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Enjeux et voies d'avenir de la promotion/prévention : une réflexion dans le champs enfance-jeunesse-familleDallaire, Nicole January 1998 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Imaginaire citoyen, imaginaire social et imaginaire politique : fondements pour l'instauration de la démocratie en République démocratique du CongoMutambudi, Vincent de Paul 24 October 2024 (has links)
La réflexion engagée dans cette recherche émerge du contexte de l'impasse du processus de démocratisation de l'Afrique subsaharienne imposée par les puissances occidentales au tournant de la *Pérestroïka*. Alors pressentie nécessaire, urgente et donc impérative, la démocratie n'a cependant guère décollé dans cette partie du monde. D'où, les questions lancinantes : quelles solutions faudrait-il trouver à cette crise et dans quelles conditions de faisabilité ? À lire les ouvrages et les travaux scientifiques consacrés à cette problématique, on constate que l'arsenal de moyens de résolution proposés comprend des remèdes économiques, financiers et institutionnels, malheureusement inefficaces. Justement, cette étude montre que les causes profondes de cette crise sont d'ordre symbolique et participent des cultures et des croyances. D'où, son hypothèse principale : en RD Congo et possiblement dans nombre de pays d'Afrique noire, la démocratie est torpillée par des imaginaires et des représentations sociales antagonistes. Au terme d'une analyse rigoureuse du discours social qui, dans les différentes sphères de la vie, véhicule ces structures profondes de la personnalité individuelle et collective, cette étude montre que la remédiation de l'impasse démocratique exigera une refonte radicale des imaginaires et des représentations sociales. Cette refonte nécessitera non seulement de mettre la philosophie et la raison au centre de l'être et de l'agir social, d'engager résolument une (ré)éducation citoyenne, mais surtout de négocier une nouvelle économie du social. C'est un nouveau contrat social qui exigera de s'entendre rationnellement et franchement sur des compromis raisonnables afin d'instaurer pour la nouvelle société nationale des nouvelles valeurs refuges, de nouvelles croyances et de nouveaux mythes, favorables à et promoteurs de la démocratie. / The reflection undertaken in this research emerges from the context of the impasse that occurred in the process of democratization in relation to sub-Saharan Africa as imposed by Western powers under the Perestroika era. Although it was perceived as necessary, urgent and therefore imperative, democracy has hardly taken off in this part of the world. Hence the nagging questions are as follows: what solutions should be found to this crisis and under what conditions of feasibility? Reading the books and scientific works dealing with this problem, one can see that the arsenal of proposed means to change the nature of the issues includes economic, financial and institutional remedies, which unfortunately are ineffective. Precisely, this study shows that the root causes of this crisis are symbolic and involve considering key factors related cultures and beliefs. Hence his main hypothesis: in the DR Congo and possibly in many sub-Saharan African countries, democracy is being torpedoed. At the end of a rigorous analysis of the social discourse which, in the different spheres of life, conveys these deep structures of individual and collective personality, this study shows that the remediation of the democratic impasse will require a radical recasting of social imaginaries and representations. This recasting will require not only to put philosophy and reason at the centre of being and social action, but also to resolutely engage in civic (re)education, but above all negotiating a new social economy. It is a new social contract which will require us to agree rationally and frankly on reasonable compromises in order to establish for the new national society new refuge values, new beliefs and new myths, favorable to and promoters of democracy.
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Exploring the checklist ballot : an exercise in democracyMurthy, Naveen January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Démocraties à l'épreuve : assembler les nanotechnologies et leurs problèmesLaurent, Brice 12 December 2011 (has links) (PDF)
La thèse analyse les nanotechnologies comme une entité politique macro comprenant des objets, des futurs, des motifs d'inquiétude et des publics, et examine des sites où cette entité est problématisée. En se penchant sur les opérations définissant les problèmes publics et les façons de les traiter, l'analyse des problématisations des nanotechnologies permet de décrire à la fois l'assemblage des nanotechnologies et la construction de l'ordre démocratique. L'étude des problématisations des nanotechnologies est menée via la description d'expériences et de démonstrations impliquant des technologies de démocratie, sur la base d'enquêtes de terrain menées en France, aux États-Unis et dans des organisations internationales. La thèse considère successivement des opérations de réplication et de stabilisation de technologies de démocratie, des processus utilisant des technologies de démocratie pour la définition d'objets " nano " et de futurs " responsables ", et des exemples d'engagement de mouvements sociaux et du chercheur lui-même dans la critique des technologies de démocratie. Ceci permet d'étudier des exemples concernant la représentation des nanotechnologies, leur administration, et la mobilisation sociale à leur égard. Différentes problématisations peuvent alors être reconstruites. La thèse s'intéresse à quatre d'entre elles, et s'appuie sur le travail empirique pour proposer une critique réaliste des nanotechnologies.
