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La RSE au Liban : réalités et perspectives / CSR in Lebanon : Realities & Perspectives

Chehaimi, Elham 20 September 2016 (has links)
Le Liban, qui traverse une crise politique, économique et institutionnelle sans précédent fait preuve depuis quelques années d’une résilience remarquable. Le secteur économique au Liban fortement lié aux conflits régionaux est confronté à des problèmes tels que la pauvreté des ressources, l’endettement, le chômage, ainsi que la présence de réfugiés syriens qui tend davantage la situation. Contrastant avec l’instabilité politique du pays, c’est la dynamique de l’économie libanaise qui a permis au secteur privé de pallier aux carences et au désengagement de l’Etat quant à l’application de ses missions régaliennes, selon un certain système de laisser-faire. C’est dans ce contexte que nous examinerons le rôle du secteur privé au Liban qui crée dans le champ social un espace d’entreprise citoyenne en marge de l’Etat qui se tourne vers la satisfaction de l’intérêt général par le biais de la responsabilité sociale des entreprises RSE. / Lebanon who has been going through an unprecedented political, economic and institutional crisis in recent years, has shown a very remarkable resilience. The economic sector in Lebanon who is strongly linked to regional conflicts has been facing problems such as poverty of resources, debt, unemployment, as well as the presence of Syrian refugees a matter that has made the situation more and more overwrought. In Contrast with the country's political instability, the dynamic Lebanese economy allowed the private sector to overcome these deficiencies and aided to the disentanglement of the State in the application of its sovereign functions, according to a system of laissez-faire. In this context that we will examine the role of the private sector in Lebanon and the effect it created in the social field of citizen corporate in the margins of the state via ensuring the satisfaction of the public interest through the Corporate Social responsibility CSR.
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Évolution du fonctionnement des réseaux territorialisés d'organisations par la prise en compte de l'innovation sociale : le cas de deux pôles de compétitivité de la région PACA / Evolution of territorial clusters management by the implementation of social innovation : the case of two competitiveness clusters of the PACA region

Peres, Raphaële 12 December 2017 (has links)
Les modèles économiques classiques sont remis en cause, c’est pourquoi il nous est apparu pertinent d’interroger l’innovation sociale comme levier de changement. Les pôles se retrouvent dans un contexte incertain, du fait d’un désengagement financier de l’état, d’une évolution de leurs missions et d’une perspective de réforme de cette politique publique. Nous sollicitons les deux conceptions de l’innovation sociale. En tant que résultat, elle correspond à une réponse aux besoins sociaux et aux effets positifs générés. Quant à son processus, il sollicite des acteurs hétérogènes locaux qui se mettent en réseaux et partagent des ressources pour créer un projet commun. A partir de celles-ci, une grille d’analyse de sept critères est élaborée. Afin de proposer un nouveau modèle des pôles, nous nous appuyons sur le "business model" de l’économie sociale et solidaire car ce champ est considéré comme propice au développement des innovations sociales. Nous élaborons un cadre épistémologique (constructivisme pragmatique) et méthodologique (étude de cas multiples, qualitatif et abduction) de la recherche. Nous retrouvons les sept dimensions de l’innovation sociale dans le fonctionnement des pôles, qui représentent des structures propices à son développement. Le business model de l’économie sociale et solidaire dans les pôles révèle des problématiques d’implication et de solidarité. Les communautés de pratiques, le développement des pôles vers une communauté de destin, une gestion démocratique peuvent être une solution ; ainsi que l'implication des pôles dans une attractivité territoriale durable pour les inscrire dans une chaîne de valeur locale en considérant le territoire comme bien commun / Nowadays, traditional economic models are questioned by researchers. It appeared relevant to analyze if social innovation can be considered as a lever for change. Innovation centers are facing an uncertain context, as there appears to be less financial involvement from the state, a real transformation of their missions and a potential public policy reform. We’re soliciting the two existing visions of social innovation. As a result, it represents an answer to social needs and to generate positive impacts. Its