Spelling suggestions: "subject:"critique ett interprétation"" "subject:"critique eet interprétation""
211 |
No budget animation : la référence à l'objet dans l'animation stop-motionMenchaca Brandan, Nuria Margarita 16 April 2018 (has links)
À travers le long parcours qu'implique la production d'une animation en stop-motion, l'objet animé subit une longue chaîne d'interprétations qui transformeront son identité. L'objet concret, bien que matériellement absent de l'oeuvre animée, aura la capacité de nous référer à sa réalité, même à partir d'un contexte fictif. J'analyse quatre éléments propres à l'animation image par image : objet, image, séquence et animation, depuis le point de vue de chaque participant de la triade spectateur/oeuvre/artiste. À partir des points de rencontre de tous ces éléments, je fais un survol du processus de création d'une oeuvre animée. En traitant différents sujets, j'essaie de comprendre l'évolution d'un objet à partir de sa réalité, suivant par la transformation de son image jusqu'à son assimilation dans une oeuvre d'art. Ce travail de recherche accompagne une production artistique basée dans le concept d'animation. Les idées présentées naissent de mes expérimentations dans le domaine du stop-motion pendant ma maîtrise en arts visuels. Ces oeuvres sont les composantes d'une exposition nommée No Budget Animation.
|
212 |
Lieux, gestes et étendue : la notion de sens en peinture, de l'idée à l'inscriptionBossé, Jessie 18 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / Texte d'accompagnement d'une exposition réalisée à l'été 2011 sous le titre «Gestes et étendue» divisé en trois parties : Tout d'abord, il questionne la mise en oeuvre de l'élan initial du geste jusqu'à son inscription, sa représentation. Il constitue la mise en forme d'intuitions dans une approche personnelle, vécue, phénoménologique et philosophique. Dans le deuxième chapitre, en me plaçant devant l'acte de peindre, je suggère le geste, le rythme, la présence et le temps comme notions motrices, centrales, à l'origine de l'oeuvre. Tout en m'appuyant théoriquement sur certains auteurs, ce chapitre s'articule autour de la question de créer du sens en peinture, comme phénomène créateur, concret, visible et incarné. Et troisièmement, cet essai se veut être une réflexion qui tente de cerner les relations entre les éléments qui coexistent dans la réalisation du corpus d'oeuvres réalisé au cours de cette maîtrise. C'est sur ces éléments significatifs, imposants et infrangibles, que je m'attarderai plus spécifiquement dans le dernier chapitre pour rendre compte de l'unicité intérieure de ce projet.
|
213 |
De l’éclatement du noyau familial au discours sur la collectivité dans l’œuvre romanesque de Calixthe BeyalaMansiantima Nzimbu, Clémentine 20 April 2018 (has links)
Reposant sur un corpus de huit romans -C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– la recherche doctorale montre que l’éclatement du noyau familial est une constante des fictions de Calixthe Beyala. De l’éclatement du noyau familial en jeu, les romans de Beyala disent le discours sur la collectivité. Ainsi, l’hétérogénéité discursive et textuelle étant une caractéristique capitale, la problématique de l’éclatement du noyau familial est reliée aux faits énonciatifs en tant que mise en œuvre d’un discours polyphonique. Le « je-narrateur », utilisé comme une stratégie rhétorique pour parler d’un « nous », ne serait que l’allégorie ou l’emblème d’une conscience collective. On observe que ce n’est pas seulement un « je » individuel qui s’y exprime mais un «je » préoccupé par la condition de la femme ou de l’enfant. Le désir de représenter la collectivité supplante l’intensité du discours individuel de revendication ou de dénonciation qui hante l’écriture de Beyala. La fiction intègre souvent le littéraire, se construit sur un fond des textes antérieurs, favorise le dialogue avec d’autres genres. Beyala réinvestit également les stéréotypes et clichés sociaux dans sa fiction. Les discours des protagonistes explorent les rapports sociaux, les mécanismes de défense d’attitudes ou de comportements par rapport au réel sociohistorique. Les romans de