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Projets citoyens pour une paix durable, en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis (1914-1924)Bouchard, Carl January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Dilemmes et enjeux des privatisations des entreprises publiques pour l'État haïtienÉtienne, Hadlaire January 2010 (has links) (PDF)
Le présent mémoire dresse un portrait sur les privatisations des entreprises d'État en Haïti dans le but de cerner les
dilemmes et les enjeux derrière cette politique. Il nous est apparu nécessaire de replacer le traitement de cette importante question dans son contexte international pour en saisir toute la dimension et faire émerger les enjeux derrière cette politique. Notre quête de sens nous a conduit à accorder une place centrale dans notre étude aux Organisations internationales, particulièrement aux Organisations de Bretton Woods, notamment à La Banque mondiale. Nous avons ainsi été amené à constater que ces dernières ont exercé et exercent encore aujourd'hui une énorme influence dans la régulation de l'économie mondiale.
Dans le cadre de notre recherche, nous avons pu faire valoir qu'en matière de développement économique, par deux fois depuis la fin du second conflit mondial du XXe siècle, la BM a tracé des stratégies à l'intention des PVD. Menacée de toute part après 1945, la Banque adopte une stratégie de développement axée sur l'approche développementaliste et l'impose aux pays de la périphérie. L'État devient le centre d'impulsion du développement économique. Le rôle de l'entreprise publique y est central. À l'aube des années 90, à la suite d'une succession de crises, crise financière, crise de dette des PVD, entre autres, et la décomposition de l'ordre mondial dominé par deux pôles, l'État n'est plus considéré comme le centre d'impulsion du développement économique. Le nouveau mot d'ordre général est le désengagement de l'État. La redéfinition du rôle de ce dernier sera faite en fonction d'un ordre économique mondial globalisé et du renforcement souhaité du système économique mondial. Ce nouveau rôle sera synonyme d'exclusion et de marginalisation pour les PVD. C'est dans ce cadre de globalisation que s'inscrit la privatisation des entreprises d'État, une politique qui favorise largement les grands intérêts privés et contribue du même coup, vu sa généralisation à travers le monde, la reproduction du système international.
Il n'est pas exagéré d'affirmer que cette mutation est teintée de dogmatisme idéologique, une orientation nettement visible quand on se penche sur les privatisations prônées par la BM. Ce dogmatisme, nous l'avons montré à l'oeuvre dans le cas des privatisations d'entreprises publiques haïtiennes. En effet, notre analyse des privatisations en Haïti a fait ressortir certaines situations où les autorités de la Banque n'ont pas du tout tenu compte de la situation objective de ces entreprises, une situation, selon les avis d'experts indépendants et de certains responsables haïtiens, marquée par la rentabilité prouvée dans le passé et les réelles possibilités de les rentabiliser moyennant certaines réformes. La Banque a persisté, par dogmatisme, croyons-nous,
dans sa détermination. Ce dogmatisme révèle également l'insensibilité des responsables de la Banque pour les impacts sociaux négatifs bien réels des privatisations, comme l'analyse peut le constater dans le cas d'Haïti. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Haïti, Organisation internationale, Globalisation, Privatisation, Désétatisation, Développementaliste, Crise de la dette, Ajustement structurel, Néo-libéralisme.
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Ordre du monde et ordre mondial : une relation sous tension questionnée par la crise : réflexions à partir et au-delà du Système Mondial CapitalisteBarbosa, Julien 05 November 2012 (has links) (PDF)
Changements climatiques, " trou " dans la couche d'ozone, dérèglement du cycle du carbone, érosion de la biodiversité ; l'ensemble de ces éléments atteste d'une amplification et d'une accélération contemporaine des perturbations dans les processus de structuration du système planétaire (Ecosphère) faisant écho à la progression de violences conjoncturelles et structurelles mettant en péril le " bien vivre " des sociétés et des individus les composant (Anthroposphère). Plus que sa dimension financière, à laquelle elle ne peut être réduite, la crise actuelle possède un aspect multiple et global qui met en lumière les caractères " insoutenable " (écologiquement) et " insupportable " (socialement) du modèle de développement contemporain. Dans ce cadre, ces éléments seront appréhendés à partir de la notion d'ordre et plus spécifiquement de la relation Ordre du Monde (OdM) Ordre Mondial (OM), afin de déterminer les conditions de leur compatibilité. Si l'Ordre du Monde renvoie à l'ensemble des lois naturelles du Cosmos, l'Ordre Mondial reste, malgré son utilisation récurrente, une notion à (re)construire. L'origine de notre réflexion se situe en ce sens dans la confusion récurrente qui existe entre deux réalités différentes, le Système Mondial Capitaliste (SMC) et l'Ordre Mondial. Cet amalgame résulte d'un double mouvement : la " naturalisation " du Système Mondial Capitaliste d'un côté et la " mystification " de l'Ordre Mondial de l'autre, qui tendent tous deux, conjointement, à réduire le second (Ordre Mondial) au premier (Système Mondial Capitaliste). Afin de dépasser ces contradictions apparentes, il conviendra de s'interroger sur les modalités de la transition vers un Ordre Mondial post-capitaliste, fondé sur l'en-commun ; dans cette optique, on s'interrogera plus particulièrement sur les voies de l'émancipation pensées à partir de l'Amérique latine.
