• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 53
  • 23
  • 8
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 92
  • 92
  • 26
  • 24
  • 17
  • 15
  • 14
  • 14
  • 13
  • 11
  • 11
  • 11
  • 10
  • 10
  • 10
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
61

Who's in charge ? : sales and operations planning governance and alignment in the supply chain management of multinational industrial companies / Qui est responsable ? : gouvernance du processus S&OP et alignement de la gestion de la supply chain des compagnies industrielles multinationales

Markoff, Richard 13 November 2017 (has links)
Le processus S&OP est souvent considéré comme un processus d'alignement de l'offre et de la demande dans les chaînes d'approvisionnement simples et linéaires, avec un seul marché et une seule usine. Les entreprises multinationales présentent aujourd'hui des configurations de chaînes d'approvisionnement plus complexes possédant des usines spécialisées qui desservent plusieurs marchés. Ce papier analyse comment les entreprises multinationales configurent leurs processus de gouvernance S&OP pour relier les usines et les marchés, ainsi que l'influence de cette gouvernance sur leur capacité à obtenir un alignement entre l'offre, la demande, et les plans financiers. Au travers d'entretiens menés avec des entreprises, une typologie est définie pour les modèles de gouvernance S&OP observés. Cette typologie suggère qu'un type de gouvernance S&OP exerçant une autorité, à la fois dans les usines et dans les marchés, conduit à des résultats S&OP plus probants. Un lien est également établi entre l'efficacité des S&OP et les mesures formelles d'alignement pour la planification financière. A partir de ceci, les éléments de Contrôle de Gestion sont précisés pour permettre la conceptualisation des S&OP en reconnaissant l'influence de la comptabilité sur la gouvernance du processus S&OP pour assurer la transparence et l'engagement multifonctionnel dans les contextes de la chaîne d'approvisionnement multinationale. Il en découle quatre règles normatives pour la réussite de la gouvernance et de l'alignement du processus S&OP dans un contexte de configuration de la chaîne d'approvisionnement multinationale. / S&OP is often seen as a process for alignment between supply and demand in simple, linear supply chains with one market and one factory. Multinational firms today have more complex supply chain configurations that have specialized factories serving multiple markets. This research explores how multinational companies configure their S&OP governance linking factories and markets and the influence this governance bas on their ability to obtain alignment between supply, demand and financial plans. Through company interviews, a typology for observed S&OP governance models is developed., and suggests that an S&OP governance type exerting authority simultaneously into both factories and markets leads to more successful S&OP outcomes. A link is also drawn between S&OP effectiveness and forma! policies for alignment with financial planning. From this, elements of Management Control are deployed as a framework to furthering S&OP conceptualization by recognizing the influence of accounting on S&OP governance in achieving transparency and multi-functional engagement in multinational supply chain contexts. The result is four normative rules for successful S&OP governance and alignment within a multinational supply chain configuration context.
62

Mécanismes et conditions locales de concrétisation de l'innovation inverse : le cas du Brésil / Mechanisms and local conditions for effective reverse innovation : the case of Brazil

Stainsack, Cristiane 28 November 2018 (has links)
Le travail de thèse porte sur l’innovation inverse et ses particularités managériales et organisationnelles au sein d’une filiale d’entreprise multinationale (EMN) localisée dans un pays émergent. Contrairement au modèle classique, l’innovation inverse peut se produire à partir d’un pays en voie de développement ou émergent, et ensuite être transférée vers un pays développé. Dans le cadre de cette recherche, nous nous intéressons au Brésil, un pays émergent où des entreprises mondiales disposent de centres de R&D de référence en Amérique Latine. L’innovation portée par la filiale d’une EMN est réalisée en fonction de divers facteurs et caractéristiques locales qui contribuent à ce que l’innovation menée par cette filiale se propage à l’échelle globale. Les objectifs de la recherche sont de mieux comprendre comment les EMN’s s’organisent dans une approche d’innovation inverse, de progresser sur l’éclairage théorique, et de proposer un modèle de management favorisant l’innovation mondiale à partir des initiatives locales dans un pays émergent. Nos travaux mettent en œuvre une démarche qualitative qui s’appuie sur une méthode d’études multi-cas. Notre contribution est un nouveau modèle théorique et fonctionnel pour l’innovation inverse prenant en compte les éléments qui contribuent à ce phénomène: l’intégration entre la maison mère et la filiale, la décentralisation de la R&D et la valorisation de compétences locales et l’insertion dans le système national d’innovation (SNI). Nos résultats de recherche ont mis en avant l’existence d’autres types d’innovations au-delà de l’innovation technologique qui induit une innovation mondiale. Nous avons observé que les innovations au niveau managérial, processus ou marketing sont absorbées au sein de la maison mère et diffusées vers d’autres filiales à une échelle mondiale. / Our research work concerns reverse innovation and its managerial and organizational features in a multinational corporation (MNC) subsidiary located in emerging markets. Unlike the traditional model, reverse innovation can occur from a developing or emerging country, and then be transferred to a developed country. Our empirical field is Brazil, an emerging country which hosts the reference R&D centers for Latin America of several global companies. The successful transfer to the global scale of an innovation coming from the subsidiary of an MNC depends on various factors and local characteristics that are explored in the thesis. The aims of this PhD dissertation are to better understand the mechanisms of reverse innovation in the context of MNCs, to advance theory and to propose a management model encouraging global innovation based on local initiatives in an emerging country. We show that practices carried out by MNC subsidiaries can have organizational, managerial and environmental implications that can account for the success of reverse innovation. Our research work implements a qualitative approach based on a multi-case study method. Our contribution is a new theoretical and functional model for reverse innovation that takes into account the elements that contribute to this phenomenon: the integration between the parent corporation and the subsidiary, the decentralization of R&D and the valorization of local skills and the insertion into the national system of innovation (SNI). Our research results highlight the existence of other types of innovation beyond technological innovation that lead to global innovation. We show that innovations at management, process or marketing level are absorbed within the parent company and disseminated to other subsidiaries on a global level.
63

