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A lírica essencial de Henriqueta Lisboa

Machado, Adriana Rodrigues January 2009 (has links)
Le présent travail analyse le lien existant entre la poésie et la philosophie à partir de la poésie lyrique d'Henriqueta Lisboa (1901-1985). La lyrique de Lisboa se situant parmi les oeuvres qui présentent une forte teneur métaphysique et ontologique, une telle étude est conforme à notre souhait de retrouver les fondements de cette poésie à caractère « spiritualiste », très peu valorisée au Brésil. Dans le même temps, nous tentons de montrer ce que nous entendons par l'essentialité de cette poésie, en replaçant l'auteur dans l'histoire de la poésie brésilienne et en mettant l'accent sur l'importance qu'elle a eu dans ce contexte. Le relevé de la fortune critique de l'auteur et la lecture de ses essais critiques et de ses ouvrages les plus caractéristiques ont pour but de faire la lumière sur ce qu'il y a de plus authentique dans son oeuvre, sans pour autant omettre le dialogue intense établi avec ses pairs. Pour l'étude des relations qui nous intéressent entre la philosophie et la poésie, nous partons des premiers philosophes pour ensuite aborder les premiers mystiques du Moyen Âge et finalement les premiers romantiques - plus particulièrement Novalis et Schlegel. Encore présente aujourd'hui, la poésie métaphysique est née aux temps du Romantisme et s'est développée au cours du Symbolisme. Montrer l'actualité et l'importance de cette tendance de la poésie fortement marquée par des questionnements philosophiques est également l'objet de ce travail, qui nécessite un détachement des préjugés épistémologiques. Nous espérons contribuer aux études qui sont toujours plus liées entre elles, à l'exemple de la philosophie et de la littérature, ou de la théologie et de la poétique. / A partir da lírica de Henriqueta Lisboa (1901-1985), o presente trabalho busca investigar a relação existente entre a poesia e a filosofia. Tendo em vista a lírica henriquetiana estar entre aquelas que se caracterizam pelo forte teor metafísico, ontológico, mostrou-se consonante ao anseio de encontrarmos os fundamentos desta poesia de caráter "espiritualista" que, no Brasil, é tão pouco valorizada. Ao mesmo tempo, ao perseguirmos tal objetivo, procuramos mostrar o que entendemos como a essencialidade dessa poesia, situando Henriqueta Lisboa na história da poesia brasileira e assinalando a sua importância dentro desse contexto. Valendo-nos como método o levantamento da fortuna crítica da poeta, juntamente com a leitura dos seus ensaios críticos e das obras mais características, procuramos ressaltar o que ela tem de mais autêntico, sem esquecer, no entanto, o intenso diálogo que estabelece com seus pares. No que se refere às relações entre filosofia e poesia, partimos dos primeiros filósofos procurando o que há de mais significativo para o nosso intento, passando pelos místicos da Idade Média, igualmente com o mesmo objetivo, confluímos para os primeiros românticos, representados, principalmente nas figuras de Novalis e Schlegel. No Romantismo, encontramos as raízes da poesia metafísica, que depois se desenvolveu no Simbolismo e que se mantém até os dias de hoje. Mostrar a atualidade e a relevância da temática dessa tendência da poesia fortemente marcada por perquirições filosóficas também é nosso propósito, e procuramos atingi-lo ao demonstrar o quanto é necessário nos desfazermos de preconceitos epistemológicos. Com nosso trabalho, pretendemos contribuir com os estudos que estão cada vez mais se interligando, como a Filosofia e a Literatura, bem como a Teologia e a Poética.
