• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 437
  • 36
  • 12
  • 5
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 575
  • 575
  • 231
  • 195
  • 193
  • 171
  • 140
  • 133
  • 123
  • 107
  • 100
  • 98
  • 86
  • 84
  • 82
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
171

Les effets de l'enseignement systématique des métaphores sur leur acquisition chez des élèves de première secondaire

Marcotte, Marie-Jo January 2008 (has links) (PDF)
Plusieurs élèves du secondaire ne sont pas des lecteurs autonomes, capables de maîtriser des habiletés de lecture de haut niveau. Leur compréhension des textes littéraires est souvent littérale et ils peinent à décoder l'implicite et le langage figuré. La présente recherche veut illustrer le fait qu'il faut systématiser au secondaire l'enseignement de ces éléments afin de former des lecteurs capables d'interpréter les textes (Giasson, 2000, Sorin, 2001, Manesse et Grellet, 1994). À l'occasion de notre recherche, nous avons observé les effets de l'enseignement systématique des métaphores sur leur acquisition chez des élèves de première secondaire. Pour y parvenir, nous avons élaboré et expérimenté une séquence d'enseignement-apprentissage réservée à notre groupe expérimental et basée sur les principes de l'inférence inductive permettant l'apprentissage de l'abstraction. Nos objectifs de recherche étaient, dans un premier temps, de vérifier l'augmentation du degré de compréhension des métaphores auprès de ces élèves placés en situation de lecture et, dans un deuxième temps, de vérifier les retombées de ce même dispositif didactique sur leur compétence à en produire de nouvelles (réinvestissement des apprentissages) en situation d'écriture. Notre cadre théorique présente les concepts clés qui sous-tendent nos objectifs de recherche, dont une typologie des métaphores en trois groupes selon leurs caractéristiques spécifiques. Il y a d'abord les métaphores de type 1 (X est un Y) ou les métaphores nominales simples, qui contiennent systématiquement le comparé (X) et le comparant (Y) et confèrent au comparé les propriétés du comparant. On a également les métaphores de type 2, ou les métaphores implicites simples, qui procèdent par l'ellipse soit du comparé soit du comparant. Par voie de conséquence, le caractère implicite du terme absent dans l'énoncé doit alors être inféré du terme présent dans la métaphore. En ce qui a trait aux métaphores de type 3, elles constituent des métaphores verbales présentant une violation d'une règle syntaxico-sémantique entre le sujet et le verbe ou entre le verbe et le complément. C'est sur cette typologie que se base notre matériel expérimental. Notre recherche a engagé la participation de cinquante-neuf élèves de première secondaire, soit des élèves issus de deux groupes repères dont l'un constituait le groupe expérimental et l'autre, le groupe contrôle. Afin de vérifier l'atteinte de nos deux objectifs de recherche mentionnés précédemment, nous avons eu recours à trois différents instruments de recherche. En premier lieu, nous avons présenté aux élèves des deux groupes un prétest et un post-test relatifs à la compréhension des métaphores en situation de lecture. L'analyse de ces deux tests a permis de vérifier si les élèves du groupe expérimental qui avaient bénéficié de la séquence d'enseignement-apprentissage comprenaient davantage les métaphores contenues dans les textes littéraires. En deuxième lieu, nous avons réalisé en cours d'expérimentation des entrevues dirigées dans le but de faire verbaliser certains sujets du groupe expérimental relativement à leur interprétation métaphorique des énoncés. En troisième lieu, de manière à nous assurer qu'ils avaient développé leur compétence à en produire de nouvelles en situation d'écriture, nous avons demandé aux sujets du groupe expérimental de rédiger trois courts textes, à trois moments différents de la séquence d'enseignement-apprentissage, que nous avons fait analyser par des spécialistes de la langue française qui ont donné leur appréciation, selon une échelle de Likert présentée dans un questionnaire, des métaphores créées par les sujets. Au terme de l'analyse de nos résultats, nous sommes en mesure d'affirmer que notre dispositif didactique favorise, tant en situation de lecture qu'en situation d'écriture, l'acquisition des métaphores chez les élèves de première secondaire. En effet, pour les sujets du groupe expérimental, le taux de réussite de chacun des trois types de métaphores a été supérieur lors du post-test: le taux de réussite des métaphores du premier type est passé de 71 % à 73%, celui du deuxième type, de 54% à 62%, et celui du troisième type, de 43% à 64%. La compréhension des métaphores de type l est facilitée par la présence tant du comparé que du comparant dans l'énoncé; les sujets, n'ayant pas à chercher les éléments qui entrent en jeu pour établir la comparaison, interprètent plus aisément la métaphore. Les métaphores de type 2, quant à elles, nécessitent un plus grand effort d'interprétation que celles de type l puisque le sujet doit d'abord retracer le terme manquant de l'énoncé, pour ensuite identifier ce qui est commun aux deux termes, soit le comparé et le comparant. De leur côté, les métaphores de type 3 requièrent un questionnement concernant premièrement le lieu de violation de la règle syntaxico-sémantique et deuxièmement, le lien qui unit les deux éléments qui à première vue semblent opposés. Nous sommes d'avis que la méthode d'enseignement en trois phases -soit celles de l'observation/exploration, de la représentation mentale et de l'abstraction -basée sur les principes de l'inférence inductive que nous avons utilisée tout au long de notre parcours didactique a joué un rôle crucial dans le développement de leur compréhension des énoncés métaphoriques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Compréhension en lecture, Métaphores, Langage figuré.
172

