• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 33
  • 11
  • 7
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 73
  • 73
  • 35
  • 34
  • 33
  • 10
  • 9
  • 9
  • 8
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
51

Recherches sur les ateliers officiels de sculpture à Rome sous les Antonins: les portraits d'empereurs

Evers, Cécile 21 March 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
52

Contributions à l'onomastique du Moyen Empire

El-Rabii, Abdel-Meguid January 1978 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
53

Phidias dans la tradition écrite

Donnay, Guy January 1962 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
54

Des autels de Noé et d'Abraham au temple hiramique: la quête maçonnique du héros civilisateur dans les traditions juive et chrétienne

Vanderhaeghen, Léopold 05 June 2009 (has links)
La franc-maçonnerie spéculative trouve l’origine de sa fondation, en 1717, en Angleterre,dans ce pays et ce siècle riches en créations de diverses associations ou clubs. Nombre d’entre eux, après des débuts encourageants, ont fini par péricliter, puis par disparaître. Alors que la maçonnerie a réussi à perdurer. <p>Pourquoi ce succès ?Quels ont été les fondements sur lesquels la franc-maçonnerie a édifié sa réussite ?<p>La thèse identifie, sans tenir compte d’un ordre de valeur, une série de bases structurelles :l'investissement symbolique dans le temple ainsi que dans la pierre, la valorisation du secret, l'importance donnée à un système sacrificiel permettant de passer d'un état de nature à un état de culture, la création d’un espace sacré, la mise en place d’une classe « sacerdotale », l’invention d’un héros civilisateur.<p>Notre hypothèse de départ a été que ces causes de réussite, c’est d’abord dans la Bible qu’il convenait de les rechercher. Néanmoins, il ne fallait pas davantage perdre de vue que cette création est aussi le fruit d’une époque,l’Angleterre s’inscrivant dans le continuum de la Renaissance, le temps des découvertes ou des redécouvertes, le temps aussi d’une acceptation de l’autre dans sa différence. Ce siècle étant évidemment enfant des siècles précédents, s’intéresser aux maçons et donc également au travail, à l’architecture, devait tout naturellement nous amener à ne pas négliger les associations opératives du Moyen Age ou du début des Temps Modernes.<p>Enfin, ce travail de recherche montre que la pierre d’angle de tout le système maçonnique semble bien être l’invention du mythe d’Hiram avec lequel la franc-maçonnerie peut définitivement rassembler en un tout cohérent des éléments qu’elle avait glanés, épars, dans les récits vétéro et néo-testamentaires. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
55

La magie néo-assyrienne en contexte: recherches sur le métier d'exorciste et le concept d'asiputu

Jean, Cynthia 12 February 2004 (has links)
Ce travail examine le rôle d'un personnage qui est la clef de voûte pour une compréhension de la magie telle qu'elle s'inscrit dans la société mésopotamienne: l'âshipu, ou "exorciste". Le métier d'exorciste et concept-même de l'âshipûtu, ou "discipline de l'exorciste", n'avaient jamais fait l'objet d'une étude approfondie.<p><p>Quels rituels l'exorciste exécute, quels textes sont en sa possession, comment se transmet son savoir, quelle est sa place au palais et dans la structure sociale, sont autant de paramètres méconnus que ce travail tente d'exposer en profondeur pour l'époque néo-assyrienne. Le choix de cette époque est lié à l'abondance de témoignages disponibles, retrouvés notamment dans les palais royaux des Sargonides et dans des bibliothèques appartenant à des âshipu. En pratique, toutes les sources néo-assyriennes ont été prises en considération mais le hasard des découvertes et de la conservation des tablettes fait que c'est surtout la fin de cette époque, à savoir l'époque des Sargonides, qui est représentée dans la documentation disponible.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
56

La formule m) ("regarder") dans les tombes privées de la dix-huitième dynastie: approche sémiotique et herméneutique

