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Freedom and dispositions : two main concepts in theology and biological psychiatry, a systematic analysis /Labooy, Guus H., January 2002 (has links)
Texte remanié de: Proefschrift--Utrecht, 2000. / Trad. du néerlandais. Bibliogr. p. 317-332. Index.
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Der Wahrheit auf der Spur bleiben : die transzendentale Erfahrungstheorie Richard Schaefflers als Wegweiser im Dialog der Religionen /Ludwig, Günther, January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Frankfurt am Main, 2006. / Includes bibliographical references (p. 214-235).
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Fondation et fondement: mise en place et statut du dispositif fondationnel de la raison dans le champ métaphysique et postmétaphysiqueDe Salle, Corentin 10 February 2005 (has links)
L’objet de cette thèse consiste à prouver que les deux notions métaphysiques que sont la fondation et le fondement sont à la fois distinctes et indissociables pour constituer un système philosophique. Fonder philosophiquement est une opération nécessitant l’articulation de deux ordres hétérogènes mais interconnectés :l’ordo essendi et l’ordo cognoscendi. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La religion comme expérience : épistémologie et métaphysique de l'expérience religieuse dans l'oeuvre de William James / Religion as experienceMollard, Romain 16 November 2016 (has links)
Ce travail vise à explorer la notion d’expérience religieuse dans l’oeuvre de William James (1842-1910). Si cette notion est tout à fait centrale dans les Variétés de l’expérience religieuse (1902), elle joue aussi un rôle très important dans bon nombres d’autres oeuvres, si bien qu’il est possible de dire qu’une grande partie du projet empiriste de James se joue au travers de cette question. En réalité, l’un des principaux problèmes que cet empirisme religieux doit affronter consiste à savoir si ces expériences humaines du divin permettent de faire des affirmations vraies, publiques et objectives au sujet de l’existence d’une forme de conscience supra humaine. Si dans, un premier temps, James développera son pragmatisme de manière à poser un lien entre Dieu et ces expériences religieuses en faisant l’économie d’une explication de type causale, il sera contraint, par la suite, d’élaborer une explication métaphysique de la possibilité de ces expériences, ce qui l’amènera à accepter la thèse panthéiste et panpsychiste d’une compénétration des champs de conscience. L’expérience religieuse apparaît alors, par réaction à une forme explicite d’« inquiétante étrangeté », comme une expérience métaphysique de l’intimité avec l’univers. / This work aims at exploring the concept of religious experience in the work of William James (1842-1910).This notion is not only central in The Varieties of Religious Experience, but it also plays a significant role inmany of his other works so much that it is possible to say that a large part of James’s empiricism is at stakein this issue. One of the main problems that this religious empiricism faces consists in knowing if the human experiences of the divine allow some true, public, objective assertions about the existence of aform of supra human consciousness. If, at first, James developed his pragmatism so as to make a link between God and the human experiences of the divine while avoiding metaphysical explanations of acausal type, later on, he felt the necessity to work out a metaphysical explanation, which lead him to accept the pantheist and panpsychist thesis of a possible interpenetration of the fields of individual consciousness. As a reaction to an explicit form of experience of the “uncaniness or the ordinary”, religious experience thus appears, as a metaphysical experience of intimacy with the universe.
