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Introduction à la phénoménologie cosmologique d'Eugen Fink.Chaberty, David 25 May 2011 (has links) (PDF)
Il s'agira d'envisager, en français, l'oeuvre du philosophe allemand Eugen Fink (1905-1975), dont le corpus complet n'est disponible qu'en allemand. Ce sera donc une "introduction" à sa pensée. A cet égard nous nous demanderons quelle est la continuité de la pensée dite du jeune Fink et de celle du Fink dit "de la maturité". Nous montrerons, contre certains préjugés, la continuité problématique, - cosmologique -, du penseur allemand. A la lumière de l'oeuvre ultérieure nous proposerons d'abord une nouvelle interprétation de la pensée du jeune Fink en même temps que son originalité vis à vis des maitres de Fribourg (Husserl, Heidegger). Dans une seconde partie nous exposerons une structure problématique que nous soutenons être celle du Fink de la maturité: d'abord une théorie du questionnement métaphysique, à la lumière de laquelle Fink réevalue les problèmes philosophiques fondamentaux: c'est à dire d'abord une cosmologie originale, une théorie de la phénoménalité fondamentale, à partir desquelles Fink repense de façon originale l'histoire de la métaphysique (antique et moderne). Après un appendice sur son interprétation de Nietzsche (qui prend son sens dans ce qui précède), nous concluerons sur sa position sur les problèmes qui lui furent contemporains (anthropologie et ontologie).
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L’amour imparfaitement rationnel : la conception de l’amour dans la moralité kantienneKenny, Katherine 20 September 2012 (has links)
Cette thèse cherche à expliquer le concept de l’amour chez Emmanuel Kant. Elle essaye de catégoriser les différentes définitions de ce concept. Elle tente d’analyser ces définitions en utilisant trois clés d’analyse : la raison et l’émotion, la liberté et la communauté et la distance et la proximité. L'amour kantien est aussi analysé dans la perspective de la nature du sujet kantien pour le comparer au devoir d’amour.
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Critique aristotélicienne des substances platonicienne dans les livres M-N de la Métaphysique : stratégies et enjeux à travers deux exemplesLeclair-Dufour, Nicolas January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Psychologie et anthropologie dans la philosophie de Kant / Psychology and Anthropology in Kant’s PhilosophyBlanc-Brude, Gilles 29 June 2010 (has links)
La philosophie de Kant n’est pas le refus de toute psychologie. Malgré l’incertitude du statut systématique d’une connaissance empirique de l’esprit et l’impossibilité de lui appliquer les mathématiques pour la rendre rigoureusement scientifique, malgré la vacuité d’une déduction a priori des propriétés métaphysiques de l’âme et l’inanité d’une fondation psychologique de la philosophie, de la logique et de la morale, bref, malgré l’antipsychologisme et l’antinaturalisme, les thèmes et les questions psychologiques conservent pour Kant une légitimité et un intérêt. Le chapitre des Paralogismes de la raison pure associé à la Réfutation de l’idéalisme mettent certes fin à la psychologia rationalis issue de la métaphysique de Wolff, mais ils rendent aussi possible une psychologie intégrée à l’anthropologie et suivant le fil directeur de l’expérience. Intimement liée à la philosophie transcendantale, la psychologie selon Kant en sera le complément et l’illustration, par des réflexions sur la genèse de nos connaissances, sur la corrélation de l’intériorité et de l’extériorité, sur l’intensité de la vie consciente et finalement sur le libre usage de nos facultés. La première partie traitera de la difficulté à situer la psychologie par rapport à l’anthropologie et à la philosophie. La seconde, des principales critiques visant la psychologie empirique et la psychologie rationnelle. La dernière, de l’Anthropologie du point du vue pragmatique comme étant la mise en œuvre philosophique d’une théorie inactuelle de l’esprit conforme aux exigences critiques. / Kant’s philosophy is not a denial of any form of psychology. Despite the uncertainty of the systematic status concerning the mind’s empirical knowledge and the impossibility to use mathematics to bring this knowledge into the scientific field, despite the vacuity of a deduction about the metaphysical properties of the soul made a priori and the pointlessness of a psychological foundation of both philosophy and logic as well as moral, in brief, despite Kant’s antipsychologism and antinaturalism, themes and psychological issues do remain worthwhile and legitimate in his philosophy. The chapter on “Paralogisms” in the Critique of Pure Reason, associated to the “Refutation of Idealism”, does indeed put an end to the psychologia rationalis -which stems from Wolff’s metaphysics- but yet it makes it possible for psychology to be integrated into anthropology while following the leading thread of experience. Kant’s approach of psychology being intimately related to transcendental philosophy will be both its complement and its illustration through a series of considerations on the genesis of our knowledge, on the connection between interiority and exteriority, the various degrees of consciousness and eventually through considerations on the free use of our mental faculties. The first part will deal with the difficulties to set psychology in relation to Kant’s anthropology and philosophy. The second part will set out the main arguments against empirical and rational psychology. The last part will study Kant’s Anthropology from a Pragmatic Point of View as being the philosophical fulfilment of an untimely theory of the mind complying with the demands of criticism.