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Métaphysique et politique à l'épreuve du nihilisme / Metaphysics and politics challenged by nihilism

Laborie, Karine 07 November 2011 (has links)
Cette thèse ne propose pas une variation sur la thématique de la mort de Dieu et ses retombées, mais une enquête sur un mode de penser disqualifié, le nihilisme, susceptible de renouveler un diagnostic sur la crise de la modernité. La menace du nihilisme prend consistance dès l'émergence du scepticisme en Grèce ancienne. Passée au crible de l'histoire de la métaphysique et de la prise de pouvoir des mouvements totalitaires, la mise en équivalence nihilisme-scepticisme mérite d'être interrogée. Elle n'est recevable que si les formes anciennes et modernes prises par le scepticisme sont autant de précédents nihilistes et si, inversement, la crise qui scelle la fin de la modernité est interprétable en termes sceptiques. Une approche dynamique de la métaphysique (comme tension et apparentement entre dogmatisme et scepticisme), rend une reconstruction nihiliste du scepticisme sujette à caution. Penser suspensif dans ses formes anciennes, porteur de vacillement à l'époque moderne, le scepticisme se démarque du nihilisme. Ce dernier évide et néantise toutes les différences et consiste, lui, en une négation du fonds commun entre dogmatisme et scepticisme. Quelle que soit la portée créatrice du nihilisme d'un point de vue spéculatif, c'est sa seule dimension destructrice qui s'impose avec l'instauration d'une politique totalitaire. La modernité s'ouvre bien sur un défi de type sceptique : où asseoir sa créance ? Cependant, avec la mort de Dieu, cette question ne se pose plus en termes de vacillement mais de perte définitive de toute assise. S'il en ressort une crise du but dans le cadre métaphysique,l'institutionnalisation du nihilisme donne lieu, quant à elle, à une crise du sens. Le scepticisme contemporain, emporté dans la tourmente, semble disqualifié par sa compromission supposée avec des politiques nihilistes. Forcé d'engager un auto-examen inédit, ne peut-il pas encore être une ressource pour notre temps ? / This thesis does not present a supplementary approach about the death of God and its effects but a study of nihilism, a disqualified way of thought, which could renew a diagnosis on the crisis of modernity. Nihilsm becomes really a threat as soon as scepticism takes shape in Ancient Greece. It is worth questioning stetting nihilism and scepticism as equivalent when considered through the history of metaphysics and rising of totalitarian regimes. This could be accepted only if one considers the ancient and modern forms of scepticism as proceeding from nihilism, and, on the other hand, if the crisis putting an end to modernity can be interpreted from a sceptical point of view. A dynamic approach to metaphysics (as tension and link between dogmatism and scepticism) casts a doubt upon a nihilist interpretation of scepticism. Suspensive thought in its ancient ways, carrying indecision in modern times, scepticism separates from nihilism. The latest eliminates all differences ; by itself, it is the abolition of the common ground between dogmatism and scepticism. Whatever the creative potential of nihilism from a speculative point of view, in the foundation of totalitarian politics, only its destructive aspect stands out. Indeed, modernity opens on a challenge of a sceptic type : which basis for one's belief ? Yet, after the death of God, this question witnesses no longer a state of indecision but truly as the permanent loss of foundation. While it leads to a crisis of the goal from a metaphysical scope, the institutionalization of nihilism provides a crisis of meaning. Contemporary scepticism, caught in the turmoil, appears as discredited because of its presumed involvement with nihilist politics. Could it still be a resource in our time when forced to pratice an original self-examination ?
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Bergson : une pensée de la relation / Bergson : a thought of the relationship

Moulin, Olivier 04 December 2015 (has links)
Ce travail cherche à montrer que, derrière l'identification critique de la relation à la relativité spatiale, Bergson propose une véritable pensée de la relation, qui distingue au cœur de cette notion les rapports spatiaux et les relations temporelles. Les rapports s'effectuent entre des termes distincts alors que les relations préexistent à leurs termes. La durée, la vie ou l'intuition peuvent alors être interprétées comme expériences relationnelles. Une confrontation à une série de penseurs de la relation (Russell, Brunschvicg, James, Nietzsche, Simondon, Bachelard et Whitehead) permet de montrer la pertinence de cette distinction bergsonienne, et en saisir les conséquences ontologique, épistémologiques et pratiques. / This work attemps to show that behind the critical identification of the relationship to the spatial relativity, Bergson offers a real thought of the relationship. He distinguishes betwen spatial relations and temporal relationships. Relations are between distinct terms while relationships predate their terms. Duration, life or intuition can then be interpreted as relational experiences. A confrontation with some thinkers of the relationship (Russell, Brunschvicg, James, Nietzsche, Simondon, Bachelard and Whitehead) can show the relevance of this bergsonian distinction, and its consequences in ontology, epistemology and practice.
