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Au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur le social, le biopouvoir et la gouvernementalité

St-Pierre, Émilie January 2008 (has links) (PDF)
Le présent mémoire effectue une lecture critique du libéralisme au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur les concepts de l'avènement du social, du biopouvoir et de la gouvernementalité. En misant sur la complémentarité des analyses arendtienne et foucaldienne, cet essai cherche à démontrer que le libéralisme est à l'origine du recul de la politique qui caractérise nos sociétés occidentales modernes. Ce mémoire traite de la valorisation moderne de la vie pensée comme une forme d'instrumentalisation de l'être humain pour le développement économique; il traite de l'importance accordée à la sécurité comme étant la manifestation d'une logique de «défense de la société» qui vise le déploiement du libéralisme, la société étant le corrélat du libéralisme. En lien avec ces sujets, il traite de la politique moderne pensée selon le registre de l'administration; il s'intéresse à la vision arendtienne et foucaldienne qui présente le libéralisme comme une domination de l'économie sur la politique. En posant le primat de l'agir politique comme a priori tel que le conçoit Hannah Arendt, cet essai conclut que le libéralisme est impolitique parce qu'il renforce l'autorégulation et le contrôle des individus dans une logique de domination économique qui mine l'agir politique el la liberté politique. Par l'individualisme, l'autonomie el l'autorégulation qu'il demande pour fonctionner, il engendre un repli sur soi et favorise la perte d'un monde commun, rapprochant nos sociétés des sociétés de masse amorphes et apolitiques décriées par Arendt parce qu'elles préparent le sol au totalitarisme. Le présent mémoire est un essai en théorie politique qui jongle aux abords des conceptions du pouvoir, de la politique, de l'économie et du social telles que pensées par Hannah Arendt et Michel Foucault. Il s'inscrit à l'intérieur des limites «spatiales» et «temporelles» de la pensée politique occidentale et de la modernité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Avènement du social, Biopouvoir, Gouvernementalilé, Libéralisme, Impolitique.
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Identités en conflit : gouvernementalité, action collective et démocratie

Morissette, Benoît January 2008 (has links) (PDF)
Plusieurs théories sociales et politiques avancent que les nouveaux mouvements sociaux participent au renouvellement de la démocratie actuelle, souvent parce qu'ils remettent à l'ordre du jour la question du bien commun ou qu'ils proposent de nouveaux modèles de participation politique. La théorie des nouveaux mouvements sociaux suggère que ces nouvelles formes d'action collective constituent une force de démocratisation du quotidien. Pour celle-ci, les nouveaux mouvements sociaux ancrent leurs actions dans les valeurs apparues avec la société postindustrielle. L'émergence de ces nouvelles valeurs marquerait un changement d'orientation des forces de contestation politique. De luttes pour la redistribution, incarnées par le mouvement ouvrier, elles se présentent maintenant comme des luttes identitaires. À la différence du mouvement ouvrier dont les actions visaient à prendre le pouvoir politique afin de réaliser son objectif historique: le socialisme, les nouveaux mouvements sociaux ont abandonné toute prétention à l'exercice du pouvoir de l'État. Leurs actions chercheraient dorénavant à libérer des champs d'autonomie. En s'inscrivant dans le cadre du concept de gouvernementalité, élaboré par Michel Foucault, ce mémoire explique plutôt les nouvelles formes d'action collective par l'émergence d'un nouveau dispositif: l'État libéral avancé. Les nouveaux mouvements sociaux constituent ainsi des forces de contestation politique spécitiques à l'actuel dispositif de gouvernement. Les formes et les finalités de ces luttes sont dès lors redevables de la transformation des technologies du pouvoir employées par l'État libéral et de la rationalité politique qu'elles mettent en oeuvre par leur fonctionnement. Dans ce contexte, les actions collectives se présentent comme le résultat d'un processus de construction identitaire où des individus se réunissent pour contester l'identité que leur assigne un mécanisme de gouvernement et revendiquer une identité alternative. Elles apparaissent dès lors comme des contre-conduites dont l'objectif consiste à articuler des relations de pouvoir à des identités subjectives. Comme ce mémoire le suggère, si ces contre-conduites évoquent un renouvellement de la démocratie, ce n'est pas parce qu'elles portent en elles les valeurs au fondement d'institutions politiques à venir, mais bien puisqu'elles réactivent par leurs actions notre compréhension de la démocratie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pensée politique, Michel Foucault, Gouvernementalité, Action collective, Démocratie.
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L'amitié comme lieu du politique : une critique de l'immanentisme occidental

