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Nominalismus : Primat der ersten Substanz versus Ontologie der Prädikation /Hintze, Henning, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Erlangen--Friedrich-Alexander-Universität, 1995. / Bibliogr. p. 358-376. Index.
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Approche nominaliste de Saussure /Huglo, Pierre-André. January 2002 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Philos.--Paris 10, 1999. Titre de soutenance : Essai d'une lecture nominaliste de la linguistique saussurienne. / Bibliogr. p. 325-333.
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Het idealisme van Berkeley ...Malan, D. F. January 1905 (has links)
Proefschrift--Utrecht.
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Anomies : une déconstruction de la dialectique de l’un et de l’ordre, entre Jacques Derrida et Nelson Goodman / A deconstruction of the dialectic of law and order, between Jacques Derrida and Nelson GoodmanBarrau, Aurélien 20 January 2016 (has links)
Notre hypothèse est la suivante : pour des raisons différentes et avec des méthodes différentes, Derrida et Goodman ont, chacun, ébranlé l’un des deux piliers qui sous-tendent l’essentiel de la tradition philosophique. Derrida, par le jeu subtil de la différance, a fait vaciller la vaste entreprise de mise en ordre. Goodman, par la profusion de mondes construits et irréductibles les uns aux autres, remet en cause l’aspiration à l’unité. Nous avons tenté d’établir que la métaphysique s’est développée dans une dialectique de l’un et de l’ordre, se rétablissant sur l’un de ses pilastres quand l’autre faiblissait. Si donc les soubassements de l’histoire philosophique devaient être revisités – peut-être révisés – il serait fructueux d’user simultanément des propositions derridiennes et goodmaniennes. C’est l’originalité de ce projet. Il s’agit, pour neutraliser la récupération dialectique par l’autre pilier (par l’unité quand l’ordre faillit ou par la mise en ordre dans la multitude s’immisce) d’interroger la tradition suivant le double impératif de la déconstruction et du nominalisme, suivant le double prisme du dés-ordre de Derrida et du multiple de Goodman. Nous avons tenté d’établir que l’efficace d’une remise en cause du « mythe de l’un » ne peut se faire sans ébranler le « mythe de l’ordre ». Considérer conjointement les systèmes (ou des dé-systématisations) de Derrida et Goodman serait donc, suivant ce dessein, non seulement utile mais presque indispensable. Chacun d’eux permet d’éviter la récupération dialectique du schème de l’autre. L’étude est menée à partir d’un inconfort partagé face au concept de vérité. / Our hypothesis is the following : for different reasons and with different methods, Derrida and Goodman have both deconstructed one of the pillars of the Western philosophical tradition. Derrida, using the subtleties of the differance concept, has shaken the general entreprise of « organisation ». On the other hand, Goodman, by considering numerous constructed worlds that cannot be reduced one to the other, questions the desire of unity. We have tried to establish that metaphysics has developed in a dialectic articulation of order and unity, using one when the other fails. If the groundings of the history of philosophy were then to be revisited, it would be useful — if not necessary — to use simultaneously the derridean and goodmanian views. This the originality of this project. To break the dialectic mechanics using order to cure multiplicity, or the other way round, we have reconsidered the tradition using both deconstruction and nominalism, Derrida’s disorder and Goodman’s diversity. We have tried to show that the efficiency of the questioning of the « unity myth » depends on how far the « order myth » has been revised. Considering simultaneously both Derrida’s and Goodman’s systems allows to avoid the dialectic neutralisation of the proposal. The study is performed through the question of truth.