notre corpus déjouent donc les discours de la doxa pour se poser comme textes multiples. Ce sont des récits de vie qui fictionnalisent les souvenirs racontés par un « je » polyvocal. L’implicite se fonde sur une adhésion à une certaine vision du monde, à un ensemble d’opinions et de croyances. Entre locuteur et interlocuteur, scripteur et lecteur s’instaure une sorte de complicité. Dans l’ensemble, le « je-narrant » est multidimensionnel : enfant, adolescente, femme, africaine, immigrée, romancière, etc. Il s’ensuit que la plupart des textes de Beyala se modulent autour de sa propre identité psychologique, de ses expériences vécues. / Based on a eight-novels corpus –C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– this doctoral research shows that the breakdown of the family unit is a constant theme in the fictions of Calixthe Beyala. From the breakup of the family unit, Beyala’s novels tell the discourse about community. Discursive and textual heterogeneity being a capital characteristic, the dilemma (the problem) of family-unit (family-nucleus) fragmentation is connected to the enunciation facts as implementing a polyphonic discourse. The "I-narrator" used as a rhetorical strategy to talk about a "We" is a mere allegory or emblem of a collective consciousness. One observes that it is not only an individual "I" that is expressed, but an "I" concerned about the status of women or children. The desire to represent community supersedes the intensity of that claim or denunciation individual speech which haunts Beyala’s writing. Often, fiction incorporates literature, is built upon a background of previous texts, and promotes dialogue with other genres. In his fiction, Beyala also reinvests social stereotypes and clichés. The speeches of protagonists explore social relationships, namely the defense mechanisms inside attitudes or behaviors compared to the socio-historical reality. Thus, the novels of our corpus thwart the doxa discourse and stand as multiple texts. These life stories fictionalize the memories told (narrated) by a polyvocal "I". What is implicit is based on adhering to a certain worldview, to a set of opinions and beliefs. Between the speaker and the interlocutor, the writer and the reader, is self-created a kind of complicity. The "narrating I" is overall multidimensional: female child, female teenager, woman, female African, female immigrant, female novelist etc.. Consequently, most of Beyala’s texts are modulated around her own psychological identity, her own experiences.
|
214 |
"Empreintes" : suivi de Création littéraire et photographie argentique : intermédialité pour une poétique de l'image / Création littéraire et photographie argentiqueRascle, Laetitia 29 January 2019 (has links)
Le présent mémoire de maîtrise s'intéresse à la question de l'image et en propose une exploration placée sous le signe du double. Entre recherche et création, poésie et photographie, éclatement formel et méditation ontologique, ce mémoire ouvre des dialogues pour tenter de comprendre, en deux temps, la mécanique des confluences et leur intérêt sur le plan des processus créateurs. À la croisée des notions qu'il embrasse : l'image ; et le faisceau de ses manifestations, qu'elles soient de l'ordre de l'empreinte (trace), de l'archive (souvenir) ou encore de l'aura (lumière). Fruit d'un travail à quatre mains, Empreintes invite tout d'abord à entrer en immersion dans un monde duel où le fond comme la forme participent de la perte des repères. Présenté dans un format hors norme (deux fois 66 pages disposées tête-bêche) , le recueil photo-poétique joue avec l'espace et le temps, proposant d'arpenter en cinq tableaux les paysages laissés par des êtres qui ont été aimés, qui ont été perdus. Une parole s'élève des blessures et du silence pour retrouver leur trace , se dégage peu à peu de ses propres ruines pour naître à elle-même – puis mourir à nouveau – en un cycle sans fin. Empreintes laisse ainsi sourdre la parole vivante en abordant, par le thème de l'eau, le deuil sous toutes ses formes. Pour soutenir ce recueil, la partie Création littéraire et photographie argentique : intermédialité pour une poétique