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Séries télé : pour une approche communicationnelle d'un objet culturel médiatique / TV series : a communicational approach to an object of media culture

Gil, Muriel 09 November 2011 (has links)
Dans les années 2000, les séries télévisées rencontrent un engouement sans précédent. Ce qui ne constituait qu’une « sous-culture » pour quelques passionnés, devient un genre de plus en plus légitime. Ce succès, attribué par les journalistes au renouveau créatif des séries américaines, est largement alimenté par la programmation des chaînes françaises. La télévision n’est cependant plus leur seul diffuseur : DVD, streaming et échange de fichiers sur Internet ont largement pris le relais. Ces médias participent désormais à la configuration des séries, incitent à de nouvelles stratégies et invitent les spectateurs à des usages diversifiés.Les chercheurs montrent eux aussi un intérêt croissant pour les séries, les considèrent comme un terrain propice à l’étude des représentations sociales (sociologie), des « objets narratifs » (narratologique) ou encore des « programmes télévisés » (sémio-pragmatique).Alors, qu’est-ce qu’une série ? Dans le but de répondre à cette question, nous avons adopté une conception élargie des séries comme objets culturels médiatiques, configurés par l’ensemble complexe des médiations socio-techniques qui leur donnent forme. C’est alors par l’étude compréhensive du point de vue et des pratiques des acteurs de leur communication (professionnels, médias, spectateurs) que nous entendons appréhender les séries et la manière dont se construit leur culture. A la croisée de différentes méthodes (analyse de discours, entretiens compréhensifs, portraits), se dessinent les contours des séries au regard de leurs médiations, se laisse découvrir la complexité de l’objet et entrevoir la nécessité d’une réflexion sur les méthodes à engager dans leur analyse. / During the 2000s, television series met with an unprecedented public infatuation. What had previously constituted but a small "subculture" was rising to become a legitimate genre in its own right. This success, that journalists attribute to a creative renewal in American series, is largely fed by French television network programming. Television, however, is no longer the sole broadcaster : DVD and streaming and sharing online are now heavily present. Henceforth, these media will now participate in the configuration of series, incite new strategies and invite audiences to diversify their usages.Researchers themselves show an increasing interest in series, considering them a rich field for the study of social representations (sociology), "narrative objects" (narratology) or also "televised programs" (semio-pragmatics).So, what is a series ? In order to answer this question we have adopted a broad conception, regarding them as being objects of media culture configured by a complex ensemble of socio-technical mediations which give them form. To understand series how they construct their culture, we implement a comprehensive study of the practices and points of view of their communication actors (professionals, media and audiences). Through the use of different methods (discourse analysis, comprehensive interviews, portraits and transversal analysis) we outline series, with regard to their mediations, allowing us to discover the complexity of the object and the necessity of reflection upon the methods to employ in their analysis.