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De la durée à la vie : une dialectique entre métaphysique et politique chez Bergson / From the duration to the life : a dialectic between Metaphysics and Politics in Bergson

Joo, Jae-Hyung 22 January 2016 (has links)
L’évolution du bergsonisme semble aller de la durée à la vie. C’est que dansL’Evolution créatrice, après ses deux premiers ouvrages, Bergson découvre que la vieelle-même dure, d’une manière au moins analogue à celle dont notre conscience dure.Pourtant, sous cette apparence de continuité, le bergsonisme pourrait bien recelerquelques écarts, et même ruptures, entre durée et vie. Notre étude commence par cettehypothèse d’une discontinuité implicite dans sa pensée, et consiste d’abord à repérer desruptures possibles entre durée et vie dans ses quatre ouvrages majeurs. Nous faisonsapparaître ces ruptures en rendant manifestes des écarts textuels au sein de ces quatreouvrages, chez tous quoique différemment. Nous en méditons la signification, nonseulement pour la compréhension du bergsonisme mais aussi pour toute la philosophie.Cette étude veut établir deux points : 1° chez Bergson l’évolution de la vie manifeste untemps autre que la durée, temps qui se tisse nécessairement avec une certaine spatialité.Nous nommons la logique propre à ce temps du développement de la vie « dialectique dela vie ». 2° La conséquence ultime de cette dialectique de la vie advient dans le momentréflexif où le sujet, réalisant cette dialectique, s’engage sciemment dans ce mouvementde la vie, étant aussi un vivant. Ce moment réflexif est alors le moment de notre présent,où s’ouvre à nous la politique comme champ de l’action commune de décider l’avenir.Ainsi, la dialectique de la vie nous conduit à la politique. / The evolution of Bergsonism seems to be going from durée (duration) to life. In hisCreative Evolution, after his first two works, Bergson discovered indeed that life endures,in an at least similar way our consciousness does. Yet, beneath this appearance ofcontinuity, Bergsonism might well conceal some gaps, or even breaks between durée andlife. Our study, beginning with this assumption of a discontinuity in his thought, firstconsists in trying to identify these potential breaks between durée and life in his fourmajor works. We show these ruptures by making plain textual breaks inside each of thesefour books, all of them, but each one in a different way. We discuss their significance,not only for an understanding of Bergsonism but also for Philosophy as a Whole. Wewant to establish by this study two points: 1. In Bergson, the evolution of life manifests atime which is alien to durée, a time which necessarily is woven with some spatiality. Wename the logic characteristic of this time of life the "dialectic of life." 2. The ultimateconsequence of this dialectic of life occurs in the reflexive moment when the subject, ashe realizes this dialectic, commits himself knowingly to this movement of life, as hehimself belongs to the living. This reflexive moment is the very moment of our present,where Politics as the field of the common action for deciding the future opens up to use.This is how the dialectic of life leads us to Politics.
