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Le sport comme espace de reproduction et de contestation des représentations stéréotypées de la féminitéCourcy, Isabelle January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Rupture historique et structuration du temps dans la culture Arabo-Islamique : le cas du discours islamisteMorin-Desrosiers, Ève January 2008 (has links) (PDF)
Le rapport à la modernité est devenu au fil du temps un important paradigme qui sert à comprendre les différentes réalités que vit le monde arabe. Il est notamment utilisé pour comprendre une certaine facette du discours islamiste. Cette modernité implique également un rapport au temps et une façon spécifique de l'organiser. L'objectif de ce mémoire consiste à étudier le discours islamiste sous un autre angle, celui d'un rapport au temps et de la lutte politique et symbolique pour sa structuration. Nous allons démontrer que suite à la réorganisation du quotidien des sociétés arabo-musulmanes sous la pression du colonialisme, le temps devient chez les islamistes un symbole qu'il faut conquérir et restructurer sur une base religieuse. Rétablir un ordre du temps à partir de la pratique du rituel aura pour conséquence de rétablir le lien symbolique religieux qui unissait l'ensemble des musulmans avant l'ingérence coloniale. Nous observerons cette dynamique à travers l'analyse de quelques oeuvres de Hassan al-Banna, Sayyid Qutb et Youssouf al-Qaradawi. Nous utiliserons le concept de temps sociaux puisque sa hiérarchisation et son agencement peuvent être des sources de conflits entre divers groupes sociaux qui préfèrent une organisation spécifique du temps à une autre. Dans le cas du discours islamiste, nous verrons que la réorganisation des temps sociaux se fait sur trois plans: l'un symbolique, l'un rythmique et l'autre pratique. Cette lutte pour le contrôle du quotidien des sociétés arabes nous permet de comprendre un certain aspect des crises qui secouent le monde arabo-musulman. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Colonialisme, Temps sociaux, Modernité, Islamisme, Temps, Histoire, Monde arabo-musulman, Islam, Ordre social.
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La notion d'autorité dans la théorie sociale de Friedrich von HayekOtis, Sébastien January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif d'approfondir la théorie hayékienne du lien social en y explorant la notion d'autorité de la tradition. En recourant à une approche «institutionnaliste-individualiste», nous proposons une interprétation de l'idée, développée par Friedrich Hayek, d'un ordre social spontané. Nous partons du principe qu'un examen de l'ontologie sociale est un incontournable en vue d'appréhender la construction théorique ainsi le projet politique de notre auteur. En ce sens, nous estimons qu'avant même de penser sa théorie évolutionniste, Hayek dresse un portrait de l'individu et de la «société» à partir d'une certaine représentation du bien et du mal. En nous intéressant à la conception hayékienne de la tradition, et plus particulièrement à la «place» et au rôle des institutions qui en sont le véhicule, nous sommes à même de percevoir ce qui fonde cette dichotomie. Hayek reconnaît dans la tradition les traces d'un fonctionnalisme du même ordre que celui animant l'évolution de l'esprit. L'idée d'une évolution corrélative de l'esprit et de la société est ce qui lui permet de reconnaître une certaine direction à l'évolution historique. La tradition est chez Hayek fondamentale parce qu'elle intervient comme le «témoin» de cette évolution; elle est ce cumul d'une certaine forme de connaissance dont les principes abstraits et les règles générales sont ceux du libéralisme. Produit du processus de sélection culturelle où les «bonnes pratiques» sont sélectionnées pour ensuite venir se greffer à elle, la tradition est l'étalon à partir duquel Hayek devient juge de ce qui caractérise une bonne société. Hayek est un penseur du lien social. Il s'intéresse aux conditions liées à la préservation de la «société», c'est-à-dire, à la correspondance entre les deux niveaux de règles que sont l'ordre spontané (abstrait et général) et l'ordre explicite (législatif). Dans ce cadre, nous dirons que les caractères autostimulant, autorégulant et autoperpéruant de la société semblent manifester leurs limites face à l'argument, avancé par Hayek, voulant que l'ordre social soit la condition et le résultat d'une reconnaissance interindividuelle des vertus de la tradition. Dans cette perspective, l'opinion publique jouerait un rôle central en devenant elle-même une condition du fonctionnement de l'ordre social spontané. Pour notre auteur, la pérennité du social passe par la capacité qu'a la société de réaliser la correspondance entre l'ordre spontanément généré et sa transposition en une législation. C'est en reconnaissant l'autorité de la tradition, à travers un processus où il y a imitation, éducation et innovation, que les «bonnes pratiques» peuvent se transmettre et perdurer. L'autorité de la tradition, c'est la reconnaissance implicite et explicite de la tradition comme vecteur d'adaptation au changement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hayek, Lien social, Ordre social, Ordre spontané, Autorité, Tradition.