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La démocratie ne fut jamais une option : analyse critique des discours modernes de justification de l'État, du gouvernement représentatif et du rejet de la démocratie directeBélanger-Champagne, Jérôme 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse au développement de la démocratie représentative en Occident et aux discours justificatifs du rejet de la démocratie directe. De surcroît, nous croyons qu'une étude de l'implantation de la démocratie représentative aux XIXe et XXe siècles serait incomplète sans une analyse des différentes théories de l'État dominantes durant cette période. Effectivement, la représentation politique est un type de gouvernement qui ne pourrait exister sans une mécanique de coercition capable d'imposer aux minorités réfractaires les décisions prises par les représentants politiques. C'est précisément le rôle que joue l'État dans les sociétés occidentales modernes : un appareil de contrôle, de contrainte et de coercition capable d'assurer la cohésion sociale. Durant la majeure partie de son histoire, le mot « démocratie » fut perçu de manière négative par les élites politiques qui voyaient souvent en elle le « pire » des régimes, celui qui laissait au peuple ignare, impulsif et irrationnel le soin de gouverner. À travers les deux cents dernières années, un glissement terminologique s'est opéré, tant dans le discours populaire que dans la pensée politique, qui fait maintenant équivaloir les termes de « gouvernement représentatif » et de « démocratie ». Il s'agit d'une opération consciente et volontaire des élites politiques occidentales afin de justifier la mise en place et le maintien d'un système qui devrait plutôt être qualifié « d'oligarchie électorale ». Généralement, les politologues justifient le choix de la démocratie représentative en expliquant que la démocratie directe serait impraticable dans les États-nationaux modernes en vertu de leurs populations imposantes et de l'impossibilité de regrouper autant d'individus en un seul lieu. Nous croyons que cette explication en masque une autre. Notre hypothèse est à l'effet que la démocratie représentative a davantage émergé de deux facteurs conjoints. D'une part, le désir du peuple de participer à la prise de décisions politiques qui fut instrumentalisé par les élites gouvernantes. D'autre part, l'existence de l'État en tant qu'appareil de coercition capable d'assurer l'application des décisions prises par ces élites au nom de la « majorité ».
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : démocratie directe, démocratie représentative, gouvernement représentatif, république, coercition, théories de la démocratie, théories de l'État.
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The legitimacy of EU democracy promotion in the neighbourhood / La légitimité de la promotion de la démocratie par l’UETheuns, Tom 04 October 2017 (has links)
Cette thèse doctorale porte sur la promotion de la démocratie par l’Union Européenne (UE) dans ce qui est défini comme son ‘voisinage’, selon le point de vue de la théorie politique normative. A cet effet, ces travaux théorisent les fondations philosophiques de la valeur de la démocratie (chapitre 1), décrivent les activités de promotion de la démocratie par l’UE dans son voisinage (chapitre 2), développent une théorie normative générale de la promotion de la démocratie (chapitre 3), l’appliquent à la promotion de la démocratie par l’UE (chapitre 4) et confrontent cette promotion de la démocratie par l’UE à leur propres standards normatifs (chapitre 5). / This dissertation examines EU democracy promotion in what it defines as its ‘neighbourhood’ from the perspective of normative political theory. To that end, it theorises the philosophical foundations of the value of democracy (chapter one); describes the substance of EU democracy promotion in the neighbourhood (chapter two); develops a general normative theory of democracy promotion (chapter three); applies this to EU democracy promotion (chapter four); and tests EU democracy promotion to its own normative standards (chapterfive).