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La fiction mystériographique : émergence et dissémination d’une poétique en France, en Grèce et en Grande-Bretagne au XIXe siècle / Mysteriography : emergence and dissemination of a poetics in France, Greece and Great Britain

Katsanos, Filippos 15 October 2018 (has links)
Suite au succès commercial des Mystères de Paris (1842-1843) d’Eugène Sue, les marchés littéraires de nombreux pays ont été saturés par un nombre incalculable d’ouvrages qui proposaient d’infinies variations sur le titre du romancier français. À partir d’une étude approfondie de la réception du célèbre roman de Sue et de toute la « littérature des mystères » dont il a été à l’origine en France, en Grèce et en Grande-Bretagne, cette thèse s’interroge sur la place qu’il convient d’accorder, dans l’histoire culturelle, à cette « mystériographie » compulsive qui promettait aux lecteurs de leur révéler les secrets non seulement du monde contemporain, mais aussi de l’histoire, de la science, de la politique etc. Tout en questionnant les conclusions d’une critique prolifique sur le phénomène qui en fait un genre spécifique du domaine romanesque paralittéraire, cette thèse plaide pour une approche plus globale. Pur produit d’une culture médiatique vouée à la représentation du monde, la « mystériographie » se présente comme le creuset d’un nouvel imaginaire de la lecture appelé à devenir dominant avec l’entrée progressive des pays européens, à partir des années 1860, dans la culture de masse : mêlant ancrage dans le réel et sensationnalisme outrancier, la « fiction mystériographique » semblait déjà cristalliser les poétiques qui se situaient au cœur des lectures du plus grand nombre. / Following the global commercial success of The Mysteries of Paris (1842-1843) by Eugene Sue, literary markets were submerged by an incalculable number of works that proposed infinite variations on the title of the French novelist. Studying extensively the reception of Sue's famous novel and the mysterimania that it fired in France, Greece and Great Britain, this thesis questions the place that should be given, in cultural history, to the compulsive publication of mysteries promising their readers to unveil the secrets not only of the world that surrounded them, but also of history, science, politics, and so on. While discussing the conclusions of a prolific research that interprets the phenomenon as a specific novelistic genre of popular literature, this study argues for a more global approach. Pure product of Nineteenth-Century media culture dedicated to the representation of the world, “mysteriography” is the crucible of a new social imaginary of reading which was to become dominant with the gradual entry of European countries in the mass culture, from the 1860s and on : blending perfectly realism and sensation, the “mysteriography” crystallized the poetics which shaped the readings of the greatest number.
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La pratique des séries télévisées : une sociologie de l'activité spectatorielle

Combes, Clément 12 September 2013 (has links) (PDF)
Que signifie aimer une " série télé " aujourd'hui ? Ou, selon une formulation plus pragmatiste, que font faire les séries à leurs spectateurs ? Pour répondre à ces questions, cette thèse invite à se démarquer du paradigme de la réception - lequel fournit la majorité des études sur le sujet - et explorer les ressorts et contours de la pratique des séries. Il s'agit d'étudier les activités concrètes dans lesquelles s'engagent les amateurs, la façon dont se tissent leur attachement aux séries, les ingrédients de ce tissage, les appuis et prises matériels, techniques et relationnels de cet attachement. Ce travail montre que la pratique spectatorielle ne s'arrête pas au seul moment du visionnage, lorsque l'individu est devant son poste, mais s'étend à l'ensemble des activités, des temps et des espaces au cours desquels celui-ci entre en relation avec une série. À partir d'une quarantaine d'entretiens approfondis et de l'examen des principaux relais sociotechniques et médiatiques des séries, la thèse se propose de suivre les amateurs dans leurs pratiques quotidiennes, du visionnage et de la conservation des séries à leurs échanges conversationnels, en passant par les procédures d'information et de découverte, d'approvisionnement et de partage de contenus. Autant d'activités, non pas seulement " réceptives ", mais réflexives, corporées, instrumentées et collectives, qui permettent d'apprécier la diversité des formes d'attachement des " sériphiles " à ces objets singuliers.