Le lexique en français du Québec des manuels québécois

Salazar Robles, Edith January 2008 (has links) (PDF)
La présente recherche visait surtout à répondre à la question suivante: les manuels de langue seconde édités au Québec utilisent-ils un lexique qui correspond au français québécois? Comme suite à cette question, deux autres sous-questions émergent: dans quelle proportion utilise-t-on un lexique du français québécois dans les manuels de langue seconde pour les adultes édités au Québec? Les termes ou expressions retenus en français du Québec (FQ) peuvent-ils être regroupés selon des thèmes spécifiques? Pour ce faire, nous avons traité des sujets comme la variation linguistique, plus spécifiquement la variation géographique du français. Nous avons aussi décrit ce que nous entendons par FQ et français de France (FF). Pour ce qui est des manuels, nous avons défini le concept et parlé de ses fonctions. Nous avons aussi mentionné quelques études dont les manuels sont à la base. Afin de répondre à notre question principale de recherche nous avons analysé cinq manuels destinés aux adultes de français langue seconde édités au Québec. Quant à notre analyse, nous avons repéré du lexique et l'avons classifié. Pour le repérage et la classification, nous avons utilisé la méthode de Pitois (1997) comme point de départ, pour ensuite la compléter avec le Petit Robert et le Dictionnaire québécois français. Comme résultat, nous avons trouvé que le français québécois est plus utilisé dans les manuels analysés, bien que, le français de France n'y soit pas complètement absent. Nous avons également repéré que lorsqu'on parlait de l'alimentation, des vêtements, des moyens de transport, de la « nouvelle » technologie et de la féminisation des professions, le français québécois prédominait. Les résultats nous ont permis de voir que la variation géographique et l'aspect culturel de la langue sont énormément liés. Il est aussi important de signaler que la présente étude a mis en évidence voir que les étudiants qui suivent des cours dans les écoles participantes sont en train de se préparer davantage à se familiariser, comprendre et utiliser le lexique du français d'ici. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Français de France, Français du Québec, Lexique, Manuels, Variation linguistique.
173

Une analyse des discours sur la francophonie dans la revue Le français dans le monde (1995-2007)