Essays on uncertainty and foreign direct investments

Koné, Mankan M. 21 October 2019 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’explorer l’impact de l’incertitude sur les IDE. Elle s’intéresse plus particulièrement à l’industrie agroalimentaire en tenant compte des spécificités de la chaîne de valeur agricole. Les flux et les stocks d’IDE sont généralement très instables et il est admis que l’incertitude est le principal facteur causant les baisses fréquentes de l’IDE au niveau mondial. Nous voulons savoir si et dans quelle mesure l’incertitude causée par la volatilité de la demande et de l’offre peut affecter les IDE dans l’industrie agroalimentaire. À cette fin, nous utilisons des modèles théoriques et empiriques. Dans le premier chapitre, nous étudions empiriquement la mesure dans laquelle l’incertitude provenant des variabilités de la demande du marché, de la production et du commerce peut expliquer la probabilité d’avoir des IDE dans l’industrie agroalimentaire. On s’attend à ce que les IDE soient retardés lorsque l’incertitude augmente car les entreprises qui font ces investissements mobilisent des ressources conséquentes pour réaliser leurs IDE. Nous utilisons un modèle d’analyse de survie et des données d’IDE bilateraux. Cela nous permet de constater que la volatilité réduit la probabilité d’observer l’IDE entre les pays. Ce comportement est observé dans l’industrie agroalimentaire mais aussi dans d’autres industries. Cependant, toutes les sources de variabilité ne jouent pas nécessairement un rôle. Par exemple, les IDE des entreprises multinationales européennes et américaines dans l’industrie alimentaire sont négativement affectés par la volatilité des importations du pays de destination. Les IDE de ces pays dans l’industrie des produits chimiques sont négativement affectés par la volatilité de la production. La volatilité des exportations diminue l’attrait de capitaux étrangers dans le secteur des équipements de transport des pays d’accueil. Dans le second chapitre, nous construisons un modèle théorique pour expliquer le compromis entre les exportations et les IDE compte tenu de l’incertitude quant à la taille de la demande. Nous observons que l’incertitude de la demande induit un comportement d’attente des entreprises multinationales qui explique pourquoi les IDE peuvent être retardés dans les marchés où l’incertitude est grande. L’IDE devient une option réelle dans laquelle l’attente permet de réduire l’incertitude. Nous adoptons la littérature sur l’analyse des options réelles pour construire notre cadre théorique. En plus de l’incertitude de la demande, nous examinons également des facteurs comme les coûts au commerce et l’environnement de la concurrence. Nous observons qu’une forte concurrence, une faible différenciation des produits et une diminution des barrières commerciales amplifient le comportement d’attente des multinationales. Par exemple, la réduction des coûts au commerce peut nuire aux IDE, car elle augmente leur sensibilité à l’incertitude et l’attente devient une option plus intéressante. Dans le dernier chapitre, nous analysons les IDE dans l’industrie agroalimentaire en tenant compte des différences de volatilité dans l’offre agricole entre les pays. Cette analyse nous permet d’étudier la question de l’incertitude dans l’industrie agroalimentaire du point de vue de la chaîne d’approvisionnement, car nous considérons l’incertitude dans le secteur en amont. En fait, les variations des prix agricoles ou des quantités livrées aux transformateurs par les agriculteurs sont souvent importantes et imprévisibles. Par conséquent, ces transformateurs de l’industrie agroalimentaire sont exposées à une incertitude croissante et persistante. Notre cadre théorique tient compte du pouvoir de marché des entreprises de transformation et des IDE de type horizontaux et verticaux. Nous obtenons que même les entreprises neutres au risque sont préoccupées par la variabilité de l’offre. En effet, dans le contexte de l’industrie alimentaire, la relation entre le profit et le choc d’offre est concave étant donné la concurrence imparfaite et le moment de la résolution de l’incertitude. Notre approche empirique confirme que les entreprises multinationales réalisent leurs décisions en matière d’IDE en considérant les disparités de variabilité de l’offre entre les pays parce que la volatilité du secteur agricole dissuade les IDE. Nous testons cette prédiction à l’aide de données bilatérales de stocks d’IDE dans l’industrie agroalimentaire. / The three essays of this thesis explore the impact of uncertainty on FDI in the food industry by taking into account the specificities of the food value chain. FDI flows and stocks are very unstable and evidence suggests that uncertainty is the main factor causing frequent declines in FDI globally. We want to know whether and to what extent the uncertainty caused by the volatility of demand and supply affects FDI in the food processing industry by using theoretical and empirical models. The first essay empirically studies whether uncertainty related to variables such as volatile market demand, production variability and trade volatility affects the hazard rate of FDI in the food industry. As FDI is irreversible investment, it is likely to be delayed when uncertainty increases. Using a survival analysis model and bilateral FDI data, we find that volatility reduces the hazard rate of FDI. This behavior is observed in the food industry but also in other industries. However, not all sources of variability are relevant. For example, FDI by European and US multinational companies in the food industry is negatively affected by the import volatility of the country of destination. FDI of these countries in the chemical industry is negatively affected by the volatility of production. Export volatility plays a role in attracting foreign capitals in the transport equipment sector of host countries. The second essay provides a theoretical model to explain the choice between export and FDI given the uncertainty about the size of demand. The fact that FDI is delayed when uncertainty increases is explained by the wait-and-see behavior of multinational companies when investing in very uncertain foreign markets. FDI decisions can be considered as real options in which the decision to invest can be postponed to reduce uncertainty. We build a model that relies on the literature of real options. In addition to the uncertainty of demand, we also examine factors such as trade costs and the competitive environment. We find that intense competition, low product differentiation and reduction of trade barriers amplify the wait-and-see behavior of multinational firms. For example, trade liberalization can be harmful for FDI, as it increases the sensitivity of FDI to uncertainty and waiting becomes a more valuable option. In the last essay, we analyze FDI in the food processing industry, given the differences in the volatility of agricultural supply between countries. This analysis allow us to examine the issue of uncertainty in the food processing industry from a supply chain perspective, as we consider uncertainty in the upstream sector. In fact, variations of farm prices or of quantity delivered to processors by farmers are problematic as they are large and unpredictable. Consequently, food processing firms, as they use massively primary agricultural commodities as ingredients, are exposed to an increasing and persistent uncertainty. Our theoretical framework takes into account the market power of processors and horizontal and vertical FDI are discussed. We find that even risk-neutral companies are concerned by the variance of supply. Indeed, in the context of the food industry, the relationship between profit and supply shock is concave given imperfect competition and the timing of the resolution of uncertainty. Our empirical approach (a gravity model) confirms that multinational firms achieve their FDI decisions by considering the difference of supply shocks between countries as the volatility of the agricultural sector deters FDI.We test this prediction using bilateral FDI stocks data in the food processing industry.
64

