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Le corps pris aux mots dans le récit de femmes à risque d'accoucher prématurément

Giroux, Mylène 05 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche porte, comme le titre l'indique, sur le corps pris aux mots dans le récit de femmes à risque d'accoucher prématurément. Le but de cette recherche est d'éclairer ce qui se joue dans le psychisme de la femme qui enfante et qui est à risque d'accoucher avant terme. Nous mettons en évidence quelques-uns des enjeux psychiques liés, entre autres choses, à la féminité, à la maternité et à la filiation. Nous partons de la perspective clinique selon laquelle les processus psychiques manifestent un inconscient à l'œuvre. Ainsi, nous explorons des situations potentielles qui peuvent aboutir au déclenchement d'un travail avant terme lors d'une grossesse à partir d'une approche psychanalytique. Tant dans l'élaboration théorique que dans la méthodologie, nous reprenons l'éclairage que peut apporter la psychanalyse sur des phénomènes comme la grossesse à risque d'accoucher avant terme sans étiologie médicale. Dans cette recherche, la grossesse est conçue comme un événement de corps qui vient actualiser, pour chaque femme, la question du féminin et le rapport à la castration; la grossesse en tant que figure du féminin. Nous revenons sur les concepts de narcissisme, de castration et d'identification relativement à la féminité et à la maternité. Enfin, nous abordons le sujet de la grossesse et de ses effets sur le psychisme d'une femme. Nous partons de l’hypothèse que le risque d'accouchement prématuré sans étiologie médicale peut suggérer, chez certaines femmes, un ratage dans la transmission signifiante. Nous abordons ce phénomène en prenant en considération la dimension somatique, c'est-à-dire en tenant compte de la possibilité que le déclenchement du travail avant terme puisse être une « mise en corps » témoignant d'un certain raté symbolique. Le repérage des enjeux psychiques inconscients s'est effectué par l'analyse de trois récits de femmes à risque d'accoucher avant terme. Par le biais de cette recherche et de l'analyse des entretiens, nous croyons avoir rendu pertinente l’hypothèse, à vérifier au cas par cas, que l'accouchement prématuré peut être, pour certaines femmes, une solution, amenée par le sujet, qui se manifeste dans son corps comme une réaction à des angoisses indicibles. À la lecture des analyses, nous pouvons constater que l'entretien singulier permet de saisir la façon dont ces trois sujets entendent réguler leur rapport au monde tel qu'ils puissent y accueillir un enfant. La régulation est appel à la fonction paternelle, à la loi, à la règle. Cette régulation sera transmise à l'enfant. De plus, cette recherche a réintroduit la considération du père dans la question de la transmission. La grossesse est un événement de corps qui évoque les enjeux du devenir mère qui passent par la rencontre avec le féminin en tant que figure du manque et de la castration. Nous avons mis en évidence quelques-uns de ces enjeux psychiques qui peuvent concourir, chez certaines femmes, à l'apparition de pathologies périnatales. Nous avons conclu que la maternité met en scène un certain rapport à l'enfant comme objet phallique. La grossesse met en scène le rapport que le sujet entretient avec son monde. Ce qui entoure la naissance d'un enfant est relatif à l'accueil de cet enfant dans un discours et dans une lignée. De plus, la gestation met à jour, chez la femme, des enjeux subjectifs qui sont liés à son rapport à la castration. Ces enjeux psychiques sont liés, entre autres choses, à la transmission et à la filiation. En ce sens, la femme en donnant naissance à un enfant s'inscrit dans le jeu des identifications. Nous avons mis en évidence que la maternité peut toujours, du fait que l'enfant réalise le semblant - celui de se substituer au phallus - donner lieu à l'horreur d'une rencontre avec le réel. De plus, nous avons relevé que la grossesse et la naissance d'un enfant font « renaître » les enjeux liés au narcissisme féminin. L'imminence de la naissance représente la perte d'une partie de soi qui peut être une des formes de l'angoisse de castration féminine. Enfin, nous avons pu remarquer que, pour certaines femmes, la rencontre avec un réel, c'est-à-dire avec ce que le corps a d'irreprésentable dans le sens de corps vivant, primordialement refoulé donne lieu à plusieurs angoisses liées à la rencontre avec la castration et avec le manque. Nous avons évoqué que le sujet va élaborer une réponse, va mettre en place une solution pour faire avec le manque. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Accouchement prématuré, inconscient, corps, féminin, castration, transmission
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La figura simbólica de Sheherezade en la literatura femenina latinoamericana contemporánea

Aristizábal Montes, Patricia January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Jeux de pouvoir : des coulisses à l'avant-scène : les reines de France Marie de Médicis et Anne d'Autriche

