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Sectaire et "inter-dit" : introduction à la dimension du croire dans l'écoute du dire des personnes en cause dans le sectaire.

Garand, Marie-Eve 05 1900 (has links)
La thèse questionne les conditions d’écoute des témoignages des personnes ayant vécu une expérience sectaire, ainsi que les enjeux éthiques et méthodologiques qui découlent de la manière dont la littérature propose de comprendre le dire de ces personnes. Une revue de littérature permet de montrer que les principaux cadres théoriques utilisés pour expliquer le sectaire (aliénation, manipulation mentale, addiction) déterminent la manière dont est entendu le dire des personnes. De cette façon, le sens du sectaire n’oriente pas seulement la compréhension que nous avons des personnes. Il trace aussi les conditions de l’écoute. Le postulat de base de la thèse est que l’introduction de la « dit-mention » du croire comme carrefour interprétatif permet de développer une écoute qui concerne à la fois le sujet parlant et la dimension de l’être. À partir d’une théorisation du croire comme mouvement du vivant distinct de la religion, de la spiritualité, de la croyance et de la mystique, la thèse déplace la problématique de l’expérience sectaire de sa structure polémique pour donner pleine valeur au dire des personnes. Ainsi, en situant l’écoute sous le versant symbolique, soit dans un rapport qui prend en compte le rapport du sujet à l’Autre, le sens produit par un acte d’écoute du croire ne prend plus appui sur un sens extérieur pour expliquer et rendre compte d’une expérience sectaire. Il est produit par la liaison des signifiants entre eux, ce qui ouvre un espace de recherche pour que du sujet puisse advenir. L’hypothèse d’un sujet à croire sur parole se présente alors comme fondement d’un acte d’écoute différentiel, dans la mesure où il permet l’élaboration d’un savoir efficace, soit un savoir qui déplace, qui surprend, et qui relance le sujet. / The thesis questions the conditions of listening concerning the testimonies of people who lived a sectarian experience, as well as the ethical and methodological issues arising from the way literature proposes to understand the telling of these people. A literature review shows that the main theoretical frameworks used to explain the sectarian (alienation, mental manipulation, addiction) determine the way the telling of these people is listened. Thereby, the meaning of the sectarian directs not only our understanding of people, but it also outlines the conditions of the listening. The premise of the dissertation is that the introduction of the « dit-mention » (the mension of the telling) of the believe as an interpretative intersection leads to develop a listening concerning both the speaking subject and the dimension of the being. From a theorization of believe as a movement of the living distinct from religion, spirituality, belief and mysticism, the dissertation moves the problematic of a sectarian experience from its polemic structure to give full value to the telling of people. Thus, by setting the listening on its symbolic side, that is in a way that takes into account the subject's relation to the Other, the meaning produced by an act of listening to a believe does not rely anymore on an external meaning to explain and report a sectarian experience. It is produced by the binding of the signifiers together, which opens a research space where something of the subject can happen. The hypothesis of a subject « à croire sur parole » (which words must be believed) then offers a basis for a differential act of listening, since it allows the working out of an effective knowledge, a knowledge that moves, surprises, revives the subject.
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Le sens de la croyance à l’âge séculier chez Charles Taylor : une herméneutique de l’expérience religieuse

Gordon, Jimmy-Lee 08 1900 (has links)
Ce mémoire se propose d’étudier la manière nouvelle dont se présente la croyance religieuse à l’âge séculier dans la philosophie de la religion du philosophe Charles Taylor. Plus précisément, nous cherchons à démontrer que la croyance et l’incroyance possèdent les mêmes fondements phénoménologiques, qui sont à trouver du côté des questions identitaires. Afin d’y arriver, nous commençons par analyser sa redéfinition de la sécularité afin de comprendre pourquoi l’âge séculier n’est pas en soi un âge irréligieux. Nous montrerons en quoi, selon Taylor, les Occidentaux partagent un même « arrière-plan » moral et spirituel – le « cadre immanent », que nous appréhendons comme le contexte au sein duquel émergent les positions croyantes et athées. Nous présentons ensuite une brève analyse des éléments historiques et phénoménologiques du cadre immanent ainsi que de sa fonction « transcendantale », ce qui nous permet d’expliquer la raison pour laquelle Taylor soutient que la croyance et l’incroyance relèvent avant tout de l’identité morale et des considérations éthiques qui soutiennent notre vision du monde. Ici nous suivons Taylor en affirmant que ce sont toutes deux des expériences vécues qui a priori s’équivalent sur le plan rationnel. Enfin, au cœur de notre réflexion se trouve la mise en valeur d’un concept très important que Taylor développe à partir des travaux de William James, à savoir l’« espace ouvert jamesien ». Cette ouverture, rendue possible par la sécularité elle-même, vise à rendre compte d’un état de lucidité par lequel nous pouvons ressentir la force des deux options. / This paper aims to describe how Charles Taylor articulates his philosophy of religion in his major work, A Secular Age. We argue that belief and unbelief share the same phenomenological fundamentals, which can be found in the constituents of identity. In order to do that, we shall first analyse his redefinition of secularity in order to see how the secular age is not irreligious in itself. What will emerge of this preliminary investigation is the Taylorian idea that all Westerners share the same spiritual and moral “background”, the “immanent frame”, which must be understood as the context in which we form our beliefs. Then we develop an analysis of the historical elements of the immanent frame and of its “transcendental” function, which makes it possible to explain why Taylor conceives belief and unbelief as questions of moral identity. We follow Taylor in arguing that they are both lived experiences of equal rational value. At the heart of our paper, there is an important concept that Taylor has developed from William James’s work, which is the “Jamesian open space”. This openness illustrates a state of lucidity that is characterised by the ability to feel the force of both options, belief and unbelief.
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La notion de placage chez Daryush Shayegan : la hiérarchisation des épistémès au service du néo-orientalisme.

