1 |
S'éduquer en Bouriatie : anciennement terre nomade : a la recherche de « maillons manquants / .../...Boy, Véronique 07 December 2017 (has links)
Ayant travaillé depuis de nombreuses années dans l’éducation, dans et hors l’éducation nationale, en France, surtout dans le domaine du FLE (français langue étrangère), je me suis interrogée sur la difficulté de l’« école » à être en phase avec la vie environnementale, celle de la société, celle de chaque enfant. Comme le dit l’Unesco, exprimant la question au niveau international, les jeunes ne sont pas préparés au monde actuel, à ses incertitudes, à ses problèmes écologiques et de paix. Quelle éducation faut-il promouvoir ? Aussi ai-je décidé de sortir de l’espace scolaire, de l’espace pédagogique, de remonter à la philosophie en matière d’éducation et, parallèlement, de trouver un terrain éducatif qui aborde la question sous d’autres points de vue, un terrain aux antipodes du notre, qui bénéficierait de plus de temps, d’espace et de mouvement, un terrain nomade. / ....
|
2 |
Deux portraits de soi : mise en scène de la mort de l'auteur et de l'hybridité des genres au sein de l'écriture du moi de David Wojnarowicz et de Janet FrameGrenier, Geneviève January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
3 |
Le dernier des lieux, le dernier des hommes ou les représentations de la "maltesia" et de l'Alentejo dans l'oeuvre de Manuel da Fonseca / The last of places, the last of men or the representations of maltesia and Alentejo in Manuel da Fonseca’s workSantos, Maria da Glória Alhinho dos 30 January 2014 (has links)
Cette étude propose une lecture historique et littéraire sur l’Alentejo, la plus vaste province du Portugal, à partir d’un vagabond qui l’a réellement arpentée et d’une forme de vagabondage qui a aidé à forger une image de l’homme de cette région au caractère indomptable et sauvage. Les vastes terres de l’Alentejo aux larges horizons et aux distances illimitées auront un impact sur l’imaginaire autour de l’Alentejo et sur sa représentation au niveau littéraire. Une partie de l’œuvre littéraire de Manuel da Fonseca est attachée à cette région et noue avec elle des liens étroits qui ont produit un univers riche de significations sur les relations sensibles de l’homme à l’espace. Ainsi, la relation indissociable de l’homme de l’Alentejo à sa région y est représentée et est étroitement liée à celle de Manuel da Fonseca avec cette région. La représentation de la vie à partir d’un rapport intime, familier et d’un certain engagement humain envers cette province, a produit un univers littéraire singulier. Une errance, au départ, attachée à la figure du vagabond, le "maltês", et à cette forme de vagabondage, la "maltesia", vient alors se dessiner dans l’espace littéraire montrant que les frontières entre les différents textes, entre les différents personnages et entre les différents sujets de l’énonciation sont fluides et perméables. Les sens de "maltesia" et de "maltês" s’approfondissent, alors, montrant un espace humain dans lequel viennent s’inscrire l’énigme de la vie et de la création littéraire. / This study proposes a reading of Alentejo’s imaginary, the largest province of Portugal, from a vagabond's point of view who actually drifted this region, in a form of vagrancy, which helped to forge the image of a man with a wild and untameable nature. The vast lands of Alentejo with wide horizons and distances have an immeasurable impact on Alentejo’s imaginary and its representation in literature. Part of Manuel da Fonseca’s literary work is closely attached to this region producing a rich universe of meanings on sensitive relationships of man and space. Thus, the inseparable relationship between the man from Alentejo and his region is represented all over his work and bonds to Manuel da Fonseca's own relationship to that region. A representation of life, through a familiar and intimate story, together with a political humanised commitment towards that province, creates a singular literary universe. A drift, initially attached to the wanderer’s figure - the maltês - and its form of vagrancy – maltesia, comes to draw itself in the literary space showing that the boundaries between the different texts and characters can be fluid and permeable. The sense of maltesia and maltês gently deepens, showing a human space which becomes inscribed with the riddle of life and literary creation.