Economic and technological performances of international firms

Cincera, Michele 29 April 1998 (has links)
The research performed throughout this dissertation aims at implementing quantitative methods in order to assess economic and technological performances of firms, i.e. it tries to assess the impacts of the determinants of technological activity on the results of this activity. For this purpose, a representative sample of the most important R&D firms in the world is constituted. The micro-economic nature of the analysis, as well as its international dimension are two main features of this research at the empirical level.<p><p>The second chapter illustrates the importance of R&D investments, patenting activities and other measures of technological activities performed by firms over the last 10 years.<p><p>The third chapter describes the main features as well as the construction of the database. The raw data sample consists of comparable detailed micro-level data on 2676 large manufacturing firms from several countries. These firms have reported important R&D expenditures over the period 1980-1994.<p><p>The fourth chapter explores the dynamic structure of the patent-R&D relationship by considering the number of patent applications as a function of present and lagged levels of R&D expenditures. R&D spillovers as well as technological and geographical opportunities are taken into account as additional determinants in order to explain patenting behaviours. The estimates are based on recently developed econometric techniques that deal with the discrete non-negative nature of the dependent patent variable as well as the simultaneity that can arise between the R&D decisions and patenting. The results show evidence of a rather contemporaneous impact of R&D activities on patenting. As far as R&D spillovers are concerned, these externalities have a significantly higher impact on patenting than own R&D. Furthermore, these effects appear to take more time, three years on average, to show up in patents.<p><p>The fifth chapter explores the contribution of own stock of R&D capital to productivity performance of firms. To this end the usual productivity residual methodology is implemented. The empirical section presents a first set of results which replicate the analysis of previous studies and tries to assess the robustness of the findings with regard to the above issues. Then, further results, based on different sub samples of the data set, investigate to what extent the R&D contribution on productivity differs across firms of different industries and geographic areas or between small and large firms and low and high-tech firms. The last section explores more carefully the simultaneity issue. On the whole, the estimates indicate that R&D has a positive impact on productivity performances. Yet, this contribution is far from being homogeneous across the different dimensions of data or according to the various assumptions retained in the productivity model.<p><p>The last empirical chapter goes deeper into the analysis of firms' productivity increases, by considering besides own R&D activities the impact of technological spillovers. The chapter begins by surveying the alternative ways proposed in the literature in order to asses the effect of R&D spillovers on productivity. The main findings reported by some studies at the micro level are then outlined. Then, the framework to formalize technological externalities and other technological determinants is exposed. This framework is based on a positioning of firms into a technological space using their patent distribution across technological fields. The question of whether the externalities generated by the technological and geographic neighbours are different on the recipient's productivity is also addressed by splitting the spillover variable into a local and national component. Then, alternative measures of technological proximity are examined. Some interesting observations emerge from the empirical results. First, the impact of spillovers on productivity increases is positive and much more important than the contribution of own R&D. Second, spillover effects are not the same according to whether they emanate from firms specialized in similar technological fields or firms more distant in the technological space. Finally, the magnitude and direction of these effects are radically different within and between the pillars of the Triad. While European firms do not appear to particularly benefit from both national and international sources of spillovers, US firms are mainly receptive to their national stock and Japanese firms take advantage from the international stock.<p> / Doctorat en sciences économiques, Orientation économie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
65

