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La France et la crise des euromissiles, 1977-1987 / France and the Euromissile crisis, 1977-1987

Parisi, Ilaria 25 November 2017 (has links)
La crise des euromissiles trouve son origine en octobre 1977, lorsque le chancelier allemand Helmut Schmidt exprime son inquiétude face à l’aggravation du déséquilibre militaire en Europe, consécutive au déploiement des missiles soviétiques de moyenne portée SS-20. Plus précis que les systèmes qu’ils remplacent et dotés de têtes nucléaires multiples, les SS-20 pourraient neutraliser la mise en œuvre de l’escalade nucléaire de l’OTAN. Qui plus est, les armes de moyenne portée de l’organisation militaire intégrée versent dans un état d’obsolescence. La question qui se pose est de ce fait celle de savoir quelles sont les garanties sécuritaires que les Américains offrent à l’Europe, alors que la parité stratégique, bientôt consacrée par le traité SALT II, rend improbable l’engagement de la dissuasion centrale américaine en faveur du Vieux Continent. La montée de la menace soviétique et la méfiance européenne vis-à-vis de la protection militaire américaine sont alors les deux éléments au centre du débat atlantique qui caractérise la décennie 1977-1987 et qui se conclut par le traité de Washington, sanctionnant l’élimination de toutes les armes nucléaires soviétiques et américaines de moyenne portée d’Europe.Cette situation risque d’affecter la France pour deux raisons. Tout d’abord, l’aggravation du déséquilibre militaire engendré par les SS-20 confèrerait à Moscou un droit de véto sur toute évolution politique future du continent, que cela ait trait à la construction européenne ou à la résolution de la question allemande. Deux dossiers sur lesquels Paris n’accepte pas d’être marginalisé. Ensuite, la manifestation d’une méfiance européenne vis-à-vis de l’engagement américain en Europe semble amener certains alliés, la RFA au premier chef, à chercher un équilibre militaire propre au continent européen. Or, loin de garantir plus de sécurité, un équilibre « eurostratégique » n’aurait pour conséquence que d’éloigner la dissuasion américaine d’Europe ; en outre, il finirait par imposer des limitations aux forces nucléaires des puissances nucléaires tierces comme la France. Dès lors, la crise des euromissiles concerne la France dans la mesure où sa politique d’indépendance et sa politique de défense risquent d’être mises à mal par les évolutions du débat atlantique à propos de la sécurité de l’Europe, qui constitue l’environnement stratégique dans lequel Paris inscrit sa propre sécurité. / The origins of the Euromissile crisis date back to October 1977, when Helmut Schmidt publicly expressed his anxieties about the nuclear imbalance in Europe, following the deployment of the Soviet SS-20 missiles. The new Soviet system was more accurate than its predecessors and equipped with three nuclear warheads. NATO’s aging nuclear medium-range missiles could not match the Soviet technology and NATO’s nuclear escalation strategy proved weakened. At a time when SALT II fixed a rough strategic nuclear parity between the Soviet Union and the United States, Europe wondered whether the American extended deterrence was still reliable. The increasing Soviet threat and the deepening European defiance vis-à-vis the American military protection were the two central elements of the Euromissile crisis, which lasted until 1987, when the Washington treaty sanctioned the elimination of all Soviet and American medium-range nuclear forces in Europe.The French concern about the Euromissile crisis was twofold. Firstly, Moscow might profit from its military superiority in Europe in order to extend its influence over the Western part of the continent. As a consequence, the Soviet Union might acquire a veto over any European political development, for example as regards the European integration process or the resolution of the German question, issues on which France was eager to play a major role. Secondly, the European distrust towards the American military protection could lead to the establishment of a “eurostrategic” balance, or a balance between the Soviet and the American nuclear weapons in Europe. This would definitely have weakened the value of the American extended nuclear deterrence in Europe, but also in due course included third country nuclear forces into the military European balance as a part of the Western military effort. In this case, France would be deprived of a major element of her defense policy. As a consequence, France got involved in the Euromissiles crisis to preserve her strategic environment from any Soviet European ambition and to defend her policy of national independence from any attempt to diminish her military force at a time of increased East-West confrontation.
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Les relations turco-américaines de l'entrée de la Turquie dans l'OTAN jusqu'à la crise Irakienne de 2003 / Turkish-American relations from Turkey's entry to NATO until the Iraqi crisis in 2003