process mobilizes local heterogeneous actors, which are forming networks and sharing resources, in order to create a common project. So, we’re formulating an evaluation grid on seven criteria. Then, to offer a new model for innovation centers we’re drawing on the social and solidarity economy business model. This field seems to be conducive for social innovations development. We’re building the epistemological (pragmatic constructivism) and methodological frameworks (exploratory qualitative research, abductive logic, multiple-case study) for the research. For our results, seven dimensions of the social innovation are spotlighted in innovations centers functioning. The social and solidarity economy business model reveals mobilization and solidarity issues. We’re recommending to initiate communities of practice, an innovation centers’ development focused on a common destiny, a democratic management. Finally, we’re suggesting that innovation centers should be more committed in a sustainable territorial attractiveness, so they can be a part of the local value-chain, by considering the territory as a common good
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L'Université des Montagnes : une alternative citoyenne face à la crise de l'enseignement supérieur au Cameroun : (1990-2015) / The Université des Montagnes : a people's initiative in response to the crisis in higher education in Cameroon : 1990-2015

Nzoko Mewawou Someu, Anselme 31 March 2016 (has links)
Cette recherche sociologique propose une étude compréhensive de l’Université des Montagnes, une initiative de la société civile issue de la crise de l’enseignement supérieur au Cameroun dans les années 1990. L’enquête de terrain réalisée au sein de l’institution a permis de collecter des données quantitatives et qualitatives à partir desquelles nous avons produit une théorie ancrée (Glaser et A. Strauss) mettant en évidence les spécificités de cette institution alternative et unique en son genre au Cameroun. Une observation participante de longue durée a permis une investigation approfondie. La première ligne de rupture qui se dégage de notre analyse est que l’Université des Montagnes est entièrement conçue, pensée et mise en œuvre par un groupe de citoyens déterminé à briser le monopole de l’État sur le développement de l’enseignement supérieur au Cameroun. Pour ce faire, les promoteurs ont dans une démarche réflexive et critique par rapport au modèle existant, élaboré une philosophie éducative et pédagogique innovante qui concilie les sciences fondamentales, appliquées et professionnalisantes, ainsi qu’une pédagogie ancrée dans les cultures africaines. En somme, nos enquêtes révèlent l’émergence d’une université générale, professionnelle et citoyenne. Le projet tente ainsi d’opérer une synthèse méthodique et adaptative des modèles universitaires de référence ayant structuré l’enseignement supérieur dans le monde. Nonobstant les difficultés d’appropriation collective, cette expérience citoyenne apparait, après quinze années d’existence, comme un analyseur et un catalyseur d’innovation sociale, tant son impact est perceptible sur le paysage de l’enseignement supérieur au Cameroun. / This sociological study offers a comprehensive study of the Université des Montagnes, a civil society initiative in response to the crisis in higher education in Cameroon in the 1990’s. A field study undertaken within the institution, using a participatory approach, enabled us to collect quantitative and qualitative data which was used to produce a grounded theory (Glaser and A. Strauss) approach that highlights the specific features of this alternative institution which is unique in Cameroon. The first break shown by our analysis is that the Université des Montagnes was entirely conceived, imagined, and established by a group of citizens determined to relieve the State of its monopoly on the development of higher education in Cameroon. To accomplish this, the founders, through a method that was reflective and critical in relation to the existing model, developed an innovative philosophy of education and pedagogy that reconciles the applied and professional sciences, and pedagogy founded on African culture. In short, our study shows the emergence of a general, professional, and people’s university. The project seeks to furnish a systematic and adaptive synthesis of reference university models that have structured higher education across the world. Notwithstanding the difficulties involved in collective adoption of the project, after fifteen years of existence, this people’s experiment appears to have been an analyser and catalyst for social innovation, considering its impact in the area of higher education in Cameroon.