Bernier, Émilie January 2006 (has links) (PDF)
Il s'agit de repenser le politique à partir de la thématique de l'amitié. Pour ce faire, nous formulons d'abord une critique de ses conceptions dominantes dans la tradition philosophique et en tirons ensuite les conséquences sur les principaux paradigmes d'analyse et d'organisation politique. Puisque la compréhension que nous avons du rapport à autrui n'est jamais étrangère au mode de régulation sociale qui s'institue, il appert que le traitement philosophique de l'amitié renseigne de façon privilégiée sur le sens donné historiquement à la vie publique. Si, aux origines de la pensée occidental nous observons une dévalorisation des affections mondaines au profit d'une recherche des conditions de l'amour d'un être absolu, nous y voyons l'origine des principales apories dans lesquelles se meuvent les modes contemporains d'institutionnalisation politique -tel est le sens d'une critique de l'immanentisme. Cette optique met en lumière l'impératif de redéfinir l'articulation et la place de l'affect dans l'existence humaine à partir de courants inspirés de la phénoménologie, lesquels rétablissent une préoccupation pour l'amitié, et le rapport à l'autre en général qui devient absolument central à leurs recherches. Il s'agit en somme d'une lecture de l'idée de Martin Heidegger d'une « sollicitude » positive qui vise à fixer les conditions d'un espace public émancipateur -si cette possibilité apparaît d'emblée exclue de l'éthique de l'être-pour- la-mort une interprétation de Giorgio Agamben du concept d'amour chez le philosophe procure un nouveau souffle à l'analytique de l'être-avec-autrui (Mitdasein), et argumentons-nous, un éclairage original sur l'expérience de la communauté politique. Nous nous appuyons donc sur le concept de monde, que chez Heidegger, relocalise la vérité dans la concrétude de l'existence mondaine et effectue ainsi un premier dépassement d'une tradition qui cherchait à s'en extraire, et sur la philosophie de l'action de Hannah Arendt qui opère un second dépassement restituant la vérité au monde commun des apparences. La politique s'y jouant la compréhension que nous en proposons met en lumière certains écueils érigés par la métaphysique occidentale et prêche en faveur d'une reconsidération de la dimension éminemment plurielle de l'être. Elle en appelle à une ontologie plurielle -projet que, pour des raisons évidentes, nous nous contentons d'énoncer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amitié, Communauté, Politique, Pluralité, Martin Heidegger, Hannah Arendt.
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De la norme à l'insulte : la transformation du concept de libéralisme aux États-Unis depuis 1964

Lemieux, Miguel 10 1900 (has links) (PDF)
De l'époque du New Deal au milieu des années 1960, le libéralisme américain connait une période de domination politique et intellectuelle. L'ensemble de la classe politique applique ses principes ou hésite sérieusement à les remettre en question. Cette idéologie va cependant connaître un long déclin faisant en sorte que le libéralisme va en venir à inspirer, au pays de l'oncle Sam, soit la honte, soit le mépris. L'objectif de notre mémoire sera donc d'expliquer comment, aux États-Unis, le concept de libéralisme a pu passer, en l'espace de quelques décennies, de la norme à l'insulte. Nous y défendrons la thèse voulant que la signification du libéralisme aux États-Unis ne soit pas figée dans le temps. Nous démontrerons qu'au cours de certaines périodes charnières de l'histoire américaine récente, le contexte politique et social a été favorable aux adversaires du libéralisme qui ont ainsi été en mesure, lors de chacune de ces occasions, de transformer le sens de ce concept en des termes de plus en plus péjoratifs. Pour ce faire, nous commencerons par démontrer clairement en quoi la définition du libéralisme diffère aux États-Unis par rapport à celle qu’il possède dans le reste du monde. Par la suite, à l'aide d'une approche relativement récente dans le champ d'étude de la politique américaine, l'American Political Development (APD), nous élaborerons une synthèse des principales significations qui ont pu être associées au concept de libéralisme depuis 1964. Cette démarche nous permettra de mettre en relief de quelle façon certains événements ou acteurs politiques ont marqué l'évolution de ce concept aux États-Unis au cours des quelques cinquante dernières années. Enfin, nous mettrons en perspective nos conclusions avec la nouvelle réalité issue de l'élection de Barack Obama à la présidence des États-Unis en novembre 2008. Nous verrons qu'en dépit de cette nouvelle donne, le libéralisme américain a encore beaucoup à faire pour prétendre aspirer au prestige intellectuel dont il a jadis pu se réclamer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : États-Unis, politique américaine, libéralisme, conservatisme, démocrates, républicains, État-providence.
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Libéralisme et développement durable : un examen de leur compatibilité philosophique