Parlar Dal, Emel 28 May 2009 (has links)
L’entrée de la Turquie dans l’OTAN en 1952 a influencé les relations turco-américaines de façon plus importante que tout autre événement. Pendant la période entre 1950 et 1960 considérée comme la période de « lune de miel » dans l’histoire des relations turco-américaines des derniers cinquante ans, la Turquie est devenue un acteur clé des stratégies de défense de l’OTAN et ainsi des Etats-Unis. Dans la décennie 1960, les deux pays traversèrent une période de turbulence marquée par deux crises. Le retrait du sol turc des missiles Jupiter en 1963 sans consultation préalable du gouvernement fut un tournant important dans l’histoire des relations turco-américaines La deuxième crise éclata dans les relations entre Ankara et Washington lors des premiers affrontements inter-communautaires à Chypre, avec la fameuse lettre de Johnson de juin 1964. En 1973, Washington protesta vigoureusement contre l'autorisation, accordée par le gouvernement d'Ankara, de cultiver le pavot à des fins médicales. La crise chypriote de 1974 avait une nature différente de celle des crises précédentes car son impact sur les relations entre les deux pays ont été finalement de plus longue durée et aussi plus profonds. Dans la décennie 1980 Ankara apparut donc aux yeux des Américains comme un partenaire qui cherchait toujours un équilibre dans ses relations avec ces derniers. Durant la décennie 1990 les relations turco-américaines connurent une transition majeure d’une coopération stratégique étroite établie de longue durée dans la période de la Guerre froide à un nouveau type de relation basée sur le rôle important de la Turquie dans les affaires régionales. A la différence de la crise chypriote de 1974 que nous considérons aussi comme une grande rupture, la crise de la guerre d’Irak de 2003 a laissé les traces les plus marquantes sur les relations bilatérales et a causé des frictions très importantes entre les militaires de haut rang des deux pays et par conséquent, la méfiance s’installa rapidement dans les relations militaires entre les deux pays. / Turkey’s entry to NATO in 1952 influenced the Turkish-American relations in a way more important than any other event. During the period between 1950 and 1960 considered as “honeymoon period” in the history of the Turkish-American relations of the last fifty years, Turkey became a key actor of NATO’s defense strategies and thus of the United States. In 1960’s, two countries crossed a turbulent era marked by two crises. The withdrawal of the Jupiter missiles in 1963 from Turkish ground without preliminary consultation of the government was revolving important in the history of the Turkish-American relations. The second crisis in the relations between Ankara and Washington burst during the first intercommunity confrontations in Cyprus, with the famous letter of Johnson of June 1964. In 1973, Washington protested vigorously against authorization, granted by the Ankara Government, to cultivate the poppy for medical purposes. The Cypriot crisis of 1974 had a nature different from that of the preceding crises because its impact on the relations between the two countries was also deeper. During the eighties Ankara appeared in the eyes of the Americans as a partner who always sought a balance in his relationships to the latter. During following decade which testified to the disintegration of the Soviet Union and thus of the end of the Cold war Turkish-American relations entered a major transition from an established close strategic co-operation long life during the time of the Cold war to a new type of relation based on the big role of Turkey in the regional affairs. With the difference of the Cypriot crisis of 1974 that we also regard as a great rupture, the crisis of the war of Iraq of 2003 left the most outstanding traces on the bilateral relations and because of the very significant frictions between the high ranking soldiers of the two countries a mistrust settled quickly in the military relations between the two countries.
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Le grand schisme. La France, la Grande-Bretagne et les problèmes euro-atlantiques, 1957-1963 / The Great Schism : France, Britain and the Euro-Atlantic Issues, 1957-1963

