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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Il commento a Persio di Giovanni Britannico e la sua ricezione nel Cinquecento europeo : edizione critica e studio introduttivo / le commentaire de Perse par Giovanni Britannico et sa réception en Europe au XVIe siècle : étude et édition critique / Giovanni Britannico's commentary on Persius and its reception in Europe in the 16th century : introduction and critical edition

Rossetti, Federica 26 June 2017 (has links)
La présente étude propose une recherche sur la fortune de Perse (auteur satirique latin du I siècle ap. J. Ch.) pendant la Renaissance et l’édition critique du commentaire des Satires de Giovanni Britannico (humaniste, imprimeur et professeur de Rhétorique à Brescia au XVe siècle), ouvrage publié pour la première fois à Brescia en 1481 et qui bénéficia d’une énorme diffusion en France. Le premier chapitre de la thèse est consacré à la réception de Perse en Italie durant le XVe siècle et passe en revue les commentaires des Satires précédent l’ouvrage de Britannico. Le deuxième propose un profil biographique de l’humaniste et analyse son oeuvre, en l’inscrivant dans le cadre de l’activité éditoriale et typographique de sa famille. Le troisième présente la structure et les caractéristiques du commentaire et met en lumière les nouveautés exégétiques de l’ouvrage en rapport avec la production contemporaine. Le quatrième chapitre est consacré à la réception du commentaire en Europe durant la première moitié du XVIe siècle. La thèse se termine avec l’édition du commentaire, accompagnée d’un apparat critique qui présente les variantes et les sources de l’ouvrage. / The aim of the thesis is to investigate about the reception of Persius’ poetry in the Renaissance period and to provide a critical edition of Giovanni Britannico’s commentary on Satires. Britannico’s work was published in Brescia in 1481 and it enjoyed a great diffusion and great appreciation in France during the 16th Century. The first chapter analyses Persius Satires reception in Italy during the second half of the 15th Century, by reviewing commentaries written before Britannico’s work.Then the thesis provides a biographical profile of the author and it analyses his literary production in the context of editorial and printing press activity of his family. The third chapter describes the structure and the features of the commentary, by comparing it with contemporary production on Persius. The last one studies the reception of the commentary in Europe in 16th Century. The critical edition of Britannico’s commentary is accompanied by a critical apparatus providing information about variant reading of the text and about its sources.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila January 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Philosophie et religion dans le stoïcisme impérial romain. Étude de quelques cas : Cornutus, Perse, Epictète et Marc-Aurèle / Philosophy and religion in the imperial stoicism

Pià Comella, Jordi 03 December 2011 (has links)
Comment les Stoïciens concilient-ils l’exigence d’une piété intérieure, reposant sur l’obéissance à un dieu rationnel avec la défense des rites traditionnels ? Après avoir étudié les oscillations constantes chez les Stoïciens grecs entre la légitimation et la condamnation des cultes civils, nous montrons que les Stoïciens impériaux, Cornutus, Perse, Épictète et Marc- Aurèle, prolongent le débat sur la relation entre philosophie et religion sous une perspective différente, en l’acclimatant au contexte politico-religieux de la Rome impériale et en l’adaptant à la nature du destinataire et aux stratégies persuasives de chaque œuvre. / How can the stoics reconcile the research of rational piety based on moral perfection with the legitimization of the ritualism and traditional representation of pagan gods? After studying the constant oscillation between the legitimization and condemnation of traditional rites in ancient stoicism, we demonstrate that the roman stoics, Cornutus, Persius, Epictectus and Marcus Aurelius, address the same question, but with two essential specifics : adapting it to the political-religious context of Imperial Rome and paying particular attention to their readers as to the pedagogic strategist to grant its moral conversion.
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L’articulation discours-récit dans les Histoires d’Hérodote / Articulation of the Boundary between Speech and Narrative in the Histories of Herodotus