Angenot, Valérie January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
57

Les Chambres des Comptes des Pays-Bas espagnols: histoire d'une institution et de son personnel au XVIIe siècle

Vandenbulcke, Anne January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
58

La chronique X: reconstitution et analyse d'une source perdue capitale sur l'histoire aztèque, d'après l'Historia de las Indias de Nueva España de D. Duran (1581) et la Crónica mexicana de F.A. Tezozomoc (ca. 1598)

Peperstraete, Sylvie 22 December 2005 (has links)
Parmi les premières chroniques sur les civilisations préhispaniques, à l’importance fondamentale mais au destin souvent funeste, c’est de l’une des plus intéressantes et des plus énigmatiques, la Chronique X, dont il est question dans cette thèse. Ecrite en nahuatl et abondamment illustrée, il s’agit, et de loin, de la source la plus détaillée dont disposent les mexicanistes sur l’histoire des Aztèques, depuis leurs origines mythiques jusqu’à la Conquête espagnole. Actuellement considérée comme perdue, elle nous est toutefois partiellement parvenue à travers deux adaptations en espagnol du dernier quart du XVIe siècle, réalisées respectivement par un religieux dominicain d’origine espagnole, Diego Durán, et par l’un des petits-fils de Montezuma II, l’historien indien Fernando Alvarado Tezozomoc. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
59

Le savant et le profane : documenter l'impressionnisme en France, 1900-1939 / Between Scholar and Layman : documenting Impressionism in France, 1900-1939

Viraben, Hadrien 20 November 2018 (has links)
En 1946, la parution à New York de l’Histoire de l’impressionnisme de John Rewald consacra l’aura d’une historiographie scientifique du mouvement, cautionnée par un investissement documentaire. Cette qualité l’opposait à un monde profane, dominé par une tradition orale et en particulier la réputation de certains témoignages. Un examen attentif ne saurait pourtant donner raison au postulat d’une nature exclusivement savante du document. Une documentation impressionniste se constitua en effet, dès le début du XXe siècle, par l’intermédiaire de producteurs hétéroclites, artistes, témoins, héritiers, critiques, journalistes, aussi bien qu’historiens professionnels, conservateurs et universitaires. Elle peut ainsi être envisagée autant comme le fruit d’une quête de la vérité factuelle que comme l’appropriation d’un objet d’étude populaire, à travers ses empreintes écrites et visuelles. L’appareillage des lectures de l’impressionnisme réunit de la sorte : les autographes ; les memorabilia, meubles ou immeubles chargés du souvenir des peintres ; les technologies photographique et cinématographique. Ces documents participaient en outre d’une culture visuelle plus vaste, incluant les monuments et les plaques commémoratives dans l’espace public, ou encore les motifs transformés par l’acte pictural en points de vue remarquables. L’étude historique et critique de l’écriture de l’histoire impressionniste comme (dé)monstration documentaire permet de revenir sur les circonstances sociales et visuelles de sa mise en œuvre, sur les enjeux de carrière auxquels elle participa, et sur les missions qui lui furent assignées au sein de différents discours sur l’art, savants et profanes. / In 1946 the publication of John Rewald’s History of Impressionism in New York consecrated the aura of the movement’s scientific historiography, supported by documentary investment. This quality confronted laymen’s narratives, which oral tradition and some witness’s accounts’ reputations dominated. Yet, a close consideration could not agree with the assumption of an exclusive scholarly nature of the document. Since the beginning of the 20th century, varied producers, such as artists, witnesses, heirs, critics, journalists, as well as professional historians, museum curators and academics formed an impressionist documentation. It thus can be interpreted as a quest for factual truth, as much as an appropriation of a research object through its written and visual marks. The equipment of impressionist readings hence gathered are: autographs; memorabilia, movable and physical assets as souvenirs of artists; photographic and cinematographic technologies. Moreover, these documents fit into a broader visual culture which included monuments and commemorative plaques of the public sphere, or motives transformed by pictorial acts into remarkable viewpoints. A historical and critical study of such a writing of history as documentary (de)monstration allows here to look back to its execution’s social and visual contexts, the career issues in which it participated, the goals that had been assigned to it within both scholars’ and laymen’s art discourses.
60

