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Parcours et pensée d'un intellectuel français de la première moitié du 20ème siècle : Ernest Seillière (1866-1955) : l'incarnation nouvelle de la figure du médiateur dans le champ intellectuel / The intellectual journey of a french thinker from the first half of the 20th century : Ernest Seillière (1866-1955) : the new embodiment of mediator in the intellectual sphere

Le Goff, Silvin 16 May 2017 (has links)
La carrière intellectuelle d'Ernest Seillière de Laborde (1866-1955) s'étendit de l'affaire Dreyfus (son premier essai remarqué, une étude consacrée à Ferdinand Lassalle récompensée du prix Marcellin-Guérin de l'Académie française, parut en 1897) à la fin de la Seconde Guerre mondiale (il fit son entrée sous la Coupole en 1946). Parce qu'il considérait que tout bon représentant de l'élite avait pour mission de guider l'ensemble de la civilisation sur la voie du progrès, ce polytechnicien de formation dédia sa vie à l'élaboration d'une doctrine. Sa philosophie de l'Impérialisme, appuyée sur une vision organiciste de la société et une conception disciplinaire de la religion, imprégnée de darwinisme, de nietzschéisme et de gobinisme, et marquée par la mode des sciences psychologiques ainsi que par certains courants de la pensée allemande de son temps, n'avait pour autre but que de permettre à une bourgeoisie déclinante de répondre de manière adaptée à la montée en puissance et aux revendications sociales et politiques des masses. Le Romantisme, d'abord perçu comme un facteur de dégénérescence, fut progressivement envisagé par Seillière comme le pourvoyeur d'une formidable énergie qu'il importait de canaliser dans un sens impérialiste utilitaire. Opposant un Romantisme allemand énergique et virile à un Romantisme français féminin et anémiant, le germaniste en vint à faire la promotion d'un Socialisme rationnel que lui-même et certains de ses commentateurs crurent identifier dans les différents régimes totalitaires qui se développèrent au cours de l'Entre-deux-guerres. Celui qui se présentait comme un historien-psychologue se garda de jouer les premiers rôles dans les grands débats qui agitèrent le monde intellectuel français de son temps. La pensée de cet auteur prolifique ne fut pas pour autant ignorée de ses contemporains, et fit même quelques émules aux sensibilités et trajectoires diverses, mais dont les pensées demeuraient animées par une même obsession du déclin. / French thinker Ernest Seillière de Laborde (1866-1955) pursued a long career from the affaire Dreyfus (his first notable study dealing with Ferdinand Lassalle, rewarded by the prix Marcellin-Guérin of the Académie française, was published in 1897) to the end of the World War II (he entered the Académie française in 1946). The polytechnicien dedicated his entire life in developping a doctrine, claiming that an authentic member of the elite had to lead the whole civilization on the path to progress. His philosophy of Imperialism, based upon an organicist outlook of society and a constraining approach of religion, imbued with Darwinism, Nietzscheanism and Gobinism, and affected by a growing interest for psychological sciences and a number of contemporary german thinking movements, aimed to enable a decaying bourgeoisie to respond efficiently to the issu of the political rise and social demand of the masses. At first, Romanticism was seen by Seillière as a degeneration factor. But it was soon considered by the thinker as a provider of a great power that had to be controlled in an imperialistic utilitarian way. Drawing a comparison between a virile and dynamic Germanic Romanticism and a feminine and weakening French one, the Germanist promoted a rationalitic Socialism he and some of his commentators foresaw in the totalitarian regimes that emerged during the interwar period. He who described hisself as an historian-psychologist did not play the first part in the various intellectual debates of his time. However, the thought of this prolific writer was not ignored by his contemporaries, and raised interest within various thinkers obsessed with the idea of decline.
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Dépenser le temps : étude de la représentation du temps dans les romans de Ph. Sollers

Anghel, Radu-Mihail January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Au-delà du supranaturalisme et de l'historicisme : Ernst Troeltsch et la méthode de la théologie