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L'approche participative au service de la gestion intégrée de la ressource en eau : l'expérience des parcs naturels régionaux du Sud-Est de la France / Participatory initiatives for integrated water resource management : the experience of the Regional Nature Parks of South-East France

Ferraton, Mélanie 30 November 2016 (has links)
Née d’un travail partenarial entre le Groupement des Amis des Parcs Naturels Régionaux du Sud-Est (GAPSE) et l’Université Savoie Mont Blanc, cette thèse, réalisée dans le cadre d’une convention CIFRE, s’intéresse au volet participatif de la Gestion Intégrée de la Ressource en Eau (GIRE) dans les Parcs Naturels Régionaux de montagne du Sud-Est français.L’étude se fonde sur le retour d’expérience et l’analyse réflexive du programme de recherche-action-collaborative et participative « L’eau, entre mémoire et devenir », initié en 2008 par le GAPSE. À partir d’une méthode d’enquête auprès des acteurs clefs, elle identifie, dans ces territoires, une trentaine d’actions relevant du volet participatif de la GIRE. Le recensement et l’examen de ces actions et de leurs conditions de mise en œuvre, amènent à construire une représentation, sous forme de modèle évolutif, de cette approche participative de la GIRE. Les PNR s’inventent alors en nouveaux territoires de l’eau. En dépassant le strict cadre de la gestion par bassin, l’analyse approfondie des jeux, logiques et paysages actoriels œuvrant dans la mise en place de ces actions permet de questionner ce nouveau statut.Ce travail montre que, malgré une évolution législative liée à la réforme territoriale, restreignant les prérogatives des PNR en matière de gestion de la ressource en eau, des formes innovantes de démarches participatives s’observent, allant au-delà des dispositifs institutionnels de concertation de la GIRE.Ces initiatives volontaires, issues des collectivités, du milieu associatif ou encore de divers collectifs citoyens, sont souvent encore disparates et manquent de cohérence et de liant entre elles. L’action publique doit ainsi composer avec cette diversité d’acteurs et d’actions, aux objectifs et formes variés. Se dessine alors un enjeu d’articulation des démarches participatives et d’innovation en matière de participation citoyenne, auquel ce travail tente de répondre en proposant un guide méthodologique de mise en œuvre d’une GIRE participative fondé sur le retour d’expérience des PNR du Sud-Est. / The thesis arises from a partnership work between the association “ le Groupement des Amis des Parcs Naturels Régionaux du Sud-Est ” (GAPSE) and the “Savoie Mont Blanc ” University. It was made within the CIFRE agreement (Industrial agreement of learning/training by research). The PhD focuses on the participatory component of the Integrated Water Resource Management (IWRM) in the regional nature parks in the south-east of France.The study relies on the feedback and the analysis of the participatory action research program called “L’Eau entre mémoire et devenir” (“Water between memory and future”), which has been created in 2008 by the GAPSE. Based on a survey methodology of key actors, the thesis identifies around thirty participatory actions under the IWRM. The census and analysis of these actions and of their implementation conditions led to build a dynamic model about the participatory approach of IWRM.We examine the regional nature parks status, as news water territories, beyond the narrower confines of watershed-based management, on the basis of a thorough and integrated analysis of actors’ interactions.This study shows that these territories can generate innovative participatory actions going beyond just the institutional conciliation scheme, based on a representative system. These actions arise despite the legislative change, due to a territorial reform, which restrict water prerogatives of regional nature parks.However, these voluntary initiatives implemented by the territorial authorities, associations or citizen collective organizations are still disparate and lack of coherence and coordination between them.The public action has to deal with a diversity of actors and actions with various objectives. The real issue becomes citizen participatory initiatives articulation. This PhD tries to answer to this challenge by proposing a methodological guide about the IWRM implementation, based on the regional nature parks feedbacks.
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Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau : le cas de l’agglomération grenobloise / Territorial resistance to change in drinking water politics. Case study on Grenoble's urban area. : the case of the urban area of Grenoble

Brochet, Antoine 10 November 2017 (has links)
La question des résistances à la mise en œuvre des programmes d’action publique de l’État fait partie des questions de recherche peu étudiées. L’idée défendue tout au long de la thèse est que la notion de résistance territorialisée permet d’expliciter les logiques qui guident la mise en œuvre des programmes d’action publique. Notre analyse prend pour étude l’appropriation locale des réformes de modernisation des services d’eau potable. Ces réformes d’inspiration néolibérale apparues dans les années 1980 font l’objet de bilans intermédiaires mitigés et de critiques concernant leur efficacité. Le cas d’étude retenu est celui de l’agglomération grenobloise. Notre travail repose sur une enquête de terrain menée pendant cinq ans dans le cadre de notre activité salariée auprès d’une cinquantaine de services d’eau potable. Notre thèse s’articule en deux parties et