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La légitimité des institutions productives dans les sociétés démocratiques européennes : le cas de l’internationalisation de la « firme urbaine » française en Suède et Roumanie / The legitimacy of productive institutions in democratic European societies : the case of the internationalization of the French “urban firm” in Sweden and Romania

Burlat, Claire 08 April 2010 (has links)
Ce travail confronte le phénomène de l’internationalisation des pratiques de gestion des entreprises à celui de la légitimité des institutions intermédiaires. L’étude de cas porte sur l’internationalisation d’une entreprise française, Veolia Environnement, en Suède et en Roumanie. Cette firme est dite « urbaine » dans la mesure où elle est spécialisée dans les services publics locaux. Les résultats attestent des processus de légitimation que la « firme urbaine » déploie au moyen de sa « dimension institutionnelle » lors de son expansion internationale. Ils prennent la forme de régulations « par le haut » et « par le bas ». Lorsque la firme régule « par le haut », elle tente de mettre en place des types de coopération avec les institutions publiques. Lors de la régulation « par le bas », elle impulse un modèle gestionnaire, couplé à des formes de socialisation des individus, dans les organisations du travail. Dans les deux cas, la firme tente de prolonger ou assurer le rôle dévolu à l’autorité publique, d’où sa « dimensions institutionnelle ». La légitimité de la « firme urbaine » est ainsi mise à l’épreuve de la régulation d’une action collective se confrontant à un principe démocratique variable selon les pays. En France, la « firme urbaine » développe sa « dimension institutionnelle » en raison de l’existence d’une démocratie déléguée. En Suède, son action est limitée par la démocratie participative effective. En Roumanie, la démocratie en constitution représente, certes un obstacle à son expansion économique mais, en revanche, un terrain favorable au développement de sa « dimension institutionnelle ». / This work confronts the phenomenon of management practices internationalization of corporations to the legitimacy of intermediate institutions. The case study deals with the internationalization of a French company, Veolia Environnement, in Sweden and Romania. Being specialized in local public services, this firm is considered as “urban”. The results show the legitimating processes the “urban firm” resorts to while settling abroad thanks to its “institutional dimension”. Such processes turn into “high-level” and “low-level” regulations. When the firm regulates on the “high level”, it tries to implement cooperation strategies with the public institutions. When the firm regulates on the “low-level”, it promotes a management model, associated with individuals’ socialization processes, into the labor organizations. In both cases the firm aims at pursuing or replacing the public authority, hence its “institutional dimension”. Thus, the legitimacy of the “urban firm” depends on the regulation of a collective action that faces a democratic principle varying according to the countries. In France, the “urban firm” develops its “institutional dimension” owing to the fact that there is a delegated democracy. In Sweden, its action is limited by the effective participating democracy. As to Romania, the democracy in constitution can, on the one hand, be seen as an obstacle to its economic expansion. But on the other hand, it enables the development of its “institutional dimension”.
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Les normes familiales à l'épreuve du droit et des pratiques: analyse de la parenté sociale et de la pluriparentalité homosexuelles / Family norms challenging law and social practices: an analysis of homosexual social parenthood and multi-parenthood

Herbrand, Cathy 20 March 2008 (has links)
La thèse porte sur l'évolution des normes parentales dans des situations où celles-ci sont discutées, mises en jeu et légitimées, en particulier concernant la pluriparentalité. D'une part, je me suis penchée sur le projet légal de "parenté sociale" qui vise à reconnaître la place et les droits d'un adulte qui s'occupe de l'enfant de son conjoint avec qui il n'a pas de lien biologique. D'autre part, j'ai analysé des situations familiales dites de "coparentalité" où gay(s) et lesbienne(s) s'associent pour avoir un enfant ensemble en l'élevant séparément. <p><p>The PhD thesis deals with the evolution of parental norms in changing situations in which these norms can be discussed and modified, specifically en terms of multiparenthood. On the one hand, I have studied a new form of legal status - “social parenthood” - debated in the Belgian Parliament to recognize non-biological parenthood. On the other hand, I have analyzed gay and lesbian “coparenting”, which can be defined as a parental project involving a lesbian woman/couple and a gay man/couple brought together to have a child and raise he or she separately. In each case, I examined the ways in which individuals live and deal with familial situations that involve same-sex couples and/or more than two parents raising a child. / Doctorat en sciences sociales, Orientation sociologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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«L’émergence des grandes puissances : pouvoir symbolique et nouveau rôle de la Chine dans le monde après la Guerre froide»