de l'image offre ensuite une réflexion en deux parties . Un rapport de laboratoire permet de remonter le fil du processus créateur pour mieux saisir, par l'archivage, la genèse du recueil. Il présente les trois méthodes de création intermédiatiques expérimentées entre écriture et photographie. Un essai lyrique sur la photographe franco-canadienne Alix Cléo Roubaud (1952-1983) aborde enfin la magie du nu féminin pour clore cette quête de l'image en pleine lumière / This Master's thesis deals with the topic of images and leads its exploration with a dual-view. Midway between research and creation, poetry and photography, formal fragmentation and ontological meditation, this memoir opens dialogues in a two-stage attempt to understand the mechanics of confluences and their relevance with regard to creative processes. At the crossroads of notions covered : images ; and the irrange of manifestation, whether in terms of footprints (trace), archives (memory) or aura (light). Fruit of a four-hands work, Empreintes is first of all an invitation to immerse oneself in a dual world where both substance and form contribute to a loss of bearings. Presented in a non-standard size (twice 66 pages arranged head to tail), the photo-poetic collection plays with space and time, offering a five-step walk among landscapes deserted by beings once beloved, now forever lost . A Word rises from wounds and silence to recount them, emerges gradually from its own ruins to self- originate - then die again - in an endless cycle. Empreintes then lets the living Word arise in addressing mourning in all its forms by the theme of water. To support this collection, the Création littéraire et photographie argentique : intermédialité pour une poétique de l'image part then offers a reflection in two stages. A lab report traces back the thread of the creative process to better understand, via archiving, the genesis of the collection. It presents three methods of intermedia creation experienced between writing and photography. A lyrical essay on the French-Canadian photographer Alix Cléo Roubaud (1952-1983) eventually addresses the magic of the female nude in order to end this quest for images in full light.
|
215 |
"Mais je n'avais pas le droit d'abandonner la partie" : le récit autobiographique, entre équilibre et déséquilibre : le cas de Thomas BernhardChaloux-Gendron, Virginie 30 January 2024 (has links)
Le récit autobiographique, et à plus forte raison le récit d’enfance autobiographique, trace une frontière difficile à circonscrire. L’écrivain la ressent, pourtant. Elle existe. Mais cette frontière semble n’avoir ni commencement ni fin et est d’abord l’histoire d’une limite qu’il porte en lui et doit franchir, afin de reculer les yeux ouverts. « On court pour échapper à quelque chose mais on l’emporte avec soi », répondait Thomas Bernhard à Andrée Müller lors d’un entretien en 1979. C’est dans cette perspective que ce mémoire propose d’étudier les cinq récits autobiographiques de Thomas Bernhard. L’écriture ne permet pas au narrateur de retrouver la forme antérieure du Moi tel qu’il était avant que des forces destructrices s’abattent sur lui. Inévitablement, les traumatismes déforment le Moi. Or il est possible, par le biais du langage, de décomposer, de fragmenter les diverses forces à l’oeuvre et de trouver leur point d’application, soit l’endroit où elles agissent en soi. Puisque le récit autobiographique ne dépend pas toujours de la vérité du texte par rapport au monde dans lequel il se situe, ou se situait, il est entendu qu’il peut au contraire faire la promotion d’un nouveau monde et engager, en se fondant sur la liberté qui la caractérise, de nouvelles expériences. Les théories de la subjectivation et de la reconnaissance, ainsi que celles portant sur la vulnérabilité et la honte, guident ma réflexion et m’aident à répondre à la question suivante : que peut l’écriture face aux jeux de relais entre équilibre et déséquilibre psychiques? C’est à la mise en scène d’un soi oscillant constamment entre ces deux pôles que me convie Bernhard, un spectacle auquel chacun d’entre nous prend part à l’instant où il ouvre un de ses récits.