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Logique et ontologie chez Antionio Bernardi (1502-1565) / Logic and Ontology in Antonio Bernardi (1502-1565)Marinheiro, Cristóvão 30 January 2010 (has links)
Aristote est généralement vu comme le père des sciences et ce point n’a guère été mis en question pendant des siècles. Vers 1560 cependant, Antonio Bernardi (1502-1565) affirme dans son Euersio que la division des sciences théoriques en métaphysique, physique et mathématique est proposée par commodité (per commoditatem), évitant ainsi la division en trop de parties ou une division trop générale. Cette notion de commodité cache une ontologie que nous analysons par ce travail. De plus, cette ontologie nous oblige à approfondir sa logique, qui se passe des Catégories et des secondes intentions. L’ontologie et la logique seront ensuite mises en rapport. Enfin, nous analysons les quelques auteurs au XVIe siècle qui discutent ses points de vue pour terminer avec une ouverture sur la philosophie moderne. Le résultat en sera que l’unité des sciences était déjà bien présente avant le XVIIe siècle au sein de l’aristotélisme même. / Aristotle is usually seen as the first pluralist of sciences. This point was scarcely discussed in the commentries over the centuries. Around 1560 however, Bernardi asserts in his Eversio that the division of theoretical sciences proposed by Aristotle was made by commodity (per commoditatem), avoiding so a division into to many parts on the one side and a too great unity on the other side. This view on the hierarchy of sciences hides an ontology to be analysed in this work. Moreover, this ontology forces us to examine his positions on logic, since he does not accept the Categories as a work belonging to that discipline nor the second intentions. The coherence between his logic and his ontology are then scrutinised. Finally, we review several authors of the XVIth century who discussed his opinions in order to show the turn off Modern philosophy. The conclusion will be that the unity of sciences, classical topos of the XVIIth century, was already present in aristotelianism.
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La liberté dans la pensée de Martin Heidegger / Freedom in Martin Heidegger's ToughtÖksüzan, Umut 16 December 2010 (has links)
Dans le présent travail de thèse, nous nous proposons de mettre en lumière les raisons pour lesquelles Heidegger donne le coup d’envoi à un questionnement de longue haleine et de grand ampleur sur la question de la liberté à la suite de la publication, en 1927, de son chef d’oeuvre, Etre et Temps. Nous nous efforcerons de formuler et d’élaborer progressivement deux thèses à la lumière des objections heideggeriennes adressées à la conception kantienne et à la doctrine schellingienne de la liberté. Notre première thèse est que la radicalisation heideggerienne de la conception kantienne de la liberté, développée dans le cadre d’une « métaphysique du Dasein », ne permet pas de découvrir un contexte philosophique dans lequel une problématique plus originelle de la liberté pourrait être formulée puisque le questionnement heideggerien de la liberté se réduit en dernier ressort en une répétition de la démarche transcendantale de Kant et en un exemple d’application remarquable de cette démarche à une question non kantienne, à savoir la question de l’être. Notre deuxième thèse est qu’à partir de la thèse de la différence ontologique et au prix de l’oubli du concept schellingien de l’absolu, l’investigation heideggerienne de la liberté ne donne lieu qu’à une forme sécularisée de la théologie dialectique de Schelling, qui prend en garde malgré son caractère panthéiste la thèse de la bonté divine et la doctrine de la révélation de la dogmatique chrétienne. Dans