L'influence de la stratégie internationale des multinationales sur leurs programmes de mobilité internationale

Fernandez, Esther 12 1900 (has links)
Notre étude s’intéresse à la façon dont les entreprises multinationales utilisent et gèrent la mobilité internationale de leurs employés. Plus précisément, nous cherchions à déterminer l’importance que les entreprises multinationales accordent à leur stratégie internationale au moment de décider de la façon d’utiliser l’expatriation et de la gérer au moyen des programmes de mobilité internationale. Bien que l’objet principal de notre recherche soit d’observer l’influence de la stratégie internationale sur ces programmes, nous avons cherché également à identifier d’autres caractéristiques de chaque entreprise et de son environnement susceptibles de les influencer. Cette démarche nous a permis de déterminer si les entreprises multinationales qui adoptent des programmes de mobilité internationale similaires partagent une même orientation stratégique au niveau international ou plutôt d’autres caractéristiques. Notre étude, effectuée auprès de professionnels de la GRH responsables de la gestion de la mobilité internationale, visait, dans un premier temps, à identifier le type de stratégie internationale privilégiée par les entreprises, ainsi que l’approche de la gestion internationale des ressources humaines qu’elles favorisent. Dans un deuxième temps, nous avons cherché à identifier le type de programme de mobilité internationale en place dans chaque entreprise à partir de l’analyse de leurs composantes (politiques et pratiques RH). Nous avons tiré deux conclusions principales de notre étude. Premièrement, la mobilité internationale, plus particulièrement l’expatriation, constitue toujours un important outil d’expansion et de survie des entreprises multinationales. Deuxièmement, les entreprises multinationales l’utilisent différemment en fonction de leurs objectifs stratégiques et la gèrent de façon très pragmatique, en tenant compte d’une panoplie de facteurs tels le nombre d’expatriés, la culture managériale de l’entreprise, les caractéristiques de leur secteur d’activité, leur expérience et les difficultés rencontrées en cours de route. / Our study looks at how multinational corporations use and manage the international mobility of their employees. More specifically, we sought to determine to which extent multinationals consider their international management strategy in deciding how to use the expatriation managed through international mobility programs. Although the main purpose of our research is to observe the influence of the international management strategy on these programs, we also sought to identify other characteristics of each firm and its environment that may influence them. Our study, conducted among HR professionals responsible for management of international mobility, intended, in a first step, to identify the type of international management strategy favored by firms and the approach to international management of human resources they lead to. In a second step, we sought to identify the type of international mobility program in place in each firm from the analysis of their components (HR policies and practices). We drew two main conclusions of our study. First, international mobility, especially expatriation, is still an important tool for growth and survival of multinational corporations. Second, multinational corporations use expatriation differently depending on their strategic objectives and manage it very pragmatically, taking into account a variety of factors including the number of expatriates, the managerial culture of the company, the characteristics of their industry, their experience and difficulties encountered during the journey.
66

Codes de conduite et droit d'association : une étude exploratoire du secteur du textile