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Abelard, lecteur de Boèce : entre réalisme et nominalisme, la critique du logicisme boécien dans les oeuvres logiques de Pierre Abélard / Abelard reads Boethius : between realism and nominalism, the critique of boetian logicism in the works of logic of Peter AbelardMichel, Bruno 14 October 2009 (has links)
Boèce prétend avoir apporté une solution définitive aux deux grandes apories du corpus logique aristotélicien, l'aporie de l'universel et l'aporie des futurs contingents. Nous montrons qu'Abélard, à travers sa critique des reales, met en question ces deux solutions et leur substitue deux distinctions voulues comme aporétiques - entre res et status d'un côté et entre res et dictum propositionis de l'autre - qui naissent de la reconnaissance par Abélard du caractère fictif des solutions boéciennes aux grandes apories du corpus logique aristotélicien. Ces deux distinctions organisent une réflexion philosophique profondément novatrice que nous nous efforçons de décrire. / Boethius claims to have definitively solved the two great aporias of the corpus of Aristotelian Iogic, the universal aporia and the aporia of contingent futures. l demonstrate that Abelard,Through his critique of reales calls into question these two solutions and substitutes two distinctions that he wanted to he aporetique - between res and status on the one band andand dictum propositionis on the other hand - born of Abelard's recognition of the fictional character of the two Boetian solutions to the great aporias of the Aristotelician logical corpus. The two. distinctions pave the way for a profoundly new kind of philosophical reasoning,which this text mtends to describe.
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La métaphysique de Nelson Goodman / Nelson Goodman’s MetaphysicsDeclos, Alexandre 08 December 2017 (has links)
Cette thèse de doctorat est consacrée à la pensée du philosophe américain Nelson Goodman (1906-1998). Nous y défendons, à l’encontre de la plus grande partie de la critique, une lecture métaphysicienne de son œuvre. Il est démontré que Goodman, dans tous ses travaux, développe une métaphysique technique et méconnue, dont les piliers sont le nominalisme, le pluralisme, le perdurantisme, l’actualisme, et l’universalisme méréologique. Cette lecture permet de réévaluer l’ensemble de la pensée goodmanienne. Elle établit aussi ses liens insoupçonnés avec la métaphysique analytique contemporaine / This PhD dissertation is dedicated to the philosophy of Nelson Goodman (1906-1998). We defend, against most critics, a metaphysical interpretation of Goodman’s works. It will be shown that the latter developed a technical and often overlooked metaphysics, whose pillars are nominalism, pluralism, perdurantism, actualism, and mereological universalism. This reading allows for a critical reevaluation of Goodman’s views. It also brings to light his unexpected links with contemporary analytic metaphysics
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Les quantités dans la nature : les conditions ontologiques de l’applicabilité des mathématiques / Quantities in Nature : the Applicability of mathematics and its ontological conditionsTricard, Julien 05 December 2019 (has links)
Si nos théories physiques peuvent décrire les traits les plus généraux de la réalité, on sait aussi que pour le faire, elles utilisent le langage des mathématiques. On peut alors légitimement se demander si notre capacité à décrire, sinon la nature intime des objets et phénomènes physiques, du moins les relations et structures qu’ils instancient, ne vient pas de cette application des mathématiques. Dans cette thèse, nous soutenons que les mathématiques sont si efficacement applicables en physique tout simplement parce que la réalité décrite par les physiciens est de nature quantitative. Pour cela, nous proposons d’abord une ontologie des quantités, puis des lois de la nature, qui s’inscrit dans les débats contemporains sur la nature des propriétés (théorie des universaux, théorie des tropes, ou nominalisme), et des lois (régularités, ou relations entre universaux). Ensuite, nous examinons deux sortes d’application des mathématiques : la mathématisation des phénomènes par la mesure, puis la formulation mathématique des équations reliant des grandeurs physiques. Nous montrons alors que les propriétés et les lois doivent être comme notre ontologie les décrit, pour que les mathématiques soient légitimement, et si efficacement, applicables. L’intérêt de ce travail est d’articuler des discussions purement ontologiques (et très anciennes, comme la querelle des universaux) avec des exigences épistémologiques rigoureuses qui émanent de la physique actuelle. Cette articulation est conçue de manière transcendantale, car la nature quantitative de la réalité (des propriétés et des lois) y est défendue comme condition d’applicabilité des mathématiques en physique. / Assuming that our best physical theories succeed in describing the most general features of reality, one can only be struck by the effectiveness of mathematics in physics, and wonder whether our ability to describe, if not the very nature of physical entities, at least their relations and the fundamental structures they enter, does not result from applying mathematics. In this dissertation, we claim that mathematical theories are so effectively applicable in physics merely because physical reality is of quantitative nature. We begin by displaying and supporting an ontology of quantities and laws of nature, in the context of current philosophical debates on the nature of properties (universals, classes of tropes, or even nominalistic resemblance classes) and of laws (as mere regularities or as relations among universals). Then we consider two main ways mathematics are applied: first, the way measurement mathematizes physical phenomena, second, the way mathematical concepts are used to formulate equations linking physical quantities. Our reasoning has eventually a transcendental flavor: properties and laws of nature must be as described by the ontology we first support with purely a priori arguments, if mathematical theories are to be legitimately and so effectively applied in measurements and equations. What could make this work valuable is its attempt to link purely ontological (and often very ancient) discussions with rigorous epistemological requirements of modern and contemporary physics. The quantitative nature of being (properties and laws) is thus supported on a transcendental basis: as a necessary condition for mathematics to be legitimately applicable in physics.