Gloriant, Frederic 27 November 2014 (has links)
Dès janvier 1957, après la crise de Suez, Macmillan donna toute priorité à la refondation de la « relation spéciale » anglo-américaine ; en juin 1958, de Gaulle revint au pouvoir, avec l’ambition de pratiquer une politique étrangère fondée sur l’indépendance nationale vis-à-vis des Etats-Unis. La volonté gaullienne de faire émerger une autonomie européenne entra en opposition avec la politique de la Grande-Bretagne, visant à maximiser son influence globale au sein de l’Alliance atlantique. Le heurt entre ces deux orientations fondamentales, d’abord latent, déboucha sur un schisme politico-stratégique entre Paris et Londres, que de Gaulle choisit de proclamer publiquement le 14 janvier 1963 en refusant l’entrée de la Grande-Bretagne dans la Communauté Economique Européenne et l’offre anglo-américaine de partenariat nucléaire. A la lumière des archives diplomatiques françaises et britanniques, cette thèse se concentre sur une question essentielle, mais jusqu’ici insuffisamment étudiée : le rôle qu’aura joué la relation franco-britannique et en particulier sa dimension politico-stratégique à une époque cruciale pour la constitution de l’architecture de sécurité euro-atlantique dans un monde dominé par la guerre froide. En croisant les perspectives européenne et transatlantique, cette étude montre le lien entre la construction politico-stratégique de l’Europe et les évolutions de l’OTAN et permet ainsi de mieux comprendre certaines tendances fondamentales de la politique étrangère de la France et de la Grande-Bretagne dans la longue durée, ces deux pays représentant depuis lors des positions extrêmes dans le débat opposant atlantistes et partisans de l’« Europe européenne ». / From January 1957 onwards, following the Suez crisis, Macmillan prioritised the rebuilding of the Anglo-American “Special Relationship”; in June 1958, de Gaulle returned to power, with the ambition to deliver a foreign policy grounded in the principle of French national independence from the United States. De Gaulle’s desire to promote a strategic European autonomy came into conflict with a British foreign policy designed to maximise British influence within the framework of the Atlantic Alliance. The fundamental clash between these two directions of travel, latent at first, resulted in a politico-strategic schism between Paris and London, which de Gaulle chose to expose publicly on January 14, 1963, by vetoing the British entry into the European Economic Community and turning down the Anglo-American offer of a nuclear partnership.Drawing on the French and British diplomatic archives, this thesis will examine a crucial question which, until now, has been insufficiently analysed: the role that Anglo-French relations played, especially their politico-strategic dimension, during a period which proved crucial for building the architecture of Euro-Atlantic security, in a world dominated by the Cold War. By bringing together European and transatlantic perspectives, this study demonstrates the links between the politico-strategic dimension of the European project and the development of NATO, and thus improves our understanding of fundamental long-term trends in British and French foreign policies, namely how, from that point on, Britain and France came to represent two antagonistic positions within the debate between Atlanticists and supporters of “European Europe”.
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Mises en scène et stratégies d'internationalisation de la "lutte contre le terrorisme" :Guerre, surveillance et armements à l'OTAN après le 11 septembre 2001