Umemoto, Charles 27 February 2021 (has links)
Cette étude porte sur les questions épistémologiques d’Ernst Troeltsch (1865-1923) concernant la méthode en théologie. Elle s’intéresse plus particulièrement aux problèmes soulevés par la méthode historique tels que Troeltsch les souligne dans trois de ses écrits : « La situation scientifique et les exigences qu’elle pose en théologie » (1900) ; « À propos de la méthode historique et de la méthode dogmatique en théologie » (1900/1913) ; et « L ’absoluité du christianisme et l’histoire des religions » (1902/1913). Emst Troeltsch y traite du problème des normes spirituelles dans la modernité. Il critique le supranaturalisme et l’historicisme comme deux solutions normatives insatisfaisantes et suggère pour les remplacer une philosophie de l’histoire qui est une conception évolutive et croyante de l’histoire.
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Les récits de Platon sur le passé : entre le mythe et l'histoire / Plato's accounts on the past : between myth and history

Solntseva, Irina 18 September 2015 (has links)
Face à la diversité des textes platoniciens consacrés au passé, les commentateurs ont le plus souvent proposé d'y voir soit une philosophie de l'histoire unitaire et profondément pessimiste, soit une simple forme rhétorique permettant à Platon de défendre ses différentes idées. En mettant en cause la lecture historiciste des récits sur l’origine et la chute de l'État idéal dans la République et du mythe cosmologique du Politique, nous en présentons une lecture analytique, tout en prenant en compte le rapport qu'entretiennent ces textes avec la tradition hésiodique et sophistique des récits sur le passé. Nous proposons de distinguer, d'autre part, la catégorie particulière des textes platoniciens qu'on pourrait appeler les « mythes sur le passé d'Athènes » : le récit atlante et la partie historique du Discours funèbre de Socrate dans le Ménexène, dont la spécificité se comprend le mieux, à notre avis, compte tenu de l'idée de noble mensonge proposée par Platon dans la République. Nous nous intéressons enfin au statut du récit des Lois III, considéré souvent comme le texte le plus historique chez Platon, et nous nous efforçons de montrer, à l'aide de cet exemple, comment Platon réussit à combiner le matériau historique concret et ses théories politiques et psychologiques, en adoptant ainsi la même démarche que dans les récits de la République II et VIII – IX. / In view of the diversity of Plato's texts about the past, the commentators have most commonly suggested to consider them either as a unitary, profoundly pessimistic, conception of history or as a rhetoric form that enables Plato to defend his different ideas. By calling into question the historicising interpretation of the narratives discussing the origin and the decline of the ideal state in the Republic and of the cosmic myth of the Statesman, we offer an synchronic reading of them, taking in consideration the connections between these passages and the Hesiodic and Sophistic tradition of narratives about the past. We suggest to distinguish, on the other hand, a specific category of the Platonic historical accounts that could be called the «myths about the past of Athens» : the Atlantis story and the historical section of the Funeral oration of Socrates in the Menexenus that we could understand the most clearly, in our opinion, if we take in consideration the notion of the “Noble Lie” that Plato introduced in the Republic. Finally, we're focusing our attention on the status of the narrative of the past in the Laws III, often considered as the most historical text in Plato, and we try to show, from this example, how Plato manages to combine the concrete historic facts and his political and psychological theories, following the same approach as in his accounts in the Republic II and VIII – IX.
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L'herméneutique de la réversibilité dans l’œuvre de Walter Benjamin : interprétations de Kafka et Baudelaire

Pycock Kassar, Laura 12 1900 (has links)
No description available.
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Habermas et Koselleck : éléments d’un dialogue sur la genèse de la modernité