Dansereau-Laberge, François Olivier 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse aux développements du libéralisme en Amérique du Nord. Le libéralisme subit des pressions qui le façonnent. Historiquement, les deux principales sont les revendications des droits civiques et les dénonciations des inégalités sociales et économiques. Un nouveau courant critique se développe présentement. Ce courant est celui de l'environnementalisme. Le but de ce mémoire est de tenter d'évaluer quelles relations ce nouveau champ entretient avec le libéralisme. Son champ étant très large, nous avons choisi de l'évaluer à travers le développement durable. Le choix du développement durable est motivé par sa proximité avec le libéralisme et la pertinence du concept dans la vie politique actuelle. Nous faisons l'hypothèse que le libéralisme ne pourra intégrer que partiellement les changements imposés par le développement durable. Ces changements consolideront un mouvement du libéralisme qui l'éloigne de la tradition fondée sur une interprétation stricte de la liberté négative. Un respect assez strict de la conception négative de la liberté est une caractéristique propre du libéralisme nord-américain. On peut d'ailleurs diviser en deux les écoles libérales en Amérique du Nord. La première est néo-libérale. Elle fait une interprétation très stricte de la liberté négative. Le second groupe, les libéraux égalitaires, préfère tempérer ce concept de liberté négative par une considération égale des libertés. Or, nous verrons que le développement durable vient consolider un mouvement s'éloignant d'une interprétation stricte de la liberté négative. Pour bien comprendre les différents aspects de ce mouvement, nous explorerons le rapport Brundtland, document qui donna naissance au concept du développement durable. Nous verrons que ce rapport est né de tensions entre plusieurs intérêts. Pour bien comprendre ces intérêts, nous analyserons les caractéristiques proprement écologistes et libérales du rapport. Nous arrivons à la conclusion que le principe de développement durable découle assez directement des préoccupations de justice chères aux libéraux égalitaires. Les néo-libéraux étant marginalisés tant par une non-correspondance de leurs idées concernant le rapport intergénérationnelle et intragénérationnelle avec celle défendue par le rapport Brundtland. Nous soulignons ensuite les limites qu'impose le libéralisme aux besoins environnementaux. Cette évaluation se fait principalement autour de la discussion concernant la tension entre idéal et neutralité chez les libéraux. Les libéraux recherchent une neutralité qui est problématique lorsqu'elle devient un idéal qui s'oppose à d'autres idéaux, notamment ceux des environnementalistes, comme c'est le cas de la liberté négative défendue par les néo-libéraux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Libéralisme, environnementalisme, écologisme, liberté négative, neutralité, anthropocentrisme, écocentrisme, Brundtland, développement durable, justice, néolibéralisme, libéralisme égalitaire.
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Reconstruire la légitimité démocratique : l'articulation entre public, communauté et demos dans la pensée de John Dewey

Inchauspé, François-Xavier 09 1900 (has links) (PDF)
La pensée de John Dewey ouvre de nombreuses voies pour repenser la légitimité politique en présentant la démocratie comme une expérimentation, une suite d'enquêtes : bref, sans solution générale préétablie. L'idéal démocratique que Dewey développe ne s'articule pas autour d'un centre commun et unique : un demos unifié qui serait la marque d'une identité collective nationale. Au contraire, le foyer de la légitimité démocratique est décentré, délocalisé et dénominalisé, car ce sont les « publics » qui s'assimilent chez Dewey à des pouvoirs constituants. Cependant, Dewey est incapable de rester fidèle à la conception décentrée de la démocratie qu'il introduit pourtant. Son appel à la reconstruction d'un demos (au singulier) homogène semble l'emporter sur le nécessaire développement de demoï (au pluriel) hétérogènes. En fait, sa conception démocratique sous-tend l'uniformisation des particularités des problèmes qui font naître les publics. Les différentes problématiques sociales sont toutes ramenées sous un problème englobant, premier, général et peut-être même final : la condition des travailleurs. Le peu d'attention qu'il accorde à certaines problématiques, comme celles impliquées par le racisme ou le sexisme, illustre bien cette forme d'avalement de la diversité des publics dans l'unité d'un public commun et central, seul apte à permettre le changement social. Sur la base de cette réinterprétation, il importe de réévaluer l'apport de Dewey aux réflexions entourant la question de la légitimité politique dans le contexte actuel marqué, d'une part, par l'éclatement des formes de participation citoyenne en dehors des canaux traditionnels, et d'autre part, par la multiplication et l'enchevêtrement d'institutions ayant autorité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Légitimité, public, décentrement démocratique, participation citoyenne, inclusion, pluralisme, diversité sociale, John Dewey, G.W.F. Hegel, James Bohman, Iris Marion Young, Pierre Rosanvallon.
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Jean Bodin et le dilemme de la philosophie politique moderne