Leduc, Tania January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Wanted : dead or alive. Women as bodies in Shakespeare's Pericles, King Lear and Macbeth

El-Cherif, Lydia January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Figurations psychiques de la pénétration dans sa valence passive : les phénomènes d'influence psychotique et hypnotique comme manifestations du féminin

Poupart, Florent 02 July 2013 (has links) (PDF)
La question de l'essence de la sexualité féminine est l'une de celles qui firent d'emblée le plus débat au sein de la communauté psychanalytique, allant parfois jusqu'à être escamotée (le "continent noir" de Sigmund Freud). Toutefois, on sait que Freud a laissé échapper des bribes d'une théorisation alternative: on y rencontre une femme dotée d'un orifice vaginal, et dont le but sexuel passif est d'être pénétrée. D'où provient cette appétence à accueillir passivement l'autre en soi ? La pénétration génitale dans sa valence passive constitue le but pulsionnel ultime du développement psychosexuel féminin, celui qui permet la reproduction. Toutefois, il semble probable qu'une représentation psychique de celle-ci n'est pas le produit d'une génération spontanée à la puberté (comme l'a parfois suggéré Freud), mais qu'elle plonge ses racines dans les temps prégénitaux: elle ne peut manquer de s'appuyer sur la réalité du corps de la fille comme du garçon, porteur d'une dimension contenante-excitable. C'est pourquoi il nous semble possible d'isoler une composante pulsionnelle spécifique, qui vise le but passif d'être pénétré: une composante pulsionnelle vaginale. Les phénomènes d'influence apparaissent paradigmatiques de la figuration psychique de la pénétration. Nous avons choisi d'en considérer deux modalités: le délire d'influence constitue une résolution, dans le champ psychotique, de l'ambivalence à l'égard du désir vaginal; sous hypnose, la modification de l'état de conscience favorise l 'appétence à s'abandonner aux suggestions de 1'hypnotiseur, en neutralisant, par divers procédés, les résistances du sujet qui relèvent d'un refus du vaginal.
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Figurations monstrueuses dans trois oeuvres de Josée Yvon : étude précédée du recueil Désirs fous

Aubé Lanctôt, Amélie January 2012 (has links)
Ce mémoire a pour objectif l'exploration en deux temps (volets créatif et réflexif) d'une écriture au féminin qui cherche à composer avec une identité trouble. La première partie, qui est la partie créative du mémoire, présente un sujet lyrique féminin aux prises avec des désirs particuliers et qui est en quête d'un ailleurs. Sur un ton alternant entre l'ironie et la mélancolie, le recueil se présente sous forme de fragments poétiques et de poèmes en vers. La partie réflexive s'attache également à mieux comprendre un sujet qui compose avec une identité instable, voire marginale, à travers l'étude de figurations monstrueuses au féminin dans trois oeuvres de Josée Yvon : La chienne de l'hôtel Tropicana, publié en 1977 aux Herbes rouges, Les laides otages, en 1990, et La cobaye, en 1993, tous deux chez VLB éditeur. Cette partie du mémoire se divise en deux chapitres : "Les personnages" et "Lieux sordides et formes éclatées", qui abordent le monstrueux à partir de l'étude des corps, des caractères et des comportements, des lieux et de la forme des récits et poèmes.
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Impact de l'infection à Chlamydia trachomatis et sa récidive sur la fertilité féminine