quatre chapitres. La première partie s’intéresse au contenu des réformes de modernisation et aux résistances territorialisées qu’elles engendrent. La seconde partie propose d’approfondir la compréhension des résistances territorialisées en appréhendant le service d’eau comme un système territorial complexe qui s’oppose à la logique des réformes. Le premier chapitre de la thèse analyse les réformes de modernisation. D’une part, nous expliquons l’origine et le contenu des réformes et, d’autre part, nous proposons une méthode prospective d’aide à la décision permettant d’évaluer leurs effets économiques et sociaux sur les services d’eau. Le deuxième chapitre rend compte de l’application de deux réformes, mesure l’ampleur des résistances et les qualifie. La première réforme étudiée concerne la création d’indicateurs de performance des services d’eau potable. La seconde consiste en la transformation de l’usager du service d’eau en consommateur. Notre étude montre que les résistances sont nombreuses et variées et produisent des défaillances dans la gouvernance du secteur. Le troisième chapitre présente une analyse historique qui restitue le processus de construction territorialisée des services d’eau potable dans l’agglomération grenobloise. Nous mettons en lumière le rôle déterminant des facteurs territoriaux et nous montrons qu’historiquement, pour ce qui est de la régulation, l’Etat n’a été qu’un acteur parmi d’autres peu capable de contraindre formellement l’action des services d’eau. Enfin, la solution proposée par l’État pour répondre aux problèmes de modernisation est analysée et critiquée dans le quatrième chapitre. Cette solution consiste à transférer la compétence eau potable aux Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. La thèse met en évidence que cette solution peut aboutir à des résistances territoriales fortes au sein des services d’eau pouvant faire échec à la mise en place d’une gestion unifiée de l’eau à l’échelon intercommunal. Cependant, nous montrons que paradoxalement les résistances territoriales peuvent être génératrices de processus d’innovation sociale sans être nécessairement incompatibles avec certains objectifs des réformes de modernisation. Dans ces cas, des modèles de gestion de l’eau ad hoc peuvent émerger et se révéler particulièrement adaptés aux enjeux contemporains. Ces résultats de recherche nous conduisent à défendre l’intérêt d’une évolution de l’action publique hydrique vers des politiques territoriales pluralistes. / The subject of resistances to the implementation of State public action programs is a topic that has been seldom studied. The idea defended throughout this thesis is that the notion of territorialized resistance makes it possible to clarify the logic guiding the implementation of programs of public action. Our analysis examines the local appropriation of reforms of modernization in drinking water services. These reforms, influenced by neo-liberalism, appeared in the 1980s and have been met with mixed reviews and criticisms as to their effectiveness. The case study we have chosen here is the Grenoble agglomeration. Our work is based on field surveys carried out during five years of salaried activity around roughly fifty drinking water services. Our thesis is divided into two parts and four chapters. The first part focuses on the content of modernization reforms and the territorialized resistances that they create. The second part aims to deepen the understanding of territorialized resistances by perceiving the service of water as a complex territorial system that resists the logic of reforms.Our first chapter analyzes the modernization reforms. We explain the origin and the content of the reforms and also propose a method of informing decisions that would enable assessment of their economic and social effects on water services. The second chapter focuses on the application of two reforms, measuring the scope of resistances to them and examining their character. The first reform studied concerns the creation of performance indicators for drinking water services. The second reform consists of the transformation of water users into consumers. Our study demonstrates that the resistances are multiple and varied, and that they produce lapses in the governance of the sector. The third chapter presents a historical analysis that retraces the process of territorialized construction of drinking water services in the Greater Grenoble area. We highlight the determinative role of territorial factors. We also show that, historically, in terms of regulation, the state has only been one actor among others and that it has little capacity to formally constrain the action of water services. Finally, the fourth chapter analyzes and criticizes the solution that the State has proposed to respond to problems of modernization. That solution involves transferring the obligation to provide potable water to the Public Institutions of Inter-municipal Cooperation (EPCI). The thesis demonstrates that this solution may lead to strong territorial resistances within water services, with the potential to cause a failure to establish unified management of water at the supra-municipal level. However, we show that paradoxically, territorial resistances can also generate processes of social innovation that are not necessarily incompatible with the objectives of modernization reforms. In these cases, ad hoc models for the management of water can emerge that are particularly suited to contemporary challenges.The results of this research lead us to advocate the evolution of public water action towards pluralist territorial policies.
