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Evolution du mouvement des "Frères musulmans" en Egypte entre 1928 et 1954: essai d'interprétation socio-politique

Bdeir, Asmahane January 1984 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le Centre-ville du Caire à l'épreuve des évolutions politiques et socio-économiques: - Paysages, fonctions, accessibilité et pratiques des habitants -

Abo Elela, Mohamed 31 January 2011 (has links) (PDF)
La métropole est directement gérée par les services de l'Etat. Les politiques économiques et urbaines lancées par les régimes politiques successifs, à partir des années 1952, ont profondément modifié la structure sociale des Egyptiens. Ces politiques étaient le moteur de la dynamique sociale, résidentielle et fonctionnelle. La mobilité des classes aisées vers les quartiers périphériques a créé le phénomène de polycentrisme. Par conséquent, une grande partie des services de luxe ont abandonné la zone centrale pour suivre leurs clients. Malgré la dégradation des services du noyau central, ce dernier a paradoxalement conservé sa position en tant que centre de pouvoir. En fait, le développement de grands centres commerciaux périphériques n'a pas entraîné la mort du centre-ville du Caire. Ce dernier s'est adapté grâce à ses propres modalités qui renforcent certains types de centralité. Cependant, l'abaissement de certaines substances affaiblit d'autres types de centralités.
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Ostraca grecs inédits de Strasbourg. Recherches sur la taxation dans l'Egypte romaine

Heilporn, Paul 12 June 1996 (has links)
<p align="justify">62 ostraca grecs (documents écrits sur tessons de céramique), conservés depuis 1910 à la Bibliothèque Nationale et Universitaire de Strasbourg (France), sont ici édités pour la première fois. Il s'agit essentiellement de reçus d'impôts, qui proviennent de Thèbes (Haute-Egypte) et datent du Haut-Empire romain, en particulier du IIe s. apr. J.-C. La présentation met en évidence un phénomène bien connu en papyrologie, mais qui n'avait guère été exploité pour ce type de textes: les contribuables, en conservant ces documents pour un éventuel contrôle, se constituaient de modestes archives privées. Celles-ci ont parfois été retrouvées telles quelles, puis dispersées sur la marché des antiquités: il convient donc, autant que possible, de les reconstituer dans la publication, de sorte que 27 ostraca conservés dans d'autres collections (Royal Ontario Museum; Biblioteca Medicea Laurenziana; Sorbonne) mais apparentés aux nouveaux documents de Strasbourg, sont republiés ici.</p> <p align="justify">Les dossiers ainsi réunis permettent diverses recherches sur le système de taxation complexe mis en place à l'époque romaine (impôts capitaires, fonciers et autres) et sur l'organisation de la perception et ses variations dans le temps et, surtout, selon les sites. Ils éclairent également la topographie de Thèbes, du point de vue administratif, à cette époque. Une petite moitié des textes publiés ici, dont plusieurs sont bilingues, constituent les archives d'une famille de prêtres, dont un stoliste d'Apollon (Montou) et Asklèpios (Imhotep); ils apportent ainsi un témoignage important sur le milieu où se maintint le plus longtemps l'usage du démotique: à Thèbes comme ailleurs en Egypte, il apparaît qu'il s'agit du clergé.</p>
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ETUDE ANTHROPOLOGIQUE DES RESTES HUMAINS DE NAZLET KHATER (PALEOLITHIQUE SUPERIEUR, EGYPTE)

Crevecoeur, Isabelle 15 December 2006 (has links) (PDF)
Le squelette de Nazlet Khater 2 (NK 2) a été découvert en 1980 dans la vallée du Nil (Egypte) lors des fouilles du Belgian Middle Egypt Prehistoric Project. Son association avec le site minier du début du Paléolithique supérieur de Nazlet Khater 4 (dont la période d'exploitation s'étale de 35 à 40 Ka) en fait le plus ancien squelette complet d'homme moderne du nord de l'Afrique durant le stade isotopique 3 (OIS 3). Les restes de NK 2 appartiennent à un adulte jeune de sexe masculin. Ils sont bien conservés à l'exception des parties distales des jambes et des os de pieds. Les analyses comparatives réalisées sur ce spécimen soulignent la complexité morphologique des hommes modernes de cette époque. NK 2 présente certains traits archaïques notamment au niveau de la face et de la mandibule. Les structures de son oreille interne possèdent des caractéristiques morphologiques propres qui se situent en marge de la variabilité actuelle. Les restes postcrâniens montrent des insertions musculaires marquées et sont adaptés à des contraintes biomécaniques élevées. En outre, NK 2 présentent des lésions vertébrales et des membres témoignant d'activités physiques intenses et spécialisées en relation avec les sites archéologiques miniers de NK 4. L'étude de ce spécimen offre une opportunité unique d'accroître notre connaissance de la variabilité des hommes modernes durant cette époque (OIS 3) pour laquelle peu de restes humains sont connus.