Pomarede, Julien 24 October 2018 (has links)
Cette thèse de doctorat retrace les jeux d’acteurs, les pratiques et discours qui ont rendu possible l’émergence et le développement de politiques de sécurité au nom de la « lutte contre le terrorisme » au sein de l’OTAN depuis le 11 septembre 2001. Notre démarche part d’une intention d’explorer une forme de tension apparente où la présence de plus en plus systématique et généralisée de la « lutte contre terrorisme » au sein de cette organisation internationale est allée de pair avec une hétérogénéité très forte, et parfois pleine de contradictions, de ses usages, de ses matérialisations, et de ce qu’elle contribue à justifier dans l’action politico-militaire internationale contemporaine de l’Alliance. En faisant de l’OTANun objet d’étude de sociologie politique, nous proposons de saisir les conditions dans et par lesquelles des professionnels de la sécurité (diplomates, militaires opérationnels ou haut gradés, fonctionnaires internationaux, ingénieurs, spécialistes du renseignement, compagnies privées, etc.) ordonnent leurs échanges et leurs conflits au sein de l’OTAN en mobilisant sur un mode particulièrement plural une « cause commune », la « lutte contre le terrorisme », qui, pourtant et au premier abord, présente une multiplicité narrative et pratique telle qu’elle paraît davantage être un énoncé dépourvu de sens concret et de réelle logique de fonctionnement qu’un élément structurant véritablement l’action collective.Ainsi, le présent travail conçoit les pratiques d’internationalisation de la « lutte contre le terrorisme » que génère l’OTAN comme l’objet de compromis, de bricolages institués, autour desquels les acteurs se réunissent et s’accordent un minimum sans pour autant s’entendre sur une signification partagée de la « lutte contre le terrorisme » ou même encore de la « menace terroriste ». La forte hétérogénéité prêtée aux significations de la « lutte contre le terrorisme » la rend tout aussi éclatée et dépourvue de sens logico-logique qu’elle assure une fonction sociale, pratico-logique, et productive bien réelle, celle d’assurer une certaine stabilité aux environnements et configurations professionnels, eux-mêmes très hétérogènes en termes de propriétés d’acteurs, de justifications et de savoir-faire déployés en matière de gestion des « risques internationaux ». Ce serait les formes bricolées d’objectivation des questions d’(in)sécurité qui assureraient précisément la reproduction des légitimités et des utilités individuelles et collectives des acteurs et institutions impliqués dans les initiatives de «lutte contre le terrorisme » à l’OTAN.En prenant notamment appui sur une observation participante de 7 mois au Quartier général de l’OTAN, une campagne d'une centaine d'entretiens ainsi que sur diverses sources écrites, nous étudierons la manière dont les diverses formes de mobilisations de la « lutte contre le terrorisme » a rendu possible le développement de trois types de politiques de sécurité de sein de cette organisation internationale :la conduite de la guerre, de la surveillance et l'acquisition/développement d'armements.Ce faisant, notre thèse entend connecter une analyse micro des formes de bricolages de la « lutte contre le terrorisme » à l’OTAN à une étude macro de leurs capacités productives au niveau des politiques contemporaines du « risque » elles-mêmes, et plus spécifiquement de leur dimension potentiellement violente. Nous entendons par-là démontrer que les usages fluides, bricolés, voire parfois « imaginés », de la « lutte contre le terrorisme » supposent le développement de savoir-faire de prévention des « risques » qui, reliés plus ou moins directement à l’usage de la violence, contribuent à en faire croitre le spectre et ses possibilités, essentiellement en termes de permanence dans le temps et dans l’espace, d’utilisations préventives et d’extensions des sujets visés par la violence politico-militaire. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La défense européenne : de l'implosion de l'URSS à la crise ukainienne / The European defence : from the implosion of the USSR to the Ukrainian crisis

Bou, Phan Dary 28 September 2015 (has links)
Depuis la chute du Mur de Berlin en 1989, l'Union Européenne s'affirme sur le devant de la scène mondiale en s'appuyant sur sa formidable économie. Pourtant, sa politique étrangère commune n'est pas à la mesure de sa taille économique. Sa sécurité est assurée par l'OTAN et des efforts contradictoires se manifestent pour une politique étrangère commune. La construction européenne ne sera complète qu'avec une armée européenne sous une unique bannière. Les crises successives au voisinage de l'Europe rassemblent les europoliticiens qui décident de créer des forces armées trans-européennes avec un mandat clair et avec l'aval de l'OTAN pour éviter le dispersement inutile des ressources capacitaires euro-atlantiques afin de participer aux missions de l'ONU dans la sécurité mondiale. Les efforts du maintien capacitaire de l'Union Européenne entrainent le développement de l'économie industrielle militaire et civile grâce aux innovations duales, sur laquelle s'appuie la politique coercitive de l'Union Européenne. / Since the fall of the Berlin's Wall in 1989, the European Union asserts its leading role in the world through its tremendous economy. But its common foreign policy does not have the size of its economy. lts security is ensured by NATO and the contradictory objectives are embodied in the common foreign policy. The European construction will be complete only when it will have its integrated army under a single banner. The successive crises gather the European lawmakers who decide to create trans-European armed forces with a clear mandate and with the consent of NATO to avoid the dispersal of euro-Atlantic strategic resources in order to participate in the missions of UN in the world's security. The efforts to build up the EU's strength promote the large military and civil economic increases of industrial dual innovations. And the European coercive policy bases on these behalf.
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La Norvège et l'isolationnisme, 1940-1972 / Norway and isolationism, 1940-1972