|
4 |
La marche de l'inquiétude : de jeunes Chiliens à Paris / The walk of curiosity : young Chileans in ParisRojas Silva, Belén 10 May 2016 (has links)
L'objectif central de cette recherche est de rendre compte des potentialités de la mobilité pour habiliter les processus de transformation à l'intérieur des sujets. Autrement dit, cette thèse doctorale concerne une recherche sur les possibilités des migrants de devenir sujets en mouvement ou « nomades » (Maffesoli, 1997, 2001 ; Braidotti, 2004, 2011). Donc, au niveau théorique, s'intègrent d'une part des perspectives à propos de la subjectivité des migrants qui « dénaturalisent » les déplacements comme processus exclusivement déterminés par des raisons économiques et, de ce fait, l'individualisme des migrants et la valorisation des déplacements en eux-mêmes ; et, d'autre part, des lectures sur une subjectivité qui migre aussi, lesquelles, sans travailler directement le phénomène des migrations, nous accompagnent au moment de réfléchir à la pluralité des motivations migratoires et des manières d'exercer la mobilité, mais au-delà de cela, elles se montrent attentives aux possibilités des mutations des sujets à partir du contact avec l'altérité et à la façon dont ses changements sont imbriqués avec des nouvelles formes du lien social. Au niveau méthodologique, l'enquête est centrée sur les récits de ces jeunes Chiliens (hommes et femmes, entre 18 et 35 années, habitants de la région parisienne) obtenus à partir de la technique d'entrevue approfondie semi structurée. Ainsi, ont été réalisés 54 entretiens : 45 correspondant à notre échantillon théorique et 9 entretiens qui dépassent cet échantillon, et que nous avons estimés comme complémentaires. L'échantillon théorique a été définie selon les critères de nationalité chilienne (unique ou partie de multiples appartenances nationales), d'âge (18-35 ans), d'indépendance (migrations hors d'un cadre familial d'origine) et de permanence en destin migratoire (3 ans minimum). Le traitement des données a été effectué en accord avec la proposition de « constructions de récits » de Barbara Biglia et Jordi Bonet-Martí (2009), qui, en mettant en valeur la connaissance située et dialogique, nous a permis de développer un exercice de multi-positionnement des sujets durant la migration, à partir de la considération des sens mis en jeu par les protagonistes de l'expérience. Ainsi, cette recherche, située à l'échelle de la vie quotidienne, se concentre sur les compréhensions de l'immigration qui émergent depuis la rencontre avec l'altérité extérieure, ensuite, sur les récits de la rencontre avec une altérité intérieure à travers l'expérience migratoire ; et enfin, les conséquences de ces deux processus par rapport à la définition des appartenances. Notre propos est de confronter les notions sur l'immigration qu'ont les migrants eux-mêmes aux distinctions traditionnelles utilisées pour classifier les migrations (occupation, durée, etc.) afin d'arriver à nouveaux entendements sensibles à la complexité et au dynamisme des expériences particulières parmi des étrangers. Ainsi, en reprenant les limites tracées par des interprétations traditionnelles et les sens exprimés par des migrants, nous voulons nous approcher du potentiel de la migration pour habiliter des processus de transformation, dans la perspective de ce qu'il est possible de « devenir » individuellement et collectivement. / The main objective of this research is to understand the potential of mobility to empower transformation process within the individuals. In other words, this PhD thesis is a research on the possibilities of migrants to become subjects in motion or "nomads" (Maffesoli, 1997, 2001; Braidotti, 2004, 2011). On a theoretical level, firstly it integrates perspectives about the subjectivity of migrants that "denature" displacements like processes exclusively given by economic reasons and, consequently, the individualism of migrants and the assessment of the travel by itself. Secondly, it integrates insights about a subjectivity that also migrates, which, without working directly the phenomenon of migration, accompany us at the moment of thinking about the plurality of migratory motivations and ways of exercising mobility, but beyond that, they show themselves attentive to the possibilities of subjects mutations from contact with otherness and how its changes are imbricated with new forms of social ties. On a methodological level, the investigation focuses on the stories of young Chileans (men and women between 18 and 35 years, residents in the Paris area), obtained with semi-structured/in-depth interview technique. Thus, 54 interviews were conducted: 45 corresponding to our theoretical sample and 9 interviews which do not match our criteria, and we have estimated as complementary. The theoretical sample was defined according to the Chilean nationality criteria (single or as part of multiple national memberships), age (18-35 years), independence (migration apart from the family of origin) and stay in migratory destination (3 years minimum). To illustrate, and outside the framework of the criteria of the sample, we can say that this resulted in a diverse group of students, students / workers and workers; 28 women and 26 men. Data processing was carried out in agreement with the proposal of "stories construction" of Barbara Biglia and Jordi Bonet-Martí (2009), which, by enhancing the knowledge located and dialogical, has enabled us to develop an exercise of multi-positioning of subjects during migration, from the consideration of the senses involved by the protagonists of the experience. Hence this research, located on the scale of daily life, focuses on immigration understandings that emerge from the encounter with the outside otherness, then on the stories of the encounter with an inner otherness through the migratory experience, and finally, the consequences of these processes in relation to the definition of belonging. Our purpose is to confront the notions about immigration of migrants themselves to traditional distinctions used to classify Migration (occupation, extension, etc.), to arrive to new understandings, sensitive to the complexity and dynamism of particulars experiences between strangers. So by taking the limits set by traditional interpretations and meanings expressed by migrants, we want to approach to migration's potentiality to enable process of transformations in the perspective of what it is possible to "becoming" individually and collectively.