Chrom Jacobsen, Mogens. January 2000 (has links)
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Philosophie politique : Copenhague : 1996. / Bibliogr. p. 177-183.
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Éthique et violence politique : repenser la réponse des démocraties libérales à la menace terroriste

Leblanc, Martin January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Comment penser le politique ? Les tâches contemporaines de la philosophie politique selon Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent

Brown, Étienne 13 September 2011 (has links)
Cette thèse concerne la pensée de trois auteurs qui s’interrogent quant à la manière dont les philosophes politiques devraient procéder pour en arriver à comprendre et à juger les phénomènes politiques de manière adéquate : Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent. Plus spécifiquement, elle se propose d’étudier les critiques que ces derniers dirigent à l’endroit de l’approche dominante en philosophie politique contemporaine et qui est à leur avis le mieux exemplifiée par l’œuvre de John Rawls. Aux yeux de ces derniers, cette approche, qui consiste essentiellement à s’engager dans une réflexion abstraite sur la nature de la justice définie comme l’ensemble des droits politiques dont les citoyens devraient légitimement pouvoir jouir, souffre d’un important manque de réalisme, c’est-à-dire qu’elle reflète très peu la délibération dans laquelle les citoyens et les hommes politiques doivent concrètement s’engager pour faire face aux problèmes politiques réels. Dans un premier temps, l’auteur expose les objections que Geuss, Mouffe et Manent formulent contre la philosophie rawlsienne et il présente les fondements de la pensée de ces trois auteurs. Il s’efforce ensuite de vérifier si leur critique du normativisme abstrait en philosophie politique nous permet toujours de penser un certain fondement aux jugements politiques.
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Will Kymlicka et les angles morts du libéralisme - Vers une théorie non-libérale du droit des minorités?

Armstrong, Frédérick 11 1900 (has links)
Will Kymlicka a formulé une théorie libérale du droit des minorités en arguant que l'on doit protéger les cultures minoritaires des influences extérieures, car, selon lui, ces cultures fournissent aux individus un contexte de choix significatif qui permet la prise de décision autonome. Il limite donc la portée de sa théorie aux minorités « culturelles », c'est-à-dire les minorités nationales et immigrantes, qui peuvent fournir ce contexte de choix significatif aux individus. Évidemment, les injustices vécues par ces deux types de minorités, aussi sévères soient-elles, n'épuisent pas les expériences d'injustices vécues par les membres de groupes minoritaires et minorisés (i.e. minorités sexuelles, femmes, Afro-Américains, etc.). On pourrait donc être tenté d'élargir la portée de la théorie du droit des minorités pour rendre compte de toutes les injustices vécues en tant que minorité. Toutefois, je défends la thèse selon laquelle cette extension est impossible dans le cadre d'une théorie libérale, car une de ses méthodes typiques, la « théorie idéale », limite la portée critique des thèses de Kymlicka et parce que l'autonomie individuelle a un caractère si fondamental pour les libéraux, qu'ils ne peuvent rendre compte du fait que certaines décisions individuelles autonomes peuvent contribuer à perpétuer des systèmes et des normes injustes. / Will Kymlicka defends a liberal theory of minority rights, arguing that we must protect minority cultures from outside influences, as these cultures provide individuals with a meaningful context of choice that allows autonomous decision-making. This defence of minority rights limits the scope of his theory by focusing on 'cultural' minorities, that is to say, national minorities and immigrants, which can provide individuals with this meaningful context of choice. Obviously, the injustices experienced by these two types of minorities, however severe they are, do not exhaust the injustices experienced by members of minority groups and minoritized groups (i.e. sexual minorities, women, African Americans, etc.). One might be tempted to expand the scope of the theory of minority rights to account for all the injustices experienced as a minority. However, I argue that this extension is not possible within a liberal theorical framework where 'ideal theory' limits the critical force of Kymlicka’s thesis and in which the centrality of individual autonomy prevents liberals to realize that certain individual decisions contribute to the perpetuation of unjust systems, values and norms.

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