre littérature et philosophie

Lambert, Simon 17 April 2018 (has links)
Partie créative : La chambre Un homme se réveille dans une chambre qui n'est pas la sienne. On l'a enfermé, mais il ignore pour quelle raison. Tout ce qu'il sait, c'est qu'il a été condamné à écrire. Pour tout contact, il reçoit les visites d'une femme qui entre à l'heure des repas pour lui délivrer sa pitance. À travers les discussions avec cette dernière ainsi que des retours en arrière sur sa jeunesse et sur les moments qui ont précédé son incarcération, il tentera de mettre au jour les raisons de son enfermement. / Partie reflexive : La chambre : entre littérature et philosophie La partie reflexive de ce mémoire sera guidée par l'interrogation suivante : quelle différence y a-t-il entre les langages littéraire et philosophique ? Pour y répondre, nous procéderons à une comparaison de deux oeuvres d'Albert Camus : L'étranger et Le Mythe de Sisyphe. Nous partirons de l'hypothèse de Sartre, laquelle stipule que ces deux oeuvres tiennent le même propos sur l'homme absurde, la première exprimant ce propos de façon littéraire tandis que la seconde l'exprimerait de façon philosophique. Notre comparaison nous mènera à dégager des caractéristiques propres à chacun des deux langages, ce qui nous permettra par la suite de réfléchir à la partie créative du présent mémoire, plus précisément de poser la question suivante : quelle est la valeur littéraire - et non philosophique - de La chambre ?
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"Pour rester malade plus longtemps qu'il ne convient" : la folie comme condition d'écriture dans L'Homme-Jasmin, Impressions d'une malade mentale, d'Unica Zürn

Monette, Annie January 2008 (has links) (PDF)
Le présent mémoire s'intéresse à la problématique écriture-folie dans L'Homme-Jasmin, de l'auteure et artiste allemande Unica Zürn. Ce texte, sous-titré Impressions d'une malade mentale, consiste en le compte rendu de la réelle expérience de la folie de l'auteure. En prenant appui sur les liens établis dans le texte entre ces deux sphères, nous voulons démontrer en quoi, et surtout de quelle façon, la maladie mentale non seulement alimente, mais aussi conditionne et oriente l'écriture. Notre premier chapitre se consacre aux représentations de l'enfermement et de la folie. Deux constats principaux sont dégagés de cette réflexion. D'abord, l'enfermement constitue essentiellement une forme négative de l'expérience de la folie: le fonctionnement de la vie asilaire, les traitements qu'on y dispense, les gestes et les attitudes des médecins el infirmières sont ressentis comme des attaques, des agressions. Ensuite, nous constatons qu'en dehors des murs de l'asile, la folie apparaît sous un tout autre jour: elle est considérée comme un don, un privilège, une occasion unique de réaliser l'improbable et l'impensable. Le second chapitre s'attarde à l'imaginaire et l'onirique, plus particulièrement au fantasme, aux rêves et aux hallucinations. L'imaginaire fantasmatique est abordé par le biais du personnage de l' Homme-Jasmin. Ce dernier, fantasme tout droit sorti de l'enfance, se transforme, des années plus tard, en la figure centrale de la folie de Zürn. Les rêves et les hallucinations seront considérés sous l'angle de leur mise en récit. L'analyse des récits de rêves et des épisodes hallucinatoires permettra de déterminer la position de l'auteure relativement à ces deux expériences oniriques. Le tout dernier chapitre s'attache de façon plus particulière aux rapports entre écriture et folie. Nous réfléchirons sur cette problématique en abordant tout d'abord la question des signes. Puis, nous nous attarderons aux anagrammes présentées dans L 'Homme-Jasmin. Notre étude des anagrammes, qui clôt le mémoire, établit une ultime corrélation entre folie et écriture, en démontrant que la folie est tout entière comprise dans et par le jeu de langage. Ce dernier, espace libérateur, répond à l'enfermement subi par l'auteure. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Folie, Enfermement, Écriture, Onirique, Anagrammes.
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Sur fond de tableaux : une enquête picturale dans vies minuscules et vie de Joseph Roulin de Pierre Michon

Harvey, Virginie January 2008 (has links) (PDF)
La critique a souvent qualifié l'oeuvre de Pierre Michon d'« érudite », en raison de la richesse des références culturelles et historiques qui s'accumulent dans chacun de ses récits, qui se rapportent en effet abondamment aux différents legs de l'histoire pour s'élaborer: reliques familiales, documents patrimoniaux, photographies, peintures, textes littéraires, oeuvres critiques. De tous ces objets hérités, la peinture nous semble mériter une attention particulière. Parce qu'elle est présente par de multiples allusions dès son premier récit, qu'elle sera le sujet central de son deuxième avec le portrait de Joseph Roulin et qu'elle continuera de travailler son imaginaire avec des textes comme MaÎtres et serviteurs et Le Roi du bois, qui s'attachent tous deux à différentes figures de peintres, la peinture insiste chez Michon comme dans son oeuvre. Ce mémoire se propose de préciser les modalités de cette insistance par l'étude des liens que développe Michon entre tableau et écriture dans ses deux premières oeuvres, soit Vies minuscules (1984) et Vie de Joseph Roulin (1988). En confrontant tour à tour ces récits aux oeuvres picturales qu'ils convoquent, les usages multiples que fait Michon des tableaux seront mis au jour, en définissant plus avant cette pratique qui dynamise son écriture en ce qu'elle remet chaque fois en cause l'existence de liens univoques entre le langage et les objets du monde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pierre Michon, Vies minuscules, Vie de Joseph Roulin, Tableau, Peinture, Représentation, Figuration, Allusion, Référence, Esthétique.
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Allers simples ; suivi de Les phrases qui tremblent