|
5 |
L'espace nomade du pouvoir politique en Mauritanie.Lechartier, Clement 10 December 2005 (has links) (PDF)
L'objectif est de comprendre le pouvoir politique en Mauritanie en étudiant sa spatialité. Les tribus maures qui contrôlent l'État sont toutes liées à un lieu situé dans la bediyya. Leur pouvoir tient dans leur capacité à rapprocher ces lieux de la centralité politique. Le pouvoir politique résulte des interrelations de ces tribus dans la matrice étatique dont la capitale Nouakchott est le site central mais pas le centre s'imposant à la périphérie. La position de ces tribus dans la matrice étant fluctuante, la position et la situation dans l'espace de leur lieu d'attache sont mobiles. Ainsi, la capacité à modifier l'espace est une arme politique autant que le contrôle du pouvoir politique permet de modifier l'espace.
|
6 |
Etre migrant et Touareg de Bankilaré (Niger) à Abidjan (Côte d'Ivoire) : des parcours fixes, une spatialité nomadeBoyer, Florence 21 June 2005 (has links) (PDF)
Les migrations circulaires touarègues concernent, dans la zone de Bankilaré (sud-ouest du Niger), une part massive des hommes d'âge actif ; ils appartiennent à la catégorie sociale des esclaves. Ils réalisent des allers-retours entre leur campement et Abidjan. Auparavant saisonnières, les migrations se caractérisent, dans la période contemporaine, par un allongement des durées de séjour à Abidjan, de huit mois à deux ans en moyenne. Si le projet migratoire, défini à l'échelle individuelle et familiale, rend compte des contraintes économiques propres à un contexte de pauvreté dans l'espace de départ, il s'appuie sur une histoire migratoire longue, sur un savoir-faire de la mobilité ancien : le passé de pasteurs nomades de cette société. Le projet migratoire implique non seulement l'ensemble des membres du groupe social dans les parcours, mais aussi l'ensemble des lieux mis en relation par ces mêmes parcours. L'espace local ne se réduit pas à l'espace de fixation du groupe, mais se construit avec le mouvement, par le biais de la circulation. Suivant une logique de continuité avec le nomadisme, l'unité du groupe repose plus sur le partage de temporalités communes, que sur le partage d'un même territoire. Les spatialités qui se construisent alors, celles des migrants comme celles des immobiles, peuvent être qualifiées de nomades. Le projet migratoire se charge aussi d'une dimension politique en relation avec la catégorie sociale des migrants - ils sont descendants d'esclaves -avec l'intervention des institutions du développement dans cette zone. Si jusque dans la période récente, l'alternance entre présence et absence était intégrée aux modes de fonctionnement de cette société, faisant état d'une installation de la mobilité, des tensions, des conflits commencent à apparaître. Les migrants, par le biais de leurs séjours en ville, font l'expérience de la liberté, développant en retour, dans les campements, des formes de désobéissance passive, voire de résistance face à l'autorité des maîtres. A l'inverse, les immobiles, par le biais des projets de développement, s'impliquent dans un local qui a alors tendance à se refermer sur lui-même. Les tensions naissent entre une catégorie de population qui ne peut construire son espace local qu'avec le mouvement, et une catégorie, celle des immobiles, engagée dans les projets de développement, qui développe une configuration socio-spatiale proche du territoire.