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Au-delà du criticisme kantien : la méthode critique-intuitive dans la première philosophie de la religion de Paul TillichPerrottet, Claude 13 April 2018 (has links)
La publication, en 2001, du texte très élaboré du premier cours de Paul Tillich sur la philosophie de la religion (Berlin, 1920) a permis de jeter un regard neuf sur la pensée religieuse du Tillich allemand. Le but de la présente thèse était d'explorer l'originalité de ce nouveau document par rapport aux textes publiés sur le même sujet dans les années qui suivirent. De par sa date, ce texte représente la genèse de la philosophie de la religion tillichienne. Il est également de loin le texte le plus élaboré que nous ayons en la matière. Son étude a donc permis d'explorer plusieurs thèmes clé et de clarifier la pensée de Tillich à l'époque d'une manière que les textes connus précédemment ne permettaient pas. Par ailleurs, l'analyse du cours a permis de confirmer la continuité étonnante de la pensée religieuse de Tillich. Le nouveau document contient deux points forts sur lesquels mon travail d'analyse s'est naturellement porté. D'une part, il y a la présentation détaillée, tant conceptuelle qu'historique, de la méthode critique-intuitive développée par Tillich pour saisir la nature de la fonction religieuse. D'autre part, le texte permet de découvrir l'importance insoupçonnée et la nature de l'influence de Kant sur la pensée du premier Tillich. Tillich présente son approche comme une nécessité issue de la perte de l'innocence originelle propre à la religiosité immédiate avec l'avènement de la modernité, situation qui amena à l'impasse des solutions métaphysiques où Dieu est conçu comme un Être objectivé. Pour Tillich, l'approche critique de Kant, orientée vers une analyse de notre conscience, permit un renouveau historique sous forme de philosophie de la religion. Néanmoins, la réflexion rationnelle à elle seule ne peut permettre de retrouver une religiosité authentique. Il est nécessaire d'y joindre une approche intuitive par laquelle la nature inconditionnée de l'être est donnée de manière immédiate. L'analyse du texte de 1920 m'a permis de montrer de manière inédite comment, aux yeux de Tillich, l'élément intuitif comme l'élément critique trouvent leur origine en Kant, même si ce dernier n'est pas parvenu à saisir la nature paradoxale de la relation entre ces deux composantes.
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Catholicisme et postmodernité : analyses philosophiques à partir de débats publics québécoisGagnon-Tessier, Louis-Charles 06 1900 (has links)
Avec la sécularisation, la laïcité et la diversité croissantes de la société québécoise, la place de la religion en général et du catholicisme en particulier se sont vues remises en question. Cette situation a d’ailleurs mené à la mise en place de deux commissions : l’une sur la place de la religion à l’école (1999) et l’autre sur les pratiques d’accommodements reliées aux différences culturelles (2008). Ces deux commissions auront fourni énormément d’informations sur les rapports qu’entretiennent encore les Québécois avec le catholicisme.
Cette recherche a donc pour but de faire le point sur certains aspects du catholicisme au Québec à partir d’une perspective reposant principalement sur des instruments heuristiques issus des écrits signés « Jacques Derrida ». Pour ce faire, nous nous appuierons sur les travaux du Groupe de travail sur la religion à l’école, de la consultation générale sur la place de la religion à l’école et de la commission de consultation sur les pratiques d’accommodement reliées aux différences culturelles.
Nous posons comme hypothèse que de manière générale, les Québécois entretiennent avec le catholicisme, des rapports « archivaux », c’est-à-dire conditionnés par des perceptions de ce dernier informées par son passé, plutôt que par son présent. De plus, ces perceptions du catholicisme, probablement développées dans le sillage de la Révolution tranquille et peut-être même un peu avant, nourriraient l’existence de « spectres » qui viendraient hanter les rapports des Québécois à tout ce qui touche le religieux et la diversité culturelle. En ce sens, il s’agit d’une dimension essentielle de ce que nous appellerions la « postmodernité » religieuse québécoise.
Pour illustrer ce propos, nous mènerons une analyse de contenu documentaire. Premièrement, nous procéderons à l’analyse thématique de centaines de documents (rapports de recherche, rapports officiels, mémoires) déposés lors de ces débats. Le logiciel QDA Miner permettra d’effectuer une analyse documentaire en identifiant les passages thématiques reliés à la recherche. Nous procéderons ensuite à une analyse plus fine de ces extraits sélectionnés à partir de perspectives philosophiques provenant principalement du philosophe Jacques Derrida. / Due to the secularisation, laicité and the growing religious diversity of Quebec society, the place of religion and Catholicism has been questioned. This situation has led to the creation of two commissions: one on the place of religion in school (1999) and the other on Accommodation practices related to cultural differences (2008). These commissions gave a lot of information about the relationship between Quebecers and Catholicism.
