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Les personnes en situation de handicap sensoriel dans les musées : réalités d’accueil, expériences de visite et trajectoires identitaires / People with sensory disabilities in museums : reception realities, visiting experiences and identity trajectories

Lebat, Cindy 05 July 2018 (has links)
Cette thèse présente les modalités d’expérience muséale proposées aux visiteurs déficients visuels et auditifs. Elle expose pour cela à la fois les dispositifs d’accueil et de médiation culturelle des musées, leurs discours sur l’accessibilité et la différence, mais aussi la réception et l’expérience vécue par ces visiteurs. À partir d’un travail de terrain mené dans des établissements muséaux d’Île-de-France et auprès d’individus en situation de handicap, il s’agit d’abord de montrer comment ces institutions structurent et révèlent le traitement social du handicap. Les processus sociaux assignant une place et une identité sociale y étant fortement perceptibles, le musée est pris comme cadre d’analyse et de compréhension des trajectoires identitaires des personnes en situation de handicap. Plus encore, le dispositif muséal conditionne aussi le rapport sensible à l’environnement, notamment par le biais des outils de médiation culturelle. Il contribue en conséquence à imposer une image de soi, et à structurer la carrière de visiteur. En outre, cette recherche souligne la capacité des individus à s’emparer de ces éléments pour élaborer leurs propres trajectoires identitaires. Ainsi, la responsabilité portée par l’institution muséale est mise en évidence, puisqu’elle participe à la construction des identités sociales et des modalités d’être au monde des visiteurs en situation de handicap. / This PhD dissertation focuses on the ways and means of the museum experience for visitors with visual or hearing deficiencies. For that matter, the aim is to grasp both the cultural mediation systems, the welcoming apparatus proposed by museums but also the experience lived by the visitors. This allows to touch upon the discourses then carried out regarding accessibility and difference. A field work was carried out in the museums of the region Île-de-France and through interviews with people with disabilities. The main objective was to bring out the way in which museums, through the devices they propose and by the discourses they carry and relay on accessibility, organize and reveal at the same time the social treatment of disability. Museums can be considered frameworks for analysis and for understanding identity trajectories, since the social processes giving a place and an identity to people are strongly perceptible in this institution. Moreover, the sensitive connection to environment and, in this case to the exhibits, is also conditioned by the museum. It therefore contributes to establish a self-image for the visitor, and thus to structure the visitor's journey. In addition, by also highlighting the ability of individuals to seize these elements to develop their identity trajectories, this work highlights the responsibility of the museum as an institution, which participates in the construction of social and personal identities.
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Etude d'Interaction et Evaluation de Guides Portables Multimédia pour la visite culturelle: Des Multimédia à la Réalité Augmentée Mobile

Damala, Areti 30 June 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse examine le contexte d'utilisation des guides portables multimédia comme aide alternative à la visite culturelle. Son hypothèse de recherche principal est que l'utilisation des technologies de Réalité Augmentée (RA) mobile et de la métaphore introduit par la RA en tant que component principal de conception et d'interaction concernant les guides multimedia portables, pourrait énormément faciliter l'interaction et la navigation, tant dans l'application interactif mobile que dans le contexte sensible du musée. Le domaine traité appartienne plus largement dans le contexte plus large de l'interaction Homme-Machine Mobile. Cependant, à cause de la nature du sujet traite, la thèse apporte aussi des éléments qui enrichissent l'état de l'art concernant l'interaction et évaluation des applications de RA mobile. Enfin, a cause de la nature de l'environnement ou l'expérience a eu lieu –le musée- la thèse apporte aussi des contributions sur les façons avec lesquelles l'utilisation des guides portables multimedia pour la visite culturelle peut altérer, transformer ou promouvoir l'expérience de la visite culturelle et les relations du musée contemporain avec ses publics. Après avoir examiné le contexte d'utilisation des guides portables multimedia pour la visite culturelle, proposé un set de critères de classification, réexaminé la notion d'interaction dans notre contexte de recherche et investigué de quelle manière les technologies de RA pourraient former l'analyse conceptionelle et fonctionnelle des guides portables multimedia, l'hypothèse de recherche principal est testé a travers la conception, l'implémentation et l'évaluation d'un guide de RA mobile, créé pour et avec le Musée des Beaux Arts de Rennes. La méthodologie et le protocole d'évaluation sont ensuite exposés avant de venir aux résultats des sessions d'évaluation qui ont eu lieu dans l'environnement du Musée. Des observations ont été combinée avec des entretiens semi-structurées, suivis ensuite d'un questionnaire et deux sessions des entretiens de group. L'analyse de donnes a démontré plusieurs avantages mais aussi inconvénients lies avec l'utilisation de la RA comme un alternative intuitive et facile a utiliser pour la geolocalisation, l'orientation, la navigation et l'interaction tant dans l'environnement du musée que dans l'environnement de l'application interactive.
