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New Zealand, 1769-1840 : early years of Western contact /

Wright, Harrison M. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Th. / Bibliogr. p. IX et 203-215. Notes bibliogr. Index.
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Les enjeux de la traduction d'ouvrages de sciences sociales sur les Autochtones au Québec, et traduction critique commentée d'un extrait de The White Man's Gonna Getcha: The Colonial Challenge to the Crees in Quebec par Toby Morantz

Raynault-Desgagné, Patricia January 2017 (has links)
Ce mémoire porte sur les enjeux traductologiques qui se posent dans le contexte de la traduction d’un texte sur les Cris de la Baie-James paru en 2002 à la McGill-Queen’s University Press et écrit par une ethnohistorienne de l’Université McGill, Toby Morantz. Les défis de traduction rencontrés lors de la traduction de cet ouvrage et les réflexions qu’ils ont provoquées m’ont amenée à me questionner de façon plus large sur les enjeux associés à la traduction et à la publication d’ouvrages anthropologiques portant sur les Autochtones au Québec. J’ai en effet pu constater, au cours de mes études et de ma carrière en anthropologie, qu’il existait, au Québec, une forme de « chasse gardée » académique entre les universités quant aux nations étudiées. Un recensement des œuvres sur le sujet en traduction démontre également qu’un nombre famélique de traductions ont été produites de ce genre d’ouvrages au cours des cinquante dernières années, que ce soit du français vers l’anglais ou l’inverse. Ce mémoire porte donc, dans un premier temps, sur l’identification de certains éléments contextuels, notamment le contexte éditorial, qui permettraient d’expliquer la faible quantité de traductions d’ouvrages portant sur les Premières Nations, mettant en perspective le capital symbolique relatif des différents acteurs impliqués dans ce genre de publications ainsi que du sujet d’étude. Dans un deuxième temps, je me pencherai sur les enjeux associés à la traduction en soi d’une œuvre anthropologique en cette ère postcoloniale. Je me suis en effet posé la question, tout comme l’auteure se l’était posée lors de l’écriture de l’ouvrage dont il est question ici, à savoir s’il était possible et souhaitable, pour les anthropologues eurocanadiennes que nous sommes, de participer à la « décolonisation » de l’histoire au moyen de la traduction d’un texte ethnohistorique, dans le contexte éditorial actuel au Québec. Enfin, je ferai état des étapes du processus de traduction qui entrent en jeu lors de la traduction d’un ouvrage de ce genre, afin de mettre en contexte les différentes solutions de traduction choisies.
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La reconnaissance de l'autonomie judiciaire autochtone : regard sur l'expérience colombienne

Chicoine-Wilson, Charlotte January 2015 (has links)
Dans plusieurs sociétés issues de la colonisation, la validité des cultures juridiques autochtones n’est pas reconnue par l’État, ce qui est à la source de problèmes tant pour les communautés autochtones que pour les individus qui les composent. Afin de remédier à cette situation, certains États, dont la Colombie, ont reconnu constitutionnellement l’autonomie judiciaire autochtone. Nous avons étudié les textes constitutionnels et législatifs colombiens, ainsi que la jurisprudence de la Cour constitutionnelle, afin de qualifier les rapports entre le droit étatique et la justice autochtone découlant de la réforme constitutionnelle colombienne. Pour ce faire, nous avons mobilisé un cadre analytique inspiré de la typologie des sociabilités développée par Boaventura de Sousa Santos. Nous avons ainsi pu identifier des rapports de convivialité, la reconnaissance ayant permis de faire dialoguer les institutions étatiques et autochtones, ainsi que les cultures juridiques qui les sous-tendent. Cependant, plusieurs éléments de réconciliation sont également présents, notamment parce que l’État colombien s’est octroyé le droit de contrôler l’exercice de l’autonomie judiciaire autochtone, perpétuant ainsi l’inégalité des rapports entre les cultures juridiques étatique et autochtones.
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Décoloniser la recherche en contexte autochtone : progrès et défis d’une collaboration éthique en milieu urbain