This research aims to understand certain aspects of Catholicism in Quebec with a perspective using texts signed "Jacques Derrida". To do so, we will use the works of Groupe de travail sur la religion à l’école, of General Consultation on the Place of Religion in School, and of Consultation Commission on Accommodation Practices Related to Cultural Differences.
Our research hypothesis is that generally Quebecers have an ‘archival’ relationship towards Catholicism. Meaning, past perceptions of Catholicism as opposed to present ones condition this relationship. Moreover, these perceptions of Catholicism, that probably developed either just prior to or during the Quiet Revolution in the sixties, would feed the existence of "specters," or "ghosts," that haunt the relationship between Quebecers and everything related to religious and cultural diversity. This would be a fundamental dimension of what we would call the Quebec religious "postmodernity".
To illustrate this statement, we will first analyse hundreds of documents deposed to these commissions. The software QDA Miner will help to perform a documentary analysis by identifying key passages related to this research. Then, we will analyse more accurately, the selected passages using philosophical perspectives mainly from Jacques Derrida.
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Le sens de la croyance à l’âge séculier chez Charles Taylor : une herméneutique de l’expérience religieuseGordon, Jimmy-Lee 08 1900 (has links)
Ce mémoire se propose d’étudier la manière nouvelle dont se présente la croyance religieuse à l’âge séculier dans la philosophie de la religion du philosophe Charles Taylor. Plus précisément, nous cherchons à démontrer que la croyance et l’incroyance possèdent les mêmes fondements phénoménologiques, qui sont à trouver du côté des questions identitaires. Afin d’y arriver, nous commençons par analyser sa redéfinition de la sécularité afin de comprendre pourquoi l’âge séculier n’est pas en soi un âge irréligieux. Nous montrerons en quoi, selon Taylor, les Occidentaux partagent un même « arrière-plan » moral et spirituel – le « cadre immanent », que nous appréhendons comme le contexte au sein duquel émergent les positions croyantes et athées. Nous présentons ensuite une brève analyse des éléments historiques et phénoménologiques du cadre immanent ainsi que de sa fonction « transcendantale », ce qui nous permet d’expliquer la raison pour laquelle Taylor soutient que la croyance et l’incroyance relèvent avant tout de l’identité morale et des considérations éthiques qui soutiennent notre vision du monde. Ici nous suivons Taylor en affirmant que ce sont toutes deux des expériences vécues qui a priori s’équivalent sur le plan rationnel. Enfin, au cœur de notre réflexion se trouve la mise en valeur d’un concept très important que Taylor développe à partir des travaux de William James, à savoir l’« espace ouvert jamesien ». Cette ouverture, rendue possible par la sécularité elle-même, vise à rendre compte d’un état de lucidité par lequel nous pouvons ressentir la force des deux options. / This paper aims to describe how Charles Taylor articulates his philosophy of religion in his major work, A Secular Age. We argue that belief and unbelief share the same phenomenological fundamentals, which can be found in the constituents of identity. In order to do that, we shall first analyse his redefinition of secularity in order to see how the secular age is not irreligious in itself. What will emerge of this preliminary investigation is the Taylorian idea that all Westerners share the same spiritual and moral “background”, the “immanent frame”, which must be understood as the context in which we form our beliefs. Then we develop an analysis of the historical elements of the immanent frame and of its “transcendental” function, which makes it possible to explain why Taylor conceives belief and unbelief as questions of moral identity. We follow Taylor in arguing that they are both lived experiences of equal rational value. At the heart of our paper, there is an important concept that Taylor has developed from William James’s work, which is the “Jamesian open space”. This openness illustrates a state of lucidity that is characterised by the ability to feel the force of both options, belief and unbelief.
