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Leo Strauss et l'historicisme : critique, interprétation et dépassement / Leo Strauss and historicism : criticism, interpretation and overtaking

Yang, Jiayan 18 June 2019 (has links)
Dans le domaine de la philosophie politique, le nom de Leo Strauss (1899-1973) s’associe à une tentative de réhabiliter un type de questionnement aussi ancien que la philosophie elle-même. Critique des types modernes de connaissance, Strauss considère, avant tout, que l’historicisme est un esprit menaçant de notre temps, mais il est aussi l’« adversaire le plus sérieux » de la philosophie politique : toute norme se réduit à un fait historique contingent jusqu’à prendre toute force d’obligation et de légitimité, c’est ainsi que la philosophie se trouve dans l’histoire elle-même devenue Histoire. Comment Strauss interprète-t-il l’historicisme, si ce terme ne connaît pas d’une unanimité ? Alors que l’on fait une enquête généalogique, à la lumière straussienne, de la modernité pour en étudier la genèse et la crise, on peut constater que Strauss, en remontant à Machiavel et Hobbes qui avaient déjà commencé à préparer la voie de l’historicisme, cherche à définir un nouvel historicisme qui se développe dans l’école historique du XIXe siècle, et connaît son apogée sous une forme radicale représentée par Nietzsche et Heidegger. Dans cette reconstruction de Strauss de l’historicisme, nous montrons qu’il propose un retour aux Anciens comme moyen de dépasser l’historicisme vers l’anhistorique, allant vers la transcendance que l’homme, par sa nature, peut atteindre : l’intransigeance de la dignité de la philosophie substantialiste pourra résister à un tel historicisme fondé sur la croyance en l’idée de progrès. / In the field of political philosophy, the name of Leo Strauss (1899-1973) is associated with an attempt to rehabilitate a type of questioning as old as philosophy itself. Criticism of modern types of knowledge, Strauss considers, first of all, that historicism is a threatening spirit of our time, but it is also the “ most serious adversary ” of political philosophy : all norms are reduced to a historical contigent fact which could arrive any point of assuming any force of obligation and legitimacy, that’s how philosophy finds itself in history itself, which has become History. How dœs Strauss interpret historicism, if this term dœs not know a unanimity ? With a genealogical investigation of modernity to study its genesis and crisis, in the Straussian light, we can see that Strauss, going back to Machiavelli and Hobbes who had already begun to prepare the way of the historicism, seeks to define a new historicism that develops in the historical school of the nineteenth century, and reaches its peak in a radical form represented by Nietzsche and Heidegger. In Strauss’s reconstruction of historicism, we show that he proposes a return to the Ancients as a means of going beyond historicism towards the ahistorical, going towards the transcendence that the humain beings can attain by their nature : the intransigence of the dignity of substantialist philosophy can resist such a historicism based on the belief in the idea of progress.
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Marx est-il individualiste?

Champagne, Pier-Yves 30 August 2016 (has links)
Des nombreuses lectures possibles de l’œuvre de Marx, celles de Michel Henry et de Serge Cantin ont l'avantage, lorsque mises côte-à-côte, de faire ressortir les différentes tensions qui existent entre le pôle libertaire et communautaire de la pensée de Marx. D'un côté, Michel Henry met l'accent sur l'aspect individualiste de l'ontologie marxienne. Cantin quant à lui montre de quelle manière Marx tend à nier cette individualité au profit d'un processus objectif qui sous-tend cette individualité, à savoir la vie elle-même. L'objectif de ce mémoire est d'exposer ces deux conceptions aux antipodes, puis de les faire dialoguer entre elles afin de voir dans quelle mesure, malgré leur apparente opposition, une réconciliation est possible. Or, il s'avère que malgré les quelques points communs dégagés en conclusion, nous ne soyons pas parvenus outre mesure à opérer de rapprochement significatif entre ces deux lectures. / Of the many possible readings of Marx's work, those of Michel Henry and Serge Cantin have the advantage, when compared side by side, to bring out certain tensions that exist between the communitarian and libertarian dimensions of Marx's thought. On the one hand, Michel Henry emphasizes the individualistic aspect of Marxian ontology. Cantin, on the other hand, shows how Marx tends to deny this individuality in favor of an objective process that underlies this individuality, namely, that of life itself. The purpose of this thesis is to present these two opposing views individually and then to have them interact with each other. The guiding question is whether, despite their apparent opposition, some form of reconciliation is possible. It turns out that, apart from a few common point that are brought to light, these two readings do not lend themselves to any significant rapprochement.
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Éthique et violence politique : repenser la réponse des démocraties libérales à la menace terroriste

Leblanc, Martin January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Will Kymlicka et les angles morts du libéralisme - Vers une théorie non-libérale du droit des minorités?