Racine, Audrey 27 January 2020 (has links)
Un changement s’est opéré dans les 20 dernières années au Canada concernant la recherche effectuée auprès des peuples autochtones. En réponse aux nombreuses critiques indiquant le manque de contrôle des communautés autochtones quant aux recherches les concernant, différentes communautés et organisations ont développé leurs propres protocoles de recherche afin de s’assurer que celle-ci se fasse de manière éthique et avec leur collaboration. Comme ces pratiques de recherche touchant spécifiquement les communautés autochtones hors réserve en milieu urbain ne sont que très peu discutées dans la littérature académique, l’étude de cas suivante permettra d’avoir une meilleure compréhension de la réalité autochtone urbaine et des défis que celle-ci pose pour les chercheurs lorsque la communauté à l’étude se trouve en situation d’itinérance ou à risque d’itinérance. À partir d’un corpus d’entretiens qualitatifs semi-dirigés auprès de chercheurs à la fois autochtones et non autochtones ainsi qu’auprès d’un groupe de participants majoritairement inuit ayant eu une expérience de recherche antérieure, cette thèse permet de démontrer que malgré les différents défis que présente le milieu autochtone et particulièrement en milieu urbain, la recherche demeure possible grâce au désir des individus de participer et aux partenariats qu’établissent les chercheurs avec les communautés. Si la recherche participative en communauté se veut une solution à une collaboration éthique entre chercheurs et communautés autochtones permettant une décolonisation de la recherche, certaines contraintes institutionnelles rendent aussi plus difficile l’opérationnalisation d’une telle méthodologie.
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Événement, continuités, transformations : enquête documentaire sur la résistance à Kanehsatake de 1990

Sabourin, Olivier 22 December 2022 (has links)
Cette thèse porte sur la compréhension des résistances à Kanehsatake à partir du prisme de la crise politique de 1990. Le 11 juillet de cette année-là, la conjonction d’une fusillade dans la pinède de Kanehsatake et le blocage du pont Mercier inaugurent une crise politique, populairement reconnue par l’énoncé « crise d’Oka », qui durera 78 jours. Pour une énième fois dans l’histoire de la communauté, des Kanehsata’kehró : non (gens de Kanehsatake) ont résisté à la dépossession de leur territoire. Au courant des 18e et 19e siècles, à l’instar de la municipalité d’Oka lors de la crise, le Séminaire de Saint-Sulpice a mis en œuvre la dépossession de la communauté de Kanehsatake par la marchandisation des terres, contre quoi des Kanehsata’kehró : non se sont mobilisés en prenant parole et en confrontant l’institution religieuse et l’État colonial. En ce sens, derrière l’apparente nouveauté du point de vue des sociétés issues des colonies de peuplement, la résistance de 1990 n’est qu’une occurrence dans une longue série inaugurée depuis la prise de parole des chefs de la communauté à Montréal en 1781. Pour ceux et celles qui se sont mobilisée(e)s à Kanehsatake et à Kahnawake en 1990, l’expérience opère une transformation politique importante au niveau biographique, en renforçant les identités mobilisées pour résister. La méthode de l’enquête documentaire est utilisée pour réinscrire l’histoire de lutte au cœur de la résistance à Kanehsatake de 1990 dans une perspective historique qui se poursuit encore aujourd’hui dans les parcours des acteurs autochtones de la crise politique.
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Expériences institutionnelles de parents autochtones dont les enfants sont pris en charge par la Société de l'aide à l'enfance de l'Ontario

Robitaille, Martine 15 January 2024 (has links)
Les questions que nous avons posées à quarante parents autochtones dont les enfants avaient été pris en charge par la Société d'aide à l'enfance (SAE) entre 2000 et 2018 se situaient sur deux axes : 1) la manière dont l'intervention de la SAE prenait en compte la difficulté d'être à la fois parent et autochtone dans un contexte traumatique colonial et 2) la façon dont les cultures autochtones étaient ou non intégrées dans le processus de réajustement parental qu'entreprend la SAE. Pour aborder ces deux axes, nous sommes partie du principe que les Indigenous Studies constituaient un cadre à la fois incontournable et indépassable pour étudier toute une série de thématiques liées au domaine institutionnel de la protection de l'enfance : définition de la famille, approche de la parentalité, conception de l'intérêt de l'enfant, hiérarchie des savoirs et de leurs valeurs respectives, régulation de la précarité, etc. Malgré diverses stratégies de diversification, nous avons eu devant nous quarante expériences quasi similaires en ce qu'elles témoignaient toutes d'une impossibilité pour les parents d'être reconnus institutionnellement comme partie prenante de décisions impliquant pourtant directement leurs propres enfants. Faisant fi de l'histoire coloniale et de ses diverses conséquences désastreuses notamment sur les plans affectif, parental et économique, les intervenants apparaissent pris dans une socialisation professionnelle qui ne reconnait ni le contexte (colonial), ni leurs cultures, ni leurs points de vue, ni leurs souffrances. Pas plus que leurs efforts pour (enfin) devenir des parents. Faisant comme si rien ne s'était passé, les intervenants de la SAE imposent alors aux parents des décisions aussi absurdes qu'injustes comme seule possibilité de gagner leurs galons de bon parent. Mais l'analyse montre encore autre chose : il ne s'agirait en effet pas seulement pour les parents de se désoler du fait que les intervenants perdent de vue ce qu'être un parent aux multiples vulnérabilités veut dire. Il ne leur serait pas seulement demandé de penser, d'agir et de réagir comme un parent blanc. Leur serait également communiquée, dans une forme d'injonction contradictoire, l'impossibilité de remplir le statut et le rôle que le SAE leur demande pourtant d'endosser.
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Couverture journalistique des affaires de droit relatif aux peuples autochtones au Québec : le cas d'Idle no more