Talarico, Andrea 01 1900 (has links)
Avec la globalisation de l’économie, l’entreprise traditionnelle est devenue un réseau global de producteurs liés par des contrats. À la suite de certains abus commis par les entreprises multinationales, notamment en ce qui concerne les droits fondamentaux des travailleurs, les entreprises et la société civile ont développé des mécanismes de régulation privés dont les codes de conduite privés. La présente étude cherche à déterminer quels pouvaient être les véritables destinataires des codes de conduite : les travailleurs du pays d’origine de l’entreprise (généralement situés dans un pays développé) ou les travailleurs des pays de production (généralement situés dans des pays en développement). À cette fin, le mémoire compare le contenu des codes de conduite de Nike, de Gap et de Levi-Strauss sur ce sujet avec les observations de l’Organisation internationale du travail pour les travailleurs des États-Unis, de l’Inde et du Bangladesh. Certains écarts entre les protections accordées par les codes et les besoins des travailleurs sont ainsi identifiés. Dans la dernière partie du mémoire, la question d’étude est élargie afin d’examiner si les codes ne seraient pas destinés à des personnes autres que les travailleurs, soient les consommateurs, les actionnaires ou l’entreprise elle-même. / The globalised economy has transformed the traditional corporation into a worldwide network of producers connected by contracts. In light of certain abuses committed by multinational corporations, corporations and civil society have developed regulatory mechanisms including private codes of conduct. The purpose of this study is to determine for which workers the codes of conduct were developed: the workers of the country of origin of the corporation (generally located in developed countries) or the workers of the countries of production (generally located in developing countries). By comparing the content of the codes of conduct of Nike, Gap and Levi-Strauss regarding freedom of association with the observations of the International Labour Organisation for the United-States, India and Bangladesh, we identified a certain number of gaps between the content of the codes and the needs of the workers. In the last part of the study, we widened our research question to determine whether or not the codes might be destined to people other than the workers, namely consumers, shareholders or the corporation itself.
67

L'effet du pays d'origine des entreprises multinationales sur les pratiques de relations du travail dans leurs opérations canadiennes