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Récits en partage. Expériences de la sérialité narrative en culture médiatique / Shared narratives. Experiences of narrative seriality in media culture

Goudmand, Anaïs 10 November 2018 (has links)
Cette thèse vise à analyser les formes de l’expérience des récits sériels en culture médiatique, dans les différents supports à travers lesquels se sont déployés les feuilletons et les séries du XIXe au XXIe siècle (journal, bande dessinée, cinéma et télévision notamment). La relation des publics aux récits sériels est fondée sur la dynamique de la diffusion discontinue et de la récurrence, qui structurent une promesse de retrouvailles. Les expériences sérielles ne se limitent pas au moment d’actualisation des épisodes ni à l’objet « récit » en tant que tel : elles se prolongent de diverses manières durant le temps d’attente inter-épisodique. En outre, fondées sur l’échange et le partage, elles sont indissociables de la sociabilité qu’elles impliquent, ainsi que des interactions entre les pôles de la production et de la réception, qui passent par diverses médiatisations et favorisent la formation de communautés interprétatives. Il s’agit donc d’expériences médiatiquement situées : les caractéristiques thématiques ou formelles des récits ne sont pas détachables de facteurs économiques ni de leurs contextes de production et de réception. Afin de décrire la spécificité de l’engagement dans les récits sériels dans toute sa complexité, je propose de suivre une démarche intégrative, articulant l’étude des dispositifs narratifs et de la dimension sémantique des récits sériels à celle de leurs usages socioculturels. / This thesis analyses the modalities under which serial narratives are experienced in media culture, looking at the different media in which serials and series were developed from the 19th to the 21st century (newspapers, comics, cinema and television in particular). The way different audiences relate to serial narratives is grounded in the dynamics of discontinuous distribution and recurrence, thus framing their expectation of a renewed event. Serial experiences are not limited to the moment of reading or viewing, nor to the “narrative object” as such: they extend beyond it in various ways during the inter-episodic waiting time. Moreover, since these experiences are based on exchange and sharing, they are inseparable from the sociability they imply, as well as from diversely mediatized interactions between production and reception, which favor the emergence of interpretive communities. Therefore, these experiences are conditioned by the media from which they stem: the thematic and the formal dimensions cannot be separated from the material conditions, within the contexts of production and reception. In order to describe the specific modes of engagement of audiences with serial narratives in all its complexity, I follow an integrated approach, by studying narrative devices and the semantic dimension of serial narratives as well as their sociocultural uses.
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S'ajuster, interpréter et qualifier une pratique culturelle : Approche communicationnelle de la visite muséale / Adjusting, interpreting and qualifying a cultural practice : Communicational approach to the museum visit

Jutant, Camille 18 November 2011 (has links)
La thèse contribue à comprendre le rapport qui peut s’établir entre expérience spécifique de la culture et relation à la culture, dans le cas particulier de la visite muséale. C’est la notion d’ajustement qui est proposée pour rendre compte de ce rapport. Celle-ci désigne un régime d’interaction au cours duquel, l’acteur social s’engage dans un corps-à-corps avec un dispositif de communication et interprète la situation en mobilisant des représentations de cette situation et de son rôle de visiteur. Aussi la première partie montre – grâce à un détour par les théories de l’ethnométhodologie, des représentations sociales et de l’interaction médiatisée – comment le cadre méthodologique de la thèse a été construit pour appréhender la pratique du visiteur en train de se déployer. Deux terrains ont été choisis pour cette analyse : une exposition temporaire, dans les salles du musée du Louvre, qui engage une situation postulée comme une expérience de visite ; et un jeu pédagogique sur téléphone portable, mené dans les salles du musée des arts et métiers, qui ébranle, précisément, ce prérequis. La deuxième partie présente ainsi une analyse qui met en regard l’étude de la préfiguration des situations de communication par les dispositifs pour chacun des terrains, et la dynamique de leur redéfinition par les visiteurs, dans un ajustement progressif. L’exemple du texte, en tant qu’il est un opérateur de médiation aux objets et aux savoirs, permet de voir comment le visiteur s’ajuste à une double anticipation (l’activité de lecture et l’activité de visite), dans une tension entre la caractérisation de ses postures de lecture, la retextualisation des propositions et la reformulation permanente du projet général de la visite. La troisième partie consiste alors à regarder comment le visiteur caractérise la situation qu’il est en train de vivre, non plus seulement à partir de son expérience de lecture, mais à partir de sa compréhension de son activité