Robitaille, Ann January 2013 (has links)
Contexte : L'infection génitale à Chlamydia trachomatis (C. trachomatis ) est un important problème de santé publique car elle peut entraîner de graves séquelles en matière de reproduction, y compris l'atteinte inflammatoire pelvienne, l'infertilité tubaire et la grossesse ectopique. On retrouve une absence de symptômes de l'infection à C. trachomatis chez 70% des femmes infectées ce qui apporte une morbidité élevée car, même si l'infection est facilement curable, elle doit d'abord être dépistée. Objectif : L'objectif principal de la recherche est d'établir le risque de développer un problème de fertilité féminine après une infection à C. trachomatis et sa récidive. Méthode : L'étude de cohorte rétrospective, qui a eu lieu entre les années 1996 et 2011, a permis l'observation de deux groupes de femmes, âgées entre 15 et 24 ans, selon leur exposition à une infection à C. trachomatis . Avec une médiane de 7 ans pour le temps de suivi, les analyses de régressions se sont portées principalement sur les issues de reproduction telles que la naissance et le diagnostic d'infertilité tubaire. L'échantillon est constitué de 5,057 femmes qui ont effectué 12,301 examens de C. trachomatis avec seulement 8,6% de tests positifs. Résultat : Les analyses semblent démontrer que le potentiel d'accoucher est significativement moindre chez les femmes qui ont été exposées à une infection à C. trachomatis , pour un rapport de cote brut de 0,82 (IC à 95% : 0,67-0,99) et un RC ajusté, pour l'âge et d'autres infections vaginales, de 0,84 (0,69-1,02). Lorsqu'on stratifie selon l'âge, le RC ajusté indique 0,71; IC 95% (0,53-0,94) pour le groupe des 20-24 ans alors qu'il est sans effet chez les 15-19 ans. En ce qui concerne l'infertilité, on constate un risque significatif 3 fois plus élevé de développer une infertilité tubaire, RC brut de 2,81 (1,04-7,56), après avoir obtenu au moins une infection à C. trachomatis . Lorsqu'on ajuste pour l'âge, la tendance indique un RC ajusté de 1,52 (0,41-2,75). Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent qu'une infection à C. trachomatis contribue à l'infertilité tubaire et diminue le taux de natalité chez une femme. L'impact de l'infection se manifeste principalement chez les femmes âgées entre 20 et 24 ans lorsque la durée de suivi est minimalement de 4 ans suite au premier test à C. trachomatis . La détection et le traitement de l'infection doit se faire, particulièrement chez les femmes asymptomatiques, avant le développement de séquelles. La fréquence du dépistage doit être suffisante pour permettre une détection précoce.
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Women in photography at the Notman Studio, Montreal, 1856-1881

Skidmore, Colleen Marie January 1999 (has links) (PDF)
No description available.
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Problématisation de la question du Mal à partir de la Psychologie Analytique de Carl Gustav Jung / Questioning Evil from the perspective of Carl Gustav Jung’s Analysis Psychology

Delaigue, Chrystel 18 May 2018 (has links)
Le Mal retourne de ces questions qui préoccupèrent les hommes et les préoccupent toujours. En cela, et comme au cœur de nos vies, il est familier, presque quelconque. Pourtant, ô combien nombreux furent celles et ceux qui tentèrent de lui donner sens, en essayant, au moins, de le définir. La singularité des auteurs qui s’imposèrent de l’attaquer à la racine, le foisonnement des disciplines qui envisagèrent de le délimiter pour le dépasser peut-être, n’en rendirent pour autant aucune tentative définitivement fructueuse. Le Mal semble rétif à toute limite, quand bien même celle-ci n’en aurait été qu’une esquisse. La présence récente et développée des sciences humaines pourrait-elle, dès lors, se targuer d’un progrès de compréhension, sinon de résolution lorsque le Mal se présente ? La voie psychologique deviendrait-elle une aubaine ? Incarné sous les traits d’un patient défait, parfois terrassé chez son thérapeute, le Mal aurait-il trouvé un plus redoutable concurrent que ceux qu’il affronta par d’autres chemins, philosophique ou théologique ? En l’occurrence, la psychologie des profondeurs portée par Carl Gustav Jung, ne cessa, par son auteur, de s’y confronter. Plus encore, le Maître de Zürich sembla s’enquérir coûte que coûte de cette abyssale noirceur qui gît, on ne sait où, prise entre profondeur de l’âme, du monde ou de l’être. Aveu d’une exceptionnelle érudition ou d’un cuisant débordement, les références employées par Jung pour traiter de cette épine inextricable, sont nombreuses, presque indénombrables. Néanmoins des familles de pensées se dessinent et soutiennent les interrogations du psychologue, mêlées parfois confusément aux expériences et affres personnelles. Ainsi, et à partir de cette histoire, d’abord celle d’un homme, peut se reconstituer celle des hommes, et selon ce point de vue ; celui du Mal. Surtout, cela nous oblige à considérer la nécessaire rencontre, désormais, de disciplines, qui pour s’être croisées, se sont souvent disjointes. Les arcanes de la psyché pourraient bien être des arcanes justement. Elles ne donneraient à voir que ce qui, souterrain et secret, porterait pourtant l’expression de ce qui, loin de ne conduire qu’à des sources individuelles et passées, hisserait en sus, à une forme inconsciente collective et flirtant avec un aruspice. En cela, la problématisation de la question du Mal à partir de la psychologie des profondeurs permet un éclairage sur notre monde et qui, à défaut de résoudre et de dissoudre le mal présenterait au moins l’avantage de mieux saisir les raisons pour lesquelles Carl Gustav Jung sembla si effrayé par ce qu’il qualifia ponctuellement de « Mal absolu ». / Evil is part is those questions which have always preoccupied mankind. In this, and as if being in the heart of lives, Evil remains familar, amost ordinary. However, many are those who have tried to find meaning in Evil, or at least to define it. The singularity of those authors who sought to tackle Evil at its roots, or the multiplicity of the various fields which have tried to deliniate it, probably in order to reach beyound it, never resulted in a truly fruitfull or satisfactory outcome. In fact, Evil seems to be resitant to any type of limits, even tentative limits. In this context, could the recent developement of humain siences claim to have made progress in the understanding, if not the resolution of Evil when it is encountered? Could the psychological path represent an opportunity ? When embodied in a deranged patient, and sometimes conquered within his therapist, could we say that Evil has met a more potent opponent than other previous opponants encountered in the fields of philosophy or theology? Actually, depth psychology as developped by C.G. Jung has never ceased to seek confrontation with Evil. It seems that the Zurich master has been investigating the dark abysses in the depth of the world and the human soul, regardless of the cost of this investigation.Displaying exceptional scholarly qualities, Jung has used a great number of different references to treat this thorny topic. Particular lineages of traditions appear to support Jung's interrogations that are mixed with his personal experiences and torments. this brings us to take into consideration the encounter of various fields that have crossed but also remained separated Finally, Questioning Evil from the perspective of depth psychology brings a certain understanding of our world. If this understanding cannot in itself resolve or disolve the question of Evil, at least it presents the advantage of grasping the reasons why C.G.Jung seemed to be so frightened by what he named "Absolute Evil".
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Les figures féminines dans l'oeuvre fictionnelle de Jean-Paul Sartre / The female figures in Jean-Paul Sartre’s fictional work