G. Houle, Christine 11 1900 (has links)
Dans le cadre de ce mémoire, nous nous penchons sur les relations du travail (RT) dans les entreprises multinationales (EMs) ayant des opérations au Canada. Notre question de recherche est la suivante: « Le pays d’origine d’une entreprise multinationale a-t-il un impact sur les pratiques de relations du travail dans ses opérations canadiennes? » Deux thèses principales ont été élaborées afin d’expliquer les choix des EMs dans l’adoption et l’implantation de pratiques. La première thèse, celle de la diversité, tient pour acquis que plusieurs déterminants endogènes et exogènes à l’EM influencent ses pratiques (Mcgraw et Harley, 2003). Tant les caractéristiques du pays hôte que celles du pays d’origine influenceraient les choix de pratiques des EMs contribuant ainsi à leur diversité (Almond et al., 2005). Par exemple, certains chercheurs avancent que les EMs sont littéralement imprégnées des caractéristiques provenant du pays qui les a vues naître, qu’elles feraient littéralement partie de leur ADN affectant ainsi les pratiques qu’elles mettent en place dans leurs filiales à l’étranger (Berger, 2006). Par ailleurs, la thèse de la convergence soutient que les EMs auraient tendance à utiliser les mêmes pratiques en cette ère de mondialisation et d’hégémonie économique américaine (Mcgraw et Harley, 2003). Les tenants de cette thèse croient plutôt à une convergence des pratiques à travers les EMs en raison notamment de la vaste diffusion du modèle anglo-saxon de gestion, de l’approche des best pratices et du one best way (Mcgraw et Harley, 2003; Royle, 2006). Convergence ou divergence des pratiques? Le débat demeure entier dans la littérature. Outre sa contribution à ce débat, notre recherche permet d’en apprendre davantage sur le comportement des EMs étrangères au Canada, mais aussi d’examiner les spécificités des EMs canadiennes. Le modèle conceptuel développé par ce mémoire se base sur la thèse de la diversité en examinant plus particulièrement l’effet du pays d’origine. Selon la littérature, plusieurs variables influencent les pratiques des EMs, soit le pays d’origine (Almond et al., 2005; Kvinge et Ulrichsen, 2008; Marginson, 2008; Edwards et Ferner, 2002; Collings, 2003; Ferner, 1997, Moore et Rees, 2008; etc.) et les caractéristiques propres à l’EM (Bartlett et Ghosal, 1998; Kidger, 2002; Perlmutter, 1969; Edwards, 2003). Aux fins de notre recherche, notre variable dépendante, les pratiques de RT, comporte cinq dimensions, soit la reconnaissance syndicale des nouveaux établissements, la politique d’implication du syndicat, la perception à l’égard des représentants syndicaux, la structure de la négociation collective et l’autonomie de la filiale dans l’élaboration de politiques en matière de RT (Bélanger et al., 2006). L’hypothèse principale de notre recherche est : le pays d’origine d’une EM a un impact sur le choix des pratiques de RT dans ses opérations canadiennes. Cinq sous-hypothèses, touchant cinq dimensions du concept de RT, ont été testées : 1) les EMs américaines reconnaissent moins souvent le syndicat dans leurs nouveaux établissements que les EMs d’autres pays; 2) les EMs américaines ont une moins bonne perception patronale du syndicat que celles provenant d’autres pays; 3) les négociations collectives sont plus décentralisées dans les EMs américaines que dans celles d’autres pays; 4) les EMs américaines impliquent moins les syndicats dans la prise de décision que celles provenant d’autres pays; 5) l’autonomie dans l’élaboration de politiques concernant la représentation syndicale est plus faible dans les EMs américaines que dans les EMs d’autres pays. Sur le plan méthodologique, cette étude utilise des données secondaires provenant de l’Enquête sur la gestion des ressources humaines, les politiques publiques et la chaîne de valeur mondiale menée par Bélanger, Harvey, Jalette, Lévesque et Murray (2006). Nous étudions un sous-échantillon de la base de données, soit une centaine d’EMs dont les employés sont syndiqués. Les résultats indiquent que les opérations canadiennes des EMs canadiennes se différencient de celles des EMs américaines par une meilleure perception patronale des syndicats et une plus grande implication syndicale. De plus, les EMs européennes reconnaissent plus le syndicat dans leurs nouveaux établissements, perçoivent davantage de la collaboration de la part du syndicat et octroient une plus grande autonomie en matière de RT à leurs opérations canadiennes que les EMs américaines. Enfin, les opérations canadiennes des EMs du reste du monde se distinguent de celles des EMs américaines par une meilleure perception patronale de collaboration de la part du syndicat. / The purpose of this research is to study labour relations in multinational corporations (MNCs) operating in Canada. Our research question is : “Does the country of origin of an MNC have an impact on the labour relations practices in its Canadian operations? ». Two main theses are put forward in the literature in order to explain the choices of MNCs in the adoption and the establishment of practices. The first one is the diversity thesis, which takes for granted that several endogenous and exogenous determinants of the MNC influence its practices (Mcgraw and Harley, 2003). The characteristics of the host country as well as those of the country of origin influence the choices of practices of MNCs, which are contributing to their diversity (Almond and al., 2005). For example, some researchers explain that MNCs are literally impregnated with characteristics coming from the country from which they originated, that it would be literally part of their DNA affecting the practices that they set up in their abroad subsidiaries (Shepherd, 2006). At the opposite, the convergence thesis asserts that MNCs tend all to use the same practices because of globalisation and American economic hegemony (Mcgraw and Harley, 2003). The supporters of this thesis believe in a convergence of the practices through MNCs because of the vast diffusion of the Anglo-Saxon model of management, the best practices and the one best way approaches (Mcgraw and Harley, 2003; Royle, 2006). Is there a convergence or a diversity of the practices? The debate remains strong in the literature. In addition to contributing to this debate, our research further explores the behaviour of foreign MNCs in Canada, and the particularities of Canadian MNCs. The conceptual model developed here is based on the diversity thesis, more specifically the effect of the country of origin. According to the literature, several variables influence the practices of MNCs: the country of origin (Almond and al., 2005; Kvinge and Ulrichsen, 2008; Marginson, 2008; Edwards and Ferner, 2002; Collings, 2003; Ferner, 1997, Moore and Rees, 2008; etc) and the characteristics specific to the MNCs (Bartlett and Ghosal, 1998; Kidger, 2002; Perlmutter, 1969; Edwards, 2003). In this research, the dependent variable, the labour relations practices, has five dimensions: union recognition in the new establishments, the trade union implication policy, management perception of the trade union representatives, the collective bargaining structure and the autonomy of the subsidiary in the development of labour relations policies (Bélanger and al., 2006). The principal assumption of our research is: the country of origin of a MNC has an impact on the choice of the practices of labour relations in its Canadian operations. Five sub-assumptions, corresponding to the dimensions of the concept of labour relations, were tested: 1) American MNCs less often recognize trade unions in their new establishments than MNCs of other countries; 2) American MNCs have a worse managerial perception of the trade union than those coming from other countries; 3) Collective bargaining is more decentralized in American MNCs than in those of other countries; 4) American MNCs are less likely to include trade unions in their decision-making than those coming from other countries; 5) There is less autonomy in the development of policies concerning trade union representation in American MNCs than in MNCs from other countries. The methodology of this study uses secondary data coming from the Survey on Employment Practices, Public Policy and the Global Value Chain carried out by Bélanger, Harvey, Jalette, Lévesque and Murray (2006). We study a subsample of the data base, composed of one hundred MNCs whose employees are unionised. The results show that Canadian operations of Canadian MNCs differ from those of American MNCs. Canadian MNCs have a better perception of the unions and involve more unions in decision-making. European MNCs are more likely to recognize trade unions in new establishments, perceive greater union collaboration and grant greater autonomy regarding labour relations to their Canadian operations, as compared to American MNCs. The Canadian operations of MNCs of the rest of the world are distinguished from American MNCs by a stronger perception of union collaboration.
68