générale de visite. On observe alors que les visiteurs vivent profondément une situation d’interaction médiatisée, c'est-à-dire qu’à la fois ils postulent une forme de dialogue avec un concepteur qui leur « parle » et en même temps ils identifient en permanence le geste expographique qui consiste à mettre en scène un espace. Cette situation est vécue dans un jeu d’attention très forte aux caractéristiques sémiotiques de l’exposition et de suspension volontaire de l’incrédulité. Pour terminer, l’analyse a permis de mettre au jour trois formes d’ajustement caractéristiques : (1) la mobilisation et construction de figures de parcours et de figures de visiteurs qui médiatisent le rapport de l’acteur à sa propre pratique et qui lui permettent de juger la situation de communication qu’il est en train de vivre. (2) La prise de rôle qui s’élabore à partir de la nécessité de trouver un cadre pertinent d’interprétation pour l’activité. (3) Et enfin, le jeu entre description de l’activité et cadre général d’interprétation qui permet au visiteur de construire un rapport plus général à la culture. / The thesis contributes to facilitate an understanding of the relation that can be established between a specific experience of culture and a relationship to culture, in the specific case of the museum visit. The notion of adjustment is proposed in order to account for this relation and points to a system of interaction during which the social agent is engaged in an embodied relationship with a dispositif (or apparatus) of communication and interprets the situation by using representations of this situation and of his role as a visitor. Thanks to a detour via the theories of ethnomethodology, of the social representations and of the mediated interactions, the first part shows how the methodological framework of the thesis has been built in order to apprehend the practice of the visitor as it is being deployed. Two case studies have been chosen for this analysis, a temporary exhibition in the galleries of the museum le Louvre, which engages a situation formulated as an experience of a visit; and a pedagogical game on mobile phone, set in the galleries of the museum arts et metiers, which disturbs this previous assumption. The second part then presents an analysis that puts into dialogue the study of the configuration of situations of communication through the dispositifs at play in each of these situations, and the dynamic of their redefinition by the visitors, through a progressive adjustment. The example of the text since it is considered to be a means of mediation with objects and with knowledge, reveals how the visitor adapts to situation that anticipate a double usage (reading and visiting), with a tension between the characterisation of his gesture and of his reading postures, the retextualisation of the propositions and the permanent reformulation of the general project of the visit. The third part consists in looking at how the visitor defines the situation that he is going through, not only from his experience of reading, but also from his general understanding of his visit. We then observe that the visitors profoundly live a situation of mediated interaction, which means that they simultaneously postulate a form of dialogue with a conceptor that “speak” to them and constantly identify the expographic gesture that consists in staging a space. This situation is experienced through a game of strong attention to the semiotic characteristics of the exhibition and through a willing suspension of disbelief. Finally, the analysis has allowed to bring to light three characteristic forms of adjustment: (1) The mobilisation and construction of figures of paths and figures of visitors which mediate the relationship between the agent and his own practice and which allow him to judge the situation of communication that he is going through. (2) The fulfilment of a role that is being elaborated from the necessity to find a relevant framework of interpretation for the activity. (3) And finally, the game between the description of the activity and the general framework of interpretation that allows the visitor to construct a broader relationship to culture.
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S'ajuster, interpréter et qualifier une pratique culturelle : Approche communicationnelle de la visite muséale

Jutant, Camille 18 November 2011 (has links) (PDF)
La thèse contribue à comprendre le rapport qui peut s'établir entre expérience spécifique de la culture et relation à la culture, dans le cas particulier de la visite muséale. C'est la notion d'ajustement qui est proposée pour rendre compte de ce rapport. Celle-ci désigne un régime d'interaction au cours duquel, l'acteur social s'engage dans un corps-à-corps avec un dispositif de communication et interprète la situation en mobilisant des représentations de cette situation et de son rôle de visiteur. Aussi la première partie montre - grâce à un détour par les théories de l'ethnométhodologie, des représentations sociales et de l'interaction médiatisée - comment le cadre méthodologique de la thèse a été construit pour appréhender la pratique du visiteur en train de se déployer. Deux terrains ont été choisis pour cette analyse : une exposition temporaire, dans les salles du musée du Louvre, qui engage une