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Un discours environnementaliste de langue française dans le Canada de la fin du XXe siècle, une vision apocalyptique du mondeLoslier, Michelle January 1998 (has links) (PDF)
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Contre la raison? : l'opposition au rationalisme dans le discours de l'écologisme fondamentalisteFontaine, Mathieu January 2006 (has links) (PDF)
Le but du présent mémoire se divise essentiellement en deux objectifs. Le premier de ceux-ci consiste à repérer, dans le discours de l'écologisme fondamentaliste, l'opposition au rationalisme moderne. Ce premier objectif est cependant secondaire puisque son utilité réside dans l'atteinte du second objectif. Ce dernier consiste effectivement, quant à lui, à établir une critique de cette opposition qui aura été rendue manifeste au lecteur avec l'atteinte du premier objectif. Nous nous limiterons, pour ce faire, à employer les grilles d'analyse du rationalisme fournies par des auteurs du courant écologiste fondamentaliste afin de les confronter à celles fournies par des auteurs qui se penchent plutôt directement sur la critique du rationalisme, c'est-à-dire qui n'ont pas l'écologisme comme point de départ. Le lecteur comprendra que le travail qui suit s'appuie sur une démarche analytique pour parvenir à son but. Quatre sujets généraux sont abordés par cette démarche : la critique du rationalisme, les impacts environnementaux du rationalisme selon le discours écologiste fondamentaliste, la légitimation rationnelle à l'intérieur du discours écologiste fondamentaliste et le recours à la pensée mythique dans le discours écologiste fondamentaliste. L'hypothèse principale de ce mémoire est que l'opposition au rationalisme dans l'écologisme fondamentaliste ne tient pas la route puisque ce discours s'appuie essentiellement sur une approche rationaliste de la réalité, même dans ses exemples les plus radicaux.
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Egwa : une allégorie écologisteCazzaro, Mélissa January 2008 (has links) (PDF)
Le présent document porte sur le projet multimédia Egwa : une allégorie écologiste. L'intention de ce mémoire-création était de créer un jeu vidéo ayant comme utilité ultime de conscientiser les joueurs au sujet de l'écologisme, sans pour autant que le jeu soit catégoriquement classé dans la section ludoéducative. Ce projet part de la réflexion que tous les jeux sont ludoéducatifs en eux-mêmes et que c'est pour cette raison que les développeurs de l'industrie du divertissement doivent responsabiliser le contenu de leurs productions afin d'offrir des scénarios plus riches et plus humains aux consommateurs. Pour ce faire, j'ai créé un jeu vidéo d'aventure qui intègre dans son scénario et sa façon de jouer, une thématique écologiste. C'est avant tout l'histoire d'aventure qui prime sur les thèmes écologistes, alors que l'on vit les péripéties d'un personnage dont la planète est dévastée. L'écologisme est proposé au travers des différents éléments communicationnels qui composent le jeu vidéo, plutôt que directement dans sa définition propre. Ce document d'accompagnement traite du thème de la montée du mouvement écologiste dans le contexte sociétal actuel, de la communication par le jeu vidéo et de la ludoéducation. De plus, l'oeuvre est comparée à d'autres productions du même genre afin d'en dégager les ressemblances et les différences. Ensuite, afin de mieux comprendre l'oeuvre, l'esthétisme du projet est expliqué dans ses aspects graphiques, sonores et interactifs. Et pour terminer, la démarche de l'auteure est décrite dans un ordre chronologique pour montrer le cheminement qui a mené à un tel projet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Communication, Jeu vidéo, Écologisme, Conscientisation, Multimédia, Expérimental.