Armstrong, Frédérick 11 1900 (has links)
Will Kymlicka a formulé une théorie libérale du droit des minorités en arguant que l'on doit protéger les cultures minoritaires des influences extérieures, car, selon lui, ces cultures fournissent aux individus un contexte de choix significatif qui permet la prise de décision autonome. Il limite donc la portée de sa théorie aux minorités « culturelles », c'est-à-dire les minorités nationales et immigrantes, qui peuvent fournir ce contexte de choix significatif aux individus. Évidemment, les injustices vécues par ces deux types de minorités, aussi sévères soient-elles, n'épuisent pas les expériences d'injustices vécues par les membres de groupes minoritaires et minorisés (i.e. minorités sexuelles, femmes, Afro-Américains, etc.). On pourrait donc être tenté d'élargir la portée de la théorie du droit des minorités pour rendre compte de toutes les injustices vécues en tant que minorité. Toutefois, je défends la thèse selon laquelle cette extension est impossible dans le cadre d'une théorie libérale, car une de ses méthodes typiques, la « théorie idéale », limite la portée critique des thèses de Kymlicka et parce que l'autonomie individuelle a un caractère si fondamental pour les libéraux, qu'ils ne peuvent rendre compte du fait que certaines décisions individuelles autonomes peuvent contribuer à perpétuer des systèmes et des normes injustes. / Will Kymlicka defends a liberal theory of minority rights, arguing that we must protect minority cultures from outside influences, as these cultures provide individuals with a meaningful context of choice that allows autonomous decision-making. This defence of minority rights limits the scope of his theory by focusing on 'cultural' minorities, that is to say, national minorities and immigrants, which can provide individuals with this meaningful context of choice. Obviously, the injustices experienced by these two types of minorities, however severe they are, do not exhaust the injustices experienced by members of minority groups and minoritized groups (i.e. sexual minorities, women, African Americans, etc.). One might be tempted to expand the scope of the theory of minority rights to account for all the injustices experienced as a minority. However, I argue that this extension is not possible within a liberal theorical framework where 'ideal theory' limits the critical force of Kymlicka’s thesis and in which the centrality of individual autonomy prevents liberals to realize that certain individual decisions contribute to the perpetuation of unjust systems, values and norms.
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La question du meilleur régime politique à l'epreuve des relations internationales dans la pensée de Raymond Aron. / The question of the best regime as viewed through an international relations lens in the political thought of Raymond Aron

Cohen, Frederic 10 January 2018 (has links)
Cette thèse cherche à comprendre pourquoi Aron juge essentiel d’étudier la question du meilleur régime politique à l’épreuve des relations internationales. Il s’agit de s’interroger sur l’ampleur et le sens politique de ce que Raymond Aron appelle le drame humain, en précisant la nature de la distinction entre l’intérieur et l’extérieur, entre la politique domestique et les affaires étrangères qu’il juge essentiel, tout en examinant les rapports complexes qui se nouent entre ces deux domaines de la vie politique. Nous tâchons d’éclairer la signification que revêt aux yeux d’Aron la primauté de la politique dans l’organisation des choses humaines, alors que pourtant l’organisation politique des sociétés modernes lui apparaît essentiellement indéterminée. Ceci nous amène à nous interroger sur la conception aronienne singulière de la démocratie et du libéralisme, au regard des tensions fondamentales de la vie politique entre les réquisits du bon gouvernement et les contraintes du jeu international. L’étude des antinomies de l’action politique, nous conduit à revenir sur les principaux débats entre réalistes et idéalistes au sujet du problème de la guerre et de la paix, qu’Aron examine à travers ses réflexions sur le « problème machiavélien » et « le « problème kantien ». Il s’agit de préciser le sens de la prudence politique selon Aron, en s’interrogeant sur les limites inhérentes à la recherche du meilleur ordre politique qui soit et en tenant compte du défi que représente la menace thermonucléaire. / This dissertation explores the reasons why Raymond Aron deems it essential that the question of the best regime be framed in the context of international relations. In doing so, it seeks to draw out the full scope and political meaning of what Raymond Aron calls "the human drama" by specifying the distinction he makes between domestic politics and foreign affairs, whilst also examining the complex interactions through which he connects these two essential domains of political life. I take as a starting-point the apparent dissonance between Aron's belief in the primacy of politics as an organising principle for human affairs and his perception of modern political societies as essentially indeterminate. From there, I move on to question the singular nature of the Aronian conception of democracy and liberalism in light of the fundamental tension between the imperatives of good governance and the constraints imposed by the international system. The study of the antinomies of political action leads me to revisit the main debates between realists and idealists on the problem of war and peace, as addressed by Aron in his reflections on the Machiavellian problem and the Kantian problem. The aim here is to clarify the meaning Aron gives to political prudence by taking account of the limits inherent to the search for the best possible political order, especially in light of the existential threat raised by the prospect of thermonuclear warfare.
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Structure de culture et minimalisme : l’enjeu politique du minimalisme sémantique

Boileau, Xavier 08 1900 (has links)
No description available.
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De l'émancipation de l'homme par rapport aux phénomènes idéologiques : intelligibilité des phénomènes idéologiques omniprésents