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A lírica essencial de Henriqueta Lisboa

Machado, Adriana Rodrigues January 2009 (has links)
Le présent travail analyse le lien existant entre la poésie et la philosophie à partir de la poésie lyrique d'Henriqueta Lisboa (1901-1985). La lyrique de Lisboa se situant parmi les oeuvres qui présentent une forte teneur métaphysique et ontologique, une telle étude est conforme à notre souhait de retrouver les fondements de cette poésie à caractère « spiritualiste », très peu valorisée au Brésil. Dans le même temps, nous tentons de montrer ce que nous entendons par l'essentialité de cette poésie, en replaçant l'auteur dans l'histoire de la poésie brésilienne et en mettant l'accent sur l'importance qu'elle a eu dans ce contexte. Le relevé de la fortune critique de l'auteur et la lecture de ses essais critiques et de ses ouvrages les plus caractéristiques ont pour but de faire la lumière sur ce qu'il y a de plus authentique dans son oeuvre, sans pour autant omettre le dialogue intense établi avec ses pairs. Pour l'étude des relations qui nous intéressent entre la philosophie et la poésie, nous partons des premiers philosophes pour ensuite aborder les premiers mystiques du Moyen Âge et finalement les premiers romantiques - plus particulièrement Novalis et Schlegel. Encore présente aujourd'hui, la poésie métaphysique est née aux temps du Romantisme et s'est développée au cours du Symbolisme. Montrer l'actualité et l'importance de cette tendance de la poésie fortement marquée par des questionnements philosophiques est également l'objet de ce travail, qui nécessite un détachement des préjugés épistémologiques. Nous espérons contribuer aux études qui sont toujours plus liées entre elles, à l'exemple de la philosophie et de la littérature, ou de la théologie et de la poétique. / A partir da lírica de Henriqueta Lisboa (1901-1985), o presente trabalho busca investigar a relação existente entre a poesia e a filosofia. Tendo em vista a lírica henriquetiana estar entre aquelas que se caracterizam pelo forte teor metafísico, ontológico, mostrou-se consonante ao anseio de encontrarmos os fundamentos desta poesia de caráter "espiritualista" que, no Brasil, é tão pouco valorizada. Ao mesmo tempo, ao perseguirmos tal objetivo, procuramos mostrar o que entendemos como a essencialidade dessa poesia, situando Henriqueta Lisboa na história da poesia brasileira e assinalando a sua importância dentro desse contexto. Valendo-nos como método o levantamento da fortuna crítica da poeta, juntamente com a leitura dos seus ensaios críticos e das obras mais características, procuramos ressaltar o que ela tem de mais autêntico, sem esquecer, no entanto, o intenso diálogo que estabelece com seus pares. No que se refere às relações entre filosofia e poesia, partimos dos primeiros filósofos procurando o que há de mais significativo para o nosso intento, passando pelos místicos da Idade Média, igualmente com o mesmo objetivo, confluímos para os primeiros românticos, representados, principalmente nas figuras de Novalis e Schlegel. No Romantismo, encontramos as raízes da poesia metafísica, que depois se desenvolveu no Simbolismo e que se mantém até os dias de hoje. Mostrar a atualidade e a relevância da temática dessa tendência da poesia fortemente marcada por perquirições filosóficas também é nosso propósito, e procuramos atingi-lo ao demonstrar o quanto é necessário nos desfazermos de preconceitos epistemológicos. Com nosso trabalho, pretendemos contribuir com os estudos que estão cada vez mais se interligando, como a Filosofia e a Literatura, bem como a Teologia e a Poética.
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Leituras do kantismo: Cohen e Heidegger, perspectivas antagônicas sobre a estética e a analítica / Lectures du kantisme: Cohen et Heidegger, perspectives antagonistes de l’esthétique et de l’analitique

Clément, Céline Marie Agnès 05 September 2016 (has links)
Submitted by Marlene Santos (marlene.bc.ufg@gmail.com) on 2016-10-11T19:37:53Z No. of bitstreams: 2 Dissertação - Céline Marie Agnès Clément - 2016.pdf: 963458 bytes, checksum: 521922a3d06c6db633c6649f337630f8 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Approved for entry into archive by Jaqueline Silva (jtas29@gmail.com) on 2016-10-14T19:50:47Z (GMT) No. of bitstreams: 2 Dissertação - Céline Marie Agnès Clément - 2016.pdf: 963458 bytes, checksum: 521922a3d06c6db633c6649f337630f8 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Made available in DSpace on 2016-10-14T19:50:47Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Dissertação - Céline Marie Agnès Clément - 2016.pdf: 963458 bytes, checksum: 521922a3d06c6db633c6649f337630f8 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) Previous issue date: 2016-09-05 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Ce travail se propose d‟analyser deux lectures considérées comme radicalement opposées de la Critique de la Raison Pure de Kant, et ce notamment à partir de deux livres principaux : la Théorie kantienne de l’expérience de Hermann Cohen, et Kant et le probléme de la Métaphysique de Martin Heidegger. Notre objectif est de montrer comment la lecture de Heidegger s‟est construite contre celle de Cohen, laquelle elle-même est une réponse au psychologisme régnant à la fin du 19ème siècle, tout en tentant d‟éclairer certains points de convergence des deux lectures, comme par exemple la radicalisation