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Le rôle de l'apprentissage de la langue française dans le processus d'intégration des immigrants à la société québécoise

Bourassa-Dansereau, Caterine January 2010 (has links) (PDF)
L'immigration et les expériences liées à l'intégration sont une réalité vécue par un nombre de plus en plus important de personnes. Par exemple, au Québec, l'immigration permanente a augmenté d'environ 68% entre 1997 et 2006 et pour l'année 2009, ce sont environ 58000 immigrants qui établiront domicile au sein de la province (Ministère de l'immigration et des communautés culturelles, 2008). Mais au-delà des chiffres et des statistiques, comment se vivent l'immigration et l'intégration chez les individus concernés? Dans le cadre de cette recherche, nous posons un regard précis sur le processus d'intégration et nous nous intéressons au rôle de l'apprentissage de la langue française dans le processus d'intégration des immigrants à la société québécoise. Pour ce faire, notre posture méthodologique est inductive: les éléments théoriques développés servent de cadre d'analyse aux interprétations subjectives du phénomène. Ainsi, les définitions conceptuelles concernant la langue (Ricoeur, 1986), l'intégration (Abou, 1981) et la culture (Geerzt, 1973), de même que les théories en communication interculturelle (Spitzberg, 1974; Poutignat et Streiff-Fenart, 1995; Gudykunst, 1989; Hall, 1973), sont complétées à l'aide d'éléments issus de l'expérience des immigrants. Des récits de vie sont ainsi menés auprès de trois participants et les résultats obtenus sont interprétés grâce au cadre théorique développé. Les analyses et interprétations principales émergeant de notre recherche sont de trois ordres. Elles concernent l'importance de l'insertion professionnelle dans le processus d'intégration, elles définissent l'intégration culturelle dans sa relation de réciprocité entre l'immigrant et la société d'accueil et elles définissent le rôle de la langue (langue et discours) dans le processus d'intégration. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Immigration, Intégration, Langue, Culture, Récit de pratique.
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L'intégration de la culture québécoise à l'enseignement en immersion française dans des écoles primaires au troisième cycle

Tremblay, Anne-Marie January 2010 (has links) (PDF)
Cette recherche présente et analyse comment la culture québécoise est intégrée à l'enseignement en immersion française au troisième cycle du primaire. Le contenu culturel québécois véhiculé dans cinq classes d'immersion française est analysé, de même que les méthodes et les approches d'enseignement de la culture de cinq enseignantes. Pour réaliser la collecte de données, une méthodologie qualitative a été adoptée. Nous avons effectué une analyse documentaire du matériel d'enseignement du français et de l'univers social de cinq enseignantes. Nous avons également procédé à un entretien individuel auprès de chacune d'elles. Les principaux résultats obtenus démontrent que la culture québécoise est intégrée à l'enseignement du français et de l'univers social, en immersion française au troisième cycle du primaire, par le biais de repères culturels reliés à la présence, à l'histoire et au parler des Québécois. Les méthodes d'enseignement de la culture utilisées par les cinq enseignantes participantes sont celles où les médias écrits et parlés peuvent être mis à profit. Les résultats montrent aussi que l'approche d'enseignement de la culture de la majorité des répondantes est l'étude culturelle, c'est-à-dire qu'elles sensibilisent leurs élèves à la culture québécoise, mais ne développent pas des attitudes et une conscience interculturelles. En conclusion de cette recherche, mentionnons que les repères culturels québécois intégrés à l'enseignement en immersion française sont des faits clairement observables, telles des réalisations artistiques, des faits vérifiables, telles des réalités historiques, ou encore des éléments reliés directement à la langue, comme les expressions. De plus, nous concluons que le matériel d'enseignement utilisé semble avoir une influence sur le contenu culturel véhiculé en classe et sur l'uniformité qu'il pourrait y avoir d'une classe à l'autre. Enfin, les méthodes exigeant peu de matériel et peu de préparation sont celles que les enseignantes privilégient. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Culture, Immersion, Enseignement, Langue seconde.
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Analyse de facteurs prédisant la reconnaissance et la rapidité de reconnaissance des congénères interlinguaux par des élèves anglophones de première secondaire lisant en français

