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Écriture et connaissance, le lent gage des mots tels qu'aile

Courcy, Rodolphe 18 April 2024 (has links)
No description available.
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Hymen (roman) ; : suivi de l'Écriture de soi au temps de la postmémoire (essai)

Baltz, Cécile 18 April 2018 (has links)
Partie créative : Judith, en décidant d'entreprendre des études dans le Sud de la France, rejoint aussi un oncle, Ramozan, qui a effectué des recherches sur sa famille. Cependant, le lien filial peine à se mettre en place et le dialogue prend du temps à s'amorcer entre la nièce et l'oncle. Judith a grandi au milieu de secrets de famille : la déportation de ses grands-parents, et toutes les souffrances endurées pendant la guerre ont été tues par sa mère, qui n'est parvenue à surmonter une enfance difficile qu'en l'effaçant de sa mémoire. Au fur et à mesure qu'elle entre dans l'histoire familiale, grâce aux quelques éléments que lui livre son oncle, Judith effectue une plongée en elle-même, qui mettra au jour les traces d'une mémoire enfouie dans son propre corps, et qu'elle parviendra finalement à raconter. Ses échanges avec son amie Arama et son compagnon Ali lui ouvrent de nouveaux espaces culturels et symboliques qui forgeront son ipséité. La quête de Judith aboutit à une ouverture sur le monde. Partie théorique : L'essai part du passé de Judith et de l'évolution de sa relation au passé, qui débouche sur un nouveau rapport à soi par le biais de la mise en perspective de son histoire. La démarche du je passe par une configuration du récit comme marque d'une (re)fondation de soi. Cette partie de la thèse reprend chacune des étapes du processus de postmémoire tel que défini par Marianne Hirsch. Il débute par une présentation du récit familial sur trois générations, en analysant les difficultés de la transmission dans la filiation féminine. La deuxième partie étudie les mécanismes du travail de la mémoire sous toutes ses formes. L'essai tente ensuite de restituer le rapport au passé d'un sujet en manque de repères, en prenant appui sur des notions historiographiques développées par Michel de Certeau et Paul Ricoeur reliant l'écriture et l'Histoire. Il se termine par une étude des moyens utilisés pour écrire l'histoire d'une mémoire.
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Miroir : iconotexte théâtral

Jalbert, Chantale 24 April 2018 (has links)
Mémoire en création littéraire, Miroir. Iconotexte théâtral, illustre l'homogénéisation entre la peinture et l'écriture. Suite à la présentation d'une installation scénique de ce mémoire qui eut lieu le 3 mai 1994 à l'Université Laval et qui mettait en scène une œuvre picturale de 213cm X 396cm et un récit poétique dialogué ; ou suite à la consultation de l'iconotexte livre-objet Miroir mis en annexe de ce document, le lecteur autant visuel que littéraire est confronté à une seule œuvre impliquant deux modes d'expression différents. Afin d'éclaircir cette nouvelle habitude de lecture, ce mémoire présente d'abord le texte de création Miroir avant d'amorcer les chapitres sur l'iconotexte théâtral Miroir et sur la notion d'iconotexte étudiée par Alain Montandon. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Arpenter l'horizon : poèmes, photographies, nouvelles et réflexions ; suivi de Pour une théorie de l'acte créateur