Odier, Sylvain 07 1900 (has links)
Dans ce mémoire, nous présentons la notion de placage développée par DaryushShayegan. Le placage lie dans un espace interépistémique deux épistémès (tradition et modernité) hétéromorphes. Puisque les deux épistémès ne peuvent être mises en relation sans réduction, leur chevauchement aboutit à des distorsions. En adoptant une posture d’herméneute, nous mettons à nu les structures du texte qui définissent la notion de placage. Puis, nous nous interrogeons sur les « implications non claires », ces aprioris de l’auteur qui marquent le texte. Ce processus nous amène à définir la notion de paradigme (Kuhn), celle d’épistémè (Foucault) et de saisir quelle utilisation en fait DaryushShayegan dans la construction du placage. Dans la seconde partie, nous discutons la problématique de la hiérarchisation des épistémès. Alors que la position de DaryushShayegan comporte des relents de néo-orientalisme, nous voyons que les approches rhizomique et traditionaliste dissolvent la problématique en question. / In this thesis, we present the notion of grafting developed by DaryushShayegan. In an inter-epistemic space, grafting links two heteromorphic epistemes (tradition and modernity). As both epistemes cannot be equated to one another without first diluting them, any overlapping characteristics that might emerge will be distorted. By assuming the guise of hermenauts, we strip to the core the structures of the text that define the notion of grafting. We then examine the “non-clear implications”, the author’s preconceived notions that permeate the text. This process forces us to define the notions of paradigm (Kuhn) and of episteme (Foucault), and to grasp how the author utilizes them to construct the notion of grafting. In the second part, we discuss about hierarchical relations between both epistemes. Even though DaryushShayegan’s position contains elements of neo-orientalism, we see that the rhizomic and traditionalist approaches dissolve the problem at hand.
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Saint Paul sur le chemin de Nietzsche

Karazivan, Paul-André 05 1900 (has links)
No description available.
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La conversion chez Plotin

Fauteux, Louis Charles 04 1900 (has links)
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La notion de placage chez Daryush Shayegan : la hiérarchisation des épistémès au service du néo-orientalisme

Odier, Sylvain 07 1900 (has links)
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La théorie de la névrose chez C.G. Jung : la guérison psychique de l’homme moderne par le recouvrement d’une attitude religieuse : l’apport de l’hindouisme et de la culture orientale

Rivet Baillargeon, Audrey 04 1900 (has links)
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Vers une éthique écoféministe et interspirituelle de l’eau : dialogue entre néopaganisme, christianisme et traditions autochtones en Amérique du Nord

Caron, Alexandra 08 1900 (has links)
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Si c'est vrai, qu'est-ce que ça change ?William James :fabrique des savoirs, fabrique philosophique