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Deux déesses pour un dieu. Des triades pour décrire des principes cosmologiques / Two goddesses for one god. Triads to describe cosmological principles

Gamelin, Thomas 30 November 2013 (has links)
Dans la religion égyptienne ancienne, l'association de trois divinités pour former une triade locale est répandue. Composées de deux dieux (le père et le fils) et d'une déesse (la mère), ces triades forment un schéma "familial", à l'image de la triade constituée d'Osiris, D'Isis et d'Horus. Parallèlement à ces triades "classiques", il existe des groupes divins plus inhabituels avec comme particularité d'avoir pour troisième membre une déesse et non un dieu, sans que celle-ci soit une déesse enfant ; ce sont les groupes gravés dans des scènes d'offrande qui ont été étudiés. Quel peut être alors le sens à donner à la présence de ces deux déesses ? Quelles relations entretiennent les divinités entre elles ? Plusieurs types de structure sont mis en lumière dans le cadre de cette étude. Si certains groupes sont un simple regroupement d'un dieu avec deux parèdres locales, d'autres réflexions, plus abouties encore, soulignent la volonté des théologiens de décrire des idées complexes de la pensée égyptienne. La triade d'Eléphantine (Khnoum, Satis et Anoukis) est probablement l'exemple le plus clair de ce type d'organisation théologique : les trois divinités de la région contrôlent la crue du Nil. Le dieu contrôle l'inondation et est aidé par les deux déesses : la première lance les eaux de l'inondation tandis que la seconde provoque le reflux. Dans plusieurs groupes, les théologiens ont réparti sur deux déesses deux fonctions complémentaires qui s'additionnent pour aider dans sa tâche le dieu principal. La complémentarité des rôles féminins n'est qu'un des nombreux outils utilisés par les prêtres pour se représenter et illustrer plus clairement l'univers qui les entoure. / In Egyptian theology, the association of three deities in order to create a local triad is widely spread. Gathering two gods (the father and the son) and one goddess (the mother), this triad then defines a divine family, as the well-known triad of Osiris, Isis and Horus. More rare groups are structured as one god and two goddesses, a second goddess (who is never the daughter) replacing the divine child. In this work, we focus on groups that are represented on offering scenes carved in various Egyptian temples. What could explain the presence of these two goddesses in those scenes ? How are the relationship between the deities structured ? Different organisations of these groups are analysed in this study. part of these groups represents the association of a main god with two local goddesses. Others try to represent more elaborate cosmological principles. The triad of Elephantine (Khnum, Satet and Anuket) is a relevant example : the three deities control the flood of the Nile. the god commands the inundation and is helped by two goddesses ; one initiating the flow while the other one initiates the ebb. In several triads, the goddesses have complementary functions and assist the god in his task. The addition of the goddesses' functions is only one of the numerous tools used by theologians to describe their universe.