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Capital social et entrepreneuriat. Contribution des dispositifs d’appui à l’entrepreneuriat à la constitution du capital social des créateurs d’entreprises à fort potentiel / Social capital and entrepreneurship. Contribution of the devices supporting entrepreneurship in the constitution of social capital for entrepreneurs with great potential

Jaunay, André 18 December 2013 (has links)
Nous étudions les capacités de divers dispositifs d’appui aux créations d’entreprise à fort potentiel de développement à répondre aux besoins de capital social des créateurs. Ces besoins sont nombreux et évolutifs. Ils varient sensiblement selon les caractéristiques sociales des entrepreneurs.Nous testons l’hypothèse selon laquelle les dispositifs qui sont, d’après Richez- Battesti (2005), « encastrés », ont une capacité supérieure à celle des dispositifs qui ne le sont pas à apporter à ces créateurs d’entreprises les contacts et ressources diversifiés qui leur sont nécessaires.Notre étude infirme cette hypothèse : l’encastrement des dispositifs n’est pas déterminant. En effet, le facteur essentiel est la personnalité de l’entrepreneur. L’environnement « propose, l’entrepreneur dispose ». Cependant, nous mettons en évidence le fait que certaines caractéristiques de ces dispositifs jouent un rôle significatif pour cet accès au capital social.Ce résultat permet de conclure à la possibilité de traiter, par des politiques publiques spécifiques, par certains types d’outils et certains apprentissages de l’entrepreneur, les difficultés et inégalités d’accès au capital social. / We study the ability of the various devices supporting new companies to satisfy entrepreneurs’ needs regarding social capital. These needs are critical and evolving, and vary significantly depending on the social characteristics of the entrepreneur. We test the hypothesis that the support organizations that Richez- Battesti (2005) call “embedded” have a higher capacity than non-embedded ones do.Our study does not confirm this hypothesis: the embedding of support mechanisms is not determinative. Instead, the crucial factor is the entrepreneur’s personality. The environment proposes, whereas the entrepreneur chooses.However, we demonstrate that some features of these devices are critical. The results allow for us to conclude that certain public policies, devices and learning processes related to entrepreneurs can have an impact on both the constitution of social capital and the inequalities in social capital.
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L'économie sociale, une ressource territoriale ? : approche comparative en Communauté autonome basque et Pays basque français de deux secteurs d'activité : l'insertion par l'activité économique et l'aide à domicile / Social economy, a territorial ressource ? : a comparative approach of two welfare sectors in the Basque autonomous community and the French basque country : social integration through economic activity and home care

Manterola, Jean-Jacques 24 November 2016 (has links)
En choisissant de nous intéresser à l'insertion par l'activité économique et à l'aide à domicile, nous avons cherché à comprendre comment ces deux secteurs se situent face à la force de l'isomorphisme marchand, au nom de valeurs accordant la primauté à des populations vulnérables. Notre travail nous a conduits à nous intéresser aux dynamiques territoriales de développement, et in fine à vérifier les compromis pouvant être construits sur le registre des valeurs partagées entre secteurs et territoires. Notre comparaison interterritoriale, entre la Communauté autonome basque et le Pays basque français s'est donc exercée à deux niveaux. D'une part, celui de deux secteurs de l'économie sociale considérés comme des ordres institutionnels spécifiques. D'autre part, celui des dynamiques territoriales de développement et des principes axiologiques qui les sous-tendent. Notre approche empirique permet de conceptualiser des systèmes territoriaux d'innovation sociale qui produisent une forme de transformation sociale, en marquant leur préférence pour des populations vulnérables en tant qu'objets et sujets de dynamiques territoriales. / How do two welfare sector (socia integration through economic activity, and home care) continue to promote the priorization of vulnerable people in the face of the phenomenon of market froces-driven isomorphism ? This disserttation focuses on the dynamics of territorial development, and assesses the compromises which have been constructed between different sectors and localisations on the basis of shared values. We compared two different locations, the Basque autonomous community (Spain) and the French basque country, conducting our analysis on two distinct levels. Firstly, we compared two sectors of the social economy which constitute specific institutional orders. Secondly, we looked at the territorial dynamics of development and the values systems underpinning them. Our empirical approach enables us to put forward the concept of Territorial systems of social innovation. These systems generate social transformation by priorizing vulnerable populations, both in their role as the recipients of services and as active participants in the shaping of the territorial dynamics.