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Franchiser l'hégémonie : éléments de rupture et de continuité dans l'ordre social post-guerre civile du Liban des années 1990Lapierre, Patrick January 2010 (has links) (PDF)
Le but du présent mémoire est de s'interroger sur la nature de l'ordre social s'étant implanté au Liban à la suite de la guerre civile (1975-1990), sur ses éléments de rupture et de continuité vis-à-vis des périodes historiques précédentes, ainsi que sur les moyens et les mécanismes ayant permis sa consolidation. Dans la perspective des approches néogramsciennes, nous nous penchons sur la construction d'un bloc historique coercitif et hégémonique, issu des structures historiques antérieures, et influencé à la fois par le contexte de l'ordre mondial, de la forme de l'État et des relations sociales de production. Suivant les développements des auteurs préconisant le « tournant culturel », une attention particulière est portée sur la spécificité locale des structures de pouvoir et d'autorité. Ainsi, l'ordre social apparaît comme une hybridation de l'hégémonie néolibérale -propagée à travers l'ordre mondial, promue à travers des institutions, soutenue par des forces transnationales, incitant à des relations sociales de production particulières et favorisant une certaine forme d'État et l'ordre social local, -issu de relations sociales de production typiques, se dotant d'institutions spécifiques et reflétant des structures de pouvoir et d'autorité culturellement ancrées. C'est pourquoi nous considérons que l'ordre social établi au Liban au sortant de la guerre civile en 1990, consistait à une franchise de l'hégémonie de l'ordre social mondial, adaptée aux saveurs locales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Liban, Ordre social, Guerre civile, Taëf, Néogramscien, Hégémonie, Culturel, Pouvoir, Pax syriana, Néolibanisme, Néopatrimonialisme, Clientélisme, Gramsci.
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Conjonctures, discours et structures de la globalisation : ruptures et continuités : autour de quatre modèles de découpage et d'analyse du monde de l'après-guerre froideKhriji, Tesnim January 2009 (has links) (PDF)
La globalisation n'a pas cessé de susciter des débats au sein de toutes les disciplines des sciences sociales. Ces débats touchent à la nature des transformations que les sociétés contemporaines sont en train de vivre sous le signe de cette globalisation. De même, ils expriment des interrogations et des réflexions sur le sens de l'ordre mais aussi des désordres du monde de l'après-guerre froide. La présente thèse tente de contribuer à ces débats et réflexions en se situant dans la tradition de la sociologie critique. Une sociologie critique se doit de dégager le sens d'une époque (télos) ou son principe d'organisation pour être en mesure d'éclairer les objets et les enjeux qu'elle analyse. La question de départ de cette thèse est ainsi la suivante: À partir de quel principe d'intelligibilité peut-on saisir le sens des transformations que connaissent les sociétés contemporaines ainsi que celui de l'ordre (ou du désordre) du monde de l'après-guerre froide? Cette première question m'amène à essayer d'appréhender ce sens en dégageant d'abord les discours dominants qui tentent d'en rendre compte. Si une théorie critique se doit de dégager le télos d'une époque pour pouvoir l'analyser, elle doit aussi construire ou définir un idéal-type sociétal qui lui permet d'évaluer les tendances du présent pour mieux le confronter, mais aussi de scander les transformations de son objet d'analyse, c'est-à-dire saisir les continuités et les ruptures dans la trame de son histoire. En traitant de la globalisation, la présente thèse privilégie le point de vue du politique, tel qu'il s'est exprimé dans la modernité, comme idéal-type sociétal ou postulat normatif qui lui sert de critère pour évaluer les tendances du présent, mais aussi pour juger de la validité et de la valeur heuristique des grilles dominantes de son analyse. Elle mobilise dans sa démarche une conception du politique qui en fait non pas une essence, ni un dispositif de contrôle et de domination, ni un vecteur d'influence, mais plutôt un principe d'institution de l'être-ensemble de la société (Hannah Arendt, Jacques Rancière, etc.). Ce principe est au fondement de son autoréflexivité et de son action sur elle-même (Michel Freitag). C'est le sens du politique tel qu'il s'est normativement exprimé au sein de la modenité (chapitre 1). Munie de ce critère normatif, ma thèse examine les discours qui ont affirmé rendre compte de la globalisation et qui sont dominants depuis la fin de la guerre froide. Elle se penche particulièrement sur deux discours dominants sur l'ordre global qui font appel à deux principes différents de découpage et d'explication du monde: l-celui qui en parle comme étant un monde unifié et homogénéisé techno-économiquement et formant tendanciellement « une société-monde », incarnant pour certains la « fin de l'histoire » et réunissant, pour d'autres, les conditions d'un « parachèvement de la modernité » (chapitre Il). 