|
7 |
Peripheral way : a journey into Icelandic national identity through the storyteller in the work of Ólöf Nordal and Steingrímur EyfjördHanna, Maeve 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire explorera l'identité nationale islandaise à travers la notion du raconteur véhiculée par les œuvres de deux artistes contemporains islandais – Ólöf Nordal et Steingrímur Eyfjörd. Le but de ce mémoire est d'interroger ce qui peut constituer une identité nationale islandaise et comment les œuvres examinées ici interprètent et déstabilisent une compréhension normative d'identité dans la culture islandaise. Les principales assises théoriques seront la politique identitaire et la narrativité. À partir d'une investigation de la théorie de la pensée nomade proposée par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans l'ouvrage Mille Plateaux : Le capitalisme et la schizophrénie et par Rosi Braidotti dans son ouvrage Nomadic Subjects : Embodiment and Sexual Difference in Contemporary Feminist Theory, une compréhension d'identité nationale islandaise comme nomadique sera élaborée. Des textes de Ernest Renan et de Timothy Brennan informeront également cette étude et la compréhension de « nation » et « nationalisme ». Une considération théorique du rôle du conteur sera entreprise dans le but de mieux comprendre l'héritage de narrativité et de l'identité nationale tel qu'élaboré par Roland Barthes, John Berger, Mieke Bal, Walter Benjamin et Homi K. Bhabha. Leurs propos informeront la lecture de l'identité nationale islandaise et l'influence de la narrativité sur les œuvres de Ólöf Nordal et Steingrímur Eyfjörd.
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Islande, identité nationale, la théorie de narrativité, le conteur, le mythe, le nomadisme, Ólöf Nordal, Steingrímur Eyfjörd, l'art contemporain islandais.
|
8 |
L’écriture poétique de Tomás Segovia : les possibilités du nomadisme / Tomás Segovia’s poetry : the possibilities of nomadismRodrigues, Judite 08 December 2012 (has links)
Cette étude a pour ambition de mettre au jour la trajectoire du poète Hispano-Mexicain Tomás Segovia et de définir sa poétique. On tente ainsi de montrer comment son œuvre, conduite par le tropisme du nomadisme, mène de la reconnaissance des origines, à l’acceptation de l’héritage de l’exil puis au dépassement de cette problématique. La poétique du nomadisme touche à différentes sphères, elle est perceptible dans la thématique, l’écriture, les figures, les formes poétiques ou dans les effets de transfert entre les différentes formes d’arts. Ce sont là autant de points d’analyse à prendre en compte pour explorer les possibilités de cette esthétique nomade qui tend définitivement à brouiller les frontières. Des figures comme la synesthésie, l’oxymore ou la personnification emblématisent la propension à l’échange et au mouvement de la poétique « ségovienne ». Le poète explore aussi l’éventail des possibilités que lui offre la variété des mètres différents dans la silva et dans le rythme hendécasyllabique. Il s’essaye à diverses formes poétiques et explore les modalités de l’entre-deux. Il met à profit l’image du poème. Il dialogue avec d’autres pratiques artistiques et tire parti des mots de la musique et de la peinture. Son écriture procède par d’habiles entrelacements de mots, elle est toute sensorielle, à l’écoute du corps et elle s’offre généreusement dans des vagues langagières puissantes. Fidèle aux valeurs et aux luttes héritées de l’Espagne « peregrina », sa poésie n’entre pas dans la polémique de l’hispanité ou de l’américanité, elle a irrémédiablement choisi le drapeau du nomadisme pour réaliser son anagnorèse et ainsi déchiffrer et saisir le monde avec liberté. / The objective of this study is to reveal the trajectory of the Hispanic Mexican poet, Tomás Segovia, and define his poetry. We will therefore try to show that his work, driven by the impulse of nomadism, leads from the recognition of his origins to the acceptation of his heritage of exile and finally to the conquering of this problem. The poetics of nomadism touch different spheres perceptible in terms of topics, themes, writing style, figures of speech, poetic forms or even the effects of transferring notions between different domains of art. So many points of analysis must there be taken into account in order to explore the possibilities of this nomadic esthetic which certainly has the tendency to blur the borders. Figures of speech such as synaesthesia, the oxymoron or personification emblemize the propensity of exchange and the “Segovian” poetic movement. This poet also explores a range of possibilities which offer him a variety of different meters within the silva and in the Hendecasyllabic rhythm. He tests out diverse forms of poetry and explores the sensory perceptions between them. He takes advantage of the imagery of a poem. He dialogues with other artistic practices and pulls from them words from the worlds of music and painting. His writing proceeds from a clever interlacing of words; it is entirely sensory, it listens to the body, and it offers itself generously to powerful linguistic waves. Faithful to his values and struggling from a “pilgriming” Spain, his poetry does not enter into the polemic debate of what it means to be Hispanic or American, but rather chooses the emblematic cover of nomadism to fulfill its anagorisis, thus, decoding and seizing the world with freedom.