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Donner la parole aux autochtones : Quel est le potentiel de reconnaissance de l'exposition à plusieurs points de vue dans les musées ? / Giving voice to aboriginal peoples : On the recognition potential of multivocal exhibitions in museums

Soulier, Virginie 28 June 2013 (has links)
Depuis la fin des années 1980, les collaborations avec les communautés autochtones semblent s’accroître dans les musées canadiens. Un déplacement apparaît de la prise de parole en contexte de revendication au don de parole en contexte muséal. Après la remise en cause des musées ethnologiques, la prise en charge de la parole autochtone annonce le temps de la reconnaissance. Seulement, le mot reconnaissance est employé dans des contextes variés en muséologie. Ses occurrences indiquent plusieurs sens, dérivés de la volonté de redonner dignité et respect aux peuples autochtones et de produire des expositions qui présentent leur patrimoine d’origine à la lumière de leurs points de vue. Selon une approche communicationnelle, notre travail a porté sur les pratiques des musées qui consistent à donner la parole aux peuples autochtones et à l’exposer. Le travail a été centré sur la combinaison des points de vue autochtones avec ceux des concepteurs-muséographes. L’entreprise de la recherche a visé à cerner les opérations induites et générées par cette situation d’entrecroisements de points de vue, plus ou moins discordants, qui doivent, d’une manière ou d’une autre, s’unir dans un même espace communicationnel. Le système polyphonique de l’exposition est conceptualisé en trois moments de médiation : la prise en compte, la monstration et l’interprétation des points de vue autochtones. Ils correspondent aux intentions des concepteurs-muséographes et des expositions, puis à la manière dont elles sont interprétées par les visiteurs. Nous avons réalisé quatre enquêtes de terrain dans onze musées à travers le Canada : observation participante ; entretiens individuels auprès de professionnels des musées ; analyse de discours ; entretiens de groupes auprès de visiteurs autochtones et allochtones. Nous avons examiné les pratiques collaboratives et croisé ces quatre formes de discours des musées afin de mettre à l’épreuve le potentiel de reconnaissance des expositions qui tiennent compte des points de vue des représentants autochtones. Il résulte que la patrimonialisation est conçue en tant que processus de reconnaissance. De plus, l’intensification de la patrimonialisation des objets autochtones est synchronique de l’expansion coloniale. Néanmoins, l’analyse de la prise de distance du concepteur-muséographe vis-à-vis de son point de vue et de celui des autochtones rend compte des relations complexes entre le don de parole, l’autorité de discours et l’auctorialité. Malgré les divergences entre les intentions explicitées par les professionnels et leurs intentions implicites dans les expositions, les discours des visiteurs autochtones et allochtones traduisent un contrat de reconnaissance entre le musée et les visiteurs. Ainsi, le principe polyphonique et ses formes de reconnaissance sont mis en évidence dans les espaces de production et de réception des expositions produites en collaboration. Notre recherche révèle plusieurs modalités de reconnaissance manifestes dans la combinaison et l’entrecroisement des voix autochtones avec celles des praticiens. Cet essai d’interprétation met au jour des conflits d’ordre patrimonial et socio-historique qui engendrent des mécanismes de régulation par assimilation/accommodation. Il décrit deux logiques fondamentales relatives à l’identité et à la mémoire. De ces adaptations mises en œuvre par les musées ressort un phénomène permanent de reconnaissance amorcé depuis la colonisation des territoires autochtones. La recherche suggère finalement d’envisager le musée comme lieu de reconnaissance non seulement du patrimoine, mais aussi des publics et des peuples donateurs et donataires du patrimoine. / Collaborations with aboriginal communities appear to be increasing in Canadian museums, with the communities shifting from speaking in a context of claiming theirrights to being given a voice in the museum context. In keeping with the questioning about ethnological museums, taking into account the voice of the aboriginal peoplesprefigures since the eighties the time for recognition. But the word recognition is used indiverse museum contexts.Based on a communicational approach, our research considers the links between thepolyphonic and recognition modalities of the exhibition media. We have attempted toidentify and understand the processes induced and generated by exhibitions’ interactionaland intertextual systems. The polyphonic system is conceptualized in three mediation moments in the production and reception spaces of the exhibition: acknowledgment, monstration, and interpretation of aboriginal points of view. They correspond to there cognition intentions of the exhibitions and designers-museographers, then visitors’recognition. We have conducted four field studies in eleven different Canadian museums : participant observation; one-on-one interviews with museum