Dulong, Annie 11 April 2018 (has links)
Nées de la nécessité de questionner tant mon rapport au monde qu'à l'écriture, les deux parties de cette thèse tentent de rendre compte d'une pratique artistique éclatée qui touche à la poésie, aux nouvelles, à la photographie et à l'essai. Avec en filigrane le souci de tenir compte des fluctuations et des pauses inhérentes au processus créateur, c'est le fondement même de ces pratiques hétérogènes qui est remis en cause par une poétique et par une théorie de l'acte créateur. À travers les textes de création et les chapitres réflexifs sont interpellés, dans Arpenter l'horizon : Poèmes, photographies, nouvelles et réflexions, autant le rapport à l'enfance, à l'autre et à l'espace que les liens de la création avec ce qui pourrait constituer le « réel extérieur ». Car « arpenter l'horizon », ce serait précisément cela : parcourir ce lieu de l'imaginaire où se rencontrent tout à la fois les obsessions personnelles et le monde extérieur, les résistances et les fantômes, pour découvrir comment ils nourrissent et traversent l'écriture. Les différentes formes de création se côtoient sans avoir besoin de se justifier, leur proximité montrant plutôt qu'elles ne sont jamais qu'un seul et même regard. Il ne s'agissait pas dans cette poétique d'« appliquer » aux textes des conceptions de l'écriture mais davantage d'aller à la rencontre de ces obsessions qui traversent autant les différents types de création à proprement parler que la réflexion. Et, au fil des préoccupations révélées par les textes, une question récurrente, presque lancinante, s'est imposée, traversant au même titre la photographie que la poésie, les nouvelles et les essais : qu'elle est cette distance nécessaire entre l'écriture et ses objets ? La recherche de cette distance juste constitue peut-être le lien entre la partie création et la partie dite théorique, Pour une théorie de l'acte créateur. Se nourrissant autant des poétiques d'auteurs que de la psychanalyse, la théorie proposée dans cette partie s'appuie fortement sur le processus à l'œuvre dans l'acte photographique pour expliquer le processus créateur en poésie et dans l'écriture de formes brèves. Trois phases sont dégagées : la contemplation active, le ralentissement et l'acte créateur. Dans une perspective poïétique, les trois phases sont ici expliquées en fonction d'une réinscription du corps sensible dans le travail créateur qui permet à l'écrivain et au photographe de dépasser la simple visée esthétique pour atteindre une sorte de vérité de l'expérience créatrice. Le recours à la photographie comme exemple et comme modèle théorique permet tout à la fois de donner un langage à la création et de présenter l'acte créateur en poésie et dans les formes brèves comme geste. Cette conception du processus créateur prend finalement en considération les différents niveaux d'intensité des phases, et les modifications de perceptions (du temps, de l'espace, du corps et de la création en général) à l'œuvre dans le travail créateur.
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La ruelle aux aquariums : roman ; suivi de Les poches du Charlatan : essai sur la métamorphose du chantier de l'écrivain

Roy, Hugo 13 April 2018 (has links)
Une jeune femme qui cherche des souliers dans les ruelles et qui mémorise les pavillons à la poupe des cargos, un libraire qui collectionne les aquariums et un chien qui se prend pour un baron. D'abord isolés, les personnages de La ruelle aux aquariums développent une amitié aussi profonde qu'étrange. Jusque-là confinés à la marge, ils se rencontrent le temps de faire pour l'autre la cartographie de leurs mondes et d'effacer la frontière séparant la réalité rêche d'une imagination salutaire. En écrivant ce roman sur un ordinateur, une question s'est imposée: ±Qu'implique au juste l'utilisation de cet outil pour l'écrivain?¿. S'ouvrait alors une réflexion sur le romancier qui, composant une oeuvre à paraître sous forme imprimée, entretient une relation nouvelle avec son support d'écriture. Puisqu'il est question d'ordinateur, de brouillon et d'imprimé, la première section rappelle d'abord les principales transformations qu'ont subies les supports d'écriture et le brouillon à travers le temps du point de vue des informaticiens, des généticiens du texte et des historiens du livre. Avec l'écran comme vecteur d'une nouvelle relation entre le romancier et son texte, c'est ensuite la nature du ±brouillon numérique¿ qui apparaît. Mais ce brouillon, largement influencé par l'±image¿ iconique (Eco), comporte une ±friabilité¿ doublée d'une illusion contradictoire: à l'état de chantier, il prend souvent les allures d'un texte fini. C'est là le côté ±charlatan¿ du numérique. Pour capter cette ±image¿, la médiologie de Régis Debray a, dans un troisième temps, servi d'interface. Grâce au concept de médiasphère, le lien entre l'innovation technique et le roman est analysé dans une perspective diachronique, traçant du coup les contours de la période de transition dans laquelle nous nous trouvons. Appliquées à notre objet, les caractéristiques de cette période font émerger une nouvelle posture de l'écrivain à laquelle s'accrochent des ±rôles¿ transformés (romancier-lecteur, éditeur et imprimeur) dont l'impact est discuté. Enfin, la friabilité du brouillon est interrogée en regard de sa sauvegarde et de son archivage, le brouillon numérique destiné à l'impression impliquant plusieurs sauvegardes et un archivage qui peuvent poser problème.
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La liste de mes jointures ; suivi de Habiter le corps : mise en scène du quotidien dans Lecture en vélocipède d’Huguette Gaulin