Rathé, Anita January 2009 (has links) (PDF)
Le but de cette recherche est de mettre en lumière les différentes facettes de la francophonie, en lien avec ses modalités d'intégration en enseignement du français langue étrangère (FLE) et du français langue seconde (FLS), telles qu'elles sont présentées dans une revue de diffusion mondiale destinée aux enseignants. Comment y aborde-t-on la francophonie, tant dans son ouverture sur les littératures francophones que dans la variation linguistique? Pour répondre à cette question, nous avons choisi d'étudier la revue Le français dans le monde (FDLM) et ses suppléments sur une période déterminante au point de vue de l'évolution de la notion de francophonie, soit de 1995 à 2007. Notre étude est réalisée à partir d'une analyse de contenu. La grille d'analyse que nous avons mise au point a servi à recueillir les passages clés concernant les réalités géopolitique et sociolinguistique de la francophonie. De plus, cet outil nous a permis de recueillir les données concernant les littératures francophones, leur répartition géographique et la proportion de la revue qui leur est consacrée. Durant la période 1995-1998, la revue FDLM présente un contenu traditionnellement centré sur la France, alors qu'elle réserve le contenu francophone à son supplément Diagonales (qui cessera de paraître fin 1998). Au cours de la période 1999-2007, le FDLM ouvre ses sections Culture et Société (cinéma, littérature, musique, mode de vie...) à la francophonie. Nous avons constaté une ouverture décisive aux littératures francophones à partir de 1999, tant par les comptes rendus d'ouvrages littéraires que par des articles et dossiers s'intéressant à l'enseignement des littératures francophones. La francophonie institutionnelle teinte la revue de multiples façons. Par rapport à la mondialisation, le FDLM met la Francophonie de l'avant comme acteur essentiel dans la lutte pour la diversité culturelle et le plurilinguisme. À partir de 2001 paraît le supplément Francophonies du Sud, financé par l'Organisation Internationale de la Francophonie. Le continent africain y reçoit une attention particulière sous différents aspects: considérations historiques, diversité des statuts de la langue, représentations culturelles. Il ressort de notre travail que la revue a évolué vers une volonté manifeste de sortir du franco-centrisme et a adopté une conception ouverte sur différents horizons francophones. De plus, tant la revue principale que ses suppléments réussissent généralement à éviter le subterfuge des généralités et à minimiser les pièges de la folklorisation. Il est intéressant de noter à ce propos que la revue comble un décalage et fait figure de relais entre la recherche et les enseignants, car les littératures francophones sont peu présentes dans les manuels et rarement abordées dans la formation initiale des enseignants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Francophonie, Français langue seconde, Français langue étrangère, Littératures francophones.
174

Identification des conditions idéales favorisant l'acquisition du français langue seconde (FLS) au secondaire dans les tâches effectuées avec les technologies de l'information et de la communication (TIC) et adéquation entre la théorie et la pratique