2-celui qui analyse l'ordre global en faisant de la distance culturelle le fondement d'un modèle explicatif du monde qui l'organise en entités incommensurables fermées sur elles-mêmes (ex: les civilisations, les religions), ce qui rend difficile les échanges avec l'extérieur. La logique qui définirait l'ordre global serait l'affrontement ou du conflit qui s'exprimerait en termes civilisationnels-religieux-culturels dans le cadre de la globalisation (ex: thèse du choc des civilisations). Ces deux discours se rattachent à des conjonctures particulières du monde de l'après-guerre froide mais ils sont aussi devenus des paradigmes spontanés pour l'imaginaire globalisé. Ils ont, au-delà de leur opposition apparente, été, notamment, mobilisés comme justification idéologique de la politique globale dans le monde de l'après-guerre froide (Chapitre III). La présente thèse soumet ces deux discours à une critique immanente qui en dégage les énoncés principaux, puis met en lumière leurs fondements théoriques mais aussi leurs présupposés implicites. Ceci lui permet de mieux soumettre ces discours également à une critique normative engagée à partir du critère du politique. Cette critique permet d'affirmer que loin d'éclairer les enjeux impliqués dans les processus de la globalisation néolibérale, les discours dominants et les découpages du monde qu'ils mobilisent ne permettent pas de saisir la complexité sociohistorique de la réalité de l'ordre global, tel qu'il est vécu dans les sociétés contemporaines. Ils occultent la production techno-économique mais aussi politique et idéologique de l'ordre global, qui est nécessairement polarisante, et donc convergent comme modes de forclusion du politique et d'imposition de l'évidence sensible de la légitimité de la domination de cet ordre. Ils ne répondent pas ainsi au besoin qui s'impose d'urgence, pour l'analyse du contexte global, d'une approche théorique offrant une compréhension synthétique des processus de la globalisation. Cette approche devrait permettre d'appréhender le sens de la continuité des structures du capitalisme, des conditions de son existence, mais aussi de ses ruptures, comme l'exigerait une théorie critique. C'est ainsi que le quatrième chapitre de la présente thèse confronte les postulats du discours néolibéral (thèse de la fin de l'histoire, le modèle explicatif de la société-monde, etc.), ainsi que ceux qui fondent la thèse du choc des civilisations (explications culturalistes des conflits, retour de l'État, etc.), aux thèses de la « théorie des systèmes-mondes », qui est fondée sur l'idée de la nature polarisante du capitalisme et qui renouvelle la théorie classique de l'impérialisme. Tout en soulignant la force explicative de cette théorie, cette thèse interroge la valeur heuristique du corpus conceptuel proposé dans le cadre de la perspective des systèmes-mondes. Le cinquième chapitre tente de saisir la spécificité de la globalisation néolibérale à la lumière de la critique phénomonélogico-politique de la globalisation élaborée par Michel freitag. Ce chapitre expose les fondements épistémologiques et théoriques de la théorie freitagienne de la société et de l'action sans laquelle il n'est pas possible de saisir toute la portée de l'évaluation freitagienne des transformations des sociétés contemporaines. La théorisation freitagienne de ces transformations est intégrée dans le cadre de la typologie générale des sociétés établie par Freitag qui est exposée en mettant l'accent sur la compréhension phénoménologico-politique de la globalisation qui y est proposée. Cette compréhension est présentée comme permettant un décryptage du sens des enjeux actuels des sociétés contemporaines ainsi qu'une définition des priorités qui s'imposent à la pensée critique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Globalisation, Capitalisme, Néolibéralisme, Ordre global, Sociologie critique, Civilisation, Modernité, Postmodernité, Politique, Institution, Domination, Légitimité, Contrôle, Société contemporaine, Société-monde, Système-monde, Discours, Idéologie, Hégémonie, Impérialisme, Développement, Complexité, Espace, Histoire, Structure, Conjoncture, Après-guerre froide, État, Polarisation.
