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Décryptage de la trajectoire sémiologique et phénoménologique des complications chez les diabétiques de type 2 : le cas des Polynésiens autochtones

Imbert-Berteloot, Geneviève January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Identification des déterminants des choix alimentaires sains des enfants âgés de 6 à 12 ans à Kahnawake

Pierre, Nudelle January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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El discurso de la reciprocidad en dos crónicas coloniales indígenas : elementos para una ética del diálogo intercultural

Beauclair, Nicolas January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les mouvements sociaux transnationaux des peuples autochtones au Guatemala et l'exercice de leur influence

Connelly, Mélanie January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La question indienne en Équateur dans les premières années du XXIème siècle à travers la publication KIPU. El mundo indígena en la prensa ecuatoriana. Perception d’une réalité / The Indian issue in Ecuador during the first years of XXIth century in KIPU. El mundo indigena en la prensa ecuatoriana. Perception of a reality

Vitry, Didier 02 December 2013 (has links)
En Équateur, les « nationalités et peuples indiens » sont devenus des acteurs incontournables de la scène publique, depuis plus d'une vingtaine d'années. Le caractère plurinational de l'État, longtemps réclamé, est finalement inscrit dans la Constitution de 2008. Selon les chiffres officiels, les Indiens représentent 7% de la population totale. Leur principale organisation avance parfois le chiffre de 45%. Leurs fédérations et confédérations ont su conquérir des espaces afin de participer plus directement à la vie du pays. Les Indiens ont gagné en visibilité et en respectabilité, bien que leurs actions - après avoir bénéficié du soutien de la population « blanche-métisse » - n'aient cessé d'être discréditées tout au long de la première décennie du XXIème siècle. L'intérêt que les Indiens ont pu susciter en Équateur a sans doute contribué à la publication par les Éditions Abya Yala de Quito, de 1987 à 2007, d'une compilation d'articles de presse consacrés à la question indienne, intitulée KIPU. El mundo indígena en la prensa ecuatoriana. Ces textes ont constitué un terrain d'étude satisfaisant pour tenter d'intercepter le regard de la société globale sur cette « forte minorité ethnique ». Nous nous sommes limité à la période 2000-2004, qui représente sans doute le deuxième grand tournant dans l'histoire des mouvements indiens contemporains dans le pays. Il est difficile d'obtenir un instantané très net de ces cultures sans cesse en mouvement. La société équatorienne garde, au cours de ces années, une image floue de « ses » Indiens. Ils se révèlent cependant au monde moderne, en s'inscrivant dans un processus global d'« indigénisation de la modernité ». En Équateur et dans la plupart des pays d'Amérique latine, l'Indien se déclare d'ailleurs plutôt indígena que indio. Il reste insaisissable pour beaucoup et on le dit parfois assimilé ou disparu. Mais il semble que son histoire future soit la chronique d'une survie et d'une vitalité annoncées. / In Ecuador, « indigenous nationalities and peoples » have taken an active part in the public domain, especially for the last twenty years. The « plurinationality » claimed for a long time, was finally enshrined in the Constitution of 2008. According to official figures, Indians represent 7% of the total population. Their main organisation claims the figure of 45%. Their federations and confederations have won areas to participate more directly to the country's life. Indians have gained greater visibility and respectability but after having support of blanco-mestiza population, their actions have been incessantly discredited throughout the first decade of the XXIst century. The interest aroused by the Indians may have contributed to the publication by Abya Yala from Quito of a compilation of press articles about the Indian question, entitled KIPU. El mundo indigena en la prensa ecuatoriana. These press articles make it possible to intercept how the global society looks upon this « important ethnic minority ». We selected the period from the year 2000 to 2004. This period probably represents the second great turning point in the history of contemporary Indians movements.It's difficult to get a clear picture of cultures constantly in motion. People in Ecuador keep in mind a hazy image of « their Indians ». These reveal themselves to modern world by enrolling in a global process of « indigenization of modernity ». In Ecuador as in most countries of Latin America, the Indian claims to be more indígena than indio. He remains elusive for many and is often portrayed assimilated or disappeared. But it seems like his future history is a chronicle of a survival and vitality foretold.
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Religieuses au cœur des communautés indiennes : mémoires féminines des missions de l'Ouest canadien / Religious in the heart of Indian communities : women's memories of Western Canada missions