Parent, Alexandra 20 April 2018 (has links)
Le traitement journalistique des enjeux autochtones au Québec est critiqué avec virulence depuis la crise d’Oka, en 1990. Les propos stéréotypés, le manque de mise en contexte et la polarisation entretiennent l'incompréhension populaire et exacerbent les tensions entre les Autochtones et le reste de la population. La couverture du droit, en particulier, est délicate puisqu'elle a un fort potentiel d'influencer la réponse des gouvernements. Le mouvement Idle no more, un mouvement social fondé en partie sur des questions de droit relatif aux peuples autochtones, a mis l'accent sur l'importance d'une réconciliation entre Autochtones et non-Autochtones. Le droit canadien relatif aux peuples autochtones s’inspire lui aussi de ces notions. Cela s'est-il traduit dans les médias? Y a-t-on fait davantage place à la réconciliation qu'au conflit? Basée sur la théorie des cadres et du modèle du journalisme de paix, cette analyse tend à démontrer que la réponse est oui.
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L'entrepreneuriat forestier autochtone : le cas de la communauté ilnu de Mashteuiatsh

Beaudoin, Jean-Michel 16 April 2018 (has links)
La participation des communautés autochtones à la foresterie est un enjeu important au Québec. Pour les communautés autochtones, le développement forestier représente des retombées économiques importantes qui peuvent permettre de réduire l’écart entre les conditions socioéconomiques de leur population et celles de la population non-autochtone. Conséquemment, la participation des autochtones à la foresterie a sensiblement augmenté au cours des dernières décennies. Le manque d’information actuellement disponible nuit toutefois aux efforts déployés pour soutenir et encourager les initiatives autochtones en foresterie. Afin de mettre en exergue certains facteurs qui facilitent ou qui limitent les initiatives entrepreneuriales autochtones en foresterie, cette étude explore le développement de l’entrepreneuriat forestier dans la communauté ilnu de Mashteuiatsh. Cette communauté est située dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Le premier chapitre situe le projet dans le contexte forestier québécois. Le deuxième chapitre présente le portrait des entrepreneurs forestiers autochtones de cette communauté. Finalement, le troisième chapitre compare ces entrepreneurs autochtones à des entrepreneurs forestiers non-autochtones de la même région. Les résultats de notre étude montrent l’importance pour l’entrepreneur forestier autochtone du réseau social au sein de la communauté de Mashteuiatsh. Cette situation permet d’expliquer en partie les différences constatées lors de la comparaison des profils, des perceptions et des motivations des entrepreneurs forestiers de la communauté de Mashteuiatsh et d’un groupe d’entrepreneurs forestiers non-autochtones. Les entrepreneurs autochtones, contrairement à leurs homologues non-autochtones, semblent très optimistes quand à l’évaluation de leur sort actuel et avenir. / The participation of the First Nations in forestry is a fundamental issue in the province of Québec. For their part, First Nations are considering forestry as a lever to improve the socioeconomic conditions in their communities. Over the last decades, there has been an increasing participation of First Nations in the forestry sector. Unfortunately, little information is currently available on aboriginal community initiatives in regards to business creation. The main objective of this research is to identify key factors that favor or limit aboriginal business creation in forestry. This study first presents the development of forest entrepreneurship within the Ilnu community of Mashteuiatsh, located in the region of Saguenay-Lac-Saint-Jean. The first chapter situates this project in the broader context of Québec forestry. The second chapter draws a portrait of forestry entrepreneurs within this community. The third chapter compares these aboriginal forestry entrepreneurs to non-aboriginal forestry entrepreneurs from the same area. Ours results demonstrate the importance for the aboriginal forest entrepreneur of the social network of the Mashteuiatsh Ilnu community. This network contributes to the differences observed when comparing the portrait, the perceptions and motivations of forestry entrepreneurs within the Ilnu community of Mashteuiatsh to those of non-aboriginal forestry entrepreneurs. In addition, Aboriginal forest entrepreneurs seem more optimist than non-aboriginal entrepreneurs when evaluating they actual situation and future.
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La lutte pour la pleine reconnaissance des droits ancestraux : problématique juridique et enquête philosophique