Ménard, Évelyne 09 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / la liste de mes jointures récupère certaines paroles reçues, bruits parasitaires qui restent comme les acouphènes. Ils se déclenchent parfois à la suite d’un stress : les sifflements de la narratrice empirent au secondaire. Le trouble alimentaire aussi. Poésie du déséquilibre, la liste de mes jointures recense les chutes, les absences, les jugements, la jumelle qui nous échappe. Chaque section du recueil relie une partie du corps à une pièce de la maison. Et la peur de mourir à celle de vivre. Le regard des autres et de soi-même sont des miroirs impossibles à décrocher. L’alliance entre le corps et la maison se rencontre aussi dans Lecture en vélocipède d’Huguette Gaulin. Difficile à cerner, le quotidien apparaît aussi fragmenté que le sujet poétique : la maison est le lieu où tous deux se reconstruisent. Avec Habiter le corps : mise en scène du quotidien dans Lecture en vélocipède d’Huguette Gaulin, on a accès au dialogue entre l’intérieur et l’extérieur, au dédoublement du manque et à une maternité sans fin. / the list of my knuckles retrieves some words heard, paratic noises who stay like tinnitus. These are often triggered by anxiety : the narrator’s ringing gets worse in high school. The eating disorder too. Poetry of imbalance, the list of my knuckles inventories falls, absences, judgments, the twin sister who gets away from us. Each section of the book connects a part of the body to a room in the house. And a fear of dying to a fear of living. The gaze of others and of oneself are mirrors impossible to take down. Lecture en vélocipède of Huguette Gaulin also joins the body to the house. Everyday life is hard to define and appears as divided as the poetic subject : they both rebuild themselves in the house. Habiter le corps : mise en scène du quotidien dans Lecture en vélocipède d’Huguette Gaulin gives us access to the dialogue between the inside and the outside, the duplication of a lack and to an endless motherhood.
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Jours de colère ; suivi de Dans les forêts de Sibérie : (géo)poétique du Rebelle chez Sylvain Tesson

Bost, Maxime 04 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / Jours de colère explore le recours aux forêts à travers deux voix narratives dont les récits se font écho durant plusieurs années. Soumises à diverses formes d’oppression, iels trouvent refuge tour à tour dans les mondes virtuels, les lieux abandonnés, les drogues, la fuite géographique, la promesse de la vengeance ou celle du suicide. Iels confient au papier leurs expériences les plus intimes, et dévoilent comme stratégie de rébellion la reconstitution permanente de leur identité. En cheminant avec les images inspirées par leur culture musicale, littéraire, cinématographique, les personnages configurent une citadelle dans laquelle nul ne peut les atteindre : iels regardent, depuis ses tours, la société dont iels souhaitent s’exclure. Entre ellipse, hors champs, et tendance à l’épuisement, leurs prises de parole témoignent d’un questionnement profond, tiraillé entre l’impossibilité de rompre avec les origines et le refus de l’héritage. « Dans les forêts de Sibérie » : (géo)poétique du Rebelle chez Sylvain Tesson interroge la figure de l’ermite mise en récit par Sylvain Tesson dans son roman Dans les forêts de Sibérie. En dialoguant avec les figures d’insurrection théorisée par Ernst Jünger dans Le Traité du Rebelle ou le recours aux forêts et Eumeswil, cet essai souligne les liens qui les unissent à l’ermite de Tesson – et ce qui les en détache. Il émerge de cette analyse un narrateur bien singulier : isolé du monde des humains et sa finitude, l’ermite tessonien s’inscrit dans le rythme des saisons, à travers sa prise de notes quotidiennes dans le carnet qui donne vie au roman. Sa pensée et ses gestes se modèlent sur le lieu qu’il observe avec attention, et habite en conscience d’être un invité. Grâce à sa manière de superposer une forêt imaginaire à la forêt de Sibérie, le récit de Tesson se réapproprie le champ d’action du Rebelle jüngerien, qui entre alors en résonance avec un espace géopoétique. / Jours de colère explores the Rebel figure through two narrative voices whose stories echo over several years. Subjected to various forms of oppression, both find refuge in virtual worlds, abandoned places, drugs, escape, promise of revenge or suicide. They entrust their most intimate experiences to their diaries, revealing the permanent reconstitution of their identity as an act of rebellion. Exchanging with and through the images drawn from their cultural background, music, books, films, the characters erect a citadel in which no one can reach them: from its towers, they look down upon the society from which they banished themselves. Between ellipsis and attempt to exhaust every bit of language, their words attest a deep questioning, torn between the impossibility of breaking with the origins and the refusal of heritage. « Dans les forêts de Sibérie » : (géo)poétique du Rebelle chez Sylvain Tesson examines the figure of the hermit as depicted by Sylvain Tesson in his novel Dans les forêts de Sibérie. In open dialogue with insurgency as theorized by Ernst Jünger in Le Traité du Rebelle ou le recours aux forêts and Eumeswil, this essay underlines the links that unite his thoughts to Tesson's hermit - and what detaches them from it. From this analysis emerges a very singular narrator: isolated from the human world and its finitude, the Tessonian hermit melts himself into the rhythm of seasons, through his daily observations in the notebook that gives life to the novel. His thoughts and gestures mimic the place he observes with attention, and in which he lives with the awareness of being nothing but a guest. Through the superposition of an imaginary forest on the forest of Siberia, Tesson's narrative reappropriates the field of action of the Jüngerian Rebel, thus reverberating a geopoetic space.
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Paradis crépusculaire ; suivi de Impostures : examen d’une démarche créatrice