la perspective ontologique proprement heideggerienne, l’être fondé dans la liberté, dans le fondement du fondement (Grund des Grundes), dans l’abîme (Abgrund) se manifeste à travers ce qu’il rend possible, c’est-à-dire l’étant / In this thesis, we tried to highlight the reason for which Heidegger initiates an investigation of large scale on the question of freedom after the publication of Being and Time. We tried to formulate and elaborate progressively two theses in the spot of objections that Heidegger addresses to the Critique of Kant and to the Schellingian theology of freedom. Our first thesis is that the Heideggerian radicalization of Kantian conception of freedom developed in the framework of metaphysics of Dasein does not allow to the discovery of a philosophical context from where a more original problematic of freedom could be formulated and the Heideggerian questioning is nothing but a repetition of it and a remarkable application example for elaborating a non Kantian question, to namely the question of Being. Our second thesis is that from the thesis of ontological difference and further to forgetting Schellingian concept of absolute, Heideggerian questioning only could develop a secularized variant of theological dialectics of Schelling, which despite its pantheistic view affirm the thesis of divine goodness and the doctrine of revelation of Christian dogmatics. In Heideggerian ontological perspective, the Being (Sein) melted in the freedom, in the ground of ground (Grund des Grundes), in abyss (Abgrund) manifests itself through what it renders possible, that is to say through being (Seiende)
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La correspondance des arts chez Vincent d’Indy : étude de ses pratiques musicales, picturales et de ses écrits au regard de son environnement socio-culturel, philosophique et artistique / Vincent d'Indy’s art correspondence : a study of the cultural, philosophical and artistic influences that shaped the musical compositions, artwork and writing of Vincent d'IndyLeflot, Thomas 13 November 2010 (has links)
Célèbre compositeur et enseignant, Vincent d’Indy est moins connu pour l’intérêt qu’il porta tout au long de sa vie aux beaux-arts. Il pratiqua le dessin et la peinture pendant plusieurs décennies et parcourut l’Europe à la recherche des plus beaux sites historiques et des plus fameux musées. Sa fréquentation des artistes et des mécènes dans les Salons et les expositions lui permit d’avoir de fructueux échanges avec de nombreux plasticiens. Son obsédante référence à la nature dans ses aquarelles apparaît également dans ses poèmes symphoniques ou ses opéras. Cette thématique bucolique s’inscrit dans une sphère d’influence romantique qui jalonne ses compositions. Enfin, son approche de l’histoire de la musique est réhaussée de multiples références esthétiques. Elles nous éclairent sur ses influences, d’Émile Mâle à John Ruskin en passant par Félicité de Lamennais. / The celebrated composer and professor Vincent d'Indy is less well-known for his lifelong interest in the arts. He drew and painted for many decades, and he travelled throughout Europe looking for the most beautiful historical sites as well as the most famous museums. Associating with artists and patrons of art in salons and exhibitions enabled him to benefit from contact with numerous painters or sculptors. His constant reference to nature in his watercolours was also apparent in his symphonic poems or operas. This rustic theme places him in a field of romantic influence in which compositions blaze a trail. Also, his approach to the history of music is heightened by the many aesthetic references which throw light on his influences, such as Émile Mâle, John Ruskin or Félicité de Lamennais.