Drumm, Thierry 05 September 2014 (has links)
La tentative menée ici consiste à s’adresser au travail de William James (1842-1910) afin d’y chercher des moyens pour répondre à un problème qui nous concerne intensément :celui du décret séparant la connaissance et le changement. James nous rend en effet sensibles à la manière dont les conceptions habituelles avaient constamment maintenu un point de vue qui interdisait en principe qu’une idée puisse faire une différence. Il nous permet également de sentir à quel point ces conceptions ne peuvent qu’être profondément désespérantes. Cinq moments vont se succéder. Dans un premier temps, il s’agira, avec James, de nous connecter à la situation déconnectée, de saisir cette situation dans les dispositifs mêmes qui y creusent un gouffre séparant « la pensée » d’une « réalité » qui lui semble étrangère. Cette « saisie » s’efforce de remédier à l’anesthésie face à des conceptions qui produisent le désespoir et l’indifférence (« Se connecter / Situer »). Dès lors qu’est, au moins partiellement, levée la sidération qu’entraînent les versions rationalistes des connaissances, il devient possible de ré-épaissir ce que James appelle les « trois départements » de l’intelligence, ces modes d’expériences qui nourrissent les pratiques concrètes de connaissance. Pour commencer, c’est « agir » qui n’apparaît plus comme une incongruité quand il est question de connaître. La quête de certitudes indifférentes n’est pas tenable :connaître requiert la culture d’une confiance active et collective capable de rendre vraies des idées non-garanties (« Faire confiance / Agir »). Ensuite, c’est à propos des sensations que l’on s’aperçoit combien rien ne justifie de les vider de toute activité et de toute capacité. Cinq contraintes jamesiennes (épaissir, particulariser, pluraliser, relativiser, machiner) sont convoquées pour explorer les possibilités ouvertes à cet égard par un empirisme radical (« Faire le plein / Sentir »). Mais, les sensations ne se distinguant des conceptions que d’un point de vue pratique, les premières ne retrouvent pas des couleurs sans que les secondes n’en fassent autant. Les conceptions sont libérées de l’obligation qui leur était faite de seulement « copier » une réalité supposément toute faite ;prises concrètement, elles apparaissent comme pouvant désigner ces opérations délicates qui permettent aux mondes de déplier de multiples versions. C’est toute une agitation que de concevoir (« Faire des histoires / Concevoir »). Ces opérations jamesiennes (« se connecter », « faire confiance », « faire le plein », « faire des histoires ») ne visent aucunement la révélation d’une « nature » qui définirait la « pensée », mais, au contraire, elles visent l’activation de possibilités inattendues d’inventer des connaissances significatives, particulières et intéressantes. Il apparaît que ces possibilités – c’est l’hypothèse de James – avaient été tout spécialement limitées par l’omission des expériences concrètes de relation. Cette omission s’était accompagnée de la constitution tout à fait effective d’une pensée « privée » (« privée » à plus d’un titre). Il s’agit alors de relayer encore cette autre opération jamesienne – qui irriguait toutes les autres mais qui exige pour finir une attention spécifique –, celle qui consiste à restaurer les expériences de relation et à intensifier l’importance des « marges » et des « radicelles » (« S’associer / Agirpâtir »). / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Identités, appartenances, transmission: un parcours philosophique avec l'ethnopsychiatrie / Identity, belonging, transmission: a philosophical itinerary together with ethnopsychiatry.

Courbin, Lauriane 05 July 2012 (has links)
Cette recherche est le récit, à vocation conceptuelle, d’une rencontre – rencontre de la philosophie avec l’ethnopsychiatrie, pratique clinique destinée à la prise en charge psychothérapeutique des patients migrants. Elle s’est déroulée au centre Georges Devereux dont l’équipe a accueilli l’auteure pendant deux ans. Rencontrer l’autre n’est jamais indifférent, cela fait quelque chose :à celui ou celle qui rencontre, à sa pensée et à l’héritage qui est le sien. La question principale est donc celle-ci :qu’est-ce que cela fait – à la pensée philosophique et à celle qui ici la représente – de rencontrer l’ethnopsychiatrie et les mondes qu’elle convoque ?<p> <p> Cela implique une double exigence :décrire les transformations que subissent, dans la rencontre, des notions comme celles d’« identité », de « personne » ou de « relation », mais aussi de « collectif », de « croyance » et de « transmission », tout en montrant en quoi le récit de ces transformations n’équivaut pas à une enquête introspective et à sa restitution subjective. <p><p> La transformation principale réside dans le passage d’une pensée générale à un autre régime de pensée (qualifié de « générique » (I. Stengers, La Vierge et le neutrino, Paris, Les Empêcheurs de penser en rond / Le Seuil, 2006)) qu’il s’agit de caractériser dans la mesure où la pratique clinique, en particulier dans le contexte de multiplicité qu’imposent les passages entre les mondes, semble le supposer. Dans le cadre thérapeutique d’une contrainte à la transformation en effet, les paroles, actes et gestes doivent prendre une consistance propre afin d’être opérants. Cette consistance clinique et le plan de pensée qui l’accompagne sont ce dont ce travail propose de dessiner les principaux traits :immanence, nouveauté et caractère spéculatif.<p> <p>/ <p><p> This research gives the conceptual account of an encounter: the encounter of philosophy with ethnopsychiatry, a clinical practice which proposes psychotherapeutic treatments to migrant patients. This encounter took place at the centre Georges Devereux whose team accepted the author as an observer and participant during two years. Encountering the other is never indifferent. Something happens – to the one that encounters, to her thought and to her personal and philosophical heritage. The main question is also this: what effect does this encounter with ethnopsychiatry and the worlds it deals with have on philosophical thought and the researcher who represents it here?<p> <p> This question requires a double answer: describing the changes that notions like “identity”, “relation” or “person”, but also “community”, “culture”, “belief” and “transmission” undergo in the encounter and showing at the same time that such an account is not the equivalent of an introspective inquiry and its subjective report. <p><p> The main change consists in the transition from a general way of thinking to another called “generic” (I. Stengers, La Vierge et le neutrino, Paris, Les Empêcheurs de penser en rond / Le Seuil, 2006). The point is to characterize this generic way of thinking in so far as the clinical practice seems to require it – particularly dealing with the multiplicity that crossing between worlds imposes. Indeed, in a therapeutic context requiring change, the words, acts and gestures used have to take a specific consistency to be efficient. This work attempts to draw the mains traits of this clinical consistency and the level of thought that goes with: immanency, novelty and speculative character. <p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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