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L’argumentaire antiréaliste de Guillaume d’Ockham dans les chapitres 14 à 17 de la Somme de Logique I : analyse critique des mérites, limites et enjeux d'une position nominalisteLarocque, Alexandra 09 1900 (has links)
Ce mémoire propose une étude critique des chapitres 14 à 17 de la première partie de la Summa logicae de Guillaume d’Ockham (v. 1285-1347), philosophe et théologien du bas Moyen-Âge. Ces quatre chapitres présentent la position d’Ockham dans la querelle des universaux, débat intellectuel marqué qui a opposé plusieurs écoles de pensée du milieu universitaire médiéval. Pour sa part, Ockham défend une position nominaliste selon laquelle 1. tout ce qui existe est de soi singulier; et 2. les universaux, ces concepts uniquement accessibles par l’esprit, n’existent pas. S’opposant au réalisme, Ockham s’y adresse notamment à l’un de ses collègues franciscain, Jean Duns Scot (v. 1266-1308). Ce mémoire a pour objectif d’identifier d’abord les mérites de la position nominaliste face au réalisme quant au statut des universaux et à la philosophie du langage et ensuite les tensions internes au nominalisme ockhamiste lorsque nous tentons de concilier celui-ci à l’ontologie et à la théologie catholique. Il s’agira donc de montrer que l’antiréalisme parvient à défaire le réalisme dans une perspective logique, mais que certains problèmes demeurent lorsque nous l’analysons dans une perspective ontologique ou théologique.
Mots-clés : Guillaume d’Ockham, philosophie médiévale, Moyen-Âge, universaux, Jean Duns Scot, scolastique, ontologie, théologie catholique, logique, sémantique / This thesis proposes a critical study of chapters 14 to 17 of the first part of William of Ockham’s Summa logicae, a philosopher and theologian of the late Middle Ages (c. 1285-1347). These four chapters present Ockham's position in the problem of universals, a marked intellectual debate that opposed several philosophical and theological schools of the medieval academic world. For his part, Ockham defends a nominalist position according to which 1. everything that exists is inherently singular; and 2. universals, those concepts only accessible to the mind, do not exist. Opposing realism, Ockham addresses one of his Franciscan colleagues in particular, John Duns Scotus (c. 1266-1308). This thesis’s first aim is to identify the merits of a nominalist position vis-à-vis realism in regard to the status of universals, and second, to mark the tensions internal to Ockham’s nominalistic approach in its conciliation with ontology and catholic theology. It will thus be shown that antirealism succeeds in defeating realism from a logical perspective, but that some problems remain when we analyse it from an ontological or theological perspective.
Keywords: William of Ockham, medieval philosophy, Middle Ages, universals, John Duns Scotus, scholastic, ontology, catholic theology, logic, semantics.