Hébert, Nancy January 2007 (has links) (PDF)
Le lexique est à la base de tout langage. Son apprentissage dans une langue seconde prend du temps et peut parfois être ardu. Cependant, une certaine parenté entre la langue première et la langue seconde d'un apprenant peut en accélérer l'apprentissage. Bien que la présence de congénères interlinguaux (mots de même origine étymologique) dans des textes puisse aider l'élève à comprendre plus facilement, il n'en demeure pas moins que leur reconnaissance n'est pas nécessairement simple et peut poser certains problèmes d'interprétation, liés à l'existence des faux amis. En effet, les variations orthographiques ou sémantiques entre les deux langues peuvent l'induire en erreur et, à la longue, le faire hésiter par méfiance dès qu'il rencontre un mot apparenté. Nous savons, grâce à de nombreuses études sur le sujet, que les congénères interlinguaux ne sont généralement pas reconnus spontanément, sans enseignement préalable. Certains sont reconnaissables, d'autres pas. Est-il possible de prédire systématiquement lesquels seront reconnus et lesquels ne le seront pas? Notre recherche descriptive vise donc, de façon globale, à mesurer la capacité de 21 élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde de base, à reconnaître des congénères avant même qu'on ne leur enseigne l'origine étymologique des mots ou la présence de mots apparentés. Pour ce faire, nous reproduisons partiellement et élargissons une étude menée par Moss (1992) auprès d'étudiants hispanophones apprenant l'anglais. Ainsi, trois objectifs sont poursuivis. Le premier consiste à déterminer, parmi des variables lexicales à plusieurs niveaux (longueur du mot, nombre de différences orthographiques, classe du mot, type de changement orthographique), celles qui peuvent prédire la récognition ou la non-récognition des congénères chez des élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde. Le second objectif est de vérifier si la présence d'un contexte peut également prédire cette récognition. Le dernier vise à observer si ces mêmes variables peuvent prédire la rapidité de reconnaissance des congénères. Sur le plan méthodologique, nous avons créé et utilisé principalement deux types de tests: un test de traduction (sur papier) et un de temps de réaction (sur support informatique). La partie A du premier test contenait une liste de congénères (hors contexte) et la partie B, des congénères soulignés dans des phrases (en contexte). Chaque élève devait tenter de traduire sans aide chacun des congénères. Le deuxième test, quant à lui, présentait à l'écran d'un ordinateur une suite de congénères (hors contexte): chaque élève devait indiquer le plus rapidement possible si elle reconnaissait le mot ou non (le temps de réaction était calculé en millisecondes). Tous les congénères utilisés ont ensuite été codés dans un tableur électronique en fonction des différentes variables étudiées, de façon à permettre le calcul de coefficients de corrélation entre la reconnaissance, la rapidité de reconnaissance et les aspects. Les résultats du test de traduction ont révélé que la combinaison de sept des niveaux de variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe nominale, voyelles ajoutées, voyelle remplacée par une consonne, consonne remplacée par une voyelle, total des différences sur les plans des voyelles et des consonnes) avec l'absence de contexte ont prédit une non-récognition des congénères. En contexte, trois niveaux de variables ont prédit une non-récognition (classe adjectivale, voyelle remplacée par une consonne et consonne remplacée par une voyelle) alors que deux ont prédit l'inverse (voyelle effacée et consonne remplacée par une autre consonne). Ainsi, seulement deux niveaux de variables, soit le remplacement d'une consonne par une voyelle et d'une voyelle par une consonne, ont donné une prédiction similaire dans les deux parties du test. Pour ce qui est des résultats du test de réaction, sept niveaux des variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe adverbiale, dernière lettre différente, voyelle remplacée par une autre voyelle, consonne effacée et total des différences sur le plan des voyelles et des consonnes) ont prédit un ralentissement de la reconnaissance des congénères. Nous confirmons que la reconnaissance des congénères ne va pas de soi et recommandons aux enseignants de planifier et de structurer l'enseignement des congénères en tenant compte des facteurs pouvant en prédire la reconnaissance ou la non-reconnaissance lors de l'apprentissage (le nombre de lettres différentes, la différence proportionnelle et les différences sur le plan des consonnes) par exemple en misant davantage sur le contexte interne du congénère, en enseignant diverses stratégies de lecture et en ayant recours à une variété de support dont l'informatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Congénères interlinguaux, Faux amis, Vocabulaire réceptif, Français langue seconde, Temps de réaction, Mémoire, Transfert.
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Comparaison entre l'enseignement présentiel et l'enseignement virtuel pour l'apprentissage de l'accord des mots «tout» et «même»