Guay, Martine January 2009 (has links) (PDF)
Ce présent mémoire vise à vérifier si les tâches effectuées avec les technologies de l'information et de la communication (TIC), conçues par des enseignants de français langue seconde (FLS) au secondaire, réunissent les conditions idéales, telles qu'identifiées par le courant théorique interactionniste, pour favoriser l'acquisition d'une langue seconde (ALS). Afin d'atteindre cet objectif, la recension des écrits portant sur l'identification des conditions idéales dans une perspective interactionniste a été effectuée. Au total, neuf conditions idéales ont été identifiées relativement à la qualité de la langue, soit aux attributs particuliers de l'apport langagier, de la production langagière et de l'interaction. L'apprenant devrait être exposé à un apport langagier (1) qui lui fournit de nouvelles données, (2) qui est mis en évidence et (3) qui peut être modifié. L'apprenant devrait avoir l'occasion (4) de produire la langue de façon compréhensible, (5) de remarquer dans sa production langagière les erreurs et (6) de les corriger. La tâche devrait (7) amener des interactions modifiées pour permettre des négociations de sens, (8) maximiser les interactions entre les apprenants pour qu'ils puissent surmonter les problèmes linguistiques afin de poursuivre la résolution de problèmes non linguistiques et (9) favoriser des interactions à deux sens. À partir des neuf conditions idéales identifiées, la Grille de description et d'évaluation d'une tâche effectuée avec les TIC a été construite pour faciliter l'analyse des tâches recueillies sur le terrain. Au cours d'une entrevue semi-dirigée, dix enseignants, identifiés a priori par la conseillère pédagogique de FLS comme étant des utilisateurs exemplaires des TIC, ont décrit deux tâches exemplaires qu'ils demandent à leurs élèves de réaliser avec les TIC. La description et l'évaluation des vingt tâches exemplaires ont été réalisées au moyen de la Grille de description et d'évaluation d'une tâche effectuée avec les TIC. L'analyse des résultats a permis de dénombrer une moyenne de 2.85 conditions idéales réunies par tâche sur un total de neuf conditions idéales favorisant l'ALS. Les résultats obtenus révèlent que les tâches effectuées avec les TIC sont, selon une perspective interactionniste, peu favorables à l'ALS. Il serait avantageux de sensibiliser l'enseignant de L2 quant à la nécessité de réunir dans les tâches des conditions positives à l'ALS. Les recommandations de l'étude portent sur l'utilisation par les enseignants et les chercheurs de la Grille de description et d'évaluation d'une tâche effectuée avec les TIC (a) en tant qu'outil d'expertise pour évaluer la tâche sur le plan de la qualité de l'apport langagier, de la production langagière et de l'interaction; (b) en tant qu'outil de formation puisqu'elle met en évidence les caractéristiques déterminantes à l'ALS; et (c) en tant que guide pour éclairer l'enseignant sur la conception de tâches potentiellement favorables à l'ALS. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Technologies de l'information et de la communication (TIC), Tâche effectuée avec les TIC, Conditions idéales, Acquisition d'une langue seconde (ALS), Interactionnisme, Apport langagier, Production langagière, Interaction.
175

Étude de la relation entre la compétence en langue seconde et la réussite à des tâches langagières

Gauthier, Mélanie January 2009 (has links) (PDF)
Plusieurs recherches (p.ex., Anderson, Clapham et Steel, 1997; EIder et Manwaring, 2004; Renou, 2001) se sont intéressées à la relation entre la compétence en langue seconde (désormais L2) et la réussite à des tâches considérées par ces auteurs comme étant métalinguistiques chez des apprenants adultes de L2, mais une seule de ces études (Renou, 2001) a tenu compte de la demande cognitive de la tâche, c'est-à-dire des niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers requis par la tâche à effectuer. L'objectif de cette étude était donc de reprendre l'étude de Renou (2001) en modifiant certains aspects de la tâche expérimentale utilisée dans l'étude source (Renou, 2001) que nous croyons problématiques telles l'interdépendance entre les résuItats et la disparité des éléments langagiers examinés. La question de recherche à laquelle nous avons tenté de répondre était la suivante: y a-t-il une relation entre la compétence en L2 et la réussite à des tâches langagières exigeant différents niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers? Afin, de répondre à cette question, nous avons mené une étude corrélationnelle dans laquelle les vingt-huit participants (n=28), des étudiants inscrits à un cours de français L2 de niveau intermédiaire avancé dans un cégep anglophone, ont été soumis à deux instruments de mesure. Le premier était constitué d'une tâche de jugement de grammaticalité et d'une tâche de correction de l'erreur. Le deuxième était constitué du test de compétence en français L2 de l'Université d'Ottawa. Les résultats de celle étude vont dans le même sens que ceux obtenus par Renou (2001) et indiquent que la réussite à la tâche de correction de l'erreur est significativement corrélée à la compétence en L2. Par ailleurs, les résultats indiquent que la tâche de jugement de grammaticalité a été significativement mieux réussie que la tâche de correction de l'erreur appuyant ainsi le modèle de Bialystok (2001 a, 2001 b) selon lequel la tâche de jugement de grammaticalité et la tâche de correction de l'erreur requièrent différents niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers. Les résultats obtenus nous donnent des indications quant à la relation entre la compétence en L2 et la réussite à des tâches langagières exigeant différents niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acquisition du français langue seconde, Tâche métalinguistique, Compétence en langue seconde.
176