Oh, Eun Ha 01 December 2010 (has links)
Les figures féminines dans l’oeuvre fictionnelle de Jean-Paul Sartre nous semblent se situer au croisement de toutes les ambivalences sartriennes, et pouvoir éclairer ses prises de position dans le contexte socio-historique. Ses figures féminines lui permettent fréquemment de condamner l’inauthenticité des marginaux, en illustrant les formes de l’aliénation ‘féminine’, dont les constituants représentatifs sont 'se séquestrer', 'se faire l’objet du regard', et 'jouer la comédie maniérée'. Mais ce mode d’exister de la ‘féminité’ est mobilisé moins pour la différence sexuelle que pour la hiérarchie sociale. En dépit de la transgression provocatrice de la limite entre les deux sexes, l’idée liée à la féminité et à la masculinité demeure intacte : il s’agirait d’une stratégie, d'une collusion avec ses lecteurs. Néanmoins, sur un plan symbolique, des expressions métaphoriques liées au ‘visqueux’ unissent le féminin à la nature proliférante, rejoignant ainsi le dualisme traditionnel. Face à ce ‘féminin’ qui offre l’occasion de se confronter à l’altérité, l’horreur et la fascination sont toujours liées : la tentation de fuir l'altérité cache d’autre part le rêve d’une symbiose avec elle. Cette symbiose prend la forme de la ‘fraternité incestueuse’ ; face à son échec, naît une intense exigence portée aux femmes, comme celle à l’égard de la mère ; enfin, l’auteur en vient à édifier la femme en tant que 'ni l’un ni l’autre'. Face à l’Autre-femme, l’homme sartrien fuit, mais se refuse à l'exclure tout à fait de son chemin : ce glissement incessant caractérise la représentation des figures féminines sartriennes. / The female figures in Jean-Paul Sartre’s fictional work can be seen as standing at a crossroads where all the forms of ambivalence in his work intersect, and thus illuminate his viewpoints in the context of social history. Sartre often uses his female figures to condemn the inauthenticity of marginal persons by showing the forms of ‘feminine’ alienation, represented by such expressions as ‘be sequestered,’ ‘become the object of the gaze’ and ‘play affected comedy.’ However, this mode of existence of femininity is summoned for social hierarchy rather than sexual difference. In spite of the provocative transgression of the border between the two sexes, the idea related to femininity and masculinity remains intact: it seems to be a strategy in collusion with his readers. Nevertheless, at a symbolic level, the metaphorical expressions related to ‘viscosity’ link the feminine to proliferating nature, thus connecting with traditional dualism. In front of the ‘feminine’ that offers an opportunity to confront otherness, fear and fascination always intertwine: in the desire to escape otherness is hidden a dream of symbiosis with it. This symbiosis takes the form of ‘incestuous fraternity’; its failure gives birth to an intense craving for women - like that for a mother. In the end, for the author, the woman becomes ‘neither one nor the other.’ Faced with ‘the Other-woman,’ the Sartrian man runs away, but also refuse to completely rule her out of his life: this constant shift is characteristic of the representation of female figures in Sartre’s work.

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