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L'écologie radicale au Québec : pratiques et représentations sociospatiales des groupes écologistes radicaux, de 2001 à 2007Massé, Bruno January 2008 (has links) (PDF)
Depuis le Sommet des Amériques de Québec en 2001, un mouvement d'écologie radicale a émergé dans la province. Entre 2001 et 2007, quatorze groupes écologistes radicaux ont vu le jour. Dix des quatorze groupes ont participé à l'étude. Pour chacun de ces dix groupes, un répondant a été interviewé. Cette étude est la première au Québec à se pencher sur le sujet. Ces groupes, organisés de façon décentralisée, non hiérarchique et autonome, perçoivent le rapport entre la société et la nature comme étant problématique. Leur radicalisme se veut une tentative d'aller aux racines (causes) du problème et de se rapprocher d'un mode de vie égalitaire, tant écologique que social. Le mouvement est fortement influencé par la pensée libertaire. Ces groupes lient la lutte pour l'environnement à celles contre les inégalités sociales et la domination, s'opposant à l'État, au capitalisme et à l'anthropocentrisme. En pratiquant l'action directe, la réappropriation de lieux et l'éducation, les groupes visent à acquérir une plus grande autonomie, à devenir autosuffisants et à subvertir les bases du système dominant. Leurs enjeux sont multiples, mais les groupes se concentrent sur les thématiques de l'alimentation, la cruauté faite aux animaux et la coupe forestière. Chacune de leurs pratiques est considérée comme outil d'une lutte sociale plus large. En étudiant leurs discours, stratégies et pratiques il apparaît évident que les écologistes radicaux sont en quête de cohérence, ils en sont cependant conscients et démontrent une praxis complète ou en voie de complétion. Le mouvement écologiste radical du Québec tente de passer de la résistance symbolique à la transgression ouverte. Cependant, la répression (structurelle et policière) dont ils sont vIctimes les contraint à modifier leurs stratégies et pratiques. De plus, les écologistes radicaux accusent le mouvement vert, plus institutionnalisé, de ne pas remettre en question les causes réelles de la crise écologique et de marginaliser leur existence. Ils les accusent de légitimer l'État par le lobbying. Aussi, ils affirment que les organisations environnementales institutionnalisées sont généralement inefficaces et infantilisantes. Leurs pratiques et représentations sociospatiales laissent croire que les groupes écologistes radicaux priorisent deux échelles: le global et le local (avec un emphase sur le résidentiel). Ils n'ont peu ou pas d'identité territoriale, sont critiques des milieux urbains et ruraux et veulent repenser la façon d'habiter le territoire. Ils affichent une conscience géographique soutenue qui comporte l'avantage de l'expérience immédiate et sensible de l'espace construit socialement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écologie, Écologie radicale, Mouvement vert, Anarchisme, Radicalisme, Environnementalisme, Géographie critique, Révolution, Représentation sociospatiale.
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La dimension apocalyptique de l'écologisme : Al Gore et la crise de l'environnementBlanchet-Gravel, Jérôme 24 April 2018 (has links)
Dans un article publié en 1982, Danièle Hervieu-Léger établissait un rapprochement significatif entre l’idéologie apocalyptique née dans l’Antiquité avec l’apparition de la pensée juive et l’idéologie écologiste née dans les années 1970 en réaction à la crise environne-mentale. Selon cette auteure, il existerait une affinité élective entre l’idéologie apocalyptique religieuse, judéo-chrétienne, et l’idéologie apocalyptique sécularisée incorporée à l’idéologie écologiste. Bien plus qu’à un simple « catastrophisme » ambiant, l’idéologie écologiste obéirait donc à des schémas eschatologiques issus de l’imaginaire religieux occidental. Nous avons voulu vérifier si cette piste d’analyse était encore féconde. Pour ce faire, nous avons d’abord construit un idéal-type de l’idéologie apocalyptique nous permettant d’identifier les similitudes, mais aussi les différences fondamentales distinguant l’idéologie apocalyptique religieuse de l’idéologie apocalyptique sécularisée. En nous basant sur la littérature spécialisée, nous avons découvert que les quatre caractéristiques centrales de cet idéal-type peuvent être : (1) l’idée de la fin du monde imminente, (2) la croyance en la détermination suprahumaine de l’histoire, (3) la conviction de l’urgence d’agir et (4) la division du monde en deux camps opposés (les bons et les mauvais). Ensuite, pour vérifier la présence cette hypothétique « apocalypse verte » dans l’imaginaire collectif, nous avons choisi un échantillon de la pensée écologiste nous permettant de noter l’influence de l’idéologie apocalyptique. Nous avons enfin procédé à une analyse de contenu de la dernière version du bestseller écologiste Earth in the balance d’Al Gore, initialement paru en 1993 et réédité en français en 2007 sous le titre d’Urgence Planète Terre. Mots-clés : écologisme, apocalypse, idéologie, religion séculière, environnement.