Robinaud, Marion 15 November 2017 (has links)
Les missions catholiques auprès des populations nord-Amérindiennes canadienness’offrent à la recherche en sciences sociales comme un laboratoire d’expériences de la rencontreinterculturelle. Cette thèse se veut une anthropologie comparée de deux aires culturellesparticulièrement au sujet de deux points : les processus d’adaptation à l’altérité et la constructionculturelle du genre féminin. Nous proposons d’interroger la façon dont le contexte des missionspermet de mettre en comparaison deux cultures dans le rapport de chacune à l’altérité etcomment, dans cette altérité respective, il est possible d’observer deux versions du genre fémininse dessiner. Pour ce faire, les récits de vie des femmes missionnaires catholique ayant travailléavec les populations autochtones de l’Ouest canadien au XXe siècle sont au cœur de notrepropos, tout comme l’ethnographie classique nord-Amérindienne, ravivée et complétée par denouveaux témoignages. Notre propos s’éclaircit en trois temps. Tout d’abord, avec uneethnographie des acteurs de la rencontre, où religieuses missionnaires et populations autochtonesde l’Ouest canadien sont présentées dans une situation interactionnelle. L’analyse se poursuitensuite par l’interrogation des processus d’adaptation à l’altérité qui d’une part peuvent êtredéfinis par le principe d’inculturation et d’autre part par une logique d’adoption etd’appropriation. Enfin, nous proposons de mettre en lumière la construction culturelle du genreféminin à travers les expériences vécues dans ce contexte des missions. En interrogeant ladiversité culturelle, nous espérons mettre en relief les enjeux de production culturelle dans lesdialogues et négociations permanents entre ces deux mondes qui se rencontrent. / Catholic missions to North American Indian territories in Canada offer an experimental laboratory of the intercultural encounters for the social sciences. This doctoral thesis proposes a comparative anthropology of two cultural areas, particularly with regard to two points : the adaptation processes to alterity and the cultural construction of the female gender. We propose to ask how the context of the mission allows compare two cultures in their relation to each other, and how this respective alterity can highlight two versions of the female gender ? To do this, the focus will be on the life stories of Catholic missionary nuns who worked with the North American Indian people (from Western Canada in the twentieth century), just as well the classic North-Amerindian ethnography, completed and strengthened with new testimonies. Our questioning becomes clear in three stages. First, with an ethnography of the protagonists of the encounter : missionary nuns and Aboriginal peoples of Western Canada are presented. Then, the analysis continues with the questioning of the adaptation processes to alterity, which can be defined by the inculturation principle on the one hand, and by adoption and appropriation logic on the other. Finally, we propose to bring to light the cultural construction of the female gender through the experiences lived in this missionary intercultural encounter context. By questioning cultural diversity in this context, we hope to highlight the stakes of cultural productions in the permanent dialogues and negotiations between these two worlds that encounter each other.
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“Lo indígena" tratado por les organizaciones internacionales : Los casos de la UNESCO y de la FAO / La pensée institutionnelle sur les peuples autochtones. : Les cas de l’UNESCO et de la FAO (1945-2012) / Institutional thinking in relation to indigenous peoples in international organizations : The cases of UNESCO and FAO (1945-2012)