Petit, Yolande January 2006 (has links) (PDF)
Cette recherche vise à comparer les retombées de deux types d'enseignement lors de l'acquisition des notions grammaticales portant sur l'accord des mots «tout» et «même ». Ces deux types d'enseignement, virtuel à l'aide d'un didacticiel et présentiel sur support papier, ont été donnés à deux groupes de 3e secondaire dans le but d'en comparer les résultats au niveau des connaissances déclaratives, procédurales, conditionnelles, ainsi qu'au niveau de la rétention de ces notions. Notre problématique fait état de la situation par rapport à l'implantation, à l'utilisation et à l'efficacité des nouvelles technologies en enseignement des langues, tout en remarquant le problème de rétention des notions grammaticales nécessaire au transfert de ces notions en situation d'écriture lors de productions écrites. Notre cadre théorique, après un survol portant sur les différentes théories d'apprentissage en général, et ensuite sur les théories relatives à l'apprentissage de la grammaire, présente un bref historique de l'enseignement de la grammaire. Notre cadre se termine avec l'analyse de l'efficacité de l'enseignement à l'aide des nouvelles technologies, ce qui nous amène à la façon de choisir les bons outils de travail, c'est-à-dire les bons didacticiels, afin d'optimiser l'efficacité de l'enseignement technologisé. Nous présentons ensuite les huit étapes constituant notre méthodologie de recherche. Avant d'administrer les séquences respectives d'enseignement à nos deux groupes de sujets, nous leur avons fait passer trois pré-tests. Le matériel utilisé peu après, lors des séquences d'enseignement, était exactement le même pour tous, mais sur support différent. Les deux groupes ont subi ensuite quatre post-tests. Plusieurs outils de mesure ont été utilisés de façon répétée afin de nous permettre de constater s'il y avait eu rétention des notions. Une courte parenthèse sera ouverte sur un 3e groupe, qui n'avait pas été retenu au départ et qui a subi plusieurs des mêmes épreuves pendant la recherche, mais auquel on a administré une séquence d'enseignement plus dynamique et plus approfondie. Lors de l'interprétation des résultats, ce troisième groupe nous révélera quelques différences à propos de l'acquisition des notions grammaticales. Ce qui nous amène à terminer ce résumé sur le constat suivant: l'analyse des résultats concernant nos deux groupes officiels de sujets ne révèle aucune différence significative, ni au niveau de l'acquisition des connaissances déclaratives, procédurales et conditionnelles, ni au niveau de la rétention des notions. La discussion finale tentera d'expliquer pourquoi nous en sommes arrivées à ces résultats.
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Représentations sociales du code conversationnel du clavardage chez les jeunes et chez les experts québécois

Lacerte, Christine January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur les usages et sur les représentations sociales de la qualité de la langue française chez les jeunes qui pratiquent le clavardage. Nous y étudions la perception qu'ont les experts de la langue française et les jeunes Québécois âgés de 14 et 15 ans de cette pratique d'écriture, en nous appuyant sur les notions de motivation, d'appropriation et de représentation sociale. L'objectif de recherche consiste à dégager le sens que les jeunes accordent à cette pratique et à comprendre les motivations qui sous-tendent l'usage d'un langage éloigné des règles conventionnelles du français. De nature qualitative, cette étude puise dans la psychosociologie des usages, laquelle étudie le comportement humain à travers une combinaison des facteurs sociaux et psychologiques. Cette approche repose sur la compréhension des interactions entre l'usage d'un objet technique, les représentations que les individus se font de l'objet et son insertion dans un contexte de pratiques. Concrètement, nous avons réalisé cinq entretiens auprès d'experts de la langue française et huit entrevues individuelles semi-structurées auprès des jeunes de 14 et 15 ans pour saisir les usages et les représentations sociales liés au code conversationnel du clavardage. L'analyse des données, inspirée de l'approche par théorisation ancrée, a démontré un fort niveau d'homogénéité entre les perceptions des jeunes et celles des experts de la langue française, et indique que les espaces de clavardage sont des lieux où se forgent les liens sociaux. Il apparaît que le code conversationnel du clavardage est tributaire de plusieurs facteurs parmi lesquels figurent la rapidité à s'exprimer, l'habitude et le désir de distinction sociale. Ce code d'écriture constitue un vecteur d'intégration sociale important et il contribue au développement de l'identité générationnelle de l'adolescent. Il ressort également que jeunes et experts ont affiché peu d'inquiétude quant aux méfaits potentiels de ce langage sur la qualité de la langue française, notamment parce que le clavardage vient redorer l'importance accordée à l'écriture. Nous espérons que les résultats découlant de cette recherche contribueront à enrichir les connaissances sur cette nouvelle façon particulière, voire hermétique, de communiquer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Clavardage, Code d'écriture, Usages, Représentations sociales, Lien social.
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L'utilisation des scripts préalables et leur incidence sur la compréhension en lecture des apprenants adultes de français langue seconde du niveau intermédiaire