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Urbanisation et violence. Alger à l'épreuve de l'islamisme radical / Urbanization and violence. Alger to the test of radical islamizationSeddik Meghesli, Farida 13 October 2009 (has links)
La présente thèse est une réflexion globale sur le conflit violent né à Alger, qui a opposé les islamistes radicaux, porteurs d’un nouvel ordre social à fondement religieux, aux représentants de l’Etat algérien, après l’événement politique déclencheur que fut l’arrêt du processus électoral de 1990 qui a donné la victoire aux dits islamistes. En raison de la résurgence de la religion dans sa prétention à instaurer un ordre social, il nous a paru nécessaire de commencer cette réflexion, au cours d’une première partie, par une approche historique du rapport entre religion et politique, et de son lien à l’ordre urbain. Alger de la Régence Turque, est une ville prise dans l’histoire mouvementée du conflit entre le monde musulman et le monde chrétien, dont le théâtre fut la méditerranée sillonnée par les corsaires de tous bords. Alger occupée par les Français se voit imposer brutalement un ordre nouveau, la vielle médina et sa société disparaissent du paysage visuel, sommés de se transformer ou de se cacher, ce qu’ils firent en se réfugiant dans les croyances religieuses, tout en subissant la greffe paradoxale de l’exigence d’un Etat moderne. La guerre d’indépendance est menée au cri de ralliement au jihad, seul à même de mobiliser un monde rural demeuré dans son système culturel et cultuel originel, malgré les déstructurations diverses subies par l’ordre social traditionnel. L’épreuve de la guerre marque les imaginaires et légitiment les vainqueurs à exercer un pouvoir hégémonique, que la rente du pétrole plus ou moins redistribuée aide à soutenir. Sur fond de luttes urbaines dont l’enjeu est la gestion des espaces de la ville et la libération de l’accès à l’installation urbaine, la société se divise entre celle reliée à la bureaucratie au pouvoir, qui gère le portefeuille foncier et immobilier, et les autres groupes sociaux, exclus des réseaux clientélistes du pouvoir, qui développent un système informel parallèle d’accès au sol par l’urbanisation spontanée. Nous tentons alors un décryptage de l’articulation de ce mouvement d’essence politique qu’est l’islamisme au moment de sa naissance à ces luttes urbaines. C’est l’objet de la deuxième partie. Le passage du mouvement de sa forme politique à une forme de violence extrême nous fait aborder en troisième partie une réflexion sur l’anthropologie de la violence, un décryptage du contexte social et politique qui a favorisé son émergence, une analyse critique de l’islamisme politique et une lecture comparée du rapport de la violence au religieux dans les trois monothéismes… / This thesis is a comprehensive reflection on the violent conflict born in Algiers, which pitted radical Islamists, who hold a new social order in religious foundation, representatives of the Algerian state after the political event was the trigger that 'Case of 1990 elections which gave victory to the Islamists said. Due to the resurgence of religion in its claim to establish a social order, we felt it necessary to begin this reflection during a first part, a historical approach the relationship between religion and politics, and its link the urban order. Algiers Regency Turkish, is a city caught in the turbulent history of conflict between the Muslim and Christian world, including the Mediterranean theater was furrowed by the privateers of all kinds. Algiers occupied by the French is imposed suddenly a new order, the old Medina and his company disappeared from the visual landscape, told to convert or hide, which they did by taking refuge in religious beliefs, while undergoingRegistry paradoxical requirement of a modern state. The war of independence led to a rallying cry for jihad, only able to mobilize