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Ludwig Feuerbach, penseur de la mort de DieuChaput, Emmanuel 04 1900 (has links)
Le présent mémoire porte sur la question de la mort de Dieu dans la philosophie allemande du XIXe siècle. Plus précisément elle entend mettre en lumière le rôle qu’un auteur comme Ludwig Feuerbach (1804-1872) a pu jouer dans la réception d’un tel événement pour la philosophie de cette époque. On observe en effet chez Hegel et Nietzsche, certainement les deux philosophes les plus importants à s’être intéressés au thème de la mort de Dieu, deux manières tout à fait différentes, voire antinomiques, d’interpréter un tel événement. Ce qui fera dire à certains auteurs comme Deleuze et Foucault notamment, qu’entre Hegel et Nietzsche il ne saurait y avoir qu’une coupure radicale tant leurs compréhensions de la mort de Dieu diffère. Un tel geste trahit cependant un certain arbitraire qui empêche de comprendre la genèse philosophique d’un tel déplacement, entre Hegel et Nietzsche, dans la manière d’aborder la mort de Dieu. C’est ici que l’étude de la philosophie feuerbachienne s’avère fructueuse, car si elle demeure dans un dialogue critique par rapport à la conception hégélienne de la mort de Dieu, sa réponse opère cependant un déplacement qui anticipe certains aspects de la pensée nietzschéenne. C’est à partir de l’analyse de sa critique de la religion chrétienne et de l’anthropologie philosophique nouvelle qui l’y oppose que l’on sera en mesure de saisir la nature de ce déplacement feuerbachien. / This Master’s Thesis focuses on the topic of the death of God in the nineteenth century German philosophy. More specifically, it highlights the role played by Ludwig Feuerbach (1804-1872) in the development of this problematic, i.e. his influence on the way this decisive “death” has been interpreted philosophically. The two major philosophical figures who have reflected on the death of God, namely Hegel and Nietzsche, have done so in very different, some would say antinomian, ways. Authors such as Deleuze or Foucault have even argued that between Hegel’s and Nietzsche’s way of addressing the question of the death of God there can be no common ground, but only an irrevocable clash. Unfortunately, such a statement forbids further investigations enabling a more rigorous understanding of the philosophical development that occurs between Hegel and Nietzsche on that specific topic, that is, on the death of God in nineteenth century German philosophy. Here, I shall argue, the study of Ludwig Feuerbach’s thought becomes essential to such an understanding, since it develops a critical dialogue with Hegel’s stance on the death of God, while at the same time anticipating some aspects of Nietzsche’s approach to the problem of the death of God.
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L'esthétique de la défiguration dans l'écriture théâtrale du vingtième siècle et ses implications philosophiques / Aesthetics of disfiguration in the twentieth century's playwriting, and its philosophical implicationsWiame, Aline 27 February 2012 (has links)
Notre thèse entend développer des concepts « théâtraux », abondants dans la littérature philosophique, en les confrontant aux stratégies représentatives mises en œuvre dans l’écriture théâtrale. Les devenirs de cette rencontre entre philosophie et théâtre sont intimement liés à un processus scénique de défiguration, comprise comme épreuve plastique des figures et de ce qui les excède. En prenant toujours comme point de départ les questions posées par des textes théâtraux et en nous centrant sur leur résonance avec la philosophie française contemporaine, nous avons élaboré divers outils conceptuels afin de cartographier ce travail commun du théâtre et de la philosophie par la défiguration. <p>Notre premier chapitre prend appui sur les textes Matériau-Médée et Hamlet-Machine de Heiner Müller pour analyser les rapports entre mythes et figures ainsi que les critiques de la représentation qu’implique leur mise en scène. Ces questions nous incitent à aborder les processus de démythologisation à l’œuvre dans la pensée critique de la première Ecole de Francfort, et leur reprise par Philippe Lacoue-Labarthe sous le concept de « défiguration ». Nous montrons que cette défiguration est toujours, chez Philippe Lacoue-Labarthe, affaire de scène et de théâtre. Nous sommes amenée à élaborer le concept de dé-dramatisation pour saisir la portée d’une telle pensée philosophique et de ses implications artistiques, à la croisée entre l’histoire du théâtre et celle des pratiques conceptuelles. <p>Dans un deuxième chapitre, nous nous affrontons directement