|
216 |
Diario, pour piano seul, de Heber Schuenemann : du déchiffrage de l'oeuvre à son interprétation : démarche et réflexions d'une pianisteDadaian, Alla 24 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur la recherche-création ayant menée à l’apprentissage et l’exécution publique de Diário, œuvre pour piano du compositeur brésilien Heber Schuenemann (né en 1971). Dans ce cycle, qui comprend 23 courtes pièces, le compositeur explore la notion de « hasard », propre à la musique aléatoire. Il utilise également des techniques de composition s’apparentant au sérialisme et au minimalisme. Après avoir présenté les principales caractéristiques des courants musicaux propres à l’œuvre, la chercheuse-pianiste procède à une analyse de l’œuvre, décrivant la structure et les techniques de composition de chaque pièce. Par la suite, elle décrit sa propre démarche d’interprète – du déchiffrage de l’œuvre à sa prestation publique et à son enregistrement en studio – et elle commente son expérience à la lumière de la littérature pertinente. Sont abordées, notamment, les difficultés inhérentes au déchiffrage d’une œuvre atonale et les diverses étapes menant à l’identification de ses éléments structuraux; les difficultés relatives à la technique pianistique; l’importance du regroupement d’unités et de l’acquisition d’automatismes corporels; la définition de l’image artistique. Des pistes pédagogiques favorisant l’enseignement et l’apprentissage de l’œuvre sont également présentées. / This thesis reports on a research-creation focused on learning and public performance of the cycle Diário, a piano work by Brazilian composer Heber Schuenemann (born in 1971). In this cycle, which includes 23 pieces, the composer explores the notion of chance, specific to the indeterminate (aleatory) music, and uses the compositional techniques comparable to the serialism and the minimalism. After presenting main features of musical styles of the cycle, the researcher-pianist proceeds to the analysis of the cycle, describing the structure and the technique of composition of each piece. Thereafter, the author describes her own approach of an interpreter, from the deciphering the work to its public performance and studio recording, commenting on her experience in the light of the relevant literature. In particular, the author examines the difficulties in deciphering an atonal work and various steps leading to the identification of its structural elements. In addition, the author focuses on the definition of the artistic image, the difficulties related to the piano technique, the combination of units, and the acquisition of automatisms. Educational means promoting the teaching and learning of the work are also presented.
|
217 |
L'humanisme dans le portrait photographique de Rineke Dijkstra : analyse de la série BeachGagné Lévesque, Pascale 18 April 2018 (has links)
Cette recherche prend comme objet d’étude le portrait photographique de Rineke Dijkstra, artiste néerlandaise née en 1959. Cette recherche vise à cerner la présence ainsi qu’à déterminer le sens de l’humanisme de cette approche photographique. Une analyse de la série de portraits Beach, réalisée durant la dernière décennie du vingtième siècle, est à la base de cette argumentation. Ce mémoire s’intéresse à l’analyse du portrait et ses rapports au temps, à la culture d’une époque et à la réalité sociale d’un épisode historique. L’étude du portrait de Rineke Dijkstra, tout comme le discours de celle-ci, rend compte d’un humanisme qui s’avère insister sur la représentation de la fragilité humaine. Par une revalorisation de l’«humain», le portrait de l’artiste se distingue des démarches formelles et conceptuelles du portrait contemporain, lesquelles privilégient, entre autres, un déni de la subjectivité de l’individu portraituré. L’expérience perceptive du spectateur, face au portrait de la série Beach, montre que ce portrait renvoie l’image de l’humanité du spectateur. / This present thesis, which studies the photographic portrait of Rineke Dijkstra, Dutch artist born in 1959, supports the hypothesis and explains the presence and the meaning of humanism in this photographic approach. The in-depth analysis of the Beach portraits series, created during the last decade of the twentieth century, is the base on which the arguments are elaborated. This thesis seeks answers through the analysis of the portraits and its relations with time, culture and social reality of a historical episode. The study of Rineke Dijkstra’s portraits and of her work’s discussions reveals a humanism which seems to insist on human fragility. By valuing what is deeply human in the portrait, the artist’s work distinguishes itself from the formal and conceptual approaches of the contemporary portrait which tend to a denial of the subjectivity. The perceptive experience of the viewer facing the Beach portraits series seems to reveal that the portrait returns the image of the viewer’s humanity.