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Fonder la légitimité démocratique : conceptions majoritaires, constitutionnelles et épistémiques de la démocratie / Democratic legitimacy : majoritarian, constitutional and epistemic conceptions of self-governmentRoussin, Juliette 28 September 2016 (has links)
La thèse examine les fondements de la légitimité des décisions démocratiques et interroge la nature de la démocratie comme régime politique. Elle prend son point de départ dans deux questions : 1° qu'est-ce qui confère à la décision démocratique sa légitimité ? 2° une décision doit-elle être démocratique pour être légitime ? Il s'agit de dégager les différentes manières de penser la légitimité des décisions politiques à l'intérieur du régime démocratique et, à partir de l'analyse de leurs limites respectives, de suggérer une conception duale de la légitimité qui vise à concilier les éléments entrant en tension dans les autres conceptions. Les conceptions procédurales sont incapables de faire droit à la possibilité que l'injustice de décisions populaires sape leur légitimité. À partir des figures de l'expert et du juge, on suggère que les approches substantielles risquent pour leur part d'imposer à la pratique démocratique des exigences extérieures à elle et qu'elle n'a pas les moyens de produire. Il s'agit alors de penser les conditions d'un constitutionnalisme démocratique, opérant une conciliation entre les exigences procédurales et substantielles de la légitimité. Envisager la démocratie dans sa durée permet de concevoir qu'elle se découvre à elle-même ses propres normes, en un exercice continu d'approximation et de perfectionnement. Cette hypothèse rattache le constitutionnalisme démocratique à une conception épistémique de la démocratie selon laquelle, sous certaines conditions contraignantes, les procédures d'autodétermination inclusive et égale tendent, plus sûrement que d'autres méthodes de gouvernement, à produire des choix collectifs substantiellement justes. / This thesis aims at examining the foundations of legitimacy for democratic decisions and hence at elucidating the nature of democracy as a political regime. Two questions are at its core. First, what makes a democratic decision legitimate? Second, must a decision be democratic to claim legitimacy? This work presents different accounts of legitimate decisions within the democratic regime. In light of their respective limits, it defends a dual conception of legitimacy that aims at reconciling, under specific conditions, the components that are in tension with one another in competing conceptions. I show that procedural conceptions are unable to account for the idea that the injustice or inanity of popular decisions might undermine their legitimacy, and that they result in a logical deadlock. Focusing on experts and constitutional judges, I suggest that substantive accounts tend to impose extrnal standards on the democratic process that it cannot generate on its own. I then introduce the idea of democratic constitutionalism and argue that procedural and substantive requirements for legitimacy may be reconciled within it. Democratic constitutionalism allows one to view democracy as discovering its own norms over a long-tem process of approximation and development. As such, it can be linked to an epistemic approach to democracy, according to which, under some restrictive conditions, the participative, inclusive and egalitarian procedures that democracy distinctively relies on tend to result in collective choices that are substantively more just than in other regimes.
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Contribution à une analyse sociologique de l’effet sectoriel sur la participation : Le cas du secteur sanitaire / Contribution to a Sociological Analysis of the Sector Effect on Participation : The Case of the Healthcare Sector.Fauquette, Alexandre 14 December 2016 (has links)
Les travaux sur la participation n’interrogent presque jamais la question de « l’effet secteur » (au sens de secteur d’action publique) sur la participation, de même que les particularités de la participation liées aux particularités du secteur. De même, ils questionnent peu les effets des pratiques participatives sur les secteurs d’action publique. Tout se passe comme si les secteurs d’action publique étaient interchangeables et réduits à n’être que de simples matériaux empiriques pour questionner la démocratie participative et son instrumentation. Partant de ce constat, cette thèse interroge l’effet sectoriel sur la participation, à travers l’étude de la participation dans le secteur sanitaire. Qu’est-ce que le secteur sanitaire, secteur d’action publique dominé par un haut degré d’expertise et de connaissances scientifiques, politiques et administratives, fait à la participation ? Quelles sont les spécificités de la participation sanitaire ? Pour répondre à ces questionnements, la thèse s’appuie sur une mosaïque de terrains dans l’optique d’avoir une vue suffisamment large et globale du secteur sanitaire, sans être « pris au piège » d’un terrain d’enquête qui serait trop spécifique pour être réellement représentatif du secteur. La thèse interroge à la fois les particularités de la participation sanitaire dans la littérature, à travers la socialisation d’un ensemble d’agents et dans une pluralité de configurations sociales. / Research on participation rarely looks to the impact of the « sector effect » (in the sense of sectors of public activities) on participation or sector-specific particularities in terms of participation. Furthermore, it rarely surveys the effects of participatory practices on different sectors of public activities. Everything happens as though every sector of public activity were interchangeable, with sectors reduced to simple empirical data used to study participatory democracy and how it is instrumentalized. In light of these observations, this dissertation examines the sector effect on participation by studying participation in the healthcare sector. What does the healthcare sector ̶ an area of public activities dominated by a great degree of expertise and scientific, political, and administrative knowledge ̶ do to participation? What are the particularities of participation in the healthcare sector? To answer these questions, this dissertation turns to an assortment of fields of inquiry, in order to establish a sufficiently broad and comprehensive overview of the healthcare sector and avoid falling into the “trap” of examining a single field that might be too specific to be truly representative of the sector. This thesis examines the specificities of participation in healthcare in academic research, in the socialization of a variety of people involved in the sector, and in a range of social settings.