Bouffard Chevalier, Xavier 12 1900 (has links)
Ce mémoire offre une lecture des fondements épistémologiques de la modernité. Plus concrètement, il explore un dialogue entre Reinhart Koselleck et Jürgen Habermas. Ce dialogue a d’abord pour objet l’exposition d’une compréhension commune de ce que l’on appelle le moment épochal de la modernité : c’est-à-dire de l’espace historique à partir duquel les théoriciens ont conçu – et conçoivent encore aujourd’hui – la modernité. Pour révéler cet accord, nous offrons une analyse du concept de Neue Zeit, notamment dans son rapport à l’histoire prémoderne. Cependant, et malgré cette compréhension commune, nous soulignons que les auteurs diffèrent quant au rôle qu’occupe la Neue Zeit dans la formation de la modernité. Pour mettre en lumière ce désaccord, nous présentons le concept de modernité esthétique. Ce dialogue, présenté en deux temps, nous permet de révéler, dans un troisième, que si Koselleck fait de la temporalité un moteur de l’histoire, Habermas y voit là plutôt un effet du processus de rationalisation historique. La pertinence de cette recherche repose sur sa capacité à illustrer les différences substantielles quant aux justifications sollicitées par les deux auteurs lors du dialogue. Pour être plus précis, nous avançons que si un accord substantiel relie les deux auteurs quant à leur lecture de l’histoire prémoderne, que celui-ci est descriptif, et non théorique. Ce faisant, il est possible à notre recherche de spécifier pourquoi un accord relie les deux auteurs quant à leur théorisation de l’histoire prémoderne, mais non pas sur la modernité elle-même. / This research aims to circumscribe the epistemological foundations of modernity. It does so by an analysis of the crisis of modernity. To be more precise, we explore a dialogue between Reinhart Koselleck and Jürgen Habermas. The intent of this conversation is to show a common understanding of the epochal moment of modernity. That is, the theoretical boundaries in which the foundational moment of modernity was, and still is, theorized. To reveal this agreement, we analyze the concept of Neue Zeit in its relation to premodern history. In doing so, we show that both thinkers recognise the importance of a new time, understood as an open future. Moreover, both thinkers differ as to the role and position of the Neue Zeit in the foundation of modernity. To reveal this disagreement, we present the concept of aesthetical modernity. In doing so, our research shows that as Koselleck sees temporality as a driving historical force, Habermas disagrees and sees it rather as a result of a historical rationalisation process. Furthermore, our research reveals a substantial disagreement as to the reasons underlying this dialogue. Notably, we claim that the common ground that links both thinkers in their understanding of premodern history is descriptive, rather than theoretical. That is, it refers to the empirical content of history, and not to it’s underlying causes. With that claim in hand, we offer to explain why both thinkers agree on their understanding of premodern history, but not on modern history itself.
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Trajectoires de l’Aufklärung : autour de la polémique Kant-Herder

Ferland, Vincent 01 1900 (has links)
No description available.
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Ordre et temps. Eric Voegelin, Karl Löwith et la temporalité du politique / Order and Time. Eric Voegelin, Karl Löwith and the Politics of Time