Major-Cardinal, Françoise January 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire est composé de deux parties. La partie création, Allers simples, est un recueil de treize nouvelles correspondant à la définition de la nouvelle-instant, qui s'intéresse à un moment précis de la vie d'un ou de quelques personnages. La charge émotive de l'instant étant privilégiée, chaque narration s'inscrit dans un moment du quotidien et vise à suggérer par l'intime, voire l'infime, l'essence d'une existence. C'est en fouillant la routine, le banal, que sont dévoilés les indices d'une souffrance sourde, que l'on préfère taire. Peu de rencontres véritables ont lieu dans ce recueil où apparaissent la difficulté de communiquer, la solitude et les comportements compulsifs. Dans des narrations à la première ou à la deuxième personne -le tu représentant alors un je se tenant à distance de lui-même -, treize personnages de divers milieux tentent de rompre le silence, par des monologues dont on ne saurait dire à qui ils s'adressent, sinon aux locuteurs eux-mêmes. L'enjeu de ce recueil est de donner aux narrateurs et narratrices une présence corporelle par un travail de la voix. Une attention particulière est portée à l'énonciation, afin que, par le souffle, le rythme, le vocabulaire, les textes soient révélateurs de la violence que recèlent les personnages. En étroite relation avec les nouvelles, le dossier d'accompagnement, Les phrases qui tremblent, aborde la quête de la voix dans l'écriture. Cette réflexion se situe dans le prolongement des travaux d'Henri Meschonnic sur le rythme et l'oralité et de Jean-Paul Goux sur la vocalité dans la prose. L'écriture suppose d'abord une écoute, comme l'avance Suzanne Jacob: l'écoute de soi, des autres, de soi parmi les autres. Notre histoire est faite des histoires qu'on nous a racontées, qu'on s'est racontées; c'est en se confrontant à de l'autrement que l'on se constitue une trame narrative. On apprend à refuser ses limites comme celles de l'existence telle qu'elle nous est offerte ici et maintenant. L'écriture permet alors de multiplier les possibles en proposant, sans imposer, une vision du monde singulière. Cette singularité ne peut passer que par un travail de la voix, qui nécessite de l'écrivain une écoute du texte en devenir, de l'oralité naissant du travail du rythme, au sens où l'entend Henri Meschonnic, c'est-à-dire comme un double mouvement: celui du langage qui traverse le corps et du corps qui traverse le langage. Tributaire du travail du matériau linguistique, par exemple du choix des mots et de la syntaxe, le rythme exprime les désirs et les manques, créant un en deçà du texte qui échappe à la signification, mais n'en est pas moins signifiant. Par la voix, quelque chose advient: l'inscription dans le texte d'une présence rendant possible un contact entre lecteur et écrivain, une rencontre qui devient source de transformation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nouvelle-instant, Voix, Rythme, Écoute, Création littéraire.
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Des petits trous ; suivi de Appréhender le réel

Gurrie, Kathleen January 2010 (has links) (PDF)
Des petits trous est un court roman se présentant par tableaux qui, sur une durée de quelques heures, dévoilent la crise muette d'une femme dans un bistro. Le récit participe d'un processus de rupture et d'une errance dont les tableaux fournissent la constellation. L'éclatement se retrouve également dans la voix narratrice qui procède par dédoublement, projection et jeux de miroirs. À partir d'une narration pudique, qui ne dévoile ses éléments clés qu'à partir de ce qu'elle met à distance grâce à l'imagination, à la fantasmagorie et à l'utilisation du conditionnel, s'élabore une fiction dans la fiction qui tente d'aller au plus près d'un bouleversement identitaire à traverser. L'appareil réflexif s'est construit de la même façon que le roman, soit sur un mode fragmentaire. Ce qui est expérimenté dans Appréhender le réel, c'est le rapport entre l'écrivant et l'écriture, entre soi et les mots. Il a été écrit en deux temps, une partie avant l'écriture Des petits trous et l'autre après. Cet essai part d'une obsession à définir les liens entre la réalité, le réel et la fiction, et leur implication dans la littérature et la création, avec l'intention non avouée de légitimer l'invention et la fiction, aux dépens d'une écriture de soi. Toutefois, au fur et à mesure que la réflexion s'élabore (une fois le roman écrit), on assiste à un processus d'acceptation: il aura été impossible de se débarrasser complètement de soi dans ce processus d'écriture. Cet appareil réflexif peut donc être envisagé comme l'essor d'une certaine éthique de la pudeur en création littéraire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Fiction, Réel, Roman, Rupture, Dédoublement, Identité.

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