Mentir à Rome: mentiri ou mendacium dicere ?L'inhospitalité des sources juridiques

Vassart, Patrick 19 March 2012 (has links)
Un paradoxe a suscité la recherche entreprise :en dépit de leur aspect intrinsèquement normatif, les notions rendues en langue française par le substantif ‘mensonge’ et le verbe ‘mentir’ apparaissent très rarement dans les textes de droit positif des systèmes juridiques d’inspiration romano-germanique et, dans leur dimension élémentaire de ‘propos sciemment inexact formulé dans l’intention d’induire en erreur’, ne correspondent à aucun terme technique du lexique juridique. Elles participent certes de certaines figures juridiques complexes – telles que celles de ‘faux’ ou de ‘dol’ – mais, au titre d’éléments, demeurent en-deçà du seuil d’incrimination propre auxdites notions complexes :ainsi leur faut-il entrer en composition avec d’autres éléments pour entraîner la condamnation juridique que leur condamnation morale uniforme paraissait appeler a priori. Réduites à leur dimension élémentaire, elles révèlent ainsi une contradiction entre un principe moral de prohibition et un principe juridique de tolérance. Une tentative d’élucidation de cette contradiction emprunte la voie de l’examen des sources romaines des normes qui en dérivent historiquement. Tant les sources juridiques proprement dites que les sources littéraires latines antiques en général :il s’est imposé d’interroger les secondes en raison du faible nombre d’occurrences du verbe 'mentiri' et du substantif 'mendacium' dans les premières.<p><p>Une première partie de l’essai s’attache à identifier la terminologie latine du mensonge. La tradition nous a légué les définitions et acceptions rigoureuses retenues par saint Augustin, sans égard à une subtile distinction qu’Aulu-Gelle avait puisée chez Nigidius Figulus :'mentiri' et 'mendacium' empruntent leurs étymologies distinctes respectivement à la pensée (racine *men-) et à l’erreur ('mendum' ou 'menda'), mais l’absence de parenté étymologique n’a guère affecté une étroite alliance sémantique dans l’usage, et ce aussi loin que remontent nos sources, en l’espèce l’œuvre du dramaturge Plaute, œuvre où abondent ces deux mots qu’aucun écrit antérieur n’atteste.<p><p>La deuxième partie de l’essai confronte l’alliance sémantique des deux mots à leur absence dans les textes conservés du droit archaïque, en vue de tenter d’expliquer leur rareté dans les textes ultérieurs. Une œuvre fait l’objet d’un examen approfondi, en raison de la remarquable représentativité de la mentalité d’âge républicain qui doit lui être reconnue :la comédie du Pseudolus de Plaute. La valeur de témoignage de ce texte ne peut cependant être mise en avant qu’en écartant deux préventions :1) l’inattendue irrigation du texte comique par la doctrine épicurienne – la canonique (ou discipline du raisonnement) bien plus que l’éthique – n’y réduit pas la thématique du mensonge à une parodie de la notion du clinamen, notion alors anachronique si l’on s’en tient aux seuls textes attribués à Epicure ;2) il convient de ne prêter au dramaturge aucune intention subversive comparable à celle qui avait peu auparavant valu la censure au poète Naevius. L’analyse du texte, dans sa perspective historique éclairée par les récits de Polybe et de Tite-Live, conduit à relier l’hommage de Plaute aux facultés intellectuelles de discernement qu’il prête aux Romains – alors à l’apogée de leur condition juridique de 'ciuis/miles' ou citoyen/légionnaire – à la promotion politique des vertus du raisonnement et de la circonspection, promotion symbolisée par la dédicace d’un temple à Mens au cours de la deuxième guerre punique. Le droit civil – au sens de droit objectif propre à la cité – apparaît alors, dans la rigueur de son formalisme originel, comme le corollaire, dans les rapports juridiques entre