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Les classifications des systèmes philosophiques d'Emmanuel Kant à Jules Vuillemin. Étude architectonique, logique et mathématique.Mélès, Baptiste 06 December 2011 (has links) (PDF)
À la suite d'Agrippa, maint sceptique a argué de la pluralité des systèmes pour ruiner toute ambition de vérité philosophique : des systèmes contradictoires ne pouvant être vrais simultanément, leurs prétentions respectives s'annulent. L'argument n'a pourtant de valeur que si la pluralité des systèmes est elle-même irrationnelle. Or plusieurs philosophes ont rationalisé la diversité des systèmes philosophiques, suggérant par là que la raison puisse s'approprier sa propre limite ; notamment Kant, dans l'" Histoire de la raison pure " qui conclut la Critique de la raison pure (1781) ; Hegel, dans les Leçons sur l'histoire de la philosophie (1805-1830) ; Victor Cousin, dans Du Vrai, du beau et du bien (1828) et l'Histoire générale de la philosophie (1863) ; Charles Renouvier, dans l'Esquisse d'une classification systématique des doctrines philosophiques (1885-1886) ; et Jules Vuillemin, dans Nécessité ou contingence (1984).Étudier de manière interne chacune de ces entreprises permet de déterminer quels en sont les critères fondamentaux, la forme mathématique générale, et le but philosophique. L'histoire kantienne de la raison pure, injustement dédaignée, repose sur les concepts fondamentaux du criticisme, structure maint chapitre des trois Critiques, et annonce la paix philosophique perpétuelle dont est porteur le criticisme. Les Leçons de Hegel ne sont ni un résumé empirique ni une histoire biaisée de la philosophie : fondées sur la Logique et la Phénoménologie, elles mettent au jour la dialectique interne des systèmes. La classification de Renouvier n'est pas, comme on le dit parfois, a posteriori, mais repose au contraire sur le jeu a priori d'une table des catégories et d'une théorie de la contradiction. Enfin, la classification vuilleminienne des systèmes, qui s'appuie sur une classification des formes de prédication, généralise la classification kantienne. Seule la classification de Victor Cousin s'avère finalement a posteriori.Ancrées dans les concepts fondamentaux de chacune de ces doctrines, ces classifications montrent qu'un système peut construire l'image des autres et de leurs relations aussi rigoureusement qu'il décrit le monde : les relations entre systèmes ne sont pas moins structurales que les systèmes eux-mêmes.
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Die teologiese oorsprong van AteismeGreen, Gerhardus Jakobus January 2017 (has links)
Navorsing oor veranderende konsepte van God toon aan dat die oorsprong van ateïsme na die skolastici van die laat-middeleeue teruggevoer kan word. Hierdie ondersoek poog om die verhouding tussen Johannes Duns Scotus se eenduidige konseptualisering van God en die verwerping van God deur moderne ateïste aan te toon. Die verandering van Thomas Aquinas se analogiese teologie na Johannes Duns Scotus se eenduidige ontologiese konseptualisering van God het `n groot invloed op nominalistiese teologie en die moderne realiteitsverstaan gehad. Nominaliste soos William van Occam het hierdie eenduidige konsep van God later kombineer en verder ontwikkel met die gevolg dat God later nie meer ontologiese voorkeur geniet het nie. Waar Aquinas die klem op God se transendensie gelê het, was daar ‘n toenemende neiging om God al hoe meer immanent te verstaan. ʼn God wat op dieselfde wyse as die mens bestaan, word dus ʼn “wese”, ʼn “getemde God”. Scotus en latere nominaliste het God se kwantitatiewe andersheid bo sy kwalitatiewe andersheid beklemtoon. Binne `n akademiese ruimte waarin die waarheid van die Christelike geloof en die outoriteit van die Rooms Katolieke Kerk nie bevraagteken is nie, was die invloed van hierdie teologiese veranderinge klein. Die Reformasie het dit egter verander, en alhoewel dit nie die bedoeling was nie, was die gevolg dat hierdie eenduidige konseptualisering van God deel van moderne teïsme geword het. Duns Scotus se invloed was so groot dat daar ook na hom as die stigter van moderniteit verwys kan word. Na die Reformasie het Descartes se cogito ergo sum daartoe gelei dat die rede alleen as bron van betekenis gegeld het. Hierdie ontwikkeling het voorkeur aan epistemologie bo ontologie gegee. Binne hierdie moderne realiteitsverstaan is daar nie plek vir ʼn eenduidige konseptualisering van God nie. Omdat ateïste juis hierdie konsep van God verwerp, is daar waarde in die bestudering van ateïsme.
Sleutelwoorde: ateïsme, Thomas Aquinas, Johannes Duns Scotus, William van Occam, analogie van syn, eenduidige syn, Descartes, die Reformasie, Amos Funkenstein, Gavin Hyman, Brad Gregory, epistemologie, ontologie, skolastici, nominalisme, moderniteit, moderne teïsme. / Dissertation (MTh)--University of Pretoria, 2017. / Dogmatics and Christian Ethics / MTh / Unrestricted
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