du transcendantalisme chez les deux auteurs. Ressort donc un probléme herméneutique lié à l‟utilisation d‟un texte classique par un philosophe en vue de justifier ses propres théses, probléme auquel Cassirer se consacrera en montrant que même si l‟interprétation néokantienne est orientée, celle de Heidegger est « arbitraire » et « manipulatrice » selon les termes propres de l‟adversaire de Heidegger au débat de Davos, débat sur lequel nous nous appuierons pour mieux comprendre la position cassirerienne relativement tant à Cohen qu‟à l‟interprétation heidegerienne de la Critique. / Com o presente trabalho propomos analisar duas leituras consideradas como radicalmente opostas da Crítica da razão pura, de Immanuel Kant. Para tal, privilegiaremos dois livros, a saber: Teoria kantiana da experiência (1871), de Hermann Cohen e Kant e o problema da metafísica (1929), de Martin Heidegger. Nosso objetivo é mostrar de que modo a leitura de Heidegger construiu-se contra a de Cohen que, por sua vez, já é ela mesma um resposta ao psicologismo reinante no século XIX. Além disso, tentaremos esclarecer certos pontos de convergência entre ambos autores, como, por exemplo, a radicalização do transcendentalismo. Sobressai, portanto, um problema hermenêutico ligado à utilização de um texto clássico por um filósofo a fim de justificar suas próprias teses, problema sobre o qual Erns Cassirer se debruça mostrando que, por mais que a interpretação neokantiana seja orientada, a de Heidegger é “arbitrária” e “manipuladora”, segundo os próprios termos deste que foi o adversário de Heidegger durante os debates de Davos, de 1929, debate sobre o qual nos apoiaremos para melhor compreender a posição cassireriana em relação tanto a Cohen quanto à interpretação heideggeriana da Crítica.
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Plotin, les gnostiques et les chrétiens : un débat autour du concept de premier principe / Plotinus, Gnostics and Christians : a debate about the conception of the first principle

Jurasz, Izabela 25 November 2017 (has links)
Dans le Traité 33 (II 9), Plotin se dresse contre les « gnostiques » : ceux qui disent que le démiurge et le monde sont mauvais. Ses critiques sont précédées par une introduction qui résume sa doctrine de l’Un-Bien et de l’Intellect. Dans le premier chapitre du Traité 33, à partir des thèses de ses adversaires, Plotin construit une série de propositions concernant les réalités premières – leur nombre, leur nature et leurs actions. Il dénonce les erreurs de chaque proposition, comme conduisant à la construction d’un univers des intelligibles défectueux, ignorants et impuissants. La thèse porte sur la place de la métaphysique de Plotin dans sa polémique antignostique. Les arguments qui introduisent cette polémique sont construits de manière à pouvoir rejoindre les principales conceptions du principe premier : celles proposées par les principales écoles philosophiques et celles qui ont été élaborées par les différents courants du gnosticisme et du christianisme. Plotin s’intéresse à ces doctrines nouvelles, émergentes en marge des écoles philosophiques. Le rapport entre Plotin et le christianisme est l’objet de notre attention. La perspective métaphysique permet d’examiner tous les courants doctrinaux du christianisme primitif. Une partie de la critique plotinienne va à l’encontre des efforts des chrétiens à respecter les exigences du monothéisme par rapport à l’idée d’un « autre Dieu ». À leur opposé se situent les gnostiques qui proposent une multiplication des entités issues du premier principe. Ainsi, la conception plotinienne du principe transcendant, après lequel viennent les hypostases ayant rang de principes, répond aux interrogations de ses nombreux adversaires. / In Treatise 33 (II 9), Plotinus stands against the “Gnostics”: those who consider the demiurge and the cosmos to be evil. His criticisms are preceded by an introduction summarizing the Plotinian doctrine of the supreme principle – the One. In the first chapter of Treatise 33, based on the theses of his opponents, Plotinus constructs a series of propositions concerning the first realities - their number, their nature and their activities. He denounces the errors of each proposition as leading to the construction of a universe of defective, ignorant and helpless intelligibles. This thesis deals with the place of the metaphysics of Plotinus in his anti-Gnostic polemics. The arguments constituting these polemics are constructed to fit within the principal conceptions of the first principle - not only those proposed by the main philosophical schools, but especially those designed within different currents of Gnosticism and of Christianity. Plotinus is interested in these new doctrines emerging on the margins of the established philosophical schools. The object of our attention is the relationship between Plotinus and Christianity. The metaphysical perspective enables us to examine all the doctrinal currents of primitive Christianity. Part of Plotinian criticism may go against the efforts of Christian writers to respect the demands of monotheism in relation to the idea of "another God". At their opposite are the Gnostics, who propose multiplication of entities derived from the first principle, the Pleroma. Thus, the Plotinian conception of the supreme principle, after which come the hypostases having the rank of principles, answers the questions posed by his adversaries.