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Les mystères de l'Egypte ancienne dans la bande dessinée : essai d'anthropologie iconographique / Non communiqué

Marie, Vincent 11 June 2010 (has links)
Comment l’Egypte ancienne s’inscrit-elle dans la mémoire collective ? La constitution d’un imaginaire de l’Egypte ancienne est à inclure dans un courant culturel et artistique parfois fait d’emprunts sélectifs au répertoire antique, tout en étant simultanément redevables à d’autres traditions artistiques et notamment à l’égyptomanie. L’égyptomanie acquiert alors dans la bande dessinée une dimension propre, caractérisée par des codes et un vocabulaire tout à fait spécifiques, favorisant l’invention narrative et graphique. Saisir les mystères de l’Egypte ancienne dans la bande dessinée revient à composer une « grammaire de la civilisation » des pharaons. Ainsi, la construction d’un cadre signifiant permet de dresser les lieux de mémoires (signifiants, significatifs, moins évocateurs ou carrément absents), le topos exotique (mytho-géographie, image de l’autre, références bibliques comme marqueur d’une distinction), l’image d’une société hiérarchisée (prédominance de Pharaon et des puissants sur le peuple de la vallée) et le tableau d’une religion et de croyances fascinantes (attraction du polythéisme et de l’univers des mythes égyptiens, illustration des rites funéraires, de la mort et de l’au-delà) comme autant de rouages structurels dans l’agencement d’une mémoire de l’Egypte ancienne. Cependant, il convient de ne pas négliger l’intégration dans la fabrique de l’imaginaire de l’Egypte ancienne des processus dynamiques qui s’opèrent dans la constitution d’un laboratoire d’imageries plus ou moins stéréotypées. Réfléchir sur la généalogie des images et distinguer les sources d’influences sur lesquels s’appuient les auteurs (sources héritées de l’Egypte ancienne et/ou sources puisées dans l’histoire des arts) démontre que les représentations qui nourrissent l’imagination des artistes ne naissent pas ex-nihilo mais sont le fait d’un long cheminement historique. Les auteurs recréent et réinterprètent l’Histoire avec des référents et des attitudes mentales qui leur appartiennent tout en laissant libre cours à des fantasmes parfois difficiles à décrypter. / How does ancient Egypt remain etched on the collective memory ? The construction of an imagination of ancient Egypt is to be included in an artistic and cultural trend which is sometimes made of selective borrowings from the repertoire of antiquity as well as being indebted simultaneously to other artistic traditions, in particular egyptomania. Egyptomania acquires, then, in comics, a dimension of its own which is characterized by codes and very specific vocabulary, favouring narrative and graphic inventiveness. Grasping the mysteries of ancient Egypt in comics comes down to working out a “ grammar of the civilization” of Pharaohs. Thus, the construction of a signifying framework allows us to list places of memories (which are signifying, significant, less evocative or altogether lacking ), exotic topos (mytho-geography, image of otherness, biblical references as marker of distinction), the image of a society organized into a hierarchy ( the predominance of the Pharaohs and the mighty over the people in the valley) and the depiction of a religion as well as fascinating beliefs ( attraction to polytheism and to the universe of Egyptian myths, illustrations of funerary rituals, death and the beyond), all these structuring the construction of a memory of ancient Egypt. However, one must not neglect the integration of dynamic processes in the construction of the imagination of ancient Egypt. Those dynamic processes are at work in the building up of more or less stereotyped imagery. Reflecting on the genealogy of images and distinguishing the sources of influence on which the authors rely (sources inherited from ancient Egypt and / or sources out of the history of the arts) demonstrate that the representations that nurture the artists’ imagination are not born out of nothing but are the result of long historic development. Authors re-create and reinterpret History with reference points and mental attitudes of their own while giving free rein to a fantasy world which is sometimes difficult to decipher.