Les logiques de localisation des entreprises multinationales au Québec : une analyse des systèmes d'affaires et des relations industrielles en région

Pelard, Matthieu 02 1900 (has links)
L’objet de ce mémoire est de comprendre les logiques de localisation des entreprises multinationales au Québec. À l’aide de deux études de cas, basées sur cinq investissements, nous avons examiné les facteurs qui ont permis à deux filiales d’entreprises multinationales étrangères d’obtenir un investissement ou un réinvestissement. La littérature sur la localisation des entreprises multinationales à l’étranger nous a aidé à identifier trois types d’attributs qui sont susceptibles d’influencer l‘obtention d’un investissement par la filiale locale : les attributs internes à la filiale, les attributs liés à la relation qu’entretient la filiale avec son siège social et les attributs liés aux contextes d’affaires dans lesquels la filiale exerce son activité. Nos résultats permettent d’établir plusieurs constats. Premièrement, les facteurs pris en compte dans les décisions d’investissement varient selon les échelles internationales, nationales, provinciales et locales. Les sièges sociaux des entreprises multinationales procèdent à une sélection successive de facteurs dans la perspective d’arriver à un meilleur compromis. Par conséquent, un facteur ne peut à lui seul expliquer un investissement. Le poids et la diversité des facteurs peuvent varier en fonction des situations. Deuxièmement, la complémentarité des attributs internes de la filiale avec son contexte d’affaires local a fortement contribué à l’obtention d’investissements. La technologie de production, les compétences des employés ainsi que la capacité de la direction locale à promouvoir les atouts de la filiale auprès des comités d’investissement représentent des éléments clés. La présence d’institutions locales fortes et coordonnées est également à prendre en compte dans le soutien apporté au développement de la filiale. / This research tries to understand the location of multinational corporations (MNCs) activity in Province of Quebec. Using a case study of five investments, we examined the factors that led two subsidiaries of foreign multinationals to obtain an investment or reinvestment. A review of the literature on foreign investment and multinational localization led us to identify three types of advantages which explain how investments are gained or lost by the local subsidiary: the internal advantage of the subsidiary, advantage related to the subsidiary's relationship with its headquarters and advantage related to business contexts in which the subsidiary operates. Our results lead to several conclusions. Firstly, we note that the factors taken into account in investment decisions differ according to the international, national, provincial and local scales. The MNC’s headquarters conduct a successive selection of factors in the context of achieving a better compromise. Therefore, a single factor can not explain an investment. The weight and nature of the factors may vary depending on the situation. Secondly, the complementarity of internal attributes of the subsidiary with its local business context has strongly contributed to investments. Production technology, employee skills, and the ability of management to promote the local subsidiary’s assets to investment committees were important. Potentially, strong and coordinated local institutions can be improved by the local subsidiary’s development.
69

Droits de l’homme, principes éthiques et industrie pétrolière

Luigi, Vincent 02 1900 (has links)
L’influence des multinationales pétrolières dans la société contemporaine est devenue un élément central de la problématique relative aux droits de l’homme et au développement durable. Elles sont maintenant très nombreuses à opérer dans le secteur public et privé avec des stratégies et objectifs particulièrement divers. Grâce à des budgets conséquents, et une technologie complexe et avant-gardiste, elles sont responsables de l’exploration, de la production, du raffinage et de la distribution du pétrole brut. Cela dit, dans le but de pointer du doigt les déséquilibres importants dans les relations entre l’industrie pétrolière et les pays en développement, la commission mondiale sur l’environnement et le développement a très tôt mis en avant le terme de « développement durable », se caractérisant par un « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Le secteur pétrolier et gazier est déjà depuis un certain temps un leader en matière de responsabilité sociale. Les compagnies pétrolières attachent de plus en plus d’importance à leur impact économique, social et environnemental et elles font aussi de plus en plus attention à leur image. En plus d’autres éléments, ce phénomène se démontre par l’extraordinaire augmentation des codes de conduite et par des initiatives relatives à la responsabilité sociale comme le « global compact » de Kofi Annan. Cela dit, l’efficacité de ces initiatives est souvent remise en question et il existe un certain nombre de preuves attestant du fossé existant entre les déclarations de principes et le véritable comportement des acteurs sur le terrain. Toute la question est donc de savoir si une conciliation est possible. Mots- / The influence of Multinational oil corporations in contemporary society is becoming an increasingly central element of human rights and sustainable development problematic. There are now many MNOCs operating in both private and public sectors with remarkably diverse objectives and strategies. Thanks to large budgets and complex advanced technology, they are responsible for exploration, production, refining and crude oil distribution. In order to address the imbalance between industrial oil and lessdeveloped countries, the world commission on environment and development has early pointed up the term « sustainable development » which is « that meets the needs of the present without compromising the ability of future generations to meet their own needs ». As a result, the oil and gas sector has been among the leading industries in championing Corporate Social Responsibility a while ago. Oil companies attach greater importance to their economical, social and environmental impact and they also pay more and more attention to their image. Among other things, this phenomenon is demonstrated by the extraordinary growth in corporate codes of conduct and CSR initiatives such as Kofi Annan’s Global Compact. However, the effectiveness of these initiatives has been regularly questioned and there is a mounting evidence of a gap between the statements of principles and the real actor’s behaviour on the field. Finally, is a conciliation possible?
70