St-Hilaire, Maxime 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Le respect des droits des peuples autochtones sur leurs territoires ancestraux compte parmi les plus grands défis qui se posent aux juristes. La façon tout indiquée de le relever consiste en la conclusion de traités avec ces peuples. Au Canada, une telle pratique est actuellement entravée par la politique de l’« échange » de droits vagues contre des droits définis avec précision. Cette politique indigne la partie autochtone pour qui la négociation doit à l’inverse porter sur la pleine reconnaissance de ses droits ancestraux. Le problème est une aporie pour le juriste jusqu’à ce que sa mise en perspective historique, complétée d’une critique de la pensée juridique, fasse ressortir comment il résulte de la rencontre de deux conceptions différentes, non seulement de l’idée de « droits ancestraux », mais aussi de celle même de « droit ». Cette rencontre est celle du monisme et du pluralisme juridiques. Encore là, le juriste peut se sentir démuni devant la question de la signification normative du processus plus large de reconnaissance progressive, par le droit canadien et supranational, des ordres juridiques autochtones. La défunte entente de principe avec les Innus portait reconnaissance de leurs droits ancestraux comme expression de leur identité. La Commission royale sur les peuples autochtones a fait de la « reconnaissance mutuelle » le maître mot de ses recommandations. Le thème de la « lutte pour la reconnaissance » donne donc à penser que la philosophie sera d’un concours prépondérant. Le multiculturalisme libéral et la politique de reconnaissance autorisent la formulation de l’hypothèse d’une double lutte pour la protection juridique et pour la présomption de valeur d’ensemble des cultures juridiques autochtones. Or ce n’est pas du tout en ayant à l’esprit la problématique multiculturaliste que, à peu près au même moment que Charles Taylor, Axel Honneth s’attelait à la réactualisation systématique d’une thématique qui passe pour hégélienne. La recherche qui suit se présente comme une enquête philosophique relative à une problématique juridique. Elle se veut aussi une enquête sur l’intérêt de la philosophie pour l’élucidation de problématiques juridiques. / The respect of aboriginal peoples’ rights over their ancestral territory poses serious challenges for jurists. The challenge is best met by the conclusion of treaties. In Canada, this practice is hindered by the policy of “exchanging” vague rights for clearly defined ones. This policy affronts the aboriginal negotiating party, for whom the process should instead focus on the full recognition of aboriginal rights. The problem is a paradox for the jurist until a historical perspective coupled with a critique of legal thought shows how it results from the encounter between two different conceptions; not only of “aboriginal rights”, but of the very idea of “law”. This encounter is one between legal monism and legal pluralism. Even then, the jurist may feel ill-equipped to address the normative significance of the progressive recognition of the aboriginal juridical order by Canadian and supranational law. The defunct Innu Land Claims Agreement-in-Principle recognized ancestral rights as an expression of aboriginal identity. The Royal Commission on Aboriginal Peoples made “mutual recognition” the touchstone of its recommendations. The centrality of this theme of the “struggle for recognition” suggests that philosophy may provide much-needed guidance. Liberal multiculturalism and the politics of recognition authorize us to pose the hypothesis of a double struggle: for the legal protection of aboriginal legal cultures and for the presumption of their value. Yet, contrary to Charles Taylor, it was not multiculturalism that Axel Honneth had in mind when, at about the same time, he undertook the systematic reactualisation of what passes for a hegelian theme. This thesis presents itself as a philosophical inquiry into a legal problem. It also is a more general inquiry into the relevance of philosophy for the elucidation of legal problems.
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La cuestión indígena y el estado nacional : análisis crítico de discursos oficiales contemporáneos en Chile

Smith, Sara January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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