Izgoryeva, Tetyana 06 1900 (has links) (PDF)
Plusieurs chercheurs semblent d'avis que même si le lecteur possède les connaissances linguistiques, s'il ne dispose pas d'un script approprié, il éprouvera des difficultés à lire un texte dont le contenu lui est peu familier. Notre objectif était d'apporter un éclairage sur la problématique de l'activation des scripts préalables pendant la lecture par les apprenants adultes de langue seconde (L2). Plus particulièrement, cette recherche visait un triple objectif. Elle cherche à vérifier, d'une part, (a) si des sujets adultes allophones utilisaient leurs scripts préalables pour accéder à la compréhension en lecture en français L2. D'autre part, elle tente de savoir (b) si la présence du script préalable chez le lecteur adulte en L2 favorise la compréhension d'un texte en L2. Pour finir, elle veut connaître (c) si les apprenants adultes affichent un meilleur résultat au test de compréhension sur le texte pour lequel ils possèdent le script par opposition au texte présentant un script de culture étrangère. Les tests de compréhension ont été faits à partir de deux textes équilibrés au niveau des difficultés grammaticales, lexicales et sémantiques, l'un portant sur la fête du Mouton au Cameroun et l'autre sur l'Halloween au Québec. Notre recherche a été conduite dans un centre d'éducation des adultes spécialisé en francisation auprès d'apprenants adultes ayant une langue et une culture d'origine différentes du français et ayant un niveau intermédiaire en français L2. Tous nos sujets habitaient à Montréal, ville majoritairement francophone, depuis au moins un an et connaissaient le déroulement de l'Halloween. Avant la lecture des textes, un questionnaire a été utilisé pour identifier les apprenants qui possédaient les scripts des événements qui allaient se dérouler dans les textes. Chaque texte était accompagné d'un test de compréhension. Le jour suivant l'expérimentation, des entrevues individuelles avec les sujets ont servi à valider les résultats obtenus. Les résultats de la recherche indiquent que si les apprenants adultes allophones possèdent des scripts préalables des événements qui vont se dérouler dans les textes à lire, ils les utilisent pour accéder à la compréhension en lecture en L2. Si les sujets n'ont pas des scripts préalables, lorsqu'il s'agit d'un sujet non familier, ils font des transferts des connaissances d'un événement à l'autre dans la compréhension du texte non familier. De plus, les résultats démontrent que la variable connaissances linguistiques est significative par rapport à la compréhension du texte familier. Pour finir, les entrevues de clarification des résultats des tests de compréhension ont démontré que la motivation et l'intérêt à la lecture sont les variables importantes qui influencent positivement la compréhension en lecture pour la majorité des sujets. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : compréhension en lecture en FL2 (français langue seconde), difficulté, adultes, script préalable, utilisation, amélioration, compréhension.
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Le processus de décodage et de production de mots dérivés chez des apprenants adultes du français langue seconde