professionals; discourse analysis ; group interviews with native and non-native visitors. We have studied the collaborative practicesand these four types of museum discourses to demonstrate the recognition potential ofexhibitions dedicated to the aboriginals’ perspectives.Our research reveals several recognition modes manifest in the combination andinterlinking of aboriginals’ and practitioners’ voices; it identifies logic in the polysemy ofthe word recognition. This interpretation essay reveals patrimonial and socio-historical conflicts that generate regulation mechanisms through assimilation/accommodation. A permanent recognition phenomenon emerges from the adaptations implemented by themuseums since the beginning of aboriginal patrimonialization during the colonizationperiod. Our research proposes to apprehend the museum as a recognition place of heritage, but also of the general public and the peoples, whether donors or donees of that heritage.
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Le traducteur en tant que médiateur culturel - L'exemple de Rifâ'a Al-Tahtâwî (1801-1873) / The Traslator as Cultural Mediator - The example of Rifâ'a At-Tahtâwî (1801-1873)

Azab, Lamiss 15 January 2015 (has links)
Malgré l’ancrage de la médiation et de la médiation culturelle en traductologie surtout depuis le Tournant Culturel, il manque encore à ces notions une définition traductologique arrêtée. Partant des apports provenant de différents domaines – notamment la communication culturelle – et prenant appui sur une théorie causale de la traduction, nous proposons une réflexion en trois temps sur le traducteur comme médiateur culturel et sur ses interventions délibérées, dans une approche identitaire, textuelle et fonctionnaliste. Nous sondons la particularité de la construction identitaire du traducteur, acteur marqué par sa formation linguistique et par ses normes socioculturelles d’origine, mais très empathique envers l’Autre et son système normatif. Dans ce premier volet, les stratégies traductives sont étudiées en miroir des stratégies identitaires déployées par le traducteur pour préserver cohérence et valorisation de sa construction identitaire. Ensuite, nous considérons le texte et le type de texte à traduire comme des créations culturelles que le traducteur re-présente à sa communauté, en lui rendant la différence abordable aux niveaux formel, lexical et discursif. Pour ce faire, il déploie une panoplie de stratégies traductives variant de la norme rédactionnelle la plus conformisante à la plus différenciatrice. Dans ce deuxième volet, la préface du traducteur est étudiée comme un lieu de médiation directe, pour informer et recommander la lecture. Enfin, nous analysons deux finalités traductives par lesquelles le traducteur agit sur l’identité culturelle de sa communauté par le biais de sa re-présentation : la formation intellectuelle et la déconstruction/re-construction identitaire. Que ce soit à travers de simples textes ou des institutions à caractère éducatif, l’objectif premier du traducteur est d’informer le lecteur et, par cette information, il agit sur la re-définition de fondements essentiels de sa construction identitaire. / Though mediation and cultural mediation seem to be enrooted in Translation Studies especially since the Cultural Turn, a specialized definition of these notions is still missing. Based on their definitions in other different domains – especially cultural communication – and on a causal theory of translation, we present a three-fold thesis on the translator as a cultural mediator and on his deliberate interventions. The three axes we develop here are based on identity, textual and functionalist approaches. First, we analyze the specificity of the identity of the translator seen as a construction that is not only marked by the linguistic formation and the sociocultural norms of his original community, but also by the actor’s empathy towards the Other and his system of norms. In this first fold, translation strategies are studied as mirrors of identity strategies the translator follows in order to keep the coherence and the valorization of his identity construction. Then, the texts and types of texts are considered as cultural creations that the translator re-presents to his community through making cultural differences understandable on the formal, lexical and discourse levels. To do so, he uses different writing norms from the most conforming to the most differentiating one. In this second fold, the translator’s preface is seen as a privileged place for a direct mediation, in which he already informs his reader about the translation he’s about to read and recommends the reading. Finally, we study two translation functions through which the translator acts on the cultural identity of his community based on his re-presentation of the text: the intellectual formation of the reader and the de-construction/ re-construction of his identity. By the means of a simple text or of an educational institution, the translator’s first aim is to inform the reader, and through this information, he acts on the re-definition of essential foundations of his identity construction.