à la conceptualisation de la notion de « scène » à partir des contradictions du « théâtre de parole » créé par Pasolini. Nous approchons la scène à travers le champ de la liturgie et de l’esthétique chrétiennes, et à travers celui de l’image cinématographique (dans une réévaluation du « vieux problème » de la différence entre théâtre et cinéma). Nous définissons la scène comme dispositif de monstration des conditions de possibilité d’un « partage du sensible », selon le concept créé par Jacques Rancière. Nous examinons, notamment à travers les travaux d’Esa Kirkkopelto, comment une telle scène travaille la philosophie entre schème et concept (de Wittgenstein à Althusser et de Nietzsche à Derrida), inventant ainsi une théâtralité de la pratique conceptuelle.<p>Notre troisième chapitre analyse les phénomènes de dédoublement des rôles chez Pirandello, Genet et Müller pour revisiter les fonctions de la « scène psychique » ainsi que de tout le lexique théâtral qui structure l’approche psychanalytique de l’inconscient. Nous proposons de penser la théâtralité à l’œuvre dans la construction de la personnalité en fonction d’une subjectivité « scéno-cartographique » dont l’impact thérapeutique a été éprouvé, notamment, par la psychiatrie institutionnelle. <p>Enfin, dans un dernier chapitre, nous nous laissons guider par le théâtre de Samuel Beckett pour définir l’agencement qui se tisse entre théâtre et philosophie, grâce à la défiguration comme opérateur conceptuel. A travers le « faire » dramatique et sa crise, nous interrogeons la manière dont la question de l’action a été posée par l’histoire de la philosophie. Nous examinons les usages que font Deleuze et Souriau du terme de « dramatisation » et de son impact dans le développement des dimensions virtuelles de l’expérience. Nous évaluons ce qu’apporte la pratique de l’acteur aux modes d’attention philosophiques, et nous proposons de comprendre les rapports du théâtre et de la philosophie en fonction du concept d’ « incorporation ». Nous concluons en démontrant que la prise en compte de l’expérience de la scène théâtrale dans et par la philosophie est une condition sine qua non au façonnement d’une théorie croisant études visuelles et conceptualisation de la représentation par l’image et par l’action. Nous déjouons ainsi toute tentation iconoclaste, en travaillant les dimensions de mouvement et de temporalité que la scène permet de saisir.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Genèse historique et logique du projet d'ontologie formelle: de l'ontologie traditionnelle à la métaphysique analytique contemporaine / Historical and logical genesis of the project of formal ontology: from traditional ontology to contemporary analytical metaphysicsRichard, Sébastien 24 February 2011 (has links)
Ce travail est consacré à l’étude du projet d’ontologie formelle de la fin du Moyen-Âge à l’époque contemporaine. Issue des recherches du jeune Husserl, l’ontologie formelle est théorie du quelque chose ou de l'objet en général énonçant de manière ontologiquement neutre des lois analytiques, ancrées dans certaines catégories ontologico-formelles, orthogonales à toute ontologie régionale et ne se réduisant pas à celles de la logique formelle, mais leur étant néanmoins corrélées. Une première partie de notre étude visait à montrer l’émergence du réseau conceptuel qui a permis l’émergence d’une telle ontologie. Celui-ci relève de plusieurs disciplines :l’ontologie, la logique, les mathématiques et la psychologie. Ainsi, même s’il s’agit d’un projet métaphysique original, il hérite dans une certaine mesure de la tradition ontologique moderne comprise comme tinologie et issue du processus de noétisation de l’objet de la métaphysique initié par le second commencement de la métaphysique à la fin du Moyen Âge, du problème des représentations sans objet dans la tradition philosophique brentanienne dont devait sortir diverses Gegenstandstheorien, du problème des Gestalten dans cette même tradition et de l’émergence d’une nouvelle conception de la formalité dans la mathématique du XIXe siècle. Les deuxième et troisième parties de ce travail sont consacrées à l’étude systématique de la réalisation technique du projet d’ontologie formelle, en particulier au sein de sa reprise analytique à partir de la fin des années 1970, sous la forme d’une méréologie formelle et de ses multiples extensions (méréotopologie, méréologie temporelle et théorie méréologique de la dépendance existentielle), afin de pouvoir résoudre le problème de l’intégrité ontologique des objets. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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