Lépine, Isabelle 09 1900 (has links) (PDF)
À Montréal, nombreux sont les nouveaux immigrants qui choisissent d'apprendre le français langue seconde. Cette situation pose de nouveaux défis aux enseignants qui doivent composer avec une clientèle de plus en plus diversifiée culturellement et linguistiquement. Par cette recherche, nous avons voulu vérifier si la langue maternelle des apprenants adultes avait un impact sur leur capacité à traiter les mots dérivés en français ainsi que sur les stratégies qu'ils utilisent pour décoder et produire ces mots dérivés. Pour vérifier nos hypothèses, deux groupes d'apprenants de langues maternelles différentes ont d'abord été testés à l'aide de C-tests et ont ensuite participé à une tâche de rappel stimulé. Les résultats montrent que les caractéristiques morphologiques du système d'écriture de la langue maternelle affectent d'une manière significative la capacité à reconnaître et à produire les mots dérivés sans influencer toutefois les stratégies déployées pour traiter ces mots. Les différences significatives observées ne seraient pas causées par un manque de connaissances de la morphologie dérivationnelle du français chez certains sujets, mais bien plutôt par un manque de connaissances lexicales. Cette dernière hypothèse reste toutefois à confirmer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue seconde, Morphologie dérivationnelle, Apprenants adultes, C-tests
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Effets d'un enseignement grammatical coordonné et simultané en anglais L1 et en français L2 sur les perceptions et les connaissances d'élèves de deuxième secondaire

Quevillon Lacasse, Claude 04 1900 (has links) (PDF)
La dernière réforme scolaire au Québec prône la collaboration entre enseignants d'un même cycle au secondaire, mais rares sont les écoles secondaires anglophones québécoises où les enseignants d'anglais langue maternelle (L1) et de français langue seconde (L2) travaillent de concert. Par ailleurs, l'enseignement grammatical diffère largement en anglais L1, où il est pratiquement absent, et en français L2, où il sert de base à la structure des cours. Plusieurs recherches ont pourtant prouvé les effets positifs du transfert translinguistique, notamment pour l'apprentissage de la grammaire dans la L2. Au-delà des différences dans l'enseignement grammatical, il existe également des divergences importantes sur le plan des perceptions des élèves et des enseignants face à la grammaire et à son enseignement, en anglais L1 versus en L2. Des exemples de collaboration entre enseignants donnent un aperçu des changements positifs, sur le plan des perceptions et des connaissances grammaticales, que peut engendrer la coordination de l'enseignement grammatical en L1 et en L2. Dans le cadre du présent mémoire, nous avons conçu des questionnaires sondant les perceptions d'élèves du secondaire face à l'enseignement grammatical dans leurs cours d'anglais L1 et de français L2, des séquences didactiques coordonnées en anglais L1 et en français L2, et des tests mesurant les connaissances de l'élément grammatical sélectionné. L'aspect grammatical choisi est l'emploi du passé composé et de l'imparfait en français L2, et l'emploi du Simple Past et du Past Progressive en anglais L1. Nous avons mesuré les perceptions et les connaissances d'élèves de deuxième secondaire avant et après les séquences didactiques, qui se sont déroulées de façon plus ou moins simultanée, dans un groupe expérimental (n = 37) et un groupe témoin (n = 34), celui-ci ayant seulement suivi la séquence didactique en français L2. Nous avons également observé en personne le déroulement des séquences didactiques et avons conduit de courtes entrevues à la suite de l'expérimentation, auprès d'élèves bénévoles et des deux enseignants des groupes-classes expérimentaux. Nos résultats démontrent que les perceptions des élèves étaient généralement plus positives à la suite du traitement grammatical coordonné et simultané en anglais L1 et en français L2 chez les élèves du groupe expérimental que chez les élèves du groupe témoin. De plus, les élèves du groupe expérimental ont mieux réussi à la section des tests mesurant leurs connaissances grammaticales déclaratives, qui étaient d'ailleurs corrélées à des perceptions positives face à l'enseignement grammatical, tant en anglais L1 qu'en français L2. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : enseignement grammatical, anglais L1, français L2, collaboration entre enseignants
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L'efficacité d'un enseignement visuel, orthographique et explicite sur l'amélioration du traitement graphique des identités phonémiques /e/ et /ε/ chez les apprenants adultes en francisation