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La mort en Égypte romaine / Death in Roman Egypt

Weiller, Fanny 21 October 2017 (has links)
Définie à la fois comme un état, être mort, ou comme un passage, passer du monde des vivants à celui des morts, la mort dans les sociétés antiques influençait nombre de domaines de l’existence. Elle ne se limitait pas à son aspect quantitatif, c'est-à-dire démographique. La mort devait être gérée, non seulement par les proches du défunt, mais également par la cité et par l’État. Cependant, cette étude de la mort englobe aussi les manières dont elle était perçue et vécue par les individus. La mort était l'objet de croyances relatives à l'au-delà, qui concernaient le devenir du défunt, ainsi que la relation qui subsistait entre le défunt et sa famille, entre la communauté des morts et celle des vivants.La question de la mort dans la province romaine d’Égypte se pose d’autant plus que cet espace situé à la limite entre la partie occidentale et orientale de l’Empire continuait de subir des influences culturelles multiples (civilisation pharaonique, hellénistique, présence du judaïsme, naissance du christianisme...) et occupait une position stratégique au sein de l’Empire (domaine réservé du Prince, population multiethnique et relativement nombreuse...).En utilisant différents types de sources (papyrologiques, épigraphiques, archéologiques et littéraires) et en abordant la mort dans des aspects variés à la fois matériels et immatériels (des attitudes et gestes quotidiens face à la mort, aux croyances relatives à l’au-delà, en passant par les pratiques administratives et juridiques suscitées par un décès), il s’agit ici de montrer dans quelle mesure la mort était un régulateur des tensions et des appréhensions sociales dans une société caractérisée par des influences culturelles multiples. La démarche adoptée est scalaire.La mort est d'abord l'objet d'une étude à l'échelle de l’État. Le gouvernement romain gérait la mort en légiférant, en arbitrant les conflits liés au décès d'un individu et en imposant des pratiques administratives lui assurant un contrôle de la population. Mais l’État était aussi parfois celui qui orchestrait la mort, la mettait en scène ou y recourait volontairement afin de préserver l'ordre social.À l'échelle de la province romaine d’Égypte, la mort apparaissait comme le reflet d'interactions diverses. Elle cristallisait les différentes conceptions de l'au-delà, impliquant des gestes funéraires spécifiques, tandis que des particularismes locaux persistaient.Face à la mort, la cité – troisième échelle de notre étude – avait, quant à elle, clairement pour mission d'assurer l'ordre social. En cela, elle devait se prémunir de tout ce qui était susceptible de venir la souiller ou compromettre la relation entre la communauté des vivants et le monde des morts.Toutefois, la gestion la plus importante de la mort se faisait à l'échelle de l'individu et de sa famille. En raison d'une espérance de vie assez faible et d'un taux de mortalité élevé, la mort faisait partie du quotidien. Pour s'adapter à cette réalité, des individus anticipaient leur décès en rédigeant notamment des testaments. Dans tous les cas, la confrontation à la mort d'un proche provoquait des bouleversements auxquels il convenait de faire face et qui donnaient lieu, de la part des survivants, à des réponses parfois diamétralement opposées (conflits portés devant la justice, activation des solidarités intra et extra-familiales sous différentes formes). / .Defined at once as a state, to be dead, or as a passage, to pass from the world of the living to that of the dead, death in ancient societies influenced many areas of existence. It was not limited to its quantitative aspect, that is to say demographic. Death had to be managed, not only by the relatives of the deceased, but also by the city and the state. However, this study of death also encompasses the ways in which it was perceived and experienced by individuals. Death was the object of beliefs about the afterlife that related to the future of the deceased, as well as the relationship between the deceased and his family, between the community of the dead and that of the living.The question of death in the Roman province of Egypt arises all the more because this space situated at the border between the western and eastern part of the Empire continued to undergo multiple cultural influences (Pharaonic civilization, Hellenistic, Judaism, the birth of Christianity, etc.) and occupied a strategic position within the Empire (a reserved area of the Prince, a multi-ethnic and relatively numerous population).By using different types of sources (papyrological, epigraphic, archaeological and literary) and by approaching death