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Les makerspaces en Afrique francophone, entre développement local durable et technocolonialité : trois études de cas au Burkina Faso, au Cameroun et au Sénégal

Mboa Nkoudou, Thomas Hervé 17 February 2021 (has links)
Au cours de la dernière décennie, de nombreux pays occidentaux ont vu leurs espaces publics investis par la présence d’ateliers de fabrication collaboratifs ouverts et partagés, connus sous le nom générique de makerspaces. Souvent décrits comme des vecteurs de changement social et d'industrialisation, les makerspaces se sont rapidement exportés de l’Occident vers le reste du monde et en Afrique en particulier. Au vu de cette expansion, je me suis interrogé sur les finalités sociétales et la neutralité de ces ateliers collaboratifs dans le contexte africain. Aborder ces interrogations demande d’établir un cadre commun de lecture du contexte sociohistorique et économique de l’Afrique. C’est dans ce sens que je me suis inspiré de la pensée décoloniale, pour développer un cadre conceptuel constitué de la technocolonialité et du développement local durable. Le concept de développement local durable est une alternative au paradigme dominant actuel des approches de développement à savoir les objectifs de développement durable (ODD). Il est né des travaux sur la justice cognitive et est composé des dimensions suivantes : la quête de justice cognitive, l'économie informelle, les biens communs, l'inclusion et l'autonomisation, la pensée alternative africaine et l'innovation sociale. Quant au concept de technocolonialité, il émerge de la colonialité et de la matrice coloniale des pouvoirs dans les technologies numériques. Il est constitué des dimensions suivantes : le discours techno-utopique, les pratiques néo-capitalistes et la colonialité des savoirs liée au transfert de technologie. Ce cadre conceptuel m’a permis de reformuler mon interrogation en la question de recherche suivante : à quel type de développement les makerspaces contribuent-ils en Afrique francophone? De façon spécifique, il s’agit de savoir si les ateliers collaboratifs peuvent réellement contribuer au développement local durable en Afrique ou s’ils contribuent à renforcer la technocolonialité. Pour répondre à ces questions, j'ai mené trois études de cas en Afrique francophone : le Ouagalab au Burkina Faso, l'Ongola Fablab au Cameroun et le Defko Ak Niep Lab au Sénégal. Pour chaque cas, j'ai collecté des données en combinant trois méthodes : l'observation participante, les entretiens semi-dirigés avec les membres et les promoteurs des makerspaces, et l’analyse documentaire. Après avoir traité les données, j’ai procédé à une analyse qualitative à l'aide du logiciel Nvivo. Les différentes catégories de mon analyse ont ensuite été comparées et interprétées en utilisant le cadre conceptuel construit au préalable. Mon étude révèle que les makerspaces sont des communs de la connaissance qui permettent de lutter contre les injustices cognitives. À ce titre, ils assurent l'éclosion des connaissances, favorisent l'inclusion et l'autonomisation des membres et catalysent l'innovation sociale. En d'autres termes, la dynamique au sein des espaces de fabrication collaboratifs est très favorable au développement local durable. Par-dessus tout, les espaces de fabrication collaboratifs offrent un cadre d’épanouissement et d’expression du leadership des femmes, tout en leur donnant la possibilité de lutter contre les préjugés auxquels elles sont souvent confrontées dans la société et le milieu des STEM (Science-Technologie-Ingénierie et Mathématiques), cependant, les makerspaces sont exposés à des risques de technocolonialité qui pourraient sérieusement entraver la dynamique interne et par conséquent, leur contribution au développement local durable. Pour contrecarrer ces risques de technocolonialité, quelques propositions sont faites à la fin de cette thèse, à l’endroit des acteurs et actrices impliqué-e-s dans l'écosystème des makerspaces. / Over the last decade, many Western countries have seen their public spheres populated by the collaborative, open and shared manufacturing spaces, broadly known as makerspaces. Often described as vehicles of social change and industrialization, the idea of makerspaces has been rapidly exported from the West to the rest of the world and in Africa specifically. Regarding this expansion, I wondered about the societal purposes and neutrality of these collaborative spaces in the African context. Prior to address these questions, it is important to establish a common framework understand the socio-historical and economic context of Africa. That is why, inspired by decolonial studies, I have drawn a conceptual framework consisting of technocoloniality and sustainable local development. In order to do so, I first deconstructed the current dominant paradigm of development approaches, namely the sustainable development goals (SDGs). Then, in the light of the work on cognitive justice, I reconstructed and presented the idea of sustainable local development as relevant for Africa, and as an alternative to SDGs. The dimensions of sustainable local development are : the quest for cognitive justice, the informal economy, common goods, inclusion and empowerment, African alternative thinking and social innovation. Then, on the basis of coloniality and the colonial matrix of power, I presented the idea of technocoloniality and its dimensions which are: techno-utopic discourse, neo-capitalist practices and the coloniality of knowledge linked to technology transfer. This conceptual framework allowed me to refine my questioning in the following research question: to what kind of development do makerspaces contribute in Francophone Africa? Specifically, the question is whether collaborative spaces can really contribute to sustainable local development in Africa or whether they contribute to strengthening technocoloniality. To answer these questions, I conducted three case studies in Francophone Africa: the Ouagalab in Burkina Faso, the Ongola Fablab in Cameroon and the Defko Ak Niep Lab in Senegal. For each case, I collected data using a combination of three methods: participant observation, semi-structuredi nterviews with makerspaces members and promoters, and content analysis. After processing data, I conducted a qualitative analysis using Nvivo software. The different categories of my analysis were then compared and interpreted using the previously constructed conceptual framework. My study revealed that makerspaces are commons that fight against cognitive injustice, ensure the flowering of knowledge, promote inclusion and empowerment of members, and catalyse social innovation. In other words, the dynamics within collaborative manufacturing spaces are highly conducive to sustainable local development. Above all, makerspaces display women's dynamism and leadership, since they allow them to fight injustices and biases they used to face in the society and places related to STEM (Science-Technology- Engineering and Mathematics). However, the management of makerspaces as an entity is highly exposed to technocoloniality. This severely hinders the internal dynamics and thus their contribution to sustainable local development. But if the different actors involved in the makerspace ecosystem take into account some factors, makerspaces would bring a lot of benefits to sustainable local development of Africa. That is why at the end of this thesis, we made some suggestions.