Bergeron, Caroline 12 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail de recherche était de développer une intervention qui tiendrait compte des caractéristiques des apprenants immigrants adultes en francisation pour parvenir à surmonter leurs difficultés de représentations graphiques de /e/ et de /ε/. Le recensement de la littérature nous a permis de démontrer qu'un enseignement visuel, orthographique et explicite (VOE) axé sur les régularités graphotactiques serait davantage adapté à l'adulte en FL2. Afin de vérifier l'efficacité de notre intervention de quatre semaines, nous avons formé un groupe expérimental et un groupe témoin dont nous avons comparé les performances aux épreuves (dictées et rédactions) de prétest et de post test en tenant compte de trois catégories orthographiques particulières : les accents, les autres représentations graphiques et les terminaisons verbales. Les résultats ont démontré que notre intervention en enseignement VOE avait permis l'amélioration significative des performances du groupe expérimental en rédaction dans la catégorie orthographique des terminaisons verbales, de même qu'une amélioration positive en accents. Par contre, l'intervention a eu peu d'impact sur l'amélioration des performances générales du groupe expérimental en dictée, de même que sur l'amélioration des autres représentations graphiques de /e/ et de /ε/, que ce soit en dictée ou en rédaction. Il est possible que la nature même des épreuves ait influencé l'issue des résultats, notamment pour les dictées qui font appel aux compétences de distinction phonémique des apprenants. Les analyses montrent que les résultats ont été influencés par la différence de niveau des deux classes qui constituaient le groupe expérimental. Ainsi, la classe la plus forte (expérimentale 1) a davantage bénéficié de l'intervention que la classe la plus faible (expérimentale 2) et ce, en dictée comme en rédaction. Par conséquent, il semble qu'un niveau seuil en français soit nécessaire pour favoriser les apprentissages suite à un tel type d'intervention, sens dans lequel abondent les données qualitatives que nous avons recueillies. Enfin, des études de cas nous ont permis de voir que les erreurs d'accents sont les plus fréquentes chez les quatre participants sélectionnés et que pour certains, les performances en accents sont liées à celles des autres représentations graphiques. Il est possible que notre intervention ait gagné en efficacité si les règles de segmentation des syllabes avaient été combinées aux régularités graphotactiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : adulte, immigrant, français langue seconde, orthographe, accents, terminaisons verbales, régularités graphotactiques.
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Les dictionnaires monolingues, bilingues et semi-bilingues en FLS : usage, niveaux des apprenants, effets sur l'apprentissage

Alkurdi-Alzirkly, Maria 12 1900 (has links) (PDF)
Tous les étudiants de langue seconde utilisent des dictionnaires. Toutefois, nous ne savons pas vraiment quel type de ces dictionnaires est le plus utile pour leur apprentissage, probablement eux non plus. L'objectif de notre recherche est d'examiner l'efficacité entre trois types de dictionnaires (monolingue pour apprenants, bilingue et semi-bilingue), et ce, auprès des apprenants universitaires chinois de français langue seconde. Plus spécifiquement, nous voulions vérifier lequel de ces types est le plus utile en ce qui a trait à la capacité des étudiants de trouver la bonne signification des mots inconnus. Cependant, l'efficacité de ces types peut dépendre relativement de plusieurs facteurs tels que le niveau de compétence langagière des apprenants, leurs habitudes préalables et leurs choix d'usage quand les trois types sont disponibles devant eux. Ainsi, afin de mesurer tout cela notre recherche a été menée auprès des étudiants de deux différents niveaux de compétences langagière, et effectuée à l'aide d'un questionnaire déterminant les préférences des apprenants vis-à-vis de ces types de dictionnaires, d'un test observant leur comportement d'usage devant des entrées composées d'une signification en français et d'une traduction en chinois, et d'un autre examinant les différences d'efficacité entre ces types de dictionnaires lors d'une courte tâche de compréhension. Il s'est avéré que c'est l'utilisation du dictionnaire bilingue qui est la plus fréquente. Quant à la consultation du dictionnaire semi-bilingue, elle est un peu limitée, mais les apprenants qui sont plus avancés l'utilisent un peu plus que les moins avancés. De plus, les résultats ont démontré que les dictionnaires bilingues et semi-bilingues sont plus efficaces et utiles que le dictionnaire monolingue pour apprenants. D'autre part, nous n'avons pas trouvé d'interaction entre le niveau et l'efficacité de ces trois types. Or, d'après les conclusions, un dictionnaire semi-bilingue se révèle très utile et convenable pour tous les apprenants, surtout pour ceux étant plus compétents en langue. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue seconde, Langue première, Dictionnaire monolingue, Dictionnaire bilingue, Dictionnaire semi-bilingue, Apprentissage, Vocabulaire

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