in various aspects, both material and immaterial (daily attitudes and gestures towards death, beliefs about the afterlife, through administrative and legal practices related to death), the aim here is to show to what extent death is a regulator of social tensions and apprehensions in a society characterized by multiple cultural influences. The approach adopted is scalar.At the level of the Empire, the Roman government managed death by legislating, arbitrating conflicts related to the death of an individual and imposing administrative practices ensuring public control. But the State was also sometimes the one who orchestrated death, staged it or used it voluntarily in order to preserve the social order.At the level of the Roman province of Egypt, death appeared as a reflection of various interactions. It crystallized the different conceptions of the hereafter, involving specific funeral gestures, while local peculiarities persisted.Faced with death, the city – the third angle of our study – had, for its part, a clear mission to ensure social order. In this, she had to guard against all that was likely to come to defile her or compromise the relationship between the community of the living and the world of the dead. However, the most important management of death occurred at the scale of the individual and his family. Due to a relatively low life expectancy and a high mortality rate, death was part of daily life. To adapt to this reality, individuals anticipated their deaths by writing, among other things, wills. In any case, the confrontation with the death of a relative provoked upheavals that had to be dealt with and which gave rise, for the survivors, to sometimes diametrically opposed answers (conflicts brought before justice, activation of solidarities intra and extra-familial in different forms).
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L'interventionnisme fiscal : impôt et investissement direct étranger dans les pays en développement : Le cas de l'Egypte / Fiscal policy intervention : tax and foreign direct investment in developing countries : the cas of Egypt

Mohamed Taha, Inas 20 December 2012 (has links)
La présente recherche porte sur l'étude de l'aménagement de la fiscalité égyptienne en faveur de l'investissement direct étranger et l'adaptation du régime fiscal au contexte de compétitivité mondiale. La compétitivité, notion d'origine privée, semble aujourd'hui être l'objectif à court terme permettant à l'État d'atteindre le degré de croissance économique nécessaire afin de réaliser son objectif à long terme de développement. L'État doit être en mesure d'orienter le capital privé vers les domaines stratégiques dans le cadre d'un plan de développement, notamment dans les pays en développement. En effet, en raison de la faiblesse de l'épargne nationale dans les PED, le capital étranger, notamment celui dirigé vers des projets d'investissement direct, représente un intérêt fondamental. En Egypte, depuis 1952 et jusqu'à 1970, la politique économique nassérienne avait une tendance socialiste et la fiscalité ne constituait pas un outil important d'interventionnisme étatique. En 1971, l'Égypte adopte une idéologie économique libérale et rend ainsi au capital privé étranger et à l'outil fiscal leur importance au sein de la politique économique égyptienne. En effet, l'adhésion de l'Égypte à l'économie de marché, et à un nombre important d'accords internationaux et régionaux, limite le nombre d'outils d'intervention étatique auquel l'État peut avoir recours sans constituer un obstacle à la libre circulation des capitaux, des marchandises et des services. L'idéologie libérale permet à l'interventionnisme fiscal d'avoir un statut important au sein des outils d'interventionnisme étatique. L'orientation de l'IDE vers les domaines stratégiques dépend de la manifestation de la souveraineté fiscale de l'État à travers les législations fiscales. Cette recherche retrace le développement de la fiscalité égyptienne et de la politique d'incitation fiscale des IDE, tout en expliquant l'intérêt et les limites du recours à l'instrument fiscal. La décision d'implantation d'investisseur étranger dans un pays d'accueil ne dépend pas uniquement de l'élément fiscal mais surtout du contexte économique favorable dans ce pays. Ce contexte est influencé par le régime fiscal dans son ensemble mais aussi par le climat social et politique. La politique fiscale égyptienne doit établir un équilibre entre l'objectif de profit du capital privé et l'objectif de développement de l'Égypte. Pour les pays en développement, en plus de l'apport financier, l'IDE trouve son importance dans le transfert de technologie et la création d'emplois, qui permettent d'améliorer le contexte économique et d'attirer