Chantal, Roromme 12 1900 (has links)
L’émergence de la Chine dans le système international post-guerre froide pose un défi pour la position hégémonique des États-Unis et l’ordre mondial libéral. Lorsqu’ils tentent d’expliquer ce défi, les spécialistes tendent à se concentrer uniquement soit sur le hard power chinois (en particulier, sa puissance militaire) soit sur son soft power (l’attrait de sa culture et idéologie). Cette thèse développe un cadre d’analyse alternatif inspiré de la sociologie de Pierre Bourdieu, articulé autour de la notion de pouvoir symbolique. Elle conçoit la politique internationale en termes d’une lutte symbolique (entre, par exemple, une orthodoxie et une hétérodoxie) dont l’issue est déterminée par au moins trois facteurs cruciaux : contexte, capital et lieux communs. Ce cadre est appliqué à l’analyse du nouveau rôle de la Chine dans le monde depuis la fin de la guerre froide, lequel est indiscutablement l’un des développements les plus remarquables des relations internationales des temps modernes. La thèse démontre que la Chine ne défie pas l’hégémonie des États-Unis et l’ordre mondial libéral au sens conventionnel de la puissance matérielle ou de l’idéologie, mais plutôt au niveau symbolique. La thèse soutient que la conjonction des trois facteurs susmentionnés a été nécessaire à l’influence mondiale de la Chine : (1) la crise de légitimation des États-Unis (sur les plan économique, politique et idéologique), couplée à l’extraordinaire ascension de nouvelles puissances dans le système international comme la Chine, ont créé un contexte historique favorable ou « condition de possibilité »; (2) l’énorme capital symbolique accumulé par la Chine, en raison non seulement de son nouveau statut de grande puissance, mais aussi de son approche pragmatique des questions nationales et internationales, en a fait une source d’inspiration convoitée mondialement ; (3) la mobilisation stratégique par la Chine de son capital symbolique, sous la forme d’un ensemble de lieux communs ‘rhétoriques’, a grandement contribué à légitimer sa puissance, en particulier aux yeux des élites dirigeantes dans le monde en développement, dissimulant ainsi le caractère asymétrique et arbitraire de ses relations. Ensemble, ces trois éléments –contexte, capital, lieux communs– expliquent le pouvoir symbolique de la Chine, c’est-à-dire la perception selon laquelle, contrairement aux États-Unis, elle propose des réponses pertinentes et cohérentes aux problèmes d’organisation sociale, économique et politique de ce monde. L’ascension de la Chine remet ainsi en question le « méta-capital » des États-Unis, c’est-à-dire son monopole sur la production du capital économique, social, culturel et symbolique. L’accent mis sur cette dimension symbolique de la lutte pour définir et imposer la « vision légitime du monde social et ses divisions » révèle une rupture avec la pratique conventionnelle de la politique des grandes puissances, au profit d’une transformation pacifique du système international et d’une diplomatie symbolique. Cet accent sur le pouvoir symbolique ouvre des avenues prometteuses pour l’étude du changement et des sources d’autorité sur la scène politique mondiale, traditionnellement définie comme « anarchique ». / China’s rise within the international system in the post-Cold War era challenges the hegemonic position of the United States and the Western liberal order. In trying to explain this challenge, scholars tend to either focus on Chinese hard power (in particular, its military power) or on its soft power (the attractiveness of its culture and ideology). This thesis develops an alternative Bourdieu-inspired framework addressing symbolic power. It conceptualizes international politics in terms of a symbolic struggle (such as that between orthodoxy and heterodoxy) whose outcome is determined by at least three crucial factors: context, capital and commonplaces. The framework is applied to the analysis of China’s new world role, which is arguably one of the most remarkable developments in modern international relations. The thesis shows that China does not challenge U.S. hegemonic position and the Western liberal order in the conventional sense of material power or ideology, but rather at the symbolic level. The thesis argues that the combination of the three above-mentioned factors has been necessary to China’s worldwide influence : (1) the legitimation crisis of the United States (economically, politically and ideologically), paired with the extraordinary rise of new illiberal powers on the world scene such as China, created a favourable historical context or “condition of possibility”; (2) the huge amount of symbolic capital accumulated by China, not only because of its new status as a great power, but also because of the success of its pragmatic approach to national and international issues, made it become a source of inspiration for countries across the world; (3) the strategic mobilization by China of its symbolic capital, in the form of ‘rhetorical’ commonplaces, greatly contributed to legitimize its power, especially in the eyes of ruling elites in the developing world, thereby dissimulating the asymmetric and arbitrary nature of the Chinese power and relations. Together, these three components -context, capital, and commonplaces- explain the emergence of China as a symbolic power, i.e. the perception that, unlike the United States, China now has the authority to speak the truth and to define causes of and remedies for certain problems and crises. China’s rise challenges the Unites States’ ‘meta-capital’, that is, its monopoly on the production of economic, social, cultural, and symbolic capital. The focus on this symbolic dimension as a ‘weapon’ in the struggle to define and impose the “legitimate vision of the social world and its divisions” reveals a rupture in the conventional practice of great powers politics, pointing to a peaceful transformation of the international system and symbolic diplomacy. It shows that a focus on symbolic power opens promising avenues for the study of change and sources of authority in world politics, traditionally defined as “anarchic”.
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La structure de la réalité sociale abstraite inhérente aux sociétés prescrites : La quiddité des liens et des structures de coopérations intra-organisationnels issus de l’activité réelle, dans le cas du processus de co-construction de sens découlant des décisions stratégiques / The structure of abstract social reality inherent to prescribed societies : the quiddity of intraorganizational cooperation links and structures resulting from the actual activity, in the case of the sensemaking process deriving from strategic decisions