Les enjeux de l'aménagement linguistique dans le milieu scolaire algérien

Mérouani, Nadia January 2009 (has links) (PDF)
L'aménagement linguistique en Algérie et ses enjeux pour l'école algérienne est un sujet toujours d'actualité, plus de trente ans après l'instauration de l'arabisation. Cet aménagement a suscité des conflits qui n'ont pas cessé de nourrir des tensions entre arabisants et francisants dans l'Algérie post-indépendante. Cette dichotomie laisse l'Algérie hésitante entre l'arabe, langue du panarabisme, de la tradition et la culture arabo-musulmane, et le français, langue de l'ancien colonisateur, mais aussi langue de la modernité, de la science et de la technologie. Ce travail, construit sous l'angle de l'aménagement linguistique, constitue une reprise de l'étude de Saad (1992); Il vise à connaître les attitudes des jeunes étudiants (lycéens) algériens face à l'arabisation d'une manière générale, à l'usage de l'arabe comme langue d'enseignement ainsi que leur perception du bilinguisme et du français comme langue d'enseignement des matières scientifiques. Notre enquête a été menée en Algérie au mois de mai 2008 auprès de 135 lycéens de deux lycées. Le premier, Okba Ibn-Nafâa, est situé à Alger. Le deuxième, le Technicum de Sidi Moussa, est situé dans la banlieue d'Alger. Les résultats de cette enquête, en regard de ceux de Saad (1992), révèlent l'évolution des perceptions des jeunes lycéens envers l'usage du français dans l'enseignement et le bilinguisme. L'attitude des lycéens face à l'arabisation s'avère moins positive que l'étude de 1992. Ces résultats coïncident avec les réformes scolaires actuelles en Algérie, qui sont construites autour d'une approche socioconstructiviste et où les langues étrangères jouent un rôle privilégié, notamment le français, qui est déjà bien ancré dans la culture algérienne. Dans cette perspective, l'arabe continue à jouer un rôle important dans l'école algérienne sans toutefois rompre complètement avec le français. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sociolinguistique, Arabisation, Aménagement linguistique, Langues en contact, Multilinguisme.
177

Étude du lien entre la compétence pragmatique et la compétence grammaticale auprès d'apprenants allophones de français L2

Dalmasso, Nicolas January 2009 (has links) (PDF)
Dans le cadre de ce mémoire, nous avons mesuré la compétence pragmatique, plus précisément la compréhension de l'acte demande, et nous l'avons mise en rapport avec la compétence grammaticale. Il s'agissait de mesurer plus précisément la compréhension de l'acte de parole demande. Nous avons voulu observer un éventuel lien entre les deux compétences citées, tel que des chercheurs l'ont évoqué. La mesure de la compréhension de l'acte demande a été réalisée au moyen d'un test de compréhension écrite et celle de la compétence grammaticale, au moyen d'un test de grammaire standardisé. Nous avons également recueilli des informations au moyen d'un questionnaire d'informations personnelles et ce, afin de mieux caractériser notre population participante. Celle-ci était constituée d'apprenants allophones adultes en français langue seconde. Les tests que nous avons mis en pratique lors de notre expérimentation ont été mis à l'essai préalablement auprès de participants dont la langue première était le français. Les résultats obtenus montrent une corrélation positive entre la compétence grammaticale et la compétence pragmatique. Nous avons ainsi pu mieux caractériser les liens entre ces deux composantes de la compétence de communication. Nous avons également pu déterminer le niveau de compréhension des demandes selon une classification établie en démontrant que les demandes directes ont mieux été comprises que les demandes indirectes. À partir de ces résultats et des explications relevées dans la littérature du domaine abordé, nous avons confirmé le point de vue d'auteurs qui affirment que la compétence grammaticale précède la compétence pragmatique pour des apprenants de niveau avancé.
178

Évaluation du niveau d'acquisition des expressions figées chez des enfants allophones et francophones de la 3e à la 6e année du primaire