davantage l'IDE. Un PED doit planifier sa politique envers les IDE en fixant les objectifs stratégiques qui correspondent aux facteurs d'amélioration du contexte économique. Cette amélioration crée un cercle vertueux en augmentant l'attractivité du pays envers l'IDE. Pour conforter ce raisonnement, le FMI a récemment effectué un revirement idéologique en émettant une réserve au sujet de sa règle fondamentale de la libre circulation des capitaux. Il a déclaré qu'un contrôle des flux de capitaux est nécessaire et que la liberté non conditionnée des flux de capitaux peut présenter des risques notamment pour les pays dont le contexte économique est déjà en difficulté. / This research focuses on the elaboration of Egyptian fiscal policy in favor of Foreign Direct Investment and adaptation of the tax system with global competitiveness. As a notion of private origin, competitiveness seems to be the short-term goal for the country to achieve the level of economic growth needed to achieve its long-term development. A country should be able to direct private capital to strategic sectors under a development plan, especially in developing countries. Due to weaknesses of the domestic resources in developing countries, foreign capital, especially that directed towards direct investment projects, is fundamental. Since 1952 and until 1970, economic policy in Egypt had a socialist Nasserite bias and taxation was not considered as an important tool for state intervention. In 1971, Egypt adopted a liberal economic ideology, thus recognizing the significance of foreign private capital and taxes in the Egyptian economic policy. Egypt hence followed the market economy, and joined a large number of international and regional agreements, which have limited the tools of state intervention without being obstacle to the free movement of capital, goods and services. Such liberal ideology allows the fiscal tools to have an important status in the state's intervention. The orientation of FDI to strategic sectors depends on the fiscal sovereignty of the state through tax laws. This research traces the development of Egyptian taxation and tax incentive policy of FDI, while explaining the benefits and limitations of using fiscal instruments. The decision to relocate foreign investors in a hosting country depends not only on the tax component but also the favorable economic environment in the country. This context is influenced by the tax system as a whole but also the social and political climate. Egyptian tax policy must strike a balance between rendering profit of private capital and the development plans. For developing countries, in addition to financial support, FDI is important in transferring technology and creating employment, which can improve the economic environment and attract more FDI. A developing country should plan its policy towards FDI by establishing strategic objectives that correspond with improving its economic environment. This is an improvement in increasing the country's attractiveness to FDI. Aforementioned position is also illustrated in IMF recent decision to alter its ideology regarding its fundamental rule of free migration of capital. Stating that control of capital flows is necessary and that unconditioned freedom of capital flows may present a risk especially for countries whose economies are already in trouble.
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Contribution à l'étude de la céramique médiévale égyptienne. Chrono-typologie des céramiques issues des fouilles de la muraille ayyoubide du Caire (fin Xe – début XVIe siècles) / Contribution to egyptian medieval ceramics study. Chrono-typology of ceramics from the excavations of the Ayyubid wall of Cairo (end of 10th-early 16th century)

Monchamp, Julie 23 November 2011 (has links)
Lors des fouilles archéologiques menées le long de la muraille médiévale du Caire, entreprises par l'organisationAga Khan Cultural Services et l'Institut Français d'Archéologie Orientale entre 2000 et 2009, une importantequantité de céramiques a été mise au jour. L'objectif de cette étude est de caractériser les productions decéramiques communes et glaçurées et d'établir une chrono-typologie de ces céramiques de l'époque fatimide (finXe siècle) au début de l'époque ottomane (début XVIe siècle), à partir des données fournies par le terrain. Dansune première partie, sont décrits les contextes archéologiques dont proviennent les céramiques, puis, sontdéfinis les différents types de pâtes. Il a semblé nécessaire de présenter également une sélection d'assemblagespour chaque période, bien calés chronologiquement grâce à l'analyse stratigraphique du terrain. La partessentielle de ce travail constitue la seconde partie, présentée sous la forme d'un catalogue