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Le populisme et la démocratieGeoffrion, Fanny 09 1900 (has links)
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Le comité des élèves au primaire : état des connaissances, attentes et difficultésPache-Hébert, Catherine January 2015 (has links)
Cette thèse vise à comprendre des éléments de la dynamique du comité des élèves au primaire, lequel s’inscrit comme espace de socialisation politique des élèves. Le comité des élèves constitue une structure de participation à la gouvernance scolaire dans laquelle des élèves délégués élus par leurs pairs représentent l’ensemble des élèves de leur école auprès des membres du personnel scolaire. Ce comité poursuit des visées d’éducation à la démocratie en lien avec les orientations du Programme de formation de l’école québécoise. Le comité des élèves demeure toutefois un sujet peu exploré par les chercheurs.
Il faut préciser que le comité des élèves s’inscrit dans un processus plus large de socialisation politique. Comme la socialisation politique oriente le rapport que les individus entretiennent avec la politique, forgeant leurs opinions et comportements politiques, le comité des élèves sera situé dans ce processus.
Des données documentaires et empiriques ont été collectées pour cette recherche dont les résultats sont présentés sous forme de thèse par articles. L’analyse des données documentaires a donné lieu au premier article, alors que les deux autres articles rendent compte de l’analyse des données empiriques. Les données empiriques ont pu être colligées grâce à une démarche d’accompagnement visant le développement professionnel des accompagnatrices et accompagnateurs du comité des élèves. Sur une base volontaire, des accompagnatrices et accompagnateurs des comités des élèves, des élèves délégués et des directions d’établissements de quatre écoles primaires ont pris part à cette démarche menée par un conseiller pédagogique, en collaboration avec la chercheure, lors de l’année scolaire 2012-2013. Les données empiriques proviennent de l’observation participante réalisée au cours de la démarche, d’entretiens semi-dirigés individuels et de groupes ainsi que d’une collecte de documents.
Le premier article réalise un état des connaissances sur les comités des élèves dans les écoles primaires et secondaires. Cette recension des écrits précise les rôles et les responsabilités des acteurs, le fonctionnement du comité, les difficultés dans son opérationnalisation et la prise de décisions. Le deuxième article met en relief les attentes des accompagnatrices et accompagnateurs quant aux capacités des élèves à agir au comité des élèves. Il se dégage des résultats trois profils d’accompagnatrices et d’accompagnateurs. Ces profils révèlent diverses attentes de ces derniers quant à leur rôle dans l’encadrement des comités des élèves, à la place accordée aux élèves dans la prise de décision ainsi qu’à la conception de la capacité des élèves à exercer leur gouvernance. Le troisième article relève les difficultés du comité des élèves pour ses acteurs. Les résultats montrent que plusieurs de ces difficultés ont trait à la gouvernance ainsi qu’à des dynamiques sociologiques et psychologiques. Cette recherche permet de conclure que le comité des élèves détient un potentiel éducatif, mais qu’il représente une structure construite par les acteurs du milieu, ce qui occasionne une complexité et une diversité dans son fonctionnement.
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