the rural system remained in its original cultural and religious, despite the various destructurations suffered by the traditional social order. The ordeal of war marks the imaginary winnings to legitimize dominant power, the surplus oil more or less redistributed helps support. Against the backdrop of urban battles in which the stake is the management areas of the city and the release of access to urban settlement, the company is divided between those connected to the ruling bureaucracy, which manages the property portfolio and real estate and other social groups excluded from the power of patronage networks, which develop a parallel informal system of access to land by the spontaneous urbanization. So we try deciphering the articulation of this movement that is essentially political Islam at its birth in the urban battles.This is the subject of Part Two. The portion of the movement of its political form to a form of extreme violence brings us to the third part a reflection on the anthropology of violence, a decryption of social and political context which has fostered its emergence, a critical analysis of Islamism policy and comparative reading of the report of religious violence in the three monotheistic religions ...
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Ethnographie des relations de cohabitation dans un quartier du centre-ville de MarseilleBoucher Guèvremont, Sarah January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le statut des femmes kabyles autochtones de l'AlgérieBouzaza, Karima January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire interroge les processus par lesquels s'opère une discrimination à l'égard des femmes kabyles. Pour ce faire, nous nous sommes située dans le paradoxe des pratiques constitutives du droit coutumier et du droit formel: d'une part le droit coutumier kabyle invoque une imposition et une incorporation des pratiques culturelles du code de l'honneur et de la parenté qui se manifestent par des valeurs collectives et par des limites symboliques et corporelles, et cela sur le plan familial, comme dans la répression de la circulation, dans l'imposition du conjoint et dans le déshéritement. Ceci trouve une justification par le pouvoir masculin dans l'honneur qui ne doit aucunement être bafoué et aussi dans la nécessité de perpétuer la lignée. Les femmes intériorisent les valeurs et notamment les limites qui leur ont été incorporées. Cette intériorisation de limites et l'enracinement des pratiques dans leurs mémoires font souvent d'elles les reproductrices de l'ordre social. D'autre part, le droit formel contient des pratiques qui portent atteinte aux femmes dans leur vie familiale et identitaire. Le Code de la famille, en effet enlève aux femmes kabyles leur droit au logement lors d'un divorce. De même que sur le plan identitaire, les nationalistes algériens qui détiennent le pouvoir ont imposé la politique d'arabisation qui a généré une exclusion de la culture autochtone et notamment une régression scolaire des étudiants kabyles, car ces derniers sont affectés arbitrairement vers la filière de la littérature arabe. L'enjeu est de reproduire la culture arabo-islamique par les Kabyles eux-mêmes. Ajoutant à cela la pénétration de la culture arabo-islamique dans les foyers n'a fait qu'aviver la culture arabo-islamique au détriment de la culture kabyle, en aliénant les femmes kabyles. À l'aide de l'analyse documentaire qui repose sur un corpus (la Charte, la Constitution, et le Code de la famiIle) et de l'analyse de contenu des entrevues de 20 femmes qui ont vécu sous les deux systèmes de droits, nous tentons d'esquisser l'ensemble des réponses à notre question de recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pouvoir coutumier, Pouvoir formel, Femme kabyle, Reproduction sociale, Stratégies matrimoniales, Stratégies de reproduction, Arbitraire culturel, Capital culturel,
Honneur, Parenté.