morphologique de lacéramique commune et des productions de céramiques glaçurées locales et importées. Cette classification estorganisée de manière chronologique et complétée d'éventuelles comparaisons avec d'autres sites. La troisièmepartie est consacrée à l'évolution chronologique et à la proportion de chaque forme et et de chaque productionglaçurée ainsi qu'aux caractéristiques générales de la céramique pour chaque époque (fatimide, ayyoubide etmamelouke). Un développement plus particulier concerne certaines productions, locales ou importées, qui lesrelie, lorsque cela était possible, à un contexte historique, sociologique ou économique. / During the archaeological excavations along the medieval walls of Cairo, undertaken by Aga Khan CulturalServices and the French Institut of Oriental Archeology in Cairo between 2000 and 2009, a large amount ofpottery has been discovered. The purpose of this study is to characterize the production of the coarse and glazedpottery, and to establish a chrono-typolology of these ceramics from the Fatimid period (late tenth century) to thebeginning of the Ottoman period (early sixteenth century), with the data provided by the site. In the first part, thearcheological contexts of the ceramics are described then, the different types of paste are defined. It seemednecessary too to present a selection of layers for each period dated thanks to the stratigraphic analysis of thesite. The essential part of this work is the second part, presented as a morphological catalogue of commonceramics and the production of local and imported glazed ceramics. This classification is organizedchronologically and supplemented with possible comparisons on other sites. The third part is devoted to thechronological development and the proportion of each shape and each production of glazed ware as well as tothe general characteristics of ceramics for each period (Fatimid, Ayyubid and Mamluk). A more specific part dealswith certain productions, local or imported, which connects them, when possible, to as historical, sociological oreconomic context.
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La relation triangulaire entre la France, la Grande-Bretagne et l’Egypte d’un point de vue politico-culturel, 1869-1922 / The triangular Relation between France, Great Britain and Egypt from a politico-cultural point of view, 1869-1922

Desplat, Juliette 25 June 2011 (has links)
De l’ouverture du canal de Suez en 1869 à l’indépendance unilatéralement octroyée à l’Egypte en 1922, en passant par Fachoda et l’Entente cordiale, la France et la Grande-Bretagne furent incontestablement les deux puissances dominantes sur les rives du Nil.Les siècles d’hostilité endémique entre la France et la Grande-Bretagne donnèrent naissance,en Egypte, à une rivalité sans précédent et à une lutte d’influences sans merci dans les domaines politique et culturel.Cet antagonisme franco-britannique trouva son point d’orgue dans les années 1869-1922,durant lesquelles s’opposèrent les deux systèmes impérialistes qui, radicalement différents, se heurtèrent pourtant conjointement à l’émergence du nationalisme égyptien, porteur d’une volonté inébranlable de voir l’Egypte accéder à l’indépendance et recouvrer la propriété intellectuelle de sa civilisation millénaire.C’est ce combat lent et fastidieux d’une Egypte colonisée jusque dans son histoire antique que relate l’étude de la relation triangulaire entre la France, la Grande-Bretagne et l’Egypte d’un point de vue politico-culturel entre 1869 et 1922. / From the opening of the Suez Canal in 1869 to the independence unilaterally bestowed upon Egypt in 1922, and all the way through Fashoda and the Entente Cordiale, France and Great Britain were the two dominant, unchallenged Powers on the banks of the Nile.Centuries of endemic hostility between France and Great Britain resulted, in Egypt, in an unprecedented rivalry and a merciless fight for domination in the political and cultural fields.This Anglo-French antagonism reached its climax between 1869 and 1922, during which timetwo imperialist systems were opposed. Although drastically different and perpetually atvariance, they were confronted jointly to the emergence of Egyptian nationalism, which putforth its utmost strength to obtain complete independence for Egypt and to allow the countryto recover the intellectual ownership of its time-honoured civilisation.The study of the triangular relation between France, Great Britain and Egypt from a politicoculturalpoint of view from 1869 to 1922 tells the tale of Egypt’s long and tedious fight tobreak free from a long period of colonisation which had reached as far as the material remainsof its ancient history.

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