Hallé, Einar 31 October 2014 (has links)
Nous avons d’abord entrepris de tracer un tableau de la Norvège en nous reportant à des ouvrages d’auteurs tels Raymond Aron (1905-1983) et son « Guerre et paix entre nations », de Francis Fukuyama (1952-) avec son étude « The Origins of Political Order » [Les origines de l’ordre politique], de Hans Magnus Enzensberger (1929-), auteur de « Norsk utakt » [La Norvège qui marche à contretemps], d’Henrik Ibsen (1828-1906) et son « Peer Gynt », et de nombreux écrits d’Olav Riste (1933-) et d’autres auteurs.A la fin de cette première partie notre analyse a permis d’identifier l’isolationnisme traditionnel et défensif des Norvégiens que nous désignons comme étant du premier degré, puis une seconde forme d’isolationnisme appelé organique et du second degré, car intériorisé et ainsi occulté.Nos sources principales ont été les Comptes rendus de réunions du Comité des Affaires étrangères et de la Constitution au Storting (Parlement) à Oslo.La deuxième partie de cette thèse traite la période de 1940 à 1949 qui se termine par l’adhésion de la Norvège au Pacte atlantique et l’OTAN en 1949, car le pays n’avait tout simplement pas d’autre choix. En troisième partie nous suivons la Norvège dans une phase d’internationalisation profonde de 1950 à 1972 où le pays adhère, de nouveau sous la contrainte, d’abord à l’Association européenne de libre échange puis cherche à se joindre à la Communauté économique européenne. L’échec au référendum sur l’Europe en 1972 est à imputer en très grande partie à son isolationnisme que nous qualifions d’extraordinaire. / We start by building up a portrait of Norway by referring to works by authors such as Raymond Aron (1905-1983) and his «War and peace between nations» [Guerre et paix entre nations], Francis Fukuyama (1952-) with his study of « The Origins of Political Order », Hans Magnus Enzensberger(1929-), author of « Out-of-step Norway » [Norsk utakt], Henrik Ibsen and his « Peer Gynt» as well as numerous writings by Olav Riste (1933-) and other contributors.At the end of this first part our analysis has uncovered the traditional and defensive isolationism of the Norwegians which we qualify as being of the first degree, then a second degree isolationism, organic in character, since it is interiorised and hence hidden.Our main sources are accounts of meetings of the “Committee for Foreign affairs and of the Constitution” at the Storting (Parliament) in Oslo.The second part of this thesis deals with the period from 1940 to 1949 where Norway joined the Atlantic pact and NATO in 1949, quite simply because the country had no other choice. In the third part we look at Norway during her period of opening up to the international community from 1950 to 1972 where the country joins, again because she was forced to, first the European Free Trade area (EFTA), then is a candidate for membership of the European Economic Community (EEC). The loss at the referendum on Europe in 1972 is mostly due to her isolationism that we in the end shall qualify as being extraordinary.
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Le Fil d'Ariane : La France et la Défense européenne dans l'après-guerre froide [1991-2001] / Ariadne’s thread : France and European Defence in the post-Cold War era 1991-2001

De Rougé, Guillaume Louis 24 June 2010 (has links)
Cette étude consiste en une analyse historique et stratégique de la politique de la France à l’égard de la défense européenne dans l’après-Guerre froide, du Traité de Maastricht à la Déclaration « d’opérationnalité » de la Politique Européenne de Sécurité et de Défense, couvrant la période la plus récente dans un bref épilogue. Reposant sur des sources primaires, incluant des archives présidentielles et des témoignages oraux, cette étude vise à contribuer à la connaissance de la politique étrangère et de défense française ainsi qu’à la genèse et à la première phase de mise en oeuvre de la défense européenne. Cette étude porte un regard nouveau sur les motivations et les stratégies adoptées par la France dans le cadre des enjeux de sécurité euro-atlantiques sur une période cruciale qui commence à faire l’objet de recherches historiques approfondies. / This study consists in a historical and strategic analysis of French policy with regard to European defence in the post-Cold War era, from the Maastricht Treaty until the 2001 Laeken Declaration of ESDP « operationality », covering the most recent period in a brief coda. Relying on first-hand sources, including presidential archives and oral history, this study aims at contributing to the knowledge of French foreign and defence policy as well as European defence’s genesis and early implementation process. This study sheds new light on France’s motives and strategies in the realm of Euro-Atlantic security in a crucial period which only begins to be the subject of deeper historical research.
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Le Canada et la politique étrangère de la France, 1945-1962 : stratégies d'une puissance moyenne.