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La métaphysique chez Bergson : faux problèmes et questions vitales / Bergson’s metaphysics : false problems and vital questions

Meyniel, Jérôme 31 May 2017 (has links)
Cette étude propose une interprétation de l'œuvre de Bergson à partir d'un aspect crucial de sa métaphysique et de sa méthode : la critique des « faux problèmes » philosophiques – « faux » en raison de la manière dont ils furent posés par une tradition barrant ainsi l'accès non seulement aux problèmes véritables, mais encore à des questions que l'on peut tenir pour des « questions vitales ». Si la critique des faux problèmes constitue chez Bergson à la fois le centre de gravité de sa méthode et la singularité de sa métaphysique, c'est qu'elle permet l'instauration d'une nouvelle métaphysique, pour laquelle ces questions vitales vont de pair avec la considération du temps, dont l'oubli est à l'origine des faux problèmes de la métaphysique traditionnelle. Cette nouvelle métaphysique trouve cependant son accomplissement véritable moins dans la spéculation que dans des actions créatrices, c'est-à-dire des actions capables non seulement de dissoudre des faux problèmes mais surtout d'inventer de nouvelles manières de vivre. / This thesis intends to propose an interpretation of Bergson’s work taking as a starting point a crucial aspect in his metaphysics and his method, namely the criticism of the so-called “false philosophical problems”; “false” because of the way they were formulated by a tradition thus preventing the access not only to the genuine problems, but also to questions that can be considered to be of paramount if not vital importance. The reason why the criticism of false problems appears as the centre of gravity of Bergson’s method as well as a particularity which singles out his metaphysics, is because it actually establishes a new metaphysics whose attention to these issues of vital importance goes hand in hand with the acknowledgment of time whose neglecting is the source of the false problems encountered in traditional metaphysics. This new type of metaphysics finds its accomplishment less in speculation than in creative actions, that is to say actions which have the power to invent new ways of life after the dissolution of the false problems.
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L’expression linguistique du concret chez John Donne : le sentiment dans la langue / A linguistic definition of the ‘concrete’ in John Donne’s work : feeling and language

Neveux, Julie 29 June 2010 (has links)
Cette thèse travaille sur l’élucidation du sens poétique à l’aide d’outils linguistiques ; elle propose une définition cognitive, phénoménologique et énonciative de la distinction abstrait/concret à partir de statistiques établies sur l’œuvre de John Donne (1572-1631), Meditations upon Emergent Occasions et The Complete English Poems. Le concret résulterait d’une forme de lyrisme indirect, c’est-à-dire non sémiotisé, implicite, auquel le poète aurait recours lorsqu’il serait impliqué affectivement dans une situation de discours. L’expressivité du sujet parlant repose sur une décatégorisation momentanée de catégories disponibles en langue, décatégorisation qui lui permet de dénoncer (implicitement) l’insuffisance des cadres abstraits prévus pour tous pour désigner la singularité de son expérience sentimentale. Les noms en –ness constituent une métaphore grammaticale car ils résultent d’une décatégorisation grammaticale, tandis que les métaphores traditionnelles mettent en jeu une décatégorisation lexicale. La métaphore porte l’empreinte affective du sujet parlant, qui se réapproprie ainsi le langage. La poésie métaphysique de John Donne, oscillant entre métaphores et comparaisons, entre le concret et l’abstrait, apparaît alors comme l’expression d’un travail du sentiment, sentiment d’autant plus travaillé qu’il est religieux, et se construit en l’absence de l’être aimé. / This dissertation studies poetic meaning using linguistic tools. It offers a cognitive, phenomenological and enunciative definition of the distinction between the abstract and the concrete, based on statistics carried out on work of the metaphysical poet, John Donne (1572-1631): Meditations upon Emergent Occasions and The Complete English Poems. I argue that the “concrete” is the result of indirect – implied, unsemiotized – lyricism, a form of lyricism used by the poet when s/he is emotionally implicated in a speech situation. The speaker’s expressivity relies on a temporal decategorization enabling him to (implicitly) claim that generalized (abstract) terms are insufficient to articulate the specificity of his own sentimental experience. Words in –ness – grammatical metaphors – result from a grammatical decategorization, while traditional metaphors derive from a lexical decategorization. Metaphors reflect the affect of the incarnate speaker, who thus repossesses language. Lastly, I understand John Donne’s poetry – hinging on metaphors and comparisons, concrete and abstract elements – as expressing a working of feelings, which is the strongest when the feeling is religious and needs to make up for the absence of the beloved.