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Le déséquilibre numérique Nord-Sud du Nouvel ordre mondial de l'information et de la communication (NOMIC) au Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI)Bala, Saïd 06 1900 (has links) (PDF)
En ce début du 2le siècle, l'écart technologique entre les pays développés et ceux en développement (PVD) ne cesse de s'accroître. Afin de réduire cette fracture numérique, l'Union internationale des télécommunications (UIT) organise un Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI) en deux phases, la première en 2003 à Genève et la seconde en 2005 à Tunis. Mais, le Plan d'action annoncé, à cet effet, est loin de répondre à la demande. On se rappellera, dans cet ordre d'idées, que le nouvel ordre mondial de l'information et de la communication (NOMIC), revendiqué avec légitimité par les PVD dans les années 70 et 80 et fermement discuté au sein de l'UNESCO, ne s'est jamais concrétisé, lui aussi. Ainsi, l'UNESCO et l'UIT, deux institutions spécialisées du système onusien, sont dans l'incapacité, jusqu'à présent, à faire émerger un nouvel ordre mondial ou du moins un certain équilibre international dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC). Nous soutenons même que celles-ci sont plutôt instrumentalisées par des stratégies d'États dominants, pays industriellement et technologiquement avancés, pour maintenir un système mondial favorable à leurs propres intérêts politiques et économiques.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Fracture numérique, Genève 2003, MacBride, Mondialisation, NOMIC, Nord-Sud, ONU, PVD, SMSI, TIC, Tunis 2005, UIT, UNESCO
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Ordre du monde et ordre mondial : une relation sous tension questionnée par la crise : réflexions à partir et au-delà du Système Mondial Capitaliste / Earth order and world order : a relation under stress challenged by the crisis : reflections from and beyond the capitalist world systemBarbosa, Julien 05 November 2012 (has links)
Changements climatiques, « trou » dans la couche d’ozone, dérèglement du cycle du carbone, érosion de la biodiversité ; l’ensemble de ces éléments atteste d’une amplification et d’une accélération contemporaine des perturbations dans les processus de structuration du système planétaire (Ecosphère) faisant écho à la progression de violences conjoncturelles et structurelles mettant en péril le « bien vivre » des sociétés et des individus les composant (Anthroposphère). Plus que sa dimension financière, à laquelle elle ne peut être réduite, la crise actuelle possède un aspect multiple et global qui met en lumière les caractères « insoutenable » (écologiquement) et « insupportable » (socialement) du modèle de développement contemporain. Dans ce cadre, ces éléments seront appréhendés à partir de la notion d’ordre et plus spécifiquement de la relation Ordre du Monde (OdM) Ordre Mondial (OM), afin de déterminer les conditions de leur compatibilité. Si l’Ordre du Monde renvoie à l’ensemble des lois naturelles du Cosmos, l’Ordre Mondial reste, malgré son utilisation récurrente, une notion à (re)construire. L’origine de notre réflexion se situe en ce sens dans la confusion récurrente qui existe entre deux réalités différentes, le Système Mondial Capitaliste (SMC) et l’Ordre Mondial. Cet amalgame résulte d’un double mouvement : la « naturalisation » du Système Mondial Capitaliste d’un côté et la « mystification » de l’Ordre Mondial de l’autre, qui tendent tous deux, conjointement, à réduire le second (Ordre Mondial) au premier (Système Mondial Capitaliste). Afin de dépasser ces contradictions apparentes, il conviendra de s’interroger sur les modalités de la transition vers un Ordre Mondial post-capitaliste, fondé sur l’en-commun ; dans cette optique, on s’interrogera plus particulièrement sur les voies de l’émancipation pensées à partir de l’Amérique latine. / Climate change, “hole” in the ozone layer, disorders of the carbon cycle, erosion of the biodiversity; all these elements gives evidence of an increase and a contemporary acceleration of the disturbances in the processes of structuring of the planetary system (Ecosphere) echoing the progress of cyclical and structural violence putting in danger the “good life” of societies and individuals composing them (Anthroposphere). More than her financial dimension, to which she cannot be reduced, the current crisis possesses a multiple and global aspect which brings to light the characters “unsustainable” (ecologically) and “unbearable” (socially) of the model of contemporary development. In this frame, these elements will be viewed from the notion of order and more specifically the relation Earth Order - World Order, to determine the conditions of their compatibility. If Earth Order refers to all the natural laws of the Cosmos, the World Order remains, in spite of its recurring use, a notion to build. The origin of our reflection is this way situated in the recurring confusion that exists between two different realities, the Capitalist World System and the World Order. This mixture results from a double movement: the “naturalization” of the Capitalist World System on one side and the “mystification” of the World Order of the other one, which aim both, jointly, to reduce the second (World Order) to the first one (Capitalist World System). To go beyond these seeming contradictions, it will be advisable to wonder about the modalities of the transition towards a World Order post-capitalist, based on the “shared-common”; in this optics, we shall wonder more particularly about the ways of the emancipation from the Latin America.