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Libéralisme et développement durable : un examen de leur compatibilité philosophiqueDansereau-Laberge, François Olivier 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse aux développements du libéralisme en Amérique du Nord. Le libéralisme subit des pressions qui le façonnent. Historiquement, les deux principales sont les revendications des droits civiques et les dénonciations des inégalités sociales et économiques. Un nouveau courant critique se développe présentement. Ce courant est celui de l'environnementalisme. Le but de ce mémoire est de tenter d'évaluer quelles relations ce nouveau champ entretient avec le libéralisme. Son champ étant très large, nous avons choisi de l'évaluer à travers le développement durable. Le choix du développement durable est motivé par sa proximité avec le libéralisme et la pertinence du concept dans la vie politique actuelle. Nous faisons l'hypothèse que le libéralisme ne pourra intégrer que partiellement les changements imposés par le développement durable. Ces changements consolideront un mouvement du libéralisme qui l'éloigne de la tradition fondée sur une interprétation stricte de la liberté négative. Un respect assez strict de la conception négative de la liberté est une caractéristique propre du libéralisme nord-américain. On peut d'ailleurs diviser en deux les écoles libérales en Amérique du Nord. La première est néo-libérale. Elle fait une interprétation très stricte de la liberté négative. Le second groupe, les libéraux égalitaires, préfère tempérer ce concept de liberté négative par une considération égale des libertés. Or, nous verrons que le développement durable vient consolider un mouvement s'éloignant d'une interprétation stricte de la liberté négative. Pour bien comprendre les différents aspects de ce mouvement, nous explorerons le rapport Brundtland, document qui donna naissance au concept du développement durable. Nous verrons que ce rapport est né de tensions entre plusieurs intérêts. Pour bien comprendre ces intérêts, nous analyserons les caractéristiques proprement écologistes et libérales du rapport. Nous arrivons à la conclusion que le principe de développement durable découle assez directement des préoccupations de justice chères aux libéraux égalitaires. Les néo-libéraux étant marginalisés tant par une non-correspondance de leurs idées concernant le rapport intergénérationnelle et intragénérationnelle avec celle défendue par le rapport Brundtland. Nous soulignons ensuite les limites qu'impose le libéralisme aux besoins environnementaux. Cette évaluation se fait principalement autour de la discussion concernant la tension entre idéal et neutralité chez les libéraux. Les libéraux recherchent une neutralité qui est problématique lorsqu'elle devient un idéal qui s'oppose à d'autres idéaux, notamment ceux des environnementalistes, comme c'est le cas de la liberté négative défendue par les néo-libéraux.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Libéralisme, environnementalisme, écologisme, liberté négative, neutralité, anthropocentrisme, écocentrisme, Brundtland, développement durable, justice, néolibéralisme, libéralisme égalitaire.
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L'écologie politique : une idéologie de classes moyennes.Billemont, Hubert 12 January 2006 (has links) (PDF)
La thèse est consacrée aux modes de vie et aux représentations sociales et politiques des militants et sympathisants écologistes en France. L'analyse porte sur l'étude des fractions semi-intellectuelles de la classe moyenne salariée qui sont sur-représentées parmi les écologistes. Il s'agit de montrer que nombre d'attitudes et de schèmes de pensées véhiculées par les écologistes sont imputables aux positions sociales ambivalentes de cette catégorie sociale d'intellectuels subalternes.
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Pratiques éco-alternatives : dimensions éthiques et symboliques du quotidien de la résistanceDazé, Émilie 08 1900 (has links) (PDF)
La récente recrudescence de l'activité et des revendications de groupes traditionnellement associés à la gauche politique oblige à reconsidérer la catégorie altermondialiste. Celle-ci n'arrive plus à couvrir la réalité d'une vaste mouvance sociale syncrétisant les idées antiautoritaires, écologistes et féministes et, plus généralement, l'héritage alternatif des années 1970. Cette recherche porte sur les pratiques quotidiennes et le mode de vie mis en œuvre par les personnes s'inscrivant dans cette nébuleuse alternative. Elle vise la documentation et l'analyse de ces pratiques d'un point de vue socio-anthropo-religiologique, dans leurs dimensions éthique, politique et symbolique et explore ce qui les lie à la quête de sens personnelle et collective, à l'espace-temps quotidien, à la socialité ainsi qu'à l'horizon symbolique qu'elles convoquent et construisent. Par le moyen de la théorisation ancrée, cette recherche permet de cerner les contours de ce qu'il y a lieu d'appeler la mouvance éco-alternative, mouvance qui s'exprime dans tous les aspects du quotidien, du plus intime au plus institutionnalisé. Cette mouvance prend la forme d'un mouvement d'insurrection personnelle qui, sur la base de certaines valeurs, se manifeste par des pratiques concrètes dont le sens est mutuellement négocié et partagé, pour en venir à générer un système symbolique intimement et collectivement intégré. Cette démarche aboutit dans la théorisation de la dynamique interne d'un authentique processus de changement social qui permet de considérer que la personne, sa volonté et sa capacité d'action sont les filtres par lesquels se reproduit ou non le système symbolique dont elle hérite culturellement. Ces éléments permettent de mieux comprendre comment l'action individuelle concertée sous la forme de pratiques partagées influence et transforme l'univers symbolique et à l'inverse, comment cet univers symbolique mutuellement constitué sert de cadre de référence à l'action individuelle socialement agissante. Tout le travail réflexif accompli dans ces pages mène à mieux saisir cette interrelation intime des actes individuels et des transformations collectives; il n'y aurait donc pas d'antagonisme entre le pouvoir de l'acte individuel dans l'espace-temps quotidien et la force de la mouvance collective concertée et organisée, entre les cheminements individuels et ceux des collectivités.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : communauté de pratiques, quotidienneté, éthique, symbolique, altermondialisme, écologisme, anarchisme, changement social.