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Culture as a project: design, self-determination and identity assertion in indigenous communities

Leitão, Renata Marques 04 1900 (has links)
No description available.
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Modélisation systémique des déterminants et processus de mise à l'échelle et de pérennisation d'innovations en santé : une étude qualitative de cas multiples au Burkina Faso et au Mali

Niang, Marietou 24 May 2022 (has links)
En Afrique subsaharienne, beaucoup d'innovations en santé maternelle, néonatale et infantile (SMNI) sont confrontées à des fragilités environnementales, sociales, politiques, économiques, physiques, institutionnelles et elles évoluent souvent à petite échelle, de façon dispersée. Conséquemment, elles ne sont pas intégrées de façon durable dans les systèmes et organisations de ces pays. À cela s'ajoute le monopole d'une perspective techno-économique dans laquelle sont priorisées des approches verticales et rentables économiquement au désavantage de l'amélioration qualitative des pratiques et de la distribution équitable des impacts des innovations dans la société. De façon générale, il existe peu d'études scientifiques qui s'intéressent aux processus de mise à l'échelle ou de pérennisation des innovations et à leurs déterminants de succès et d'échec. S'inspirant de la théorie systémique et complexe et du paradigme des innovations sociales, cette thèse a modélisé les déterminants et les processus de mise à l'échelle et de pérennisation à partir d'une recherche empirique de trois innovations en SMNI : la chimioprévention du paludisme saisonnier (CPS) initiée par l'État burkinabé; les Caisses villageoises de solidarité santé (CVSS) et les Comités de femmes utilisatrices (CFU) initiés par la Fédération nationale des associations de santé communautaire (FENASCOM) au Mali. Un modèle conceptuel initial a été développé à partir de la revue de littérature et de la théorie systémique utilisée. Adoptant une méthodologie qualitative d'étude de cas multiples, chaque innovation a été étudiée comme un cas. Un ensemble de données a été collecté en utilisant différentes méthodes et sources d'information. Premièrement, d'août 2017 à juin 2018, nous avons réalisé une analyse documentaire (entrevues secondaires, rapports et notes d'organisation, etc.). Ensuite, de février à mai 2018, une immersion dans les deux pays a permis de mener des entrevues individuelles (n=45) et de groupe (n=34) auprès de personnes impliquées dans chaque innovation, de collecter des documents, de faire de l'observation non participante et de tenir un journal de bord. Enfin, l'analyse des données par contextualisation a été effectuée à l'aide du logiciel NVivo 11 pour comprendre l'évolution temporelle et spatiale des événements des cas étudiés ainsi que les raisons pour lesquelles ils ont pris une certaine tendance plutôt qu'une autre. La finalité était de conceptualiser des modèles qui émergent de l'objet d'étude. Pour chaque cas, nous avons observé des déterminants interdépendants qui sont : les valeurs, le leadership et la gouvernance, les ressources (humaines, matérielles et de connaissances), le financement, la simplification et l'adaptation des innovations. Ces déterminants se distinguent selon que l'innovation est soutenue par un bailleur de fonds ou par les communautés et ils évoluent selon les dynamiques internes et externes à l'innovation. Pour comprendre les conditions de réussite ou d'échec des processus étudiés, ces résultats suggèrent d'avoir une lecture systémique de ces déterminants en considérant leurs interactions et de les traiter comme un ensemble. À partir de ces résultats, nous avons pu modéliser les relations entre les différents processus d'une innovation (conception/adoption, mise en œuvre, mise à l'échelle, pérennisation) et l'environnement dans lequel elle évolue comme étant de type récursif et complexe. Ensuite, un modèle conceptuel intégrateur de la mise à l'échelle et de la pérennisation a été proposé. Il regroupe dans un continuum deux événements critiques que sont : (1) la stabilisation correspondant au maintien de l'innovation (ressources, structure, composantes, finalités des processus) et à l'ancrage institutionnel/communautaire de l'innovation ; (2) la résilience renvoyant aux capacités d'adaptation, de transformation, d'apprentissage et d'appropriation de l'innovation. Cette thèse propose de nouvelles avenues théoriques et des recommandations pour la pratique en santé publique et communautaire qui reconnaissent les particularités contextuelles des pays à faible ressource, comme le Burkina Faso et le Mali. Spécifiquement, elle suggère que la mise à l'échelle et la pérennisation devraient être considérées