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La construction, l’appropriation, la matérialisation et la transmission de la notion de « Patrimoine » chez les jeunes, une proposition méthodologique : les Forums des Jeunes du Patrimoine Mondial célébrés en Espagne (2009-2012) / Building, Owning, Materializing and Conveying the «Heritage» Concept among Young People, a Methodology proposal based on the World Heritage Youth Forums in Spain (2009-2012) / La construcción, la apropiación, la materialización y la transmisión de la noción de «Patrimonio» en los jóvenes, una propuesta metodológica : los Foros Juveniles del Patrimonio Mundial celebrados en España (2009-2012)

Lopez Campos, Luisa Irazu 19 January 2016 (has links)
Cette thèse de Doctorat a été focalisée sur le processus à travers lequel les jeunes construisent une notion de Patrimoine, la manière dont ils s’en approprient et la matérialisent, à partir d´actions concrètes pour la transmettre aux autres. Aussi, elle a essayé de refléter la manière dont le discours institutionnel de l’UNESCO influence leur perception du Patrimoine. La théorie de l’acteur-réseau et la Médiologie vus à partir de l’histoire culturelle, la Communication et la Médiation Culturelle sont les bases théoriques-méthodologiques avec lesquelles l’analyse a été construite. Comment, par des techniques pédagogiques, un dispositif organisationnel / bureaucratique a produit une certaine idéologie patrimoniale à partir du travail avec des jeunes ?Travailler directement avec la population sur des projets autour des thèmes patrimoniaux nous permet de nous rapprocher pour étudier des questions telles que : comment je me communique avec mon Patrimoine et comment mon Patrimoine se communique avec moi ?L’analyse a été faite à partir d’une étude de cas particulier qui a consisté à réviser une médiation culturelle mise en place en Espagne par le Ministère de la Culture et l’UNESCO, dans le cadre des « Forums des Jeunes du Patrimoine Mondial », interventions créées par l’UNESCO en 1995. Nous avons pris quatre éditions de ces Forums qui se sont déroulées en Espagne entre 2009 et 2012, pendant lesquelles la connaissance a été générée autour des sujets patrimoniaux, à partir d’une communauté d’apprentissage constituée par des jeunes d’entre 12 et 15 ans qui ont travaillé avec une méthode participative, constructiviste et collective. Ces Forums ont travaillé avec l’idée de la validité des jeunes dans le présent, et non pas seulement tels que futurs adultes. Ce sont des citoyens jeunes, et en tant que jeunes, ils peuvent devenir des éléments de changement dans leur communauté. C’est un modèle qui pourrait être reproduit dans de différentes réalités et pour de différents objectifs.Cette recherche présente quelques apports novateurs : une stratégie méthodologique pour implémenter une intervention qui favorise la construction, l’appropriation, la matérialisation et la transmission de la notion de Patrimoine chez les jeunes ; une méthodologie pour analyser les résultats obtenus dans cette intervention ; et l’utilisation de trois concepts qui ont été très utiles dans ce travail : celui de « communication patrimoniale », celui de « médiation patrimoniale » et celui de « Patrimoine émotionnel ou affectif ». / This PhD thesis focuses on the process through which young people build a Heritage concept, how they own and materialize it through concrete actions in order to convey it to other people. This thesis has also tried to reflect how UNESCO’s institutional discourse influences the teenagers’ perception of Heritage.