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Franchiser l'hégémonie : éléments de rupture et de continuité dans l'ordre social post-guerre civile du Liban des années 1990Lapierre, Patrick January 2010 (has links) (PDF)
Le but du présent mémoire est de s'interroger sur la nature de l'ordre social s'étant implanté au Liban à la suite de la guerre civile (1975-1990), sur ses éléments de rupture et de continuité vis-à-vis des périodes historiques précédentes, ainsi que sur les moyens et les mécanismes ayant permis sa consolidation. Dans la perspective des approches néogramsciennes, nous nous penchons sur la construction d'un bloc historique coercitif et hégémonique, issu des structures historiques antérieures, et influencé à la fois par le contexte de l'ordre mondial, de la forme de l'État et des relations sociales de production. Suivant les développements des auteurs préconisant le « tournant culturel », une attention particulière est portée sur la spécificité locale des structures de pouvoir et d'autorité. Ainsi, l'ordre social apparaît comme une hybridation de l'hégémonie néolibérale -propagée à travers l'ordre mondial, promue à travers des institutions, soutenue par des forces transnationales, incitant à des relations sociales de production particulières et favorisant une certaine forme d'État et l'ordre social local, -issu de relations sociales de production typiques, se dotant d'institutions spécifiques et reflétant des structures de pouvoir et d'autorité culturellement ancrées. C'est pourquoi nous considérons que l'ordre social établi au Liban au sortant de la guerre civile en 1990, consistait à une franchise de l'hégémonie de l'ordre social mondial, adaptée aux saveurs locales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Liban, Ordre social, Guerre civile, Taëf, Néogramscien, Hégémonie, Culturel, Pouvoir, Pax syriana, Néolibanisme, Néopatrimonialisme, Clientélisme, Gramsci.
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Uni, autoritaire et éclairé : le gouvernement français dans la pensée d'Olympe de Gouges de l'Ancien Régime à la première République, 1785-1793De Sève, Étienne January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La pauvreté représentée : sociocritique de la figure de pauvreté dans les récits de fiction de forme brève du XIXe siècle (1840-1869)Blais, Mathieu 06 1900 (has links) (PDF)
Notre étude porte sur la représentation sociale et littéraire de la pauvreté telle que les récits de fiction de forme brève ayant connu une première publication dans la presse francophone du Bas-Canada entre 1840 et 1869 la véhiculent. Dans un premier temps, notre étude cherche à établir et à comprendre le rôle qu'a eu cette production littéraire dans la qualification sociale et symbolique de la pauvreté au Bas-Canada. Pour ce faire, nous avons relevé les différentes figures de pauvreté présentes dans 220 récits de fiction de forme brève, écrits par 95 auteurs et publiés dans plus de 50 périodiques différents. L'analyse de ces figures nous a permis d'établir un portrait cohérent de la pauvreté telle qu'elle était véhiculée par la littérature d'alors et telle qu'elle était considérée par l'élite écrivante. Dans un deuxième temps, notre étude se propose de couvrir un corpus de récits peu étudié à ce jour et nous permet d'élargir les réflexions sur la genèse du champ de production littéraire québécois. Nous abordons la production du corpus à l'étude en fonction du champ de production journalistique qui l'encadre. Cette particularité intervient directement sur la genèse du champ littéraire québécois autant que sur l'investissement que font les récits à l'étude des figures de pauvreté. Enfin, par ces deux principaux éléments, notre étude tend en partie à renouveler la réflexion sur l'engagement littéraire en cherchant à aborder la littérature comme un facteur de changement social.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : pauvreté, représentation sociale, littérature, récit de fiction de forme brève, champ littéraire, champ journalistique, discours social, sociocritique, régulation sociale, idéologie, ordre social, XIXe siècle, Union, Bas-Canada, littérature engagée.
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Uni, autoritaire et éclairé : le gouvernement français dans la pensée d'Olympe de Gouges de l'Ancien Régime à la première République, 1785-1793De Sève, Étienne January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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