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La notion de vérité chez Thomas d'Aquin dans son commentaire des Sentences du Lombard : traduction et commentaireTurcotte, Mélanie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La preuve ontologique de l'existence de Dieu chez DescartesLaperle, Erik 08 1900 (has links)
Ce projet de mémoire de maîtrise portera sur Descartes et la preuve dite "ontologique"
de l'existence de Dieu. La présentation qui sera faite de cette preuve, de ses tenants et de ses aboutissants, tiendra compte: premièrement, du rôle et du statut de celle-ci dans l'ordre des raisons métaphysiques; deuxièmement, des relations entre la preuve "ontologique" et la preuve dite "par les effets"; et troisièmement, des différentes oeuvres de Descartes dans lesquelles il est question de l'argument ontologique. Ainsi, cette analyse permettra de noter les différences relatives qu'il pourrait y avoir chez Descartes quant au fond ou à la forme de cet argument. Nous évoquerons notamment la position différente qu'occupe cette preuve dans deux écrits, soient les Méditations métaphysiques (1641) et les Principes de la philosophie (1644). Ce genre d'analyse nous permettra de nous pencher sur le débat initié par Martial Guéroult et Henri Gouhier concernant la place de la preuve "ontologique" de l'existence de Dieu au sein de l'ordre des raisons métaphysiques ainsi que ses relations avec la preuve "par les effets". La
postérité de ce débat sera également considérée. Aussi, nous serons à même de poser la
question à savoir s'il y a une évolution de la preuve "ontologique" de l'existence de Dieu au fil des oeuvres dans la pensée de Descartes. En résumé, dans ce mémoire, nous aborderons deux problématiques: la question de l'autonomie ou de la non autonomie de la preuve "ontologique" par rapport à la preuve "par les effets", et le questionnement quant à la possibilité d'une évolution de la place et de la nature de la preuve dite "ontologique" de l'existence de Dieu dans les écrits de Descartes. / This master thesis project will focus on Descartes and the "ontological" proof of the existence of God. The presentation will be made of this proof, its ins and outs.
It will take into account: first, the role and status of the latter in the order of metaphysical
reasons; second, the relationship between the "ontological" proof and the "through the effects" proof; and third, the various writings of Descartes in which it is question of the ontological argument. Thus, this analysis will note the differences there might be in Descartes thought regarding the substance or form of this argument. We will discuss on the different position this proof occupied in two writings: the Meditations (1641) and the Principles of Philosophy (1644). This type of analysis will allow us to focus on the debate initiated by Martial Guéroult and Henri Gouhier concerning the place of the "ontological" proof of the existence of God in the order of metaphysical reasons as well as its relations with the "through the effects" proof. The posterity of this debate will also be considered. Also, we will be able to ask the question whether there is an evolution of the "ontological" proof of the existence of God in the thought of Descartes over his writings. In summary, in this thesis, we address two issues: the question of autonomy or non-autonomy of the "ontological" proof in relation with the "through the effects" proof; and the question about the possibility of an evolution of the place and nature of the "ontological" proof of the existence of God in the writings of Descartes.
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Le problème de l’ontologie dans le Vorlesungen über Metaphysik de Immanuel Kant / The problem of ontology into immanuekl Kant’s Vorlesungen über MetaphysikLorini, Gualtiero 27 October 2010 (has links)
Le projet s’addresse à la résignification kantienne du concept de “metaphysique”, à partir de l’évolution de la notion d’ontologie dans les Vorlesungen über Metaphysik contenues dans le volume XXVIII de l’Akademie Ausgabe. Á la base de la recherche on entende mettre en relation Kant entre la tradition logique du siècle 17º et 18º, pour comprendre la façon dans laquelle Kant (peut) se confront avec la terminologie de la tradition, et en particulier avec la médiation de Wolff et Baumgarten de la metaphysique leibnizienne.An (peut) traiter de passer d’une conception de la metaphysique de façon deductive capable de rendre la raison de la réalité sur la base de principes qui s’imposent à celle-là, sans en être des déscrivés, à une conception inductive, dans laquelle est par l’examen de la réalité même qu’on peut en tirer les lois.Les Leçons semblent le lieu dans laquelle l’ontologie plus émerge comme instrument de cette résignification, qui voit intéressés: approche méthodologique, autonomie de la raison et l’absolue urgence d’une exigence normative. / The aim of the project is to study the new meaning gained by the concept of “metaphysics” through the evolution of the notion of ontology in the Vorlesungen über Metaphysik, placed in the XXVIII volume of the Akademie Ausgabe. As foundation of the research, we want to put into relationship Kant and the logical tradition of the 17º and 18º century, in order to understand the way in which Kant confronts himself with the technical terms of the tradition, in particular with the mediation of the leibnizian metaphysics represented by Wolff and Baumgarten. Here there is a step from a deductive conception of metaphysics to an inductive one. While the first can explain the reality starting from principles imposed on it, in the last the laws of reality are gained through an analysis of the reality the same.The lessons seem to be the place in which the ontology emerges in the best and clearest way as the instrument to get the new meaning of the metaphysics, we are target to: here we find a methodological approach, the autonomy of reason and the absolute urgency of a normative exigency.
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