Godefroy, Bruno 05 May 2017 (has links)
Dans le chapitre du Contrat social consacré à la mort du corps politique, Rousseau rappelle que cette mort est « la pente naturelle et inévitable des Gouvernements les mieux constitués ». En effet, poursuit-il, « si Sparte et Rome ont péri, quel État peut espérer de durer toujours ? Si nous voulons former un établissement durable, ne songeons donc point à le rendre éternel ». Malgré l’avertissement de Rousseau, la tendance à rendre l’ordre politique éternel semble être un phénomène constant, jusqu’à nos jours. En témoigne l’idée d’une « fin de l’histoire » résultant de l’alliance du capitalisme et de la démocratie libérale, ou d’un modèle occidental se comprenant comme la réalisation du seul but de l’histoire, à laquelle ne s’opposeraient que des puissances « retardatrices ». À travers ces phénomènes se manifeste une « politique du temps », un discours de légitimation de l’ordre politique donnant un sens politique à sa dimension temporelle.Compris de cette manière, le problème que pose la « politique du temps » ne peut être abordé par une critique limitée à ses derniers avatars, telle la thèse de la fin de l’histoire. Il est au contraire nécessaire de remonter à la racine du problème, c’est-à-dire à la place qu’occupe cette question au sein du rapport entre temps et politique. Si la politique du temps s’avère aussi tenace, c’est en effet parce qu’elle s’inscrit dans un questionnement intrinsèquement lié à l’ordre politique, confronté à la nécessité d’assurer son « être-dans-le-temps ». La politique du temps répond à cette nécessité par une politisation du temps et de l’histoire pouvant conduire, dans sa forme extrême, à une éternisation de l’ordre politique, qui prétend alors englober la totalité du temps, du passé au futur.Compte tenu de la persistance de cette conception temporelle de l’ordre politique, de même qu’il ne suffit pas de limiter la critique à ses avatars actuels, de même serait-il impropre de la diriger contre sa seule forme extrême, dans la mesure où ce sont précisément certains discours proclamant la fin des idéologies qui tendent à reproduire aujourd’hui les structures de la politique du temps. Par conséquent, ce n’est qu’en abordant dans son ensemble le problème formé par la atemporalisation du politique et la politisation du temps qu’il est possible d’attaquer à la racine ce type de discours de légitimation, sous toutes ses formes.Pour mener à bien ce projet, deux objectifs complémentaires, correspondant aux deux fils directeurs de l’analyse, sont traités en parallèle. D’une part, nous proposons de systématiser la question du temps politique afin de montrer les grands traits communs aux phénomènes qui s’y rattachent et quelles directions s’ouvrent à la critique. Le second axe de lecture met l’accent sur les œuvres d’Eric Voegelin et de Karl Löwith en tant qu’elles apportent une contribution décisive tant à la systématisation du problème que, surtout, à son dépassement.Notre hypothèse de départ est que Löwith et Voegelin eux-mêmes sont conscients de la relation problématique entre temps et politique et cherchent, par l’intermédiaire de la dimension temporelle, à aborder un problème politique dont l’importance s’explique non seulement par la situation historique à laquelle ils sont directement confrontés, mais aussi par sa valeur systématique intrinsèque, en tant qu’il représente une évolution de la conception du politique. Tous deux sont convaincus de la nécessité de surmonter le nihilisme et l’absence de toute fondation durable en tant que tels, c’est-à-dire de surmonter la temporalisation radicale de l’ordre politique, mais également les tentatives visant à l’éterniser. C’est dans ce cadre que prennent sens leurs projets, qui cherchent à dissocier le politique et le temps et, en repensant leur relation, à éviter que tout point de référence permanent ne soit dissout par le cours du temps sans toutefois produire une éternité artificielle et absolue. / In the chapter of the Social Contract on the death of the body politic, Rousseau emphasizes that its death is “the natural and inevitable propensity even of the best constituted governments”. Indeed, he continues, “if Sparta and Rome have perished, what state can hope to last for ever? If we want the constitution we have established to endure, let us not seek, therefore, to make it eternal”. Despite Rousseau’s warning, the tendency to make the political order eternal seems to be a pervasive phenomenon even in our time, as can be seen in the idea of an “end of history” that results from the combination of capitalism and liberal democracy, or in a Western model conceived as the realisation of the sole aim of history that only “delaying” powers would resist. These are examples of a “politics of time”, a concept that refers to a type of discourse contributing to the legitimization of the political order by giving a political meaning to its temporal dimension. Understood in this way, the problem of the “politics of time” cannot be addressed by focusing only on its recent developments, such as the “end of history” thesis, it is also crucial to understand these developments in the broader context of the relation between time and politics. Consequently, only a fundamental critique can put an end to the “politics of time”. The origin of the persistence of the “politics of time” has to be traced back to an essential problem that the political order is facing, namely the necessity to ensure its existence in time. The “politics of time” answers this problem by politicizing time and history, which can lead, in its most extreme form, to an eternisation of the political order that pretends to last for all time.Considering that this temporal conception of the political order is still widely present in many contemporary discourses, it would be insufficient to limit the critique to contemporary phenomena or to the extreme forms of the politics of time in modern ideologies, since precisely some proclamations of the end of ideologies tend to repeat the structure of the politics of time. It is therefore necessary to tackle the problem of the temporalisation of politics and politicisation of time as a whole. This is the only way to question the different occurrences of this kind of legitimising discourse.To achieve this, this study has two parallel aims. First, I begin by reconstructing a systematic account of the question of political time in order to highlight the main characteristics of the phenomena that are related to it. My second aim is to analyse Eric Voegelin’s and Karl Löwith’s works regarding their contribution to the systematisation of the problem, but first and foremost insofar as they offer an answer to it.Central to this work is the claim that Löwith and Voegelin not only develop a theory of the problematic relation between time and politics, but also defend a solution to tackle this problem. This problem, as they see it, is not restricted to their particular historical situation but remains of interest as an evolution of the concept of the political itself. Both Löwith and Voegelin are convinced that nihilism and the lack of any durable foundation must be overcome as such or, in other words, that it is necessary to overcome not only the temporalisation of the political order but also the attempts to “eternalise” it. The meaning and significance of Löwith’s and Voegelin’s projects appear clearly in this framework, as they can be seen as two attempts to dissociate the political from the temporal and, by reworking this relation, to prevent the relativisation of any durable foundation in the flow of time without, however, creating an artificial and absolute eternity.

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