Kazanskaya, Maria 08 December 2012 (has links)
Cette thèse est consacrée à l’insertion des discours directs dans les Histoires d’Hérodote, et notamment à la manière dont l’historien articule la transition entre le discours d’un personnage et son propre récit. L’articulation discours-récit est prise au sens large, puisque l’étude tient compte non seulement des chevilles qui dénotent le début et la fin du discours, mais aussi d’autres phénomènes tels que la distinction entre le style autorial et celui des discours, l’emploi des apostrophes, la répartition de l’information et entre le discours et le récit, etc. La frontière qui sépare le discours et le récit étant une des plus délicates, sa démarcation demande une grande finesse de la part de l’auteur, qui doit savoir l’indiquer sans pourtant rompre la continuité de son texte, et adapter la répartition de l’information à ses besoins narratifs, ainsi qu’à la logique de chaque épisode. Après une introduction générale, la grande partie du travail consiste en un commentaire de l’ensemble des discours directs des Histoires, ainsi que des oracles et inscriptions cités par Hérodote. L’approche de ce commentaire est principalement stylistique. / This thesis examines the insertion of direct speech in Herodotus’ narrative, and in particular, the ways in which the transition between the two may be demarcated. The articulation of the boundary between direct speech and narrative is understood in a wide sense, comprising not only the phrases that mark the beginning and the end of the speech, but other elements as well (such as distinction between the style adapted to authorial narrative and that adapted to the characters’ speeches; the use of addresses; the distribution of information between the speech and narrative; etc.). The boundary between speech and narrative is of the most delicate kind and the author is obliged to be very careful when denoting it: on the one hand, he must indicate clearly the beginning and the end of a character’s speech, without endangering at the same time the continuity of his own text. The distribution of the information between the authorial narrative and the characters’ speeches also demands much attention, for the logical structure of the episode depends on it. After a general introduction, the bulk of the work consists of a commentary of all the direct speeches, as well as of the oracles, letters, and inscriptions that Herodotus quotes. The approach is mainly a stylistic one.
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Poésie et science(s) chez Saint-John Perse / Poetry and science(s) in Saint-John Perse’s work

Fels, Laurent 12 December 2014 (has links)
La lecture du « Discours Nobel » où Saint-John Perse précise que, chez le savant aussi bien que chez le poète, « l’interrogation est la même qu’ils tiennent sur un même abîme, et seuls leurs modes d’investigation diffèrent », nous a incité à approfondir l’analyse des influences des savoirs scientifiques sur la poésie de Saint-John Perse, mais aussi de la philosophie de Henri Bergson, d’autant plus que, plus loin, l’écrivain fait directement allusion à Einstein et à la physique quantique. Fernand Hallyn souligne dans son ouvrage La structure poétique du monde : Copernic, Kepler qu’« [u]ne poétique s’occupera de la formation d’une hypothèse en tant que phénomène global, débordant largement les cadres constitués et s’organisant d’une manière propre : résultat, certes, de déterminations et de conditionnements logiques et autres, mais également configuration unique, synthèse originale qui, en tant que totalité, demande une étude sui generis de la structuration et de l’interaction des éléments qui l’encadrent et l’informent ». Dans Les structures rhétoriques de la science de Kepler à Maxwell, il ajoute que « [l]a poétique n’est pas à exclure totalement de la science : celle-ci possède, au contraire, une poétique propre, pourvue de règles et de valeurs spécifiques ». Autrement dit, il y a interaction entre la vérité poétique et la vérité scientifique, les « modes d’investigation » (Saint-John Perse) des deux étant différents, mais l’objet de la quête restant le même. Nous avons donc analysé comment les influences du bergsonisme, mais aussi les savoirs scientifiques viennent nourrir l’œuvre de Saint-John Perse, celle-ci se réclamant d’une ouverture cosmique / In his “Nobel Speech”, Saint-John Perse specifies that, for the scientist as well as the poet, “the questioning is the same on the same abyss, with only their investigative modes differing”. This statement prompted a more thorough analysis of the influence on Saint-John Perse’s poetry of both scientific knowledge and Henri Bergson’s philosophy, especially as the writer, further in his text, explicitly refers to Einstein and quantum physics. In his La structure poétique du monde : Copernic, Kepler, Fernand Hallyn emphasizes that ”poetics attend to the genesis of a hypothesis as a global phenomenon, which goes far beyond any established framework and develops along its own scheme - the result, undoubtedly, of logical and other determination and conditioning, but also a unique configuration, an original synthesis which, as a whole, requires a sui generis study of its structuring and the interaction of the elements framing and informing it”. In Les structures rhétoriques de la science de Kepler à Maxwell, he adds that “poetics must not totally be excluded from science: rather, the latter is endowed with its own poetics following specific rules and values.” In other words, there is interaction between poetic truth and scientific truth, with the “investigative modes” (Saint-John Perse) of the two differing, yet the object of the quest remaining the same. Hence arose the analysis of how the influences of Bergsonism, along with scientific knowledge, nourish the works of Saint-John Perse, which claim a cosmic perspective
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L'idéologie et les pratiques monarchiques des rois grecs en Bactriane et en Inde / Greek kings ideology and practices in Bactria and India