Chaussé, Thomas 02 1900 (has links)
No description available.
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Comment penser le politique ? Les tâches contemporaines de la philosophie politique selon Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent

Brown, Étienne 13 September 2011 (has links)
Cette thèse concerne la pensée de trois auteurs qui s’interrogent quant à la manière dont les philosophes politiques devraient procéder pour en arriver à comprendre et à juger les phénomènes politiques de manière adéquate : Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent. Plus spécifiquement, elle se propose d’étudier les critiques que ces derniers dirigent à l’endroit de l’approche dominante en philosophie politique contemporaine et qui est à leur avis le mieux exemplifiée par l’œuvre de John Rawls. Aux yeux de ces derniers, cette approche, qui consiste essentiellement à s’engager dans une réflexion abstraite sur la nature de la justice définie comme l’ensemble des droits politiques dont les citoyens devraient légitimement pouvoir jouir, souffre d’un important manque de réalisme, c’est-à-dire qu’elle reflète très peu la délibération dans laquelle les citoyens et les hommes politiques doivent concrètement s’engager pour faire face aux problèmes politiques réels. Dans un premier temps, l’auteur expose les objections que Geuss, Mouffe et Manent formulent contre la philosophie rawlsienne et il présente les fondements de la pensée de ces trois auteurs. Il s’efforce ensuite de vérifier si leur critique du normativisme abstrait en philosophie politique nous permet toujours de penser un certain fondement aux jugements politiques.
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Comment penser le politique ? Les tâches contemporaines de la philosophie politique selon Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent

Brown, Étienne 13 September 2011 (has links)
Cette thèse concerne la pensée de trois auteurs qui s’interrogent quant à la manière dont les philosophes politiques devraient procéder pour en arriver à comprendre et à juger les phénomènes politiques de manière adéquate : Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent. Plus spécifiquement, elle se propose d’étudier les critiques que ces derniers dirigent à l’endroit de l’approche dominante en philosophie politique contemporaine et qui est à leur avis le mieux exemplifiée par l’œuvre de John Rawls. Aux yeux de ces derniers, cette approche, qui consiste essentiellement à s’engager dans une réflexion abstraite sur la nature de la justice définie comme l’ensemble des droits politiques dont les citoyens devraient légitimement pouvoir jouir, souffre d’un important manque de réalisme, c’est-à-dire qu’elle reflète très peu la délibération dans laquelle les citoyens et les hommes politiques doivent concrètement s’engager pour faire face aux problèmes politiques réels. Dans un premier temps, l’auteur expose les objections que Geuss, Mouffe et Manent formulent contre la philosophie rawlsienne et il présente les fondements de la pensée de ces trois auteurs. Il s’efforce ensuite de vérifier si leur critique du normativisme abstrait en philosophie politique nous permet toujours de penser un certain fondement aux jugements politiques.
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L'art dit le monde et ses possibles : une expérience dialogique entre peinture actuelle et philosophie politique

Bédard, Pascale January 2008 (has links) (PDF)
Comment la jeune peinture du Québec actuel exerce-t-elle une fonction réflexive à l'égard de la société? Le projet de ce mémoire consiste à répondre à cette question, par le biais d'une analyse des contenus formels et thématiques d'oeuvres picturales. Devant les insuffisances méthodologiques de la sociologie de l'art contemporaine, une méthode originale d'approche des oeuvres a été conçue. Ainsi, la première partie du mémoire se consacre, en premier lieu, à brosser l'historique de la discipline afin d'en cerner les orientations et les débats actuels. En second lieu, l'armature de la recherche est exposée en détail, suivie d'une description du corpus d'oeuvres étudiées. La deuxième partie du mémoire présente une exploration théorique de la question des rapports entre l'art et le politique, dans les oeuvres de Hannah Arendt et de Michel Foucault. C'est à partir des acquis de ces études croisées, permettant de dégager des modalités de la fonction réflexive de l'art à l'égard de la société, que les oeuvres ont été analysées. Réunissant plus de cent oeuvres d'une soixantaine de peintres québécois nés après 1967, le corpus présente un panorama substantiel de cette production artistique particulière. Les résultats de la recherche sont multiples. D'abord, étant donné que la jeune peinture québécoise demeure à ce jour très peu documentée, on peut considérer que la constitution du corpus d'oeuvres de même que sa description sociographique et sa contextualisation sociologique participent à l'accroissement des connaissances sur l'art contemporain québécois. Ensuite, la méthodologie développée et testée dans ce mémoire s'avère fertile: des tendances ont été dégagées dans les manières dont les oeuvres picturales questionnent la société. Finalement, les deux études théoriques, sur Arendt et Foucault, font le point sur la question de l'art chez chacun des auteurs et induisent un dialogue original. La conceptualisation de la fonction réflexive de l'art à l'égard de la société, issue de cette étude, demeure un acquis important de la recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Peinture, Québec, Art contemporain, Arendt, Foucault, Sociologie de l’art.

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