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L'incorruptible. De la contre-démocratie à la candidature politique : étude du cadrage stratégique d'Eva Joly durant la campagne pour l'investiture écologiste à la présidentielle de 2012Le Bars, Gildas 19 April 2018 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à la capacité d’Eva Joly à incarner dans sa candidature à l’investiture écologiste une figure contre-démocratique en revendiquant l’image de «l’incorruptible». Cette question de recherche, liée à la thèse de Pierre Rosanvallon sur la contre-démocratie, nous a amené à étudier la construction du cadrage médiatique d’Eva Joly à travers le modèle du cadrage en cascade de Robert Entman. Aux fins de notre étude, nous avons procédé à une analyse de contenu de l’ensemble des interviews d’Eva Joly de juillet 2010 à juillet 2011, soit l’année précédant son investiture comme candidate d’Europe Écologie Les Verts à l’élection présidentielle française de 2012. Nos données semblent indiquer qu’Eva Joly a imposé le cadre de l’incorruptible lorsque le contexte électoral était peu compétitif. Néanmoins, elle n’a pas pu maintenir son discours lié à la lutte contre la corruption au cœur de la compétition électorale, abandonnant ainsi temporairement son rôle contre-démocratique. Elle a en effet délaissé le cadre de l’incorruptible au profit du cadre divergent compétitif de l’écologiste lorsqu’il a été largement mis en avant par son principal concurrent, Nicolas Hulot, et repris par les journalistes.
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Le développement de la conscience environnementale et l'émergence de l'écologie politique dans l'espace public en France et en Allemagne, 1960-1990. / The development of environmental awareness and the emergence of political ecology in the public sphere in France and Germany, 1960-1990.Caro, Céline 04 December 2009 (has links)
L’écologie est un courant de pensée critique à l’encontre des sociétés industrialisées qui se développe dans la seconde moitié du XXème siècle en Occident. En tant que mouvement social, les écologistes cherchent à définir les règles d’une société plus respectueuse de l’environnement et du cadre de vie ; en tant que courant politique, leurs réflexions ont pour but de proposer un autre modèle de société. Entre 1960 et 1990, la France et l’Allemagne présentent des similitudes en matière de prise de conscience environnementale au sein de la population et au niveau de l’arrivée de l’écologie sur la scène politique. Une analyse comparative plus précise dévoile toutefois des caractéristiques historiques, économiques, sociales, politiques et institutionnelles ainsi que culturelles et mentales propres à chaque pays qui permettent de souligner des divergences importantes dans ces domaines et d’expliquer les clichés se rapportant à une Allemagne romantique, sensible à la protection de la biosphère, et une France cartésienne, négligente sur le plan environnemental. / Ecology is a critical current of thought towards industrialized societies, which spreads throughout the Western countries in the second half of the 20th century. As a social movement, Ecologists try to set the rules of a society more respectful of the environment and the living conditions ; as a political movement, they offer a new model for society. Between 1960 and 1990, France and Germany present similarities regarding a growing sensitivity towards the environemental issues in their populations and the progressive accession of ecology to the political stage. A more detailed analysis nevertheless reveals historical, economical, social, political and institutional as well as cultural and mental characteristics peculiar to each country underlining important differences in these fields and explaining the clichés about a romantic Germany concerned with the need to preserve the biosphere and a Cartesian France ignoring the environment.
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