citoyens, de la discipline imposée au légionnaire dans sa confrontation à l’ennemi extérieur ('hostis/inimicus') :un impératif civique d’exercice constant de la vigilance et de la 'prudentia'. Aussi n’est-ce pas la faute morale du menteur qui doit être juridiquement sanctionnée, mais bien la coupable imprudence de l’interlocuteur qui verse dans l’erreur et succombe à l’'animus fallendi' du menteur. Encore l’étymologie retrouve-t-elle ses droits lorsque s’opère une distinction entre, d’une part, la neutralité du substantif 'mendacium' – son aspect ‘métallique’ d’arme susceptible d’être maniée en bien ou en mal selon la qualité civique de l’utilisateur – et, d’autre part, la stigmatisation du verbe déponent de sens médio-passif 'mentiri'. Ce verbe, immédiatement dérivé de la racine *men-, aurait pu ne viser que le fait de ‘penser’ s’il n’avait, comme l’analysera Varron, été réservé par l’usage qu’à une pensée strictement égoïste, excluant comme telle tout partage, donc à l’encontre des devoirs inhérents à la participation aux débats dans les assemblées publiques caractéristiques de la vie républicaine :être animé d’une pensée susceptible de partage se dit 'cogitare'.<p><p>La troisième partie de l’essai s’attache à décrire l’évolution de la mentalité héritée de la deuxième guerre punique à la mesure de l’extension du domaine de l’ancien droit civil à une société cosmopolite, au sein de laquelle les attentes placées dans la figure emblématique du citoyen romain sincère doivent composer avec les nécessités nouvelles de relations juridiques plus complexes, relations que les vertus civiques prêtées au citoyen/légionnaire ne peuvent plus suffire à régir. Evolutions contrastées du 'ius publicum' et du 'ius priuatum' :tandis que, sur la voie du Principat, les rapports de force politiques cantonnent le devoir de sincérité à une morale personnelle bien aléatoire au cours des conflits qui altèrent le dernier siècle de la République, le droit privé s’enrichit du 'ius gentium' pour s’efforcer, dans les 'iudicia bonae fidei', de substituer à la vigilance formaliste une conscience substantielle des devoirs de sincérité des cocontractants. C’est toutefois en vain que Cicéron suggère de transposer à la scène politique l’éthique du droit civil, ou que Virgile (en particulier dans un épisode-clé du deuxième livre de l’Enéide, manifestement inspiré aussi par la canonique épicurienne) tente de ressusciter une éthique collective de la vigilance face au mensonge. Etrangers donc au droit public de l’Empire, les termes mendacium et mentiri n’apparaissent qu’en ordre dispersé dans un nombre restreint de notices du Corpus iuris ciuilis et, faute d’y être érigés en termes techniques, ne participent que de transpositions ponctuelles aux rapports de droit civil de sanctions inspirées par un devoir de sincérité jadis enraciné dans des notions républicaines de la responsabilité personnelle et de la solidarité.<p><p>Aux termes extrêmes de nos sources latines antiques, le mensonge, dans sa dimension élémentaire d’affirmation délibérément trompeuse, a été entendu de deux façons apparemment diamétralement opposées :d’un impératif républicain de sanction de la crédulité à la condamnation uniformément rigoureuse prononcée par saint Augustin. Cette opposition se mue cependant en synthèse si l’on veut bien considérer que la conception augustinienne tend à conférer la dimension métaphysique de la Cité de Dieu au devoir romain de sincérité autrefois et autrement promu dans les limites de la seule cité républicaine. Entre deux conceptions absolument fondées sur la norme éthique, la norme juridique romaine, seulement appelée à régir l’altérité avec réalisme, n’a traité qu’avec une parcimonieuse prudence de cette perversion de la pensée qu’est le mensonge. / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0703 seconds