Les stratégies syndicales face aux restructurations d’entreprises : une étude comparative des contre-pouvoirs syndicaux dans le secteur des équipementiers automobiles en France et au Canada

Dupuis, Mathieu 08 1900 (has links)
Cette thèse tente de comprendre l’impact des restructurations des entreprises multinationales sur les stratégies syndicales. Les acteurs syndicaux locaux sont-ils déterminés par l’appartenance à des régimes nationaux et à des contingences organisationnelles ou peuvent-ils influencer des décisions objectives comme les restructurations ? Cette recherche s’insère dans une problématique large qui fait la jonction entre la mondialisation économique sur une base continentale, la réorganisation productive des entreprises multinationales et l’action syndicale. Au plan théorique, nous confrontons trois grandes approches analytiques, à savoir : le néo-institutionnalisme et les structures d’opportunités ; l’économie politique critique et la question du pouvoir syndical ; la géographie économique critique mettant de l’avant les contingences, l’encastrement et l’espace concurrentiel. Sur la base de ces trois familles, nous présentons un modèle d’analyse multidisciplinaire. Au plan méthodologique, cette thèse est structurée autour de quatre études de cas locales qui ont subi des menaces de restructurations. Cette collecte a été effectuée dans deux pays (la France et le Canada) et dans un secteur particulier (les équipementiers automobiles). Trois sources qualitatives forment le cœur empirique de cette thèse : des statistiques descriptives, des documents de sources secondaires et des entretiens semi-dirigés (44), principalement avec des acteurs syndicaux. L’analyse intra et inter régime national éclaire plusieurs aspects de la question des stratégies syndicales en contexte de restructurations. Les principales contributions de cette thèse touchent : 1. l’impact des facteurs relationnels et des ressources de pouvoir développées par les syndicats locaux sur les structures d’opportunités institutionnelles; 2. l’importance des aspects « cognitifs » et d’envisager le pouvoir de manière multi-niveaux; 3. l’importance de l’encastrement social et des dynamiques relationnelles entre syndicats et patronats; 4. l’influence de la concurrence internationale/nationale/régionale/locale dans le secteur des équipementiers automobiles; et 5. l’importance des arbitrages et des relations entre les acteurs de l’entreprise par rapport à la théorie de la contingence pour comprendre les marges structurelles des syndicats locaux. Notre recherche invite les acteurs sociaux à repenser leur action dans le cadre des restructurations. En particulier, les syndicats locaux se doivent d’explorer de nouveaux répertoires stratégiques pour répondre aux nombreux défis que posent le changement économique et les restructurations. / This thesis examines the impacts of the restructuring of multinational enterprises on trade union strategies. Are local union strategies an outcome of national institutional embeddedness and organizational contingencies, or can unions in fact influence core elements of corporate decision-making vis-à-vis restructuring? This research speaks to major scholarly debates concerning economic globalization, corporate restructuring, and union organization. In terms of theory, this thesis addresses three large analytical approaches, these being: neo-institutionalism and opportunity structures; critical political economy and the question of union power; and critical economic geography in relation to contingencies, embeddedness, and competition across borders. Drawing from these three theories, this research proposes a new multidisciplinary model of analysis for research on union strategies. In terms of methodology, this thesis is structured around four case studies of local unions in two countries (Canada and France) and a specific sector (automobile equipment manufacturers). Three qualitative sources are at the heart of this thesis: descriptive statistics, documentation from secondary sources, and semi-structured interviews (44), primarily focused union actors. This thesis analyzes union strategies within and across jurisdictions to elucidate their ramifications for firms and workers, particularly in the context of restructuring. The principal contributions of this thesis touch on: 1. the impacts of power resources developed by local unions on institutional opportunity structures; 2. the importance of cognitive aspects of strategy and its implications for power in a multi-level context; and 3. the importance of social embeddedness and social relations between unions and employers; 4. the omnipresence of international/national/regional/local competition in the automobile equipment manufacturing sector; and 5. the importance of trade-offs and relationships between business players from the vantage point of contingency theory to understand the structural facets of local union action. This research invites social actors to rethink their strategies concerning corporate restructuring. In particular, local unions should explore new strategic repertoires of action for responding the new challenges pertaining to economic change and restructuring.

Page generated in 0.1523 seconds