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Géopolitique et discours des télévisions d'information arabe par satellite de la 1ère guerre du Golfe à l'occupation de l'Irak (1991-2003) / The Arab News Satellite Channels. Geopolitics and discourse, from the first Golf War to the Iraq's occupation (1991-2003)Howayek, Hayat 11 October 2011 (has links)
Le phénomène des télévisions satellitaires a fait son apparition dans le monde arabe en 1990-1991. Date de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. Une progression foisonnante s’est produite, par la suite, profitant d’un espace géolinguistique étendu, d’une ouverture sans précédent et d’un financement généreux. Sont-elles l’expression d’un changement ou bien celle d’une adaptation ? Et au service de qui ? L’étude des chaines d’information en continu Al Jazeera, Al Arabiya ou « flexibles », Abou Dhabi et Al Manar est particulièrement intéressante pour répondre à cette question. Comprendre le fond de ce phénomène, les intérêts qu’il représente, qu’il sert, et les limites du changement qu’il est capable de produire, exige de dresser un état des lieux panoramique, une étude de la géopolitique qui a donné lieu à la naissance de ces télévisions, et qui a dicté les évolutions qu’elles ont subit. L’analyse du contenu et du discours vient repérer les expressions d’une culture démocratique, ou anti démocratique, dont dépend la nature du changement / Since 1990-1991, the number of satellite channels and viewers has grown exponentially in the Arab world, taking advantage of a geolinguistic space that afforded unprecedented degree of openness in a field previously dominated by t ightly-controlled state-owned television stations. The date also coincides with the inception of the New World Order, the waging of the first Gulf War which established a new regional order, and the stirrings of the society of communication. This study of news channels (Al Jazeera, Al Arabiya) and “flexible” channels such as (Abu Dhabi and Al Manar), aims to examine whether they are an expression of change or adaption and whether they serve to perpetuate the status quo of the powers that fund them.
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La sécurité comme enjeu de politique étrangère en Afrique : analyse par les médiations du Burkina Faso dans les crises politiques en Afrique de l'Ouest : 1991-2012 / Security as the stake in foreign policy in Africa : analysis by the mediations of Burkina Faso in the political crises in Western Africa : 1991-2012Zongo, Windata Miki 21 October 2016 (has links)
Concept des Relations Internationales justifiant l'action extérieure des États, l'intérêt national est une notion toujours omniprésente dans les discours des gouvernants, mais dont la nature et la finalité s'avèrent à la fois subtiles et diversifiées. L'avènement du Multilatéralisme et son objectif de la sécurité internationale, en constitue une parfaite mise à l'épreuve. En effet, malgré l'émergence des structures légitimes, l'État, par un discours et une implication opérationnelle dans ses actions extérieures, s'affirme en tant qu'acteur de la sécurité internationale. Cet investissement, loin du discours sur des objectifs relevant du symbolique, participe dans la réalité, à une stratégie minutieusement orchestrée au nom de l'intérêt national. Sur le continent africain, on assiste ainsi à une émergence de politiques étrangères et d'actions diplomatiques étatiques apparemment vouées à la sécurité internationale mais relevant de l'intérêt national. La présente analyse, par une approche constructiviste, entend ainsi démontrer que la pratique des médiations entreprise par le Burkina Faso dans la sous-région de l'Afrique de l'Ouest, loin des discours sur la sécurité de la zone véhiculés, est une illustration de cette tendance. / As concept of International Relations justifying foreign action of States, the national interest is a notion always present in the governement leaders speeches about foreign affairs. But its meaning and its purpose are subtle and diversified as the introduction of Multilateralism and its objective of international security show. Despite the emergence of legitimate structures, the State gets involved for international security in foreign actions through discourse and implication. This implication, far from a discourse of symbolic objectives, takes part in an accurately orchestrated strategy in the name of national interest. Thus, on the African continent, we attend the emergence of foreign policies and national diplomatic actions dedicated to international security. This analysis demonstrates by the constructivist approach that the practices of mediation by Burkina Faso in West Africa participates in this trend - in contrast to the disseminated discourse of security in this subregion.
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