Archambault-Lapointe, Jaëlle January 2009 (has links) (PDF)
Cette recherche exploratoire avait pour objectif de mesurer l'influence de divers facteurs individuels et linguistiques sur la connaissance d'élèves de niveau primaire en matière d'expressions figées françaises. Les facteurs individuels que nous avons étudiés sont le niveau scolaire, le groupe linguistique et le sexe. Quant aux facteurs linguistiques, il s'agissait de la fréquence des expressions, de la fréquence des mots clés et du nombre de concurrents plus fréquents que les mots clés. Notre population était formée d'élèves allophones et francophones de la 3e à la 6e année fréquentant une école francophone de Montréal. Les groupes linguistiques ont été déterminés en fonction de la langue parlée à la maison (avec les parents). Les élèves (165 au total) ont été évalués dans leur milieu scolaire, au moyen d'un test de production écrite guidée. Celui-ci était présenté sous la forme de phrases lacunaires comprenant des expressions figées dont un ou deux mots étaient tronqués. La tâche des participants consistait à compléter les expressions. À partir des données recueillies, nous avons effectué des analyses statistiques afin de déterminer si les facteurs considérés avaient eu une influence significative sur la performance des élèves. Ces analyses ont permis de constater que la réussite des élèves au test était fortement liée au niveau scolaire. En effet, les élèves plus avancés ont mieux performé que les élèves moins avancés, et cet écart s'est révélé significatif. Ce résultat suggère que plus les élèves avancent dans leur scolarisation, plus ils développent leurs connaissances des expressions. Par contre, nos analyses n'ont pas révélé de différence significative entre les groupes linguistiques (allophones et francophones). Parmi les explications possibles, nous avons évoqué le fait que la grande majorité des enfants allophones fréquentaient un établissement scolaire francophone depuis la maternelle; il est également possible que la complexité des situations linguistiques dans les familles des enfants allophones entre en jeu. Quant au facteur « sexe », nous n'avons pas observé d'écart de performance entre les garçons et les filles. En ce qui a trait aux caractéristiques linguistiques, la fréquence des mots clés ainsi que le nombre de concurrents plus fréquents ont eu un effet significatif sur la performance des élèves. Par contre, nos analyses n'ont pas révélé de lien entre la fréquence des expressions et la réussite des enfants. Il est probable que la base de données utilisée pour mesurer la fréquence soit en cause. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acquisition du français langue seconde, Expressions figées, Connaissances lexicales, Élèves du primaire, Allophones, Francophones.
179

Les effets de la dictée négociée sur le gain en orthographe lexicale d'étudiants adultes allophones

Langevin, Ève January 2009 (has links) (PDF)
Dans cette recherche, nous avons réalisé et testé la dictée négociée en utilisant la négociation de la forme et l'interaction entre les pairs. Cette dictée est issue des stratégies d'enseignement-apprentissage métacognitives. Elle a pour objet de faire émerger, de développer et de mettre en situation les connaissances ainsi que la conscience métalinguistique et la conscience morphologique des élèves relativement à l'orthographe lexicale. Nous avons voulu vérifier l'effet de la dictée négociée sur la production et la compréhension de certaines régularités en orthographe lexicale, comme les consonnes finales muettes et les préfixes qui entrainent une consonne double. Au terme de cette recherche, nous espérons pouvoir répondre à la question suivante: le travail métalinguistique inhérent à la dictée négociée se réalise-t-il en un gain significatif en orthographe lexicale? En sous-question, nous nous demanderons si les étudiants ont réutilisé correctement les notions de morphologie dérivationnelle après la période d'enseignement en dictée négociée? Deux questions subsidiaires nous permettront de décrire le processus qui nous a permis d'évaluer le gain orthographique, à savoir si les étudiants sont capables de verbaliser correctement les règles orthographiques qui les ont amenés à une graphie spécifique, et quelle est la nature des réflexions exprimées lors des verbalisations et des négociations de la forme. Pour répondre à ces questions, la recherche a été réalisée auprès d'étudiants adultes en langue seconde de niveau avancé. La méthodologie consiste à faire deux types de dictées: des dictées négociées et une dictée traditionnelle. Pour mesurer le gain nous avons d'abord donné une dictée traditionnelle avant la période d'enseignement, incluant des mots vus en classe et des mots jamais vus en classe. Après la période d'enseignement, nous avons redonné la même dictée pour mesurer le gain pour chaque mot à l'étude et le gain pour chaque étudiant. La période d'enseignement avec les dictées négociées visait à faire ressortir les connaissances déclaratives, procédurales et conditionnelles. Les résultats montrent que, pour un échantillon d'étudiants, l'amélioration de l'orthographe des mots avec préfixe qui entraine une consonne double a été notablement significative après une courte période d'enseignement avec les dictées négociées, tandis que les mots avec consonne finale muette étaient déjà maitrisés. Ces résultats indiquent que la dictée négociée est une approche qui améliore l'orthographe lexicale lorsqu'elle traite de difficultés linguistiques dont on peut observer, décrire et reconnaître les régularités. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Orthographe, Lexicale, Dictée, Métalinguistique, Immigrants, Allophones, Adultes, Français, Langue seconde, Négociation de la forme, Interaction, Transfert, Verbalisation.
180