González González, Verónica 10 January 2014 (has links)
Les activités menées au sein de l’ONU, ainsi que de son prédécesseur, la Société des Nations, ont jouées un rôle fondamental dans la détermination de la position qu’occupent actuellement les “peuples autochtones” dans le champ politique international. En adoptant une approche constructiviste, l’auteure montre que le comportement des organisations internationales face aux peuples autochtones relève de processus anciens, qui sont désormais codifiés dans les “identités” de ces institutions. Elle explique en suite comment l’interaction entre un tel héritage et des conjonctures historiques et politiques particulières (le système colonial, la décolonisation et le scénario postcolonial contemporain) a généré une “pensée institutionnelle sur les peuples autochtones”, définie comme un ensemble de catégories, de connaissances et de normes que ces organisations associent aux peuples autochtones, et qui déterminent leur relation institutionnelle avec eux. A l’aide des outils méthodologiques et conceptuels propres à l’anthropologie politique et au droit international, l’auteure analyse en perspective historique l’évolution de la “pensée institutionnelle sur les peuples autochtones” au sein de l’UNESCO et de la FAO. Jusqu’aux années quatre-vingt-dix, ces organisations ont établi une relation avec les peuples autochtones qui reproduisait la domination exercée sur eux dans le cadre du système international westphalien. Cette recherche démontre que la relation institutionnelle entre ces agences spécialisées et les peuples autochtones change graduellement, sous l’influence du développement des “questions autochtones” au sein de l’ONU et notamment après l’adoption de la Déclaration des droits des peuples autochtones en 2007. Si les initiatives prises par les deux agences en réponse aux nouveaux contextes ne réfléchissent qu’un premier stade de transformation institutionnelle, elles ouvrent tout de même une fenêtre d’opportunités pour que les peuples autochtones jouent un rôle dans la construction de leur réalité et, par conséquent, dans la concrétisation de leurs aspirations politiques au niveau national et international. / The activities of the United Nations, and its predecessor, the League of Nations, has been fundamental to determining the position which the collectivities recognized today as “indigenous peoples” have occupied in the international political field. Adopting a social constructivist approach, this thesis posits that the behaviour of international organizations vis-à-vis indigenous peoples is rooted in processes which date back centuries and which have been codified in the “identities” of these institutions. This historical baggage has subsequently been remolded in different historical and political contexts (the colonial system, the decolonization era, and the contemporary postcolonial scenario), transforming the set of categories, knowledge, and norms which these organizations have associated with indigenous peoples, and which we refer to as “lo indígena”, into an object which has had distinct meanings and connotations throughout the years.With the assistance of tools borrowed from the disciplines of political anthropology and international law, this thesis analyzes, from a historical perspective, the manner in which UNESCO and FAO have treated “lo indígena”. Until the nineties, these organizations had, in the main, constructed a relation with indigenous peoples which reproduced the domination the State exerted over them in the context of the Westphalian system. The thesis illustrates that today, encouraged by the institutionalization of indigenous issues in the UN, in particular following the adoption of the Declaration on the rights of indigenous peoples in 2007, this relation is gradually changing. The initiatives being implemented by these specialized agencies, in order to satisfy the expectations which this new international context has given rise to, reflect an initial step in institutional transformation. They nevertheless open a window of opportunity for indigenous peoples to have a role in the construction of their own realities and, in doing so, to realize their political aspirations at national and international levels. / El trabajo realizado por la ONU, así como el de su predecesora, la Sociedad de Naciones, ha sido fundamental en la determinación del lugar que las colectividades que hoy día se reconocen como “pueblos indígenas” han ocupado en el campo político internacional. Partiendo de un enfoque constructivista social, consideramos que el comportamiento de las organizaciones internacionales frente a los pueblos indígenas encuentra sus raíces en procesos que remontan a muchos siglos y que se han codificado en sus “identidades”. Ese bagaje ha interactuado con coyunturas históricas y políticas precisas (el sistema colonial, la descolonización y el escenario postcolonial contemporáneo), volviendo lo indígena (un conjunto de categorías, conocimiento y normas que esas organizaciones han asociado a los pueblos indígenas) un objeto que ha tenido significados diferentes a lo largo de los años. Con la ayuda de herramientas de antropología política, así como de derecho internacional, analizamos en perspectiva histórica el tratamiento de lo indígena en la UNESCO y la FAO. Hasta los años noventas, esas organizaciones construyeron una relación con los pueblos indígenas que reproducía la dominación que sobre ellos recayó en el marco del sistema internacional westfaliano. Demostramos que actualmente esa relación cambia de manera gradual, en el marco de la institucionalización de las “cuestiones indígenas” en la ONU y, de modo particular, tras la adopción de la Declaración de los derechos de los pueblos indígenas en 2007. Si las iniciativas de esos organismos especializados para satisfacer las expectativas del nuevo contexto reflejan aún los primeros estadios de una transformación institucional, éstas abren una ventana de oportunidad para que los pueblos indígenas tengan un rol en la construcción de su realidad y, por lo tanto, para que concreticen sus ambiciones políticas, a nivel nacional e internacional.
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Perspectives de réconciliation à travers les séjours de sensibilisation à la culture anicinape et à la pédagogie de la terre – Kitcisakik