Ferland, Joanie 07 1900 (has links)
La première partie de ce mémoire, intitulée « Paradis crépusculaire », est un roman dont la narratrice, une jeune femme, est hantée par les pensées suicidaires. S’exprimant à la première personne, elle décrit elle-même son évolution psychologique provoquée par la rencontre d’un homme et les débuts d’une relation amoureuse. L’amour ravive les tentations suicidaires du personnage principal et l’entraîne dans un univers de peur qui côtoie la folie. L’histoire s’ancre dans la réalité quotidienne des deux personnages. La deuxième partie, « Impostures : Examen d’une démarche créatrice », est un essai qui traite de ma propre démarche d’écriture. Mes réflexions, tout d’abord personnelles, s’ouvrent vers le monde de la création littéraire, plus particulièrement romanesque, et sont reliées aux conceptions de différents critiques. L’essai s’élabore à partir du sentiment de l’imposteur qui m’a hantée durant tout le processus de création. / The first part of this M.A. Thesis, “Paradis crépusculaire”, is a novel. The narrator and main character is a young lady hunted by suicidal thoughts. She describes her own psychological development starting with the meeting of a man and with the beginning of their relationship. Love awakes her suicidal temptations and brings her in a universe of fear and madness. The story takes roots in the daily lives of both characters. The second part, “ Impostures : Examen d’une démarche créatrice ”, is an essay about my own writing experience. My personal thoughts on literary creation, especially about the production of a novel, are linked with different theories of literature. This essay elaborates on a feeling of imposture that has haunted me threw all my writing process.
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Huit cent mille : blague de bébé mort, suivi de Le silence dans la dramaturgie de la guerre chez W. Mouawad et A. Farhoud

Gaudet, Renée January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Archipel suivi de L'étrangère en son royaume : la psyché du lieu chez Marguerite Duras

Chantraine, Dominique 08 1900 (has links)
À partir de courts récits, la narratrice reconstitue le passé d’une famille. Le personnage central, une petite fille, est la narratrice qui retrace les événements qui ont mené à l’éclatement de la cellule familiale. Cette histoire autobiographique est rédigée au « elle » dans un souci de se distancier de ce passé. La petite fille a grandi et la narratrice qu’elle est devenue se réapproprie son héritage : la possibilité d’écrire cette histoire. Dans l’œuvre de Marguerite Duras, les lieux sont souvent sollicités pour participer à la narration des événements. Dans La pute de la côte normande et Écrire, deux œuvres autobiographiques rédigées au « je », les lieux sont ceux du quotidien. Ceux-ci sont révélateurs de la psychologie de l’auteure et se mêlent à la préoccupation d’écrire. Ainsi, Marguerite Duras, ses lieux et son écriture se retrouvent-ils liés par le langage de l’auteure, lequel témoigne du vide laissé par la mort de son père. / Through short accounts, the narrator reconstitutes the past of a family. The main character, a young girl, is the narrator attempting to trace the events which led to the break-up of her family cell. Seeking to distance herself from this past, she delivers the auto-biographical story using the third person. The little girl has grown up, and the narrator she has become attempts to reclaim her heritage: the possibility of writing this story. In Marguerite Duras’ work, the presence of surroundings is often solicited to participate in narrating the events. In La pute de la côte normande and Écrire, two auto-biographical works written in the first person, the places evoked are those sheltering her everyday life. Those are revealing of the author’s psychology and intertwine with the concern of writing. Marguerite Duras, her surroundings and her writing style become bound to one another by the author’s language, which reveals the void caused by her father’s death.

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