Existe-t-il un lien entre les activités et les contacts hors classe et le niveau de compréhension pragmatique chez les apprenants adultes allophones de français langue seconde

Bilodeau, Ariane January 2009 (has links) (PDF)
Nous avons, dans le cadre de cette étude, vérifié si les activités et les contacts hors classe sont en lien avec la compréhension écrite d'énoncés liés, reflet du niveau de compétence pragmatique en enseignement des langues secondes, et ce, chez des apprenantst adultes allophones de français L2. Pour répondre à notre question de recherche « Y a-t-il un lien entre les activités et les contacts hors classe et le niveau de compréhension des énoncés liés, reflet de la compétence pragmatique, chez les apprenants adultes allophones en français L2? Si oui, quelle est la nature de ce lien?», nous proposons l'hypothèse suivante: «Les activités et les contacts hors classe réalisés par les apprenants adultes allophones de français L2 sont corrélés avec le niveau de compréhension d'énoncés liés.» Cette étude empirique quantitative ne comporte qu'un seul moment de mesure où les participants sont soumis aux mêmes conditions expérimentales. Les participants représentent des apprenants adultes hispanophones de français L2 de niveau avancé. Nous avons recours à deux instruments de mesure. Un premier consiste en un questionnaire écrit servant à recueillir des informations sur les activités et les contacts hors classe des participants, traduction d'un questionnaire utilisé par, entre autres, Freed, Dewey et Segalowitz en 2004, modifié pour les besoins spécifiques de cette étude, et comportant 21 questions, la plupart constituées sur une échelle de Likert. Le deuxième s'inscrit comme une tâche de compréhension pragmatique composée de 20 énoncés liés ayant la forme du Vocabulary Knowledge Scale, employé par Bardovi-Harlig en 2007. Après quelques modifications, nous en sommes arrivée à quatre (4) niveaux distincts de compréhension. Nous avons saisi les données obtenues au questionnaire écrit sur les activités et les contacts hors classe et celles de la tâche de compréhension pragmatique au moyen d'un chiffrier électronique de type Excel et nous les avons par la suite soumises à des analyses statistiques descriptives et inférencielles. Les résultats montrent que les activités et les contacts hors classe ne sont pas corrélés avec le niveau de compréhension pragmatique, confirmant les conclusions de certaines études (p. ex., Freed et Segalowitz, 2004; Taguchi, 2008). La discussion des résultats et les limites de cette recherche alimentent les idées pour de futures études qui pourraient se consacrer à vérifier les liens qui existent entre les activités et les contacts en L2 et le niveau de développement de la compétence pragmatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Français L2, Compétence pragmatique, Activités et contacts hors classe.

Page generated in 0.0515 seconds