Beauregard, Daniel 04 1900 (has links)
Ce mémoire questionne l'influence internationale du Canada lors du Golden Age en fournissant une étude de cas de sa politique étrangère focalisée sur ses relations avec la France. Les institutions multilatérales constituaient la pierre angulaire de la politique extérieure canadienne; elles devaient lui conférer des contrepoids politiques et économiques pour s'autonomiser des États-Unis. Pour la France, ces institutions étaient souvent perçues comme une contrainte et elle cherchait à les affaiblir ou les réformer. Parallèlement, elle tentait de préserver son empire colonial et exigeait un appui occidental unanime. Elle fut l'allié occidental qui attaquait le plus systématiquement le projet canadien d'une politique étrangère reposant sur l'équilibre entre un engagement à l'OTAN et une politique ouvertement anticoloniale devant courtiser les pays non alignés du Commonwealth. Cette étude s'intéresse aux stratégies d'action d'une «puissance moyenne» qui tentait de désamorcer les crises interalliées et de réconcilier les dimensions contradictoires de sa propre politique extérieure. / This study questions Canadian international influence during the "Golden Age" by providing a case study of Canada's foreign policy in its relations with France. Multilateral institutions were the cornerstone of Canadian foreign policy; they were providing the politico-economic counterweights allowing Canadians to distance themselves from the United States. These institutions were often perceived as a constraint by the French, who consequently tried to weaken or reform them. Meanwhile, they were trying to preserve their colonial empire and were demanding unanimous occidental support. France became the most disturbing of Canada's allies, almost systematically attacking its foreign policy project, which consisted in trying to balance a firm commitment to NATO and an overtly anti-imperialist policy designed to seduce non aligned countries of the Commonwealth. This dissertation studies the strategies of a "middle power" trying to defuse the crisis between its allies and to reconcile the contradictory dimensions of its own external policy.
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Le Canada et la politique étrangère de la France, 1945-1962 : stratégies d'une puissance moyenne

Beauregard, Daniel 04 1900 (has links)
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Federação Russa e OTAN: uma análise das políticas de Moscou em relação a Aliança Ocidental

Nascimento, Flávio Augusto Lira [UNESP] 25 November 2008 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:27:59Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2008-11-25Bitstream added on 2014-06-13T18:56:59Z : No. of bitstreams: 1 nascimento_fal_me_mar.pdf: 1729879 bytes, checksum: 0c9764597bda9da0f73b88beca337bd8 (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / A presente dissertação faz um estudo sobre as ações de Moscou em relação à Organização do Tratado do Atlântico Norte – OTAN – desde a concepção desta, em 1949, até o último governo de Vladimir Putin, findo em 2008. O trabalho pretende, além de identificar tais atitudes, apresentar as razões pelas quais a Rússia pode ser a favor ou contrária às ações da OTAN. Os materiais utilizados para a confecção desta dissertação compreendem livros e revistas especializados em Rússia, Eurásia, Geopolítica e Relações Internacionais, periódicos, documentos oficiais e não-oficiais e mapas, havendo, após sua coleta, uma análise histórica. / The current dissertation carries out a study on Moscow’s actions concerning the North Atlantic Treaty Organization – NATO – since its inception, in 1949, until Vladimir Putin’s last administration, which ended in 2008. Besides identifying such behavior, this work seeks to present the reasons why Russia can be in favor or against NATO’s actions. The making of this dissertation was based on books and journals specialized in Russia, Eurasia, Geopolitics and International Relations, periodicals, official and nonofficial documents and maps, all of these being followed by a historical analysis.

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