|
9 |
État de santé des éleveurs semi-nomades en Mongolie : mode de vie et facteurs de risqueMocellin, Jérôme January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
10 |
Grilles orthogonales, trames tissées et réseaux aléatoires, trois paradigmes pour l'art et l'architecture / Orthogonal grids, woven wefts and random networks, three paradigms in art and in architectureFischbach, Martin 18 December 2014 (has links)
Cette recherche traite de trois figures, la grille orthogonale, la trame tissée et le réseau aléatoire. Tout en étant constituées de lignes, ces figures caractériseraient des pratiques plastiques et approches théoriques diverses. Chacune constituerait un modèle conceptuel, un paradigme pour l’art et pour l’architecture. La grille orthogonale, modèle du strié, serait à la fois division spatiale, mode d’assemblage, matière immatérielle, figure géométrique flexible et universelle, symbole de la modernité et de l’anti-modernité, structure rythmique, trace de rationalité, structure langagière, écriture du discontinu et signe de l’universel. La trame tissée tirerait sa texture de logiques mathématiques. Cette dialectique entre structure / ornement se retrouverait dans la peinture. Le tissage serait un modèle d’hybridation et d’unicité. Les entrelacs mouvants représenteraient des chemins initiatiques et serviraient de modèle pour l’architecture tout comme le tissage dans divers procédés. La trame souple permettrait des déformations, des inflexions et des plis. Modèle relationnel, omniprésent dans l’univers et la philosophie, le réseau aléatoire signifierait le nomadisme. Il tracerait sur des cartes cette vision circulatoire du monde. Labyrinthe, il représenterait l’imaginaire. Diagramme, il ferait émerger par ses mises en relations, du sens en art Il serait aussi un modèle d’interactions et d’intersubjectivité. Les artistes simuleraient les réseaux chaotiques de la nature, pour générer des formes réticulaires. Le réseau, modèle des bifurcations situationnistes et ludiques, serait également celui des flux en architecture. / This research deals with three figures, the orthogonal grid, the woven wefts and the random network. While consisting of lines, these figures characterize plastics practices and various theoretical approaches. Each would be a conceptual model, a paradigm in art and in architecture. The orthogonal grid, pattern of striated, would be both spatial division, assembly mode, immaterial matter, flexible and universal geometric figure, symbol of modernity and antimodernity, rhythmic structure, trace of rationality, language structure, writing the discontinuous and sign of the universal. The woven weft would draw its texture from mathematical logic. This dialectic between structure / ornament would be present in painting. Weaving would be a model of hybridization and uniqueness. Intertwining would represent initiatory paths and serve as a model for architecture as well as weaving in various processes. The flexible weft would allow deformations, inflections and folds. Relational model, omnipresent in the universe and philosophy, random network would mean nomadism. It would trace on maps that circulatory worldview. Maze, it would represent the imagination. Diagram, by its connections, he would reveal meaning in art. It would be also a model of interactions and intersubjectivity. Artists would simulate the chaotic network of nature to generate lattice forms. The network model of Situationists and fun bifurcations, would also be flow in architecture.
|
Page generated in 0.0234 seconds