comme un impératif dans les processus d'innovation pour lutter contre les inégalités sociales grandissantes dans les pays d'Afrique. Elles pourraient également favoriser des changements durables dans les systèmes, les politiques, les conditions de vie des personnes et la société en général. Pour cela, certains principes forts sont à valoriser dans les processus d'innovation, tels que la participation de toutes les parties prenantes ; le caractère dynamique et récursif des processus et des pratiques ; la mise en œuvre des pratiques inclusives axées sur l'équité, la qualité et l'équilibre des pouvoirs. / In sub-Saharan Africa, many innovations in maternal, newborn, and child health (MNCH) are faced with environmental, social, political, economic, physical, and institutional vulnerabilities and often evolve on a small scale. Consequently, they are not sustainably integrated into these countries' systems and organizations. Furthermore, a techno-economic perspective prioritizes vertical and cost-effective approaches rather than the qualitative improvement of practices and equitable distribution of the impacts of innovations in society. Few studies focus on the processes of scaling up or sustainability of innovations and their determinants of success and failure. Based on systemic and complexity theory and the perspective of social innovation, this thesis proposes to model the determinants and processes of scaling up and sustainability based on empirical research on three innovations in MNCH: Seasonal malaria chemoprevention (SMC) initiated by the Burkinabe State, the Village health solidarity funds (CVSS) and Women's committees of health care services users (CFU) initiated by the National Federation of Community Health Associations (FENASCOM) in Mali. An initial conceptual model was developed based on the literature review and systemic theory. We adopted a qualitative multiple case study methodology, with each innovation constituting a case. A data set was collected using different sources of information. We conducted a documentary analysis (secondary interviews, reports, organizational notes, and more) from August 2017 to June 2018. From February to May 2018, individual (n=45) and group (n=34) interviews were conducted with stakeholders involved in each innovation in both countries while collecting documents, engaging in non-participant observation, and keeping a logbook. We completed a contextualization analysis with NVivo 11 software to understand the temporal and spatial evolution of the events studied and specific trends developed. The purpose was to conceptualize patterns that emerge from the studied phenomena. For each case, we observed interdependent determinants: values, leadership and governance, resources (financial, human, material, and knowledge), funding, simplification, and the adaptation of innovations. These determinants vary depending on whether innovation is supported by an external funder or by the community. They evolve according to the internal and external dynamics of the innovation. These results suggest a systemic understanding of these determinants by considering their interactions and treating them as a whole to understand the conditions for the success or failure of the processes studied. From these results, we were able to specify that the relationships between the different processes of innovation (conception/adoption, implementation, scaling up, and sustainability) and the environment in which the innovation evolves are recursive and complex. Then, we proposed a conceptual model integrating scaling up and sustainability. It encompasses a continuum of two critical events: (1) stabilization corresponding to the maintenance of resources, the structure of the innovation and its components, the purposes of the processes, and the institutional/community anchoring the innovation, and (2) resilience, or the capacity of the innovation's adaptation, transformation, learning, and appropriation. This thesis proposes new theoretical avenues and recommendations for practices that recognize the contextual particularities of resource-poor countries such as Burkina Faso and Mali. Specifically, it suggests that scaling up and sustainability should be imperative in innovation processes to address growing social inequalities in African countries. This approach could improve sustainable systems, policies, people's living conditions, and society. To this end, decision-makers should value certain principles in innovation processes, such as the participation of all stakeholders, the dynamic and recursive nature of processes and practices, and the implementation of inclusive practices focused on equity, quality, and power balance.

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