Friis, Joseph 12 September 2019 (has links)
Suite à la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR, 2008-2015), les chercheurs envisagent comment cette institutionnalisation de la réconciliation peut créer un changement réel dans les relations avec les peuples autochtones. L'éducation a été identifiée comme jouant un rôle vital en induisant un dialogue interculturel. À cet égard, l'un des éléments importants des appels à l'action lancés par la CVR consistait à élaborer des stratégies d'éducation du public afin de permettre aux Canadiens de se familiariser avec l'histoire des peuples autochtones. Alors que l'éducation peut être essentielle dans les processus de réconciliation autocritique, plusieurs chercheurs ont exprimé leurs préoccupations concernant la « réconciliation en tant que recolonisation » (Alfred, 2016). Fondée sur la résurgence (Simpson, 2011) et le colonialisme de peuplement (Coulthard, 2015b), cette thèse présente des expériences et perspectives anicinapek de la réconciliation, ainsi qu’une initiative innovatrice proposant de nouvelles avenues pour l’éducation aux réalités coloniales des peuples autochtones. Depuis environ 10 ans, la communauté semi-nomade de Kitcisakik, située dans les limites de la réserve faunique La Vérendrye dans la région de l'Abitibi-Témiscamingue au Québec, accueille des étudiants allochtones de niveau secondaire, Cégep et universitaire, afin de partager le savoir anicinape et vivre l'expérience du lien à la terre et au territoire. Ce qui a commencé comme un désir de célébrer et de transmettre la culture anicinape tout en se réappropriant des territoires plus vastes de leur terre ancestrale, est devenu une initiative d’économie sociale offrant aux étudiants un séjour en immersion de 3 à 10 jours. Cette recherche présente, dans un premier temps, de nombreux témoignages d’étudiants qui ont expérimenté des méthodes d’apprentissage des cultures et des enjeux sociopolitiques autochtones par le biais d’une expérience éducative basée sur la terre, considérée comme une contribution à la réconciliation. Dans un deuxième temps, en tenant compte de l’expérience de la communauté et de son initiative favorisant le dialogue interculturel, différentes perspectives de la réconciliation sont envisagées, en mettant l’emphase sur ce que cela signifie pour les Anicinapek de Kitcisakik. En plus d’encourager le dialogue culturel et le respect mutuel, cette communauté nous rappelle que les enjeux centraux à la problématique de la réconciliation se situent dans un meilleur partage du territoire.
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Les droits linguistiques des peuples autochtones au Québec et en Ontario

Baillairgé, Caroline 01 May 2012 (has links)
Cette thèse se veut un examen de la protection accordée aux droits linguistiques des autochtones du Québec et de l’Ontario par le droit international, le droit constitutionnel canadien et la législation fédérale et provinciale. Par l’étude des dispositions législatives, de la jurisprudence et de la doctrine pertinentes, on tente de déterminer la portée des obligations des gouvernements fédéral et provinciaux relativement à la protection des langues autochtones. Bien que la revitalisation de leurs langues doive se faire avant tout par les autochtones, l’État a un rôle important à jouer dans le développement et la promotion des langues, par exemple en mettant en place des programmes de financement ou en favorisant l’usage des langues autochtones à l’extérieur des communautés. On remarque une ouverture à la reconnaissance de droits linguistiques en faveur des autochtones, même s’ils ne jouissent pas encore de droits comparables à ceux reconnus aux minorités francophones et anglophones.
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L’Indien comme sujet politique : représentations autochtones et luttes pour le sens dans le discours politique au Mexique et en Équateur

Marchand, Dominik 28 February 2013 (has links)
Cette thèse se penche sur l’impact social et politique des mouvements autochtones latino-américains. Elle élabore un cadre d’analyse rendant compte de la politisation des enjeux autochtones au Mexique et en Équateur dans la période postérieure à 1990. Le caractère instituant des luttes pour le sens se jouant entre les discours des mouvements autochtones et les discours gouvernementaux autour de la place et la représentation des « indios » sur la scène politique y est examiné. Pour y arriver, les discours de deux organisations autochtones, l’Armée de libération nationale zapatiste (EZLN) et la Confédération des nationalités indigènes de l’Équateur (CONAIE), et des discours présidentiels des deux pays sont analysés et mis en dialogue afin de restituer la complexité des relations interdiscursives. Cette méthode permet d’esquisser un tableau des positionnements adverses et des différentes opérations discursives menant à la transformation du champ politique et à la constitution d’un sujet politique autochtone.

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