situation postulée comme une expérience de visite ; et un jeu pédagogique sur téléphone portable, mené dans les salles du musée des arts et métiers, qui ébranle, précisément, ce prérequis. La deuxième partie présente ainsi une analyse qui met en regard l'étude de la préfiguration des situations de communication par les dispositifs pour chacun des terrains, et la dynamique de leur redéfinition par les visiteurs, dans un ajustement progressif. L'exemple du texte, en tant qu'il est un opérateur de médiation aux objets et aux savoirs, permet de voir comment le visiteur s'ajuste à une double anticipation (l'activité de lecture et l'activité de visite), dans une tension entre la caractérisation de ses postures de lecture, la retextualisation des propositions et la reformulation permanente du projet général de la visite. La troisième partie consiste alors à regarder comment le visiteur caractérise la situation qu'il est en train de vivre, non plus seulement à partir de son expérience de lecture, mais à partir de sa compréhension de son activité générale de visite. On observe alors que les visiteurs vivent profondément une situation d'interaction médiatisée, c'est-à-dire qu'à la fois ils postulent une forme de dialogue avec un concepteur qui leur " parle " et en même temps ils identifient en permanence le geste expographique qui consiste à mettre en scène un espace. Cette situation est vécue dans un jeu d'attention très forte aux caractéristiques sémiotiques de l'exposition et de suspension volontaire de l'incrédulité. Pour terminer, l'analyse a permis de mettre au jour trois formes d'ajustement caractéristiques : (1) la mobilisation et construction de figures de parcours et de figures de visiteurs qui médiatisent le rapport de l'acteur à sa propre pratique et qui lui permettent de juger la situation de communication qu'il est en train de vivre. (2) La prise de rôle qui s'élabore à partir de la nécessité de trouver un cadre pertinent d'interprétation pour l'activité. (3) Et enfin, le jeu entre description de l'activité et cadre général d'interprétation qui permet au visiteur de construire un rapport plus général à la culture.
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La pratique des séries télévisées : une sociologie de l’activité spectatorielle / The practice of TV series : a sociology of the activity of spectating

Combes, Clément 12 September 2013 (has links)
Que signifie aimer une « série télé » aujourd’hui ? Ou, selon une formulation plus pragmatiste, que font faire les séries à leurs spectateurs ? Pour répondre à ces questions, cette thèse invite à se démarquer du paradigme de la réception – lequel fournit la majorité des études sur le sujet – et explorer les ressorts et contours de la pratique des séries. Il s’agit d’étudier les activités concrètes dans lesquelles s’engagent les amateurs, la façon dont se tissent leur attachement aux séries, les ingrédients de ce tissage, les appuis et prises matériels, techniques et relationnels de cet attachement. Ce travail montre que la pratique spectatorielle ne s’arrête pas au seul moment du visionnage, lorsque l’individu est devant son poste, mais s’étend à l’ensemble des activités, des temps et des espaces au cours desquels celui-ci entre en relation avec une série. À partir d’une quarantaine d’entretiens approfondis et de l’examen des principaux relais sociotechniques et médiatiques des séries, la thèse se propose de suivre les amateurs dans leurs pratiques quotidiennes, du visionnage et de la conservation des séries à leurs échanges conversationnels, en passant par les procédures d’information et de découverte, d’approvisionnement et de partage de contenus. Autant d’activités, non pas seulement « réceptives », mais réflexives, corporées, instrumentées et collectives, qui permettent d’apprécier la diversité des formes d’attachement des « sériphiles » à ces objets singuliers. / What does it means to love a "TV series" nowadays? Or, to use a more pragmatic formulation, what do television series make their viewers do? To answer these questions, this thesis invites the reader to move beyond the paradigm of reception – on which the majority of studies in the field build upon - and explore the remits and contours of the practice of series. The aim is to study the practical activities undertaken by amateurs, how their attachments to the series are built, the ingredients of this attachment, and the material, technical and relational means of this attachment. This work shows that spectators' practices do not stop at the moment of viewing, when the individual is in front of his post, but extends to all activities, times and spaces through which an individual connects to a series. Drawing upon forty in-depth interviews and an examination of the ways in which series are socio-technically mediated, the thesis proposes to follow amateurs in their daily practices, from the viewing and storage of series, to their conversational exchanges, as well as through the procedures of information and discovery, procurement and sharing of content. All these activities are not only "receptive". As the thesis shows, they are at once reflexive, embodied, instrumented and collective, and they reveal the diversity of attachments of the "seriephiles" to these singular objects.

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