« Actor-Network Theory (ANT) » and « Mediology » are the theoretical and methodological bases of this analysis, seen through Cultural History, Communication and Cultural Mediation. How, through pedagogical techniques, could an organizational / bureaucratic mechanism create a given heritage ideology while working with young people?Working directly with the population on projects around heritage subjects allows us to get closer to study issues such as: how do I communicate with my own Heritage and how this Heritage communicates with me?’The analysis was based on a particular case study that reviews a cultural mediation implemented in Spain by the Ministry of Culture and UNESCO, as part of the « World Heritage Youth Forums » created by UNESCO in 1995.We reviewed four editions of these Forums that took place in Spain between 2009 and 2012, in which knowledge was created around heritage issues, through a learning community made up of young people between 12 and 15 years of age, who worked with a participative, constructivist and collective method.These Forums were based on the idea of valuing the youth based in here and now concept, and not only as future adults. These are young citizens and, as such, they can become key elements of change in their own communities. This is a model that might be replicated in different situations and for different purposes.This research presents some innovative contributions: a methodological strategy to implement a programme that will promote building, owning, materializing and conveying the heritage concept among young people; a methodology to analyse the results obtained in this procedure; and three concepts that were very useful in this work: « Heritage Communication », « Heritage Mediation » and « Emotional or Affective Heritage ». / Esta tesis de Doctorado está enfocada en el proceso a través del cual los jóvenes construyen una noción de Patrimonio, la manera en la que se apropian de ella y la materializan, a partir de acciones concretas, para transmitirla a los demás. También, intenta reflejar la manera en la que el discurso institucional de la UNESCO influye en su percepción de Patrimonio.La teoría del actor-red y la Mediología vistas a partir de la Historia Cultural, la Comunicación y la Mediación Cultural son las bases teórico-metodológicas con las que está construido este análisis. ¿Cómo, a través de técnicas pedagógicas, un dispositivo organizacional / burocrático, ha producido una cierta ideología patrimonial, a partir del trabajo con jóvenes?Trabajar directamente con la población en proyectos patrimoniales nos permite tener un acercamiento para estudiar cuestiones como por ejemplo, ¿cómo me comunico con mi Patrimonio y cómo mi Patrimonio se comunica conmigo?El análisis fue realizado a partir de un estudio de caso particular, que consistió en revisar una mediación cultural puesta en marcha en España por el Ministerio de Cultura y la UNESCO, en el marco de los «Foros Juveniles del Patrimonio Mundial», intervenciones creadas por la UNESCO en 1995.Tomamos cuatro ediciones de estos Foros, que se desarrollaron en España entre 2009 y 2012, en las que el conocimiento fue generado en torno a temas patrimoniales, a partir de la conformación de una comunidad de aprendizaje de jóvenes de entre 12 y 15 años, que trabajaron con un método participativo, constructivista y colectivo.Estos Foros trabajaron con la idea de que los jóvenes son válidos en el presente, y no sólo en el futuro como futuros adultos. Ellos son ciudadanos jóvenes, y en tanto que jóvenes, pueden convertirse en elementos de cambio en sus comunidades. Es un modelo de trabajo que podría reproducirse en distintas realidades y con distintos objetivos.Esta investigación presenta algunas aportaciones novedosas: una estrategia metodológica para implementar una intervención que favorece la construcción, la apropiación, la materialización y la transmisión de la noción de Patrimonio en los jóvenes; una metodología para analizar los resultados obtenidos de esta intervención; y la utilización de tres conceptos que resultaron de gran utilidad en este trabajo, el de «comunicación patrimonial », el de « mediación patrimonial » y el de « Patrimonio emocional o afectivo ».

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