Chassanite, Christophe 10 April 2015 (has links)
Des rois grecs ont régné sur l'Asie centrale et l'ouest de l'Inde antique du IIIème siècle av. J.C. jusqu'au début de l'ère chrétienne. Ils laissent une image belliqueuse, car le fondement de leur pouvoir fut d'abord militaire. Des indices permettent d'envisager qu'à l'instar des autres souverains hellénistiques ils diffusèrent leurs portraits, mirent en place un culte royal, associèrent parfois leur fils au pouvoir, vécurent entourés d'une cour royale itinérante. Leur gestion économique fut suffisamment efficace pour que la région ne souffrît pas des guerres fréquentes ; les voies de communication furent préservées, le commerce et l'irrigation se développèrent, le système fiscal et administratif semble comparable en efficacité à celui des Perses ou des Séleucides. L'originalité de ces souverains réside dans leur adaptation aux milieux linguistiques et religieux : s'ils défendirent la langue et la culture grecque, pour des raisons identitaires et politiques, ils usèrent parfois du bilinguisme dans les monnaies et y firent graver des dieux compatibles avec les croyances ou les habitudes picturales locales. On peut envisager qu'au tournant de l'ère chrétienne les Grecs aient été lentement absorbés dans le monde asiatique. / Greek kings' domination in Central Asia and Western Antique India was effective from the IIIth Century BC till the beginning of Christian Era. The Greek kings of Central Asia image appears warlike, because their power was at the beginning and mainly a military one. We may suppose that, according to the example of the other Hellenistic sovereigns, these kings spread their sculptured portraits, organized a royal cult, and sometimes ruled with their son ; a royal itinerant court escorted them. The economic management of Greek Central Asia was so effective that the area prospered in spite of wars : the roads were protected, trade and irrigation developed, their fiscal and administrative system is similar to the Persian or Seleucid efficiency. These kings were remarkable because they adapted to the linguistic and religious environments : they defended the Greek language and culture, for political reasons and to preserve their identity ; the coins they engraved were sometimes bilingual, and we identify on it the image of Gods who are compatible with local faiths or pictorial habits. We may suppose that, circa Christian era, after defeat or disappearance of their kings, Greeks were slowly absorbed into the Asian world.
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L'image de la Perse et des Perses au IVème siècle chez Ammien Marcellin : tradition romaine et tradition arabo-persane : regards croisés / The image of Persia and Persians at the 4th century at Ammien Marcellin : roman tradition and arabo-persian tradition : cross glances

Bousleh, Wijdene 05 January 2016 (has links)
L’image de la Perse et des Perses occupe une place importante dans l’œuvre d’Ammien Marcellin, un Syrien hellénisé du IVe siècle, auteur d’un ouvrage historique écrit en latin. La présente recherche, qui replace le sujet dans le reste de la tradition romaine et la tradition arabo-persane, s’articule en trois parties : « Ammien, une source majeure ? », « L’image de la Perse chez Ammien : l’art de la description », et enfin « Les Perses dans le récit du conflit romano-perse de 354 à 378 : l’art du portrait et de la narration ». Il en ressort qu’Ammien a adopté un point de vue romain, tout en se distinguant de la tradition historiographique romaine antérieure. Il se démarque également de la tradition arabo-persane. Ammien, auteur atypique de par ses origines et du sujet qu’il traite, l’est aussi par son écriture. / The image of Persia and Persians occupies an important place in the work of Ammianus Marcellinus, a hellenized Syrian of the 4th century, author of a historical written in latin. The present research, which replaces the subject in the rest of the roman tradition and the arabo-persian tradition, is articulated in three parts : « Ammianus, a major source ? », « The image of Persia at Ammianus : the art of description », and finally, « The Persians on the account of the Romano-Persia conflict from 354 to 378 : the art of the portrait and the narration ». This reveals that Ammianus adopted a roman point of view, while being distinguished from the former roman historiographical tradition. He also dissociates arabo-persian tradition. Ammianus, author atypical from his origins and the subject which it treats, is also by its wrinting.

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