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Phénoménologie et métaphysique. Lecture de Totalité et infini d’Emmanuel Levinas / Phenomenology and metaphysics. Reading Emmanuel Levinas’s Totality and infinity

Hiraoka, Hiroshi 04 November 2017 (has links)
Levinas s’intéresse à la notion du concret de la phénoménologie de Husserl. En 1930, Levinas montre que la notion de l’être a son origine dans l’expérience concrète de l’être qui est l’intuition immanente philosophique. Dans les années 1940, d’une part, Levinas met en relief que la phénoménologie consiste à rechercher dans les vécus concrets l’origine du phénoménologue et de sa vie ; et d’autre part, il détermine l’esprit humain par sa puissance de coïncider avec l’origine de sa vie et de lui-même. À l’époque de Totalité et infini, Levinas clarifie que la description phénoménologique de l’expérience concrète d’une entité est à la fois l’événement même de la révélation de l’être concret de cette entité et l’événement même de l’effectuation de cette entité. D’où Levinas met en évidence, d’une part, la méthode de concrétisation qui lie les expériences concrètes les unes aux autres et, d’autre part, le perspectivisme qui décrit l’expérience concrète telle qu’elle est vécue maintenant. Dans Totalité et infini, Levinas effectue la description phénoménologique comprise par lui. En décrivant les expériences concrètes du moi, il les distribue en deux séries : celle du besoin (vie naïve) et celle du désir (critique de soi). Dans la série du besoin, sur la base de l’habitation se fondent les expériences du moi naïf : le travail, la possession et la représentation. Et dans la série du désir se distribuent les expériences avec autrui : la parole, l’amour avec la femme et la fécondité. Ces deux séries d’expériences constituent la forme originaire de l’expérience du moi personnel. Totalité et infini est en ce sens la description phénoménologique du moi personnel par excellence. / Levinas brings out the notion of the concrete from Husserl’s phenomenology. In his 1930 book, Levinas shows that the notion of the being has its origin in the concrete experience of the being that is philosophical immanent intuition. In two articles published in the 1940s, Levinas reveals that the phenomenology searches in concrete experiences the origin of the phenomenologist himself and his life. On the other hand, he determines the human spirit by its power to coincide with the origin of his life and himself. In four articles published around 1960, Levinas clarifies the phenomenological description of the concrete experience of an entity is the very event of revelation of the concrete being of this entity and the very event of the effectuation of the entity. Hence, Levinas brings out the method of concretization which connects together concrete experiences as well as the perspective which describes concrete experience as it is now experienced. In Totality and infinity, Levinas practices the phenomenological description understood by himself. By describing concrete experiences of the “I”, Levinas categorizes them into two series of experience: that of need (naive life) and that of desire (self-criticism). In the series of need, the experiences of the naive “I” relies on the dwelling : labor, possession and representation. And in the series of desire, experiences with the other are distributed: speech, love with woman and fecundity. These two series of experiences constitute the proto-form of the experience of the personal “I”. Totality and infinity is in this sense the phenomenological description of the personal “I” par excellence.

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