|
218 |
L'artialisation "in visu" comme processus d'infiltrationBrouillard, Claudine 17 April 2018 (has links)
À travers l'élaboration d'un ensemble de stratégies visant à la collecte d'informations, je cherche principalement à instiguer un questionnement, à mettre à l'épreuve certaines notions et conceptions de l'art en les confrontant à des personnes évoluant dans les milieux populaires. Dans son Court traité du paysage, Alain Roger décrit Yartialisation comme une théorie permettant de montrer comment le regard paysager est une construction culturelle. Ma démarche reflexive s'appuie donc sur une réappropriation de cette théorie qui cherche à révéler comment mes interventions artistiques permettent à des gens de la communauté de Saint-Eugène-de-Grantham, mon village d'appartenance, de voir autrement, modifiant ainsi les perceptions esthétiques qu'ils entretiennent relativement à leur environnement familier. Le résultat de ces réflexions sera présenté dans le cadre de l'exposition Chez-nous, à la Galerie des arts visuels de l'Université Laval, du 15 octobre au 15 novembre 2009. Mots clés : perception, art, région, communauté, collecte, identité, portrait, relation.
|
219 |
Sous le regard des mouches de Michel Marc Bouchard : analyse du spectacle théâtralJohnson, Annie 17 April 2018 (has links)
L'objectif premier de ce mémoire vise, dans une optique systémique, l'analyse d'un spectacle théâtral présenté au Théâtre Jean Duceppe, à la Place des Arts de Montréal, en mars 2000. Intitulé Sous le regard des mouches, il a été écrit et mis en scène par Michel Marc Bouchard. L'auteure de ce mémoire propose une étude des choix opérés par Bouchard montant son propre texte et s'inspire principalement de l'ouvrage lut Lecture du spectacle théâtral de Louise Vigeant (1989) qui suggère d'ancrer l'analyse du spectacle autour des trois pôles suivants : espace, objet et jeu. Ces sous-systèmes de la représentation constituent les grands axes d'analyse de l'oeuvre tout en faisant du texte dramatique un quatrième sous-système abordé corrélativement à l'étude des éléments scéniques. Par cette étude, l'auteure s'interroge sur la réalisation de la mise en scène et présente le résultat de ses observations autour du texte spectaculaire, en espérant ainsi contribuer à une meilleure connaissance de l'oeuvre de Michel Marc Bouchard. L'étude s'est effectuée à partir du spectacle auquel nous avons assisté le 25 mars 2000 et de la vidéocassette de la pièce enregistrée lors de la générale technique du spectacle le 23 février 2000 (par le réalisateur Jean-François Limoges).
|
220 |
Les hommes-cathédralesCroft, Edith 24 April 2018 (has links)
Résumé de la vidéo en accompagnement : "Document vidéo accompagnateur du mémoire de maîtrise ès Arts intitulé LES HOMMES-CATHÉDRALES, se voulant une réflexion théorique au sujet d'une production sculpturale de l'auteure, amorcée en 1993-1995. À partir d'une sélection de quatre oeuvres, interprétation de la symbolique humaine et architecturale contenue à l'intérieur d'une pratique sculpturale. La vidéo présente une des oeuvres, LA CATHÉDRALE SAUVAGE, ensemble tolémique de neuf personnages sculptés dans le bois de cèdre et qui furent partiellement brulés à l'aide d'essence, le premier mai 1994 à Saint-Jean-Port-Joli, au bord du fleuve Saint-Laurent." / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
|
Page generated in 0.1618 seconds