Dandelot, Damien 15 May 2012 (has links)
Partant de l’idée que des filiales d’une entreprise sont en mesure de remettre en cause les décisions de la direction générale (maison-mère), l’approche holistique développée dans ce travail part du principe qu’une organisation peut être un « être », laissant entendre ainsi que les informations dont elle dispose seraient extérieures aux individus qui la composent. Ce qui conduit à s'interroger s’il est concevable d’ignorer l’individu dans une telle relation de domination. Cette thèse propose justement un modèle autour de résultats qui montrent la difficile exclusion de l’individu dans un contexte méta-organisationnel (dans lequel les membres seraient des organisations et non des individus). Dans cette veine, ce sont les dynamiques humaines de l’organisation qui sont au cœur de ce travail : il existe par et au travers de l’individu une dynamique issue de l’activité réelle qui permet de faire vivre l’organisation par elle-même, mais également qui permet au prescrit de cette dernière d’évoluer. Bien que les résultats obtenus montrent que l’organisation n’est pas un objet mort et sans force et qu’elle a bien la possibilité de vivre par elle-même, ce sont les individus qui — par leurs engagements conditionnels — permettent cette existence propre de l’organisation comme structure intra-consciente qui impose des droits et des obligations. Dans cette perspective, le modèle proposé vise à dessiner les structures de la réalité sociale abstraite (dénommé dans la recherche menée, l’Entité X) en montrant les forces et les contraintes organisationnelles qui pèsent sur les individus-membres, tout en relevant les capacités humaines à sortir des structures prescrites par la co-construction de liens et de structures transversales de coopérations issus de l’activité réelle. / Based on the idea that the subsidiaries of a company are able to call into question the decisions of senior management (the parent company), the holistic approach developed in this study assumes that an organization can be a “being”, implying thereby that the information in its possession is external to the individuals who compose it. This raises the question of whether it is conceivable to ignore the individual in such a relationship of domination. This thesis proposes a model based on the results which show the difficult exclusion of the individual in a meta-organizational context (in which members would be organizations and not individuals). Along these same lines, the organization’s human dynamics are at the heart of this research: there exists by and through the individual a dynamic resulting from actual activity that allows the organization to live by itself, while also allowing prescribe to evolve. Although the results show that the organization is not a dead and strengthless object, and it has the opportunity to live by itself, it is the individuals who —through their conditional commitments— allow the separate existence of an organizational structure’s intra-consciousness, which imposes rights and obligations. In this perspective, the proposed model aims to draw the structures of abstract social reality (referred as Entity X in this study) by showing the strengths and organizational constraints that weigh on individual members, while raising the human capacity to emerge